REV AXE 2 - Viger / Saint-Antoine / Saint-Jacques

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L’attitude d’une institution publique comme le CHUM dans le dossier du REV est complètement inacceptable.
Il est particulier de voir un hôpital se positionner à l’encontre d’un projet cyclable qui viendra, à terme, sécuriser le secteur. Cette attitude est d’autant plus surprenante quand on sait que la Direction de santé publique de Montréal nous demande d’accélérer le développement de nos infrastructures cyclables pour la santé et la sécurité des Montréalaises et des Montréalais.
Ce projet vise justement à sécuriser une piste cyclable aménagée depuis près de 15 ans à cet endroit, avant même la construction du centre hospitalier. Comme en témoignent les images, on voit que les cyclistes sont forcés de circuler dans le trafic de la rue Viger pour contourner les ambulances qui sont stationnées sur la piste cyclable.
Toujours dans un esprit de collaboration, on a rencontré l’ensemble des partenaires riverains du projet pour leur offrir de la prévisibilité et leur permettre de partager leurs besoins. Tous, sauf le CHUM, ont accepté de collaborer avec nous. Il est aussi évident que les ambulances auront toujours leur accès prioritaire. On a suggéré plusieurs options pour que les ambulanciers, qui utilisent présentement la piste pour remplir des formulaires, puissent faire leur travail en toute quiétude à l’extérieur des voies de circulation.
La Ville veut collaborer avec le CHUM afin de trouver des solutions qui répondront à ses besoins, en vue de l’aménagement prévu d’ici 2025.
On demeure à l’écoute de nos partenaires dans la création du centre-ville le plus vert et accessible en Amérique du Nord, axé sur la mobilité durable.

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Je ne crois pas qu’il faille tomber dans l’Insulte ici, Je peux comprendre la réaction de la DG. Elle a une responsabilité énorme quant à la sécurité des accès de l’hôpital. Et el fait d’entendre qu’une ‘‘autoroute de vélo’’ va passer devant l’entrée/sortie de ses ambulances alors je trouve normal, et sain, qu’elle réagisse. Cela étant dit, si on regarde bien la situation à froid, elle n’a pas d’argument assez solide pour s’opposer au REV. Comme plusieurs le mentionnent, il y a déjà une piste cyclable, un trottoir et 3 voies de circulation de voiture. La seule différence est que la piste cyclable sera désormais protégée.

J’ai donc très confiance en la Mairesse pour convaincre la DG et le CHUM du bien fondé d’une piste cyclable protégé à cet endroit précis. Je trouve la Mairesse très efficace dans ce genre de situation, elle a une capacité tranquille et calme de persuasion et avec un peu plus d’explication et une approche constructive, elle va régler ce problème. Aucun doute.

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Réseau express vélo du centre-ville Le CHUM s’oppose à la piste cyclable sur Viger

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

« Depuis plusieurs années, on a transmis et communiqué avec la Ville de Montréal pour lui dire que nous étions inquiets et en désaccord avec la piste cyclable sur Viger, qui passe devant l’entrée des ambulances du CHUM », soutient Danielle Fleury, PDG adjointe du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).

Risques d’accident et de congestion routière : dans une mise en demeure envoyée à la Ville de Montréal, le CHUM s’oppose à l’établissement du nouveau Réseau express vélo (REV) dans l’entourage immédiat de l’hôpital. Une sortie publique qui déçoit les instances de la Ville.

Publié à 15h51 Mis à jour à 17h08

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Lila Dussault

Lila Dussault La Presse

« Le problème, c’est que nos patients ne viennent pas à vélo », résume en entrevue Danielle Fleury, PDG adjointe du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Elle a fait parvenir le 29 juin dernier une mise en demeure à la mairesse de Montréal Valérie Plante pour s’opposer au projet du Réseau express vélo (REV). Celui-ci vise à rendre la piste cyclable de l’avenue Viger Est, qui existait déjà avant l’arrivée du CHUM, plus sécuritaire.

Un nouveau tronçon du REV verra le jour pour relier le centre-ville de Montréal d’est en ouest. Dans l’arrondissement de Ville-Marie, où se situe le CHUM, les pistes cyclables unidirectionnelles vont longer l’avenue Viger Est et la rue Saint-Antoine Est, de part et d’autre de l’autoroute Ville-Marie, sur une distance de 1,5 km. Les travaux doivent commencer en juillet.

Pour ce faire, une voie de circulation automobile sera retirée sur l’avenue Viger tandis que la piste cyclable qui longe déjà le CHUM depuis 12 ans sera élargie et sécurisée. « On vient mieux partager l’espace public », estime Robert Beaudry, responsable de l’urbanisme au comité exécutif de la Ville de Montréal.

La Direction régionale de santé publique (DRSP) est en faveur du REV, mais maintient que des solutions doivent être trouvées pour ne pas nuire aux activités de l’hôpital. « L’arrivée du REV va permettre de diminuer le débit de circulation véhiculaire et permettre d’améliorer la sécurité de l’ensemble des usagers dans ce secteur », soutient Jean Nicolas Aubé, relationniste pour la DRSP.

L’opposition officielle à Montréal affirme que l’administration plante fait preuve d’une « attitude cavalière » envers le CHUM. « Nous l’invitons à une plus grande ouverture, à rediscuter avec eux et à se mettre en mode solution afin qu’un projet cyclable sécurisé voie le jour dans le secteur sans compromettre l’accès prioritaire aux services d’urgence », indique Aref Salem, chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville.

Le CHUM contre cette piste cyclable

« Depuis plusieurs années, on a transmis et communiqué avec la Ville de Montréal pour lui dire que nous étions inquiets et en désaccord avec la piste cyclable sur Viger, qui passe devant l’entrée des ambulances du CHUM », soutient Danielle Fleury.

À cette intersection, des ambulances garées empiètent régulièrement sur la voie cyclable, le temps que les ambulanciers terminent leurs dossiers et informent leur centrale qu’ils sont à nouveau disponibles, affirme Mme Fleury. Une cinquantaine d’ambulances vont au CHUM chaque jour.

La Ville de Montréal a rencontré le CHUM à de nombreuses reprises, selon M. Beaudry, pour proposer des aménagements à cet endroit, comme des entrées charnières, de la signalisation, une matérialité différente au sol, un signal sonore quand les portes du garage des ambulances ouvrent, et des espaces réservés aux ambulances dans la rue Sanguinet, à côté. « On ne fait jamais de compromis sur la sécurité, assure-t-il, mais on sent énormément de fermeture de la part [du CHUM] sur ce sujet-là. »

Pour Jean-François Rheault, PDG de Vélo Québec, l’argument du CHUM ne tient pas la route, car l’arrivée de REV va améliorer la sécurité pour tous les usagers du secteur.

Des problèmes de circulation ?

La réduction des voies de circulation sur l’avenue Viger interpelle aussi Mme Fleury. Dans la mise en demeure envoyée à la Ville de Montréal, elle explique que plus de 5500 personnes se déplacent au CHUM tous les jours pour travailler ou faire du bénévolat. Le CHUM accueille aussi quotidiennement aux consultations externes plus de 4500 patients, souvent accompagnés, et jusqu’à 220 patients aux urgences.

Si certains patients viennent en transport en commun, plusieurs se déplacent en transport adapté, en voiture ou en taxi, souligne Mme Fleury. « C’est vrai que le transport actif est là pour diminuer le nombre de véhicules, reconnaît-elle, mais on veut protéger l’accès au CHUM pour les patients. »

Après plusieurs tentatives de communication avec les instances de la Ville de Montréal, qualifiées de « dialogue de sourds » par Mme Fleury, le CHUM a décidé d’envoyer une mise en demeure pour se faire entendre.

Le CHUM dément toutefois l’idée d’être contre le transport actif. « On ne veut pas en faire un débat vélo contre automobilistes, soutient Danielle Fleury. Ce qu’on remet en question, c’est l’endroit qui a été choisi [pour le REV]. »

Et à quel endroit serait-ce plus approprié ? Selon la mise en demeure, la réponse est : « pas dans l’entourage immédiat du CHUM ».

À mon sens, c’est une réaction déplorable d’une institution publique qui a la promotion de la santé des Québécois.es pour principal mandat.

Comme le rappel l’article, la piste Viger, précède le CHUM qui a, par ailleurs, scindé la rue de la Gauchetiere en deux, forçant les cyclistes qui l’empruntaient pour éviter Viger et René-Lévesque à retourner sur Viger pour leurs déplacements Est-Ouest. La piste René-Lévesque se termine à l’est de Berri. Si on perd Viger, le seul axe cyclable continu qu’il reste dans tout le centre-ville pour se rendre vers l’ouest sera Ontario, ce qui représente un énorme détour pour la plupart des navetteurs ayant le Vieux-Montréal ou le sud du centre-ville pour destination.

Outre le traitement cavalier du CHUM par rapport à la piste cyclable, je trouve particulièrement, honteux qu’ils opposent une fin de non recevoir à toute autre initiative d’apaisement de la circulation en plein centre-ville à cause de leur biais en faveur des déplacements automobiles.

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@paulwillyjean très bons arguments, qui éclairent le sujet et départagent les responsabilités. Ce qui m’amène à dire que les deux protagonistes publics sont condamnés à s’entendre et s’assoir ensembles pour trouver une solution de compromis qui sera satisfaisante et durable.

Ceci montre une chose, c’est qu’on utilise encore l’argument de “l’autoroute à vélo” quand il s’agit du REV. Même s’il n’y avait pas d’aménagements cyclables devant l’entrée des ambulances, il y a fort à parier que des cyclistes passeraient quand même.

Le REV a deux interprétations. On peut le voir comme une manière de sécuriser des voies cyclables, et on peut le voir comme une façon de canaliser la circulation cycliste sur des axes spécifiques dans un secteur donné. Le CHUM voit clairement l’implantation du REV comme cette deuxième option, de façon erronée. S’il n’y avait pas déjà une voie cyclable là je pourrais comprendre un peu leur point, mais comme ici le REV ne sert qu’à rendre l’axe plus sécuritaire, leur argument sonne très faux.

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J’ai masqué les commentaires au sujet du physique de Mme. Fleury et les réponses qui y sont associées. Essayons de ne pas tomber dans ce genre de shaming, c’est une discussion sur un axe cyclable et un hôpital, pas sur le look de leur porte-paroles.

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Dans cette entrevue radio, Mme Fleury qui demande de mettre la piste du côté Sud de Viger devant le CHUM (ben oui, ce n’est certainement pas dangeureux de faire zigzagguer les cyclistes entre deux côtés de rues … :roll_eyes: En plus, le côté Sud, c’est plein d’entrées/sorties d’autoroute)

Entrevue avec Danielle Fleury : Le CHUM s’oppose au REV sur la rue Viger https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/tout-un-matin/episodes/642531/rattrapage-du-mercredi-20-juillet-2022/13

Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) a envoyé une mise en demeure à la Ville de Montréal pour lui demander de relocaliser son projet de Réseau express vélo (REV) de l’avenue Viger. Au micro de Tout un matin, la présidente-directrice générale adjointe du CHUM, Danielle Fleury, fait valoir que l’aménagement d’un REV du côté nord de la rue nuirait à l’entrée et à la sortie des ambulances, et donc à la sécurité des cyclistes, puisque le garage de l’hôpital est situé de ce côté.

Danielle Fleury tient à dire qu’il n’est pas question de déclencher une « guerre » entre les vélos et les ambulances. Elle affirme que le CHUM encourage les déplacements à vélo, en précisant que le centre hospitalier dispose de 700 espaces de stationnement pour les bicyclettes de son personnel.

La PDG ajoute que le CHUM demande depuis des années à la Ville de déplacer la piste cyclable de la rue Viger dans le secteur de l’hôpital. Danielle Fleury déplore le peu de propositions de la part de l’administration de Valérie Plante pour arriver à une solution.

Et pour l’argument que les ambulanciers n’ont pas d’autre choix que de se stationner sur Viger pour terminer leur paperasse, ils pourraient très bien le faire sur Sanguinet, où il y a plein de places réservées aux taxi du côté Ouest. Il s’agit juste d’enlever 2 ou 3 places pour les réserves aux ambulances en attente. Et ça ne bloquerait pas l’entrée principale de l’urgence.

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C’est l’art de donner des fausses solutions, en ayant l’objectif de faire dérailler. Ce n’est pas une discussion de bonne foi. Anyway, sa position réelle, elle l’a avouée hier, et c’était une fermeture complète.

Les ambulances n’ont tout simplement pas à se stationner là. Et si ils veulent vraiment cet espace, et bien qu’on ferme une voie de circulation à Viger. C’est même probablement la meilleure chose à faire pour apaiser le secteur!

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À entendre les commentaires de Mme Fleury, on croirait entendre les commerçants sur Saint-Denis opposés au REV. Il y a plusieurs études qui ont démontré que les commerçants surestiment la proportion de leur clientèle qui vient les voir en voiture… Ça doit être la même chose pour les patients du CHUM…

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Et les employé.es. C’est surtout ce côté là qui serait intéressant de voir!

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People also don’t go by bike now because of how dangerous it is on an unprotected bike lane. Imagine turning this the other way around: “No one is coming here by car, we don’t need a road!” Makes zero sense.

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Aussi, l’entrée pour le stationnement vélo du CHUM est juste là sur Viger

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Si les arguments du CHUM ne sont pas plus sérieux, que la Ville aille de l’avant avec son projet et qu’elle laisse le CHUM se faire débouter en cour.

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Vu sur Twitter

La sécurité routière selon le @chumontreal . #polmtl

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Dangereux pour les cyclistes; pas cycliste dangereux pour les autres usagers…

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20 juillet

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Faudrait penser à une présence policière accrue. Faudrait pas non plus que les ambulances se fassent attaquer par une horde de cyclistes issus de l’autoroute à vélo !

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Dans La Presse +, texte de @jacouzi sur la saga du CHUM

LE MALADE IMAGINAIRE

JACQUES NACOUZI
CITOYEN DE MONTRÉAL

La sortie théâtrale de Mme Danielle Fleury, PDG adjointe du CHUM, ainsi que la mise en demeure à l’endroit de la Ville de Montréal concernant le Réseau Express Vélo (REV) dans l’avenue Viger nous ont laissés tous stupéfaits.

Comment la direction d’un centre hospitalier, qui promeut la santé et la prévention, qui encourage ses employés à utiliser le transport actif pour venir au travail, qui fait également des campagnes de souscription lors d’activités à vélo (qui passent d’ailleurs dans l’avenue Viger), peut-elle s’opposer à la sécurisation de la piste cyclable sur cette rue ?

Regardons les faits : dans l’état actuel des choses, il y a une bande cyclable large de 6 pi occupée par des ambulances, ce qui force les usagers du vélo à se rabattre sur la première des trois voies réservées aux autos et camions. Ils sont ainsi coincés entre les ambulances et les automobiles circulant souvent bien au-delà de la limite de vitesse dans ce secteur. Il va de soi que la configuration actuelle est accidentogène.

Comparons maintenant avec la proposition de la Ville de Montréal : une voie cyclable physiquement séparée des voies automobiles et de camionnage, des entrées charnières, une signalisation sonore et visuelle lors des sorties des ambulances, un fini différent sur le sol pour ralentir les usagers du vélo ainsi que des espaces réservés aux ambulances dans la rue Sanguinet. Bref, ce genre d’aménagement, qui fonctionne à merveille, est partiellement implanté (alerte visuelle uniquement) autour de la caserne de pompiers coin Rachel et Christophe-Colomb, où une piste bidirectionnelle comptabilisant de 6000 à 7000 passages quotidiens côtoie également une piste nord-sud.

Comment se fait-il que la direction du CHUM ne se soit jamais souciée des piétons qui passent sur le trottoir de l’avenue Viger ? Ou encore des voitures qui roulent à vive allure et qui empêchent la sortie rapide des ambulances, voire le passage non sécuritaire depuis cinq ans des usagers du vélo ?

La crainte de l’augmentation du transit vélo n’est-elle pas là un aveu de la nécessité de cet aménagement ?

Comme le malade imaginaire, la direction du CHUM nous monte de toutes pièces une série de maux dont le REV sera responsable : augmentation du trafic automobile et réduction de l’accès à l’hôpital en véhicule motorisé, augmentation du temps de sortie des ambulances, réduction des voies automobiles.

Il faut bien le rappeler, les automobiles et taxis qui se rendent à l’hôpital y accèdent principalement par la rue Sanguinet et la rue Saint-Denis (deux rues nord-sud), mais jamais par l’avenue Viger. De plus, à moins de devoir transférer un patient à un autre hôpital, la sortie des urgences se fait normalement en douceur, vu que les ambulanciers doivent libérer l’espace pour remplir tranquillement la paperasse à l’extérieur. Finalement, aucune voie automobile n’est retranchée.

Et tel le malade imaginaire, hypocondriaque craignant en permanence la maladie et la mort, le comportement de la direction du CHUM vis-à-vis du REV Viger n’est que le fruit de sa pure imagination, alimentée par un biais cognitif tant répandu vis-à-vis des usagers du vélo.

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