?? Je pense que le client qui a fait 245km pour aller à un serrurier n’aura pas de mal à marcher 90 secondes entre son stationnement et le commerce. Ce n’est pas le manque de places de stationnement directement en face qui va faire repenser le client de Mont Laurier de venir.
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Je me disais aussi qu’il doit manquer de serruriers rare au Québec pour qu’autant de ses clients viennent de Saint-Jérome et Mont-Laurier.
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18 kilomètres d’un boulevard à 6 voies refaits d’ici 2027? C’est impressionnant si ça arrive, parce que Ste-Catherine refait 2 coins de rue en 2 ans.
Bien sûr, vous me direz que la nature des travaux n’est pas la même, que l’environnement bâti est différent et vous aurez raison… but come on…
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Il y a p-ê pas de travaux d’infra souterraines. C’est ça qui prend du temps. l’aménagement de surface représente souvent que 20% des travaux.
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C’est exactement ça. On refait tout ce qu’il y a en-dessous sur Sainte-Catherine.
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Ça doit être exceptionnel comme commerce de destination. Ça met Montréal sur la map.
Le tracé a changé ou est-ce une erreur de La Presse? Le SRB rejoindrait Lacordaire via Léger plutôt qu’en restant sur Henri-Bourass 
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Ça a dû brassé au conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville
Vers 23h, ils étaient encore a la période de questions citoyennes!
Sur la carte publiée sur Réalisons MTL, ça semble aussi passer sur Léger
Henri-Bourassa et Léger se séparent devant l’école Calixa-Lavallée à Montréal-Nord
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Sur le site de Réalisons Montréal, une séance d’information virtuelle est prévue le 7 décembre. On voit aussi sur la carte que le REV/SRB continuera sur HB après la jonction HB/Léger.
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Donc l’option de continuer au nord sur le boulevard Léger n’est plus retenue?
VS
Je me demande si, en continuité avec le reste du parcours de la 439, le segment HB entre Pie-IX et Lacordaire sera en médiane.
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Il faut faire attention, ces réponses sont seulement pour le 1,5 km en cours de construction entre la 13 et Félix-Leclerc. Lors de la dernière session d’information à Ahuntsic, les représentants ont indiqué que la configuration pourrait varier pour chaque segment. On sait notamment qu’à VSL on a 3 voies plutôt que 4 comme à Ahuntsic, parfois sans terre-plein, comme sur cette photo. Ça pourrait être plus difficile de faire entrer 2 voies de voitures, une voie de bus et un REV. J’espère avoir plus de détails à la session d’information du 7 décembre où j’ai posé la question de la voie réservée. Vous pouvez vous y inscrire et poser d’avance vos questions ici.
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Ça ne sera pas fait au complet d’ici 2027. Le maire de VSL me l’a confirmé en personne. Au mieux, pour ce qui est de VSL, on aura jusqu’à Marcel-Laurin. Justement, il y a des travaux d’infra souterraines, du moins pour le 1,5 km en cours…
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Je pense aussi qu’on aurait dû y aller avec un moyen de transport structurant du genre REM ou tramway (rapide). Et oui les viaducs devraient être sécurisés en premier, ça n’a pas de sens de laisser encore s’écouler des années avant de régler ce problème majeur. Pour ce qui est de la conversion auto vers vélo, je pense que les gens qui feront une bonne partie de l’axe en vélo risquent d’être une minorité, mais le REV va être utilisé par segments, surtout autour des écoles. Les gens de Saint-Laurent pourront aller à Ahunstic en sécurité, et les gens d’Ahuntsic pourront aller à VSL pour embarquer dans le REM avec leurs vélos.
On aurait pu choisir Prieur comme axe à Ahuntsic, mais c’est encore des détours, et cette rue est entrecoupée d’un parc. Il faut des liens simples et directs. Le REV permettra aussi de pacifier le boulevard HB qui est très dangereux à l’heure actuelle (on a qu’à aller voir l’intersection de Papineau et HB près du collège MSL). Il faut que les cyclistes aient accès aux axes principaux qui connectent les quartiers ensembles et où les commerces et institutions sont situées. C’est un changement de paradigme.
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J’espère voir une diminution du vélo de transit et sportif dans certains parcs et promenades riveraines comme le Parc Ahuntsic (bon peut-être moins Gouin, qui attirera toujours les sportifs) . Les pistes Prieur et Gouin servent maintenant de liens inter-arrondissements, mais au fur à mesure que leurs utilisateurs augmentent elles deviennent moins compatibles avec la fonction parc.
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Le journal des voisins a consacré un dossier complet au réaménagement du boulevard Henri-Bourassa dans son magazine papier:
Version web d’un des articles:
Dossier Henri-Bourassa – Le boulevard Henri-Bourassa sera transfiguré
Publié le 03 novembre 2023
Stéphane Desjardins
Rédacteur en chef
Des affiches ont été posées sur le boulevard Henri-Bourassa pour proposer aux citoyens de répondre à un sondage sur le réaménagement du boulevard Henri-Bourassa.
(Photo: courtoisie Pierre Lachapelle)
Encore des cônes orange! Et, cette fois, ce sera pendant des années, sur la plus importante voie de circulation de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, qu’empruntent 50 000 voyageurs par jour.
Le chantier de transformation du boulevard Henri-Bourassa a déjà commencé. Outre les ingénieurs et urbanistes, qui peaufinent actuellement les plans, de toutes petites interventions ont eu lieu dans l’arrondissement voisin de Saint-Laurent. Le gros des travaux commencera dans quelques mois.
Qu’est-ce qu’on nous promet? De passer d’un environnement issu d’une philosophie datant des années 1950 à un boulevard à la fine pointe de l’urbanisme actuel, disent les experts.
Par contre, les personnes qui habitent à deux pas de l’axe emblématique, qui s’étend de Dorval à Pointe-aux-Trembles, ou qui y possèdent un commerce craignent le pire.
Déjà que le chantier sera long et compliqué… Il est prévu d’éliminer les places de stationnement, mais, surtout, les automobilistes redoutent de pâtir des bouchons engendrés par la perte de voies de circulation, sacrifiées à celles réservées pour les bus et les vélos.
On fait quoi?
D’un côté, on constate avec effarement la hausse des morts et des blessés sur les voies montréalaises. De l’autre, on refuse de céder un pouce de l’espace dévolu à l’automobile.
L’autre grande contradiction se situe dans l’offre de transport en commun, et elle se manifeste à la grandeur de la région métropolitaine. Québec attend des décennies avant d’autoriser les projets de métro, de trains de banlieue et de voies de bus, alors qu’il dépense sans compter pour la réfection et l’ajout de routes et d’autoroutes. Et les autorités coupent dans la fréquence des bus et des métros pour boucler le budget des sociétés de transport en commun.
Ça ne marche pas: il faut que les modes de transport en commun soient suffisamment attrayants, confortables, fiables et sécuritaires pour s’imposer comme un remplacement de l’automobile individuelle.
Ce qui complique les choses, c’est que le stationnement sur rue ou au centre commercial est souvent gratuit. Pourtant, ce sont les contribuables et les consommateurs qui en assument les coûts. Donc, vous et moi subventionnons un usage privé souvent considéré comme un droit acquis.
Et cette impression de gratuité s’étend à l’automobile elle-même. Un voyage de quelques kilomètres chez Costco coûtera toujours plus cher qu’avec Communauto ou en taxi, même si l’automobiliste croit le contraire. Car il oublie les frais cachés (essence, assurance, entretien, financement, dépréciation), même quand le véhicule est payé.
Faire du vélo l’hiver
D’autre part, nous sommes un peuple nordique qui nie sa nordicité. Dans une ville comme Oulu, en Finlande, où il tombe autant de neige et où il fait plus froid qu’à Montréal, l’écrasante majorité des enfants vont à l’école à vélo, de septembre à juin. Les grand-mamans font aussi leurs courses à vélo. La majorité de la population pédale pour aller au boulot, étudier, se divertir. Qu’elle ait 7 ou 87 ans. Le phénomène fait sourire, comme en fait foi cette vidéo.
Des cyclistes participent à la sortie vélo le 14 janvier 2023, dans le cadre de la subvention vélo d’hiver. (Photo: courtoisie Ahuncycle)
Il est impératif d’éduquer les gens à aimer pédaler l’hiver, comme le fait l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, appuyé par Solon, un organisme sans but lucratif appuyant les projets de transition socio-écologique.
Pourquoi le vélo d’hiver n’est-il pas encore entré massivement dans nos mœurs? En fait, pourquoi les transports collectifs et actifs sont-ils boudés par une majorité de gens? Parce que nous sommes prisonniers de choix urbanistiques faits il y a 70 ans. Pourtant, l’urgence climatique commande de se remettre en question. Ce que les humains font difficilement.
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Bienvenue au Québec…
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Donc on se retrouve avec un chantier à moitié entamé pour une durée indéterminée, sur un troncon qui était en état pitoyable depuis des années.
Quelqu’un a une idee des “raisons juridiques”?
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Probablement que la ville se fait poursuivre pour X ou Y raison lié aux travaux du coup ils doivent mettre sur pause le temps de résoudre ça
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Dans le Journal des Voisins
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