Royalmount - XX étages

On parle de la CAQ ici…

2 « J'aime »

La CAQ a cet intéressant réflexe urbain parfois (pensons juste au ministre Fitzgibbon et ses commentaires sur la réduction du parc automobile). Qui sait…

5 « J'aime »

Ce qui explique l’apparence désolante des façades extérieures dessinées sans aucune imagination. Pour une centre commercial de luxe c’est bien pauvre en design et n’inspire rien de bon pour la suite des choses. Comme ce projet n’a rencontré que des obstacles majeurs depuis le début du chantier, je suis vraiment étonné qu’il n’ait pas encore fait faillite. Quoi qu’il en soit, je ne peux m’empêcher de le comparer à la fable de la grenouille et le boeuf.

8 « J'aime »

Juste à regarder ce que ça a l’air actuellement par rapport aux rendus… :nauseated_face:

9 « J'aime »

Est ce que l’endroit est favorable a vendre des logement de luxe ?
l’endroit est enclavé par decarie/ 40/ et la zone industrielle.
L’accès a pied aux service/parc dans les quartiers voisins est très difficile, et on utilise la voiture on est pris dans le trafic.

1 « J'aime »

Les trois premières années. Mais ça viendra, surtout dans le contexte actuel.

7 « J'aime »

lol what happened to all the optimism expressed in the majority of the preceding 438 posts? :joy::stuck_out_tongue_closed_eyes:

3 « J'aime »

With the residential towers gone, their profits are likely down, and the sustainability of the project along with it. I think that’s where the optimism went.

1 « J'aime »

Sorry, some of us have been calling a spade a spade since it was announced.

7 « J'aime »

À un moment donné tout ce qui se dit ici est très répétitif. Ceux qui annonçaient depuis le début que ça allait foirer espèrent toujours que ce soit le cas et ceux qui annonçaient le contraire espèrent que ça marche. Litterally nothing new. Personally I don’t engage in the conversation anymore. Doesn’t mean the optimism is gone.

8 « J'aime »

I disagree; je n’espère jamais qu’un projet échoue, mais celui-ci comportait tellement de défauts dès le départ et tellement d’objections de la part des résidents et du conseil municipal de Mont-Royal qu’il n’aurait jamais dû aller de l’avant.

7 « J'aime »

Enfin, le Royalmount est en construction et on va vivre avec, faisant le bonheur ou le malheur de chacun. On verra bien assez tôt si ça fonctionne ou non.

Ce que je trouve plus particulier en bout de ligne, c’est surtout le manque de contrôle sur le projet. On a 6 versions différentes du même projet approuvé dans l’entête, et encore aucune garantie que le résultat final correspond à ces rendus. Comment est-ce qu’on peut retirer 25% des trottoirs? Ou passer de ce qui était une place publique adossée à des murs rideaux fantaisistes à une boîte en tôle?

Est-ce que le permis de Carbonleo est ceci?
ron-swanson-shows-off-his-permit-to-the-police-officer

(minus le résidentiel, visiblement)

Le projet a beaucoup changé avec le temps, même le promoteur avait des visées différentes de la nouvelle administration de la ville. Son offre et son échelle ont été revues, même au niveau commercial. C’est un peu un fouillis de planification qui est allé dans tous les sens. Mais il n’y a jamais eu un exercice de simplement s’arrêter et repenser un projet qui a simplement beaucoup changé.

Est-ce que le projet se fait vraiment en prévision de tours qui ne vont peut-être pas exister, ou Carbonleo va utiliser le terrain différemment plutôt que d’attendre quelque chose qui ne va peut-être jamais arriver? Est-ce que la composante de bureau est aussi grande que prévue avant la pandémie? Certaines parts du quartier sont retournées pour un usage industriel, comment ça influence le tout? Qui dirige le développement de cet immense territoire?

Le promoteur n’est même plus à blâmer ici, il souffre aussi d’un manque de prévisibilité et de planification.

12 « J'aime »

The optimism is still here… Very much looking forward to having a modern Class A mall (aside from Fairview and Carrefour Laval) in the city like most other major cities… Place Vertu and Rockland can be redeveloped into housing as needed if they don’t make it; no big loss if either goes belly up.

2 « J'aime »

I mean… at this point, c’est fait c’est fait, il reste juste à espérer que ça s’améliore avec le temps…

3 « J'aime »

C’est malheureusement généralisé. Un bon exemple résidentiel est le Haleco, entre ce qui a été vendu et ce qui est en train d’être construit. Est-ce que les autres villes des autres provinces vivent ce phénomène?

Pour ce qui est de l’existence du projet, je suis en faveur. C’est une bonne chose si elle tue la Place Vertu. Êtes-vous allé à cet endroit récemment? C’est pratiquement aussi pire que le centre d’achat Côte-des-Neiges. Si on fait un parallèle avec le Dix-30: si ce centre d’achat imparfait n’avait pas été là, on aurait potentiellement eu un labyrinthe local d’unifamiliales. Un centre d’achat est plus facilement reconfigurable plus tard. Je préfère un centre d’achat imparfait qu’un désert économique.

Si ça finit par faire faillite tant pis pour Carbonleo, mais au moins ils auront essayé. L’opportunité d’avoir des opportunités est une caractéristique importante dans un système capitaliste.
De plus, le coin se densifie (sauf Blue Bonnets, mais il y a tout un fil pour ce drame) alors c’est bien d’avoir de l’offre dans le coin.

1 « J'aime »

Dans le sens de ce qui a été vendu contre ce qui est livré c’est bien vrai!

Mais je crois qu’il y a une différence à un autre niveau.

Haleco n’a pas livré ce qui avait été montré lors des concours d’architecture à l’élaboration du projet. Mais le projet déposé à la ville, qui est passé devant le CCU et a eu ses dérogations, c’est le projet qui se construit. Les promoteurs de Haleco n’ont pas construit un édifice différent après les permis.

À Montréal, généralement on voit un problème avec les détails architecturaux ou la réalisation. Ou encore, nous n’avons pas accès à tous les plans déposés à la ville, alors on ne peut que comparer avec les rendus des promoteurs, qui ne sont pas des promesses, ou représentatifs de ce qui est approuvé. C’est effectivement un problème de transparence à mon avis, je me demande si on ne pourrait pas avoir un système où le public à accès aux plans des permis. Cependant les permis sont quand même précis sur bien des détails.

Le Royalmount a été autorisé il y a plusieurs versions. Les modalités ont changé de manière importante. Le promoteur a transformé son projet pour des usages qui n’ont jamais été acceptés. Le projet a changé de superficie commerciale pendant sa pause de construction. On dépasse largement les écarts qu’on voit généralement dans la plupart des projets, et cela pour un quartier entier, pas juste un édifice.

Le centre commercial en construction est techniquement une première phase d’un projet bien plus large. Il n’y a plus un plan pour construire des milliers de logements dans les phases subséquentes, mais donc c’est quoi les intentions pour le quartier?

Peut-être que ça va simplement s’arrêter à un centre commercial dans un quartier industriel, mais on ne savait pas exactement quel centre commercial quand on délivré les autorisations et exproprié tout le monde. C’est quand même particulier.

Ce qui est surprenant c’est le promoteur est quand même celui qui a livré le Four Seasons qui semble assez fiable aux rendus.

Est-ce que ce laxisme est possible dû au fait que c’est sur le territoire de VMR?

1 « J'aime »

Je ne sais pas, mais j’aimerais bien lire ce permis, les conditions associées et les plans qui ont été déposés.

Je me demande si c’est possible par demande d’accès à l’information. Ça serait intéressant pour analyser le projet et mieux comprendre son évolution.

1 « J'aime »

Ca existe à Vancouver où le public à accès à une foule de documents en ligne; sans devoir passer par des demandes d’information:
https://www.shapeyourcity.ca/development

Par exemple ce projet:

image

Même pour le simple ajout d’un garage à une maison les documents sont librement accessibles en ligne, par tous.

2 « J'aime »

Je vais me faire l’avocat du diable. D’accord en ce qui concerne la transparence, mais sinon, je peux également voir l’envers de cet argument. Les promoteurs pourraient très facilement faire valoir, et avec raison, qu’imposer des limites stricte sur les modifications qui peuvent être faites après l’approbation les empècherait de répondre aux conditions changeante du marché. Je pense qu’il faut trouver un juste milieu entre s’assurer qu’on ne se retrouve pas avec des bâtiments d’une facture architecturale différente de ce qui a été présenté et le besoin du promoteur de modifier les plans en cour de route pour assurer la viabilité d’un projet.