Bonne idée.
Est-ce qu’on pourrait par exemple imaginer que les éléments qui doivent durer le plus longtemps (50 ans), comme le revêtement de sol, soit sobre, intemporel et durable, mais que les éléments de mobilier, qui ont une durée de vie plus courte (15-25 ans) pourraient exprimer la personnalité de la rue?
En parallèle, est-ce qu’on pourrait imaginer une structure pérenne pour accueillir des installations, que ce soit les boules ou autres? Un peu comme à la Place des fleurs de Macadam. Comme ça, ce qui est fixe est durable, mais permet de facilement renouveler la personnalité de la rue au fil du temps.
Comme le dit @Philippetm, l’identité de la communauté locale n’est pas une mode, mais il reste qu’elle évolue. Et son évolution va s’accélérer avec cette transformation de rue et le développement de Radio-Canada et Molson.