Comme j’avais deviné, le local est réouvert sous le nom de Motel Motel, un bar/buvette avec un espèce de speakeasy en arrière vraiment superbe! ça fait un tabac, de ce que je vois. Je vous conseille vivement d’aller y faire un tour!
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Bonjour à tous! @SteveQ a eu la brillante idée d’organiser une tournée du Quartier Latin afin de faire l’inventaire des locaux vacants, avec un apéro à 17h pour se donner la chance d’échanger. Qui est partant?
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Très heureux de rapporter que la Belle Province au coin Sainte-Catherine/Saint-Laurent a finalement réouvert et est complètement rénovée 
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Bonne nouvelle.A legendary greasy spoon qui fera toujours partie de l’histoire de la Main.
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Il y a un excellent restaurant de dumplings qui a ouvert sur Sainte-Catherine E., près de Papineau. Ça rivalise avec Mademoiselle Dumpling sur Saint-Hubert! https://yamatofood.ca/
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Tronçon fermé d’urgence depuis un mois Des commerçants de la rue Sainte-Catherine tapent du pied
PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE
La rue Sainte-Catherine est fermée entre l’avenue McGill College et le boulevard Robert-Bourassa parce qu’un édifice menace de s’effondrer.
Des commerçants de la rue Sainte-Catherine s’impatientent après plus d’un mois de fermeture d’un tronçon de l’artère à cause d’un immeuble instable.
Publié à 1h05 Mis à jour à 5h00
Philippe Teisceira-Lessard La Presse
Le destin de l’édifice Jaeger, dans un état inquiétant depuis un incendie survenu en 2021, fait toujours l’objet de discussions entre la Ville de Montréal et le propriétaire des lieux.
La rue a été fermée d’urgence fin mars entre l’avenue McGill College et le boulevard Robert-Bourassa après la réception d’un rapport d’ingénieur inquiétant. Depuis, ses voisins pâtissent de la situation.
« On a perdu environ 90 % de nos clients. Avec la rue fermée, comment voulez-vous que les clients passent ? », a déploré Ghylam Azim, qui tient une petite boutique de souvenirs et un bureau de change juste à côté. « Ils nous avaient dit que le 1er mai, ils allaient enlever [les clôtures]. Mais c’est encore la même chose. »
Nabil Bassou, gérant du grand détaillant de chaussures B2, reçoit de nombreux commentaires de touristes qui sont surpris de voir l’état du quartier.
C’est une rue principale, Sainte-Catherine, et elle est dans un état pitoyable. Tout le monde dit : qu’est-ce qui se passe à Montréal ? Qu’est-ce qui se passe à Montréal ?
Nabil Bassou, gérant du grand détaillant de chaussures B2
« Le Grand Prix s’en vient », a-t-il ajouté, appelant de ses vœux une résolution de la situation.
Thérèse Taouil, qui vend des vêtements pour homme chez EM Emmanuel, espère aussi que la rue Sainte-Catherine sera rouverte à court terme. Elle évalue que le commerce perd actuellement un quart de son chiffre d’affaires. « Quand les voitures passent, ils voient [la vitrine], ils stationnent et ils viennent », a-t-elle dit.
« Trouver une façon de les aider »
Fin avril, la Ville de Montréal espérait pouvoir sauver l’édifice Jaeger, alors que le représentant du propriétaire des lieux affirmait avoir peu d’espoir.
« Notre premier objectif, c’est d’assurer la sécurité de la population, ça, c’est sine qua non », affirmait alors Robert Beaudry, l’élu responsable de l’urbanisme au sein de l’administration Plante. « Et l’objectif en parallèle, c’est de travailler avec le [propriétaire] pour qu’il y ait des interventions qui soient faites sur le bâtiment. » Le bâtiment, qui date des années 1880, est surtout remarquable en raison de sa façade néogothique construite trois décennies plus tard.
PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE
Le destin de l’édifice Jaeger, dans un état inquiétant depuis un incendie survenu en 2021, fait toujours l’objet de discussions entre la Ville de Montréal et le propriétaire des lieux.
« L’immeuble est trop dangereux pour effectuer des travaux, ni à l’intérieur ni à l’extérieur à proximité », a expliqué André Jude, qui représente les intérêts de l’entreprise new-yorkaise qui possède le bâtiment.
Lundi, la Ville de Montréal n’a pas commenté la situation.
Le chef de l’opposition à l’hôtel de ville, Aref Salem, a évoqué la nécessité d’indemniser les commerçants touchés. « Il faut amener toutes les ressources nécessaires ici au centre-ville », a-t-il dit, alors qu’il tenait une conférence de presse juste à côté. « La Ville doit donner des réponses claires. […] On aimerait au moins que les marchands sachent ce qui en est et qu’ils sachent combien de temps ça va être fermé. Et si c’est à long terme, on devrait trouver une façon de les aider. »
Le conseiller municipal du secteur, Serge Sasseville, a indiqué qu’il était lui aussi solidaire des commerçants.
« C’est au cœur de l’artère commerciale », a-t-il dit. M. Sasseville dit aborder ce problème sous deux angles : comme « l’amoureux du patrimoine » qu’il est et aussi comme « conseiller municipal qui veut que la rue Sainte-Catherine soit rouverte le plus tôt possible, parce [qu’il peut] comprendre que les commerçants soient frustrés ».
L’histoire jusqu’ici
1880 : Année approximative de construction de l’édifice Jaeger, rue Sainte-Catherine. La façade de terracotta vitrifiée sera érigée trois décennies plus tard.
2021 : Un incendie ravage le Club SuperSexe et affecte durement ses voisins, dont l’édifice Jaeger.
2023 : Fin mars, un rapport d’ingénieur commandé par le propriétaire de l’édifice déclenche une fermeture d’urgence de la rue Sainte-Catherine, de peur que la façade ne s’effondre sur la chaussée.
Selon toute apparence le propriétaire New-Yorkais ne semble pas vouloir protéger son immeuble, mais plutôt le voir disparaitre pour rentabiliser cet espace ultra stratégique au centre-ville.
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It’s weird how the owners think the cars are the ones that give their companies business, and that because they can’t drive through the area they don’t go there. I think it’s more people don’t want to walk through an area where a building is collapsing to buy something
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Well I did walk past it a few days ago heading to work and the article is right about one thing, ça fait dur en *****! On vient de refaire la rue et c’est encore un bordel sans verdure avec des immeubles abandonnés et le chantier au coin de McGill College qui squeeze les piétons de façon inutile.
C’est décevant que l’immeuble soit en mauvais état mais en 1 mois on aurait pu installer un support temporaire pour la façade, et la placette au 710 qui n’a jamais été aménagée…
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Ce que je me demande est s’il est vraiment nécessaire d’avoir un aussi grand périmètre de sécurité devant l’immeuble… est-ce que des morceaux de l’édifice peuvent vraiment atteindre le trottoir de l’autre côté?
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C’est vrai mais la Ville n’a pas le pouvoir d’intervenir sans l’accord du propriétaire, qui a plein droit de disposer de son bien à moins qu’il ne menace directement la sécurité publique. 
Un nouveau resto va ouvrir dans l’ancien Copper Branch du Village. Ça s’appelle Philippes et ils serviront des mets de fusion californienne (?). Les ouvriers étaient à l’oeuvre hier pour installer l’affiche, j’imagine qu’ils visent ouvrir avec les terrasses et la piétonisation!
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Ou en cas d’insalubrité. Ils pourraient y trouver quelques rats facilement et ordonner des travaux.
La Loi sur l’aménagement et l’urbanisme stipule qu’une municipalité peut exiger, en cas de vétusté ou de délabrement d’un bâtiment, des travaux de réfection, de réparation ou d’entretien de celui-ci.
Source: Maisons à l'abandon : la Ville de Québec a le pouvoir d'agir, affirme un avocat | Radio-Canada.ca
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Je crois que c’est ce que fait l’arrondissement du Sud-Ouest quand les travaux exigés tardent à se faire et envoie la facture des travaux au propriétaire.
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Alors dans ce cas il serait temps de muscler la loi afin de donner plus de pouvoir à la ville pour qu’elle puisse intervenir plus rapidement surtout si une situation semble s’éterniser et que le proprio n’est pas très coopératif. Et encore davantage si la nuisance de l’immeuble en question se fait ressentir chez les voisins et/ou sur la voie publique, eu égard à la sécurité ou non.
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Ce n’est pas toujours clair dans les lois et règlements qui peuvent varier selon les interprétations. Ici j’ai davantage l’impression que la Ville en négociant veut s’assurer d’être pleinement dans son droit, afin d’éviter de judiciariser le problème et ainsi se retrouver avec encore plus de délais.
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Bonne nouvelle pour la vitalité de la rue Ste-Catherine, en plus ce local est plus beau que leur affreuse tour qui défigure l’avenue McGill College depuis des décennies.
Je n’avais jamais remarqué l’immense skylight dans ce local!
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La boutique Aldo en face du Ogilvy (1320 St Catherine) affiche sa fermeture sur la vitrine.
J’espère que le local sera vite repris et si possible par un commerce de qualité. Le centre ville fait un peu triste dans son offre commerciale qui a peu repris depuis la pandémie.
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I mean, there’s 4 Aldo stores in a less than 1km radius. I also hope it is replaced by a quality retailer but we can’t be surprise they wanna maybe consolidate their sales.
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