Je vais essayer de réfléchir : ce matin, ils posaient les bollards noirs décoratifs. Une fois la pose terminée, j’imagine qu’ils vont planter.
J’imagine s’ils avaient planté AVANT la pose des bollards, on aurait eu droit à une question du genre “c’est quoi le pari de planter avant la pose des bollards, les travailleurs vont piétiner les plantes”.
La première photo démontre une situation qui me parait plutôt incongrue. 5 bollards, 3 bleus, 2 noirs, 3 en plastique, 2 en métal, sur une section d’à peine quelques mètres. Y’a-t-il une utilité à la combinaison d’autant de bollards rapprochés? Avec l’expertise acquise avec le déploiement des pistes actuelles, n’y a-t-il pas un pari qui s’est dégagé sur la façon de gérer les bollards?
J’ai croisé ça tantôt : Quelqu’un en voiture qui emprunte la piste pour rouler à contresens sur Saint-Antoine.
L’amende pour la circulation en voiture sur une voie cyclable est de 100 $, mais je me demande si ce cas-ci pourrait aussi constituer une infraction du code criminel.
J’ai aussi croisé une équipe de la division parcs et horticulture qui faisait les travaux de plantation dans les fosses du REV sur Saint-Jacques. Deux arrondissements donc probablement deux équipes différentes, mais ça veut peut-être dire que ça s’en vient pour Ville-Marie. Je n’ai pas eu la chance de remarquer les espèces choisies, mais j’imagine que la date limite pour ce genre de travaux s’approche.
Aujourd’hui j’ai vu un automobiliste déplacer un panneau (qui dit « rue fermée ») pour rouler dans la piste cyclable pour pouvoir passer devant un camion de chantier qui bloquait la route. On ne compte plus les choses que les gens sont prêts à faire pour gagner quelques secondes.
Pas le temps de prendre des photos ces temps-ci, mais dans quelques jours le REV sur Viger en face du CHUM sera complété. Reste visiblement l’asphalte suivi de la signalétique/marquage.