La chaussée de Viger est dans état lamentable entre le CHUM et le quartier chinois. En plus, la circulation automobile est trop intense. Le REV va faire du bien!
Il faudrait une reconstruction de ce tronçon, car il a été repavé il y a quelques années.
Plusieurs séances d’information à propos de l’axe 2 du REV auront lieu prochainement:
- Dans Ville-Marie: Mardi, 31 mai 2022, de 19 h 00 à 20 h 30
- Dans Le Sud-Ouest: Jeudi, 2 juin 2022, de 19 h 00 à 20 h 30
Dans un même ordre d’idée, il y aura une séance d’information sur le réaménagement de la rue Saint-Antoine Ouest, entre l’avenue Atwater et la rue Bourget, en raison de la reconstruction de la conduite principale d’eau potable sous la rue. Elle aura lieu le jeudi, 9 juin 2022, de 19 h 00 à 20 h 30.
Ce tronçon devrait être en aménagement permanent, puisque les infrastructures souterraines seront refaites!
J’y ai passé à vélo il y a quelques jours et c’est épeurant. Tellement dangereux. Vivement le REV!
La Ville a mis une nouvelle image à l’invitation pour la séance d’info du 2 juin.
Coin Saint-Antoine/Vinet dans la Petite-Bourgogne
L’appel d’offres pour le tronçon permanent du REV Saint-Antoine entre les rues Atwater et Irène est sorti
Bien que séparé de la chaussé par une bordure verdie, le REV sera en asphalte. Ce sera + distinctif que le REV Peel et son trottoir, en plus du marquage bleu en bordure de la piste
La bordure verdie sert de zone de protection contre l’emportièrage.
Et du côté Westmount, la fosse d’arbre passe sous le trottoir (le trottoir Nord appartient à la Ville de Montréal).
Bike paths in Montreal’s Sud-Ouest are set to be expanded, prompting concerns about parking
Residents laud new paths along St-Jacques, St-Antoine but some decry loss of parking spots
Kate McKenna - CBC News
Posted: May 25, 2022
Last Updated: 58 Minutes Ago
Longtime cyclist and car owner Shayne Gryn supports the expansion of the St-Antoine and St-Jacques bike paths to the downtown, saying improved cycling infrastructure will get more vehicles off the road and make riding a bike safer. (Dave St-Amant/CBC)
Shayne Gryn zips down St-Jacques Street on his bike, heading east on his way to work, when a car crosses into his lane, ignoring his right of way. He swerves left, narrowly avoiding being clipped by the vehicle.
He throws up his middle finger, hurls a few choice words and carries on.
Two blocks later, it happens again.
“It was treacherous,” Gryn said of his ride. “This morning might’ve been a bit of an anomaly. It doesn’t usually happen twice in one ride, but it’s a fairly regular occurrence that drivers aren’t checking their blind spots.”
He has been doing this commute twice a day for almost 20 years.
He dodges car doors opening, weaving vehicles and traffic from a highway on-ramp.
Last year, he was pleased when the city started building segregated bike lanes along those two streets as part of a major bike path initiative, the Réseau Express Vélo (REV), which should add 184 kilometres of new bike paths in the city.
A 5.4-kilometre stretch of the path is set to run along St-Jacques and St-Antoine Streets, running east to west, from Berri Street to Courcelle Street. It’s a strategic route for cyclists, said active transportation expert Dave Beitel.
“It’s a great way to get from the western part of the city toward the downtown and back at the end of the day,” he said.
A portion of the western part of the route was built last year. The rest — from Guy Street eastward — is set to be finished later this year.
“I’m looking forward to that,” Gryn said. “The more we encourage cycling, the more cyclists get on the road, the fewer people will be relying on cars. That’s going to ease up traffic, ease up parking for everybody.”
But it comes at a cost.
The bike path along St-Jacques and St-Antoine Streets is set to run from Courcelle Street to Berri Street. Part of the path (from Rose de Lima Street to Guy Street on St-Jacques, and from Vinet Street to Guy Street on St-Antoine) is already built. The rest will be done by the end of the year. (City of Montreal)
Hundreds of parking spaces lost
Hundreds of parking spaces are set to be destroyed to create the path. The city is expected to provide more details Thursday on exactly how many spots will be affected.
The loss of parking prompted an online petition, calling for the city to reconsider the bike paths.
Longtime Saint-Henri resident and business owner Kim Doucet signed the petition, calling on the city to work with residents to find another solution that would maintain more parking spaces.
“I am for the bike path,” she said. “I am just not for the bike path at the expense of all the parking.”
She said people in her life, including her mother who has a disability, need access to parking. She also suggested many local businesses have dealt with the pandemic, construction, and now will lose parking spots.
Doucet is planning to attend an information session on June 2 to ask questions about the project.
St-Henri resident Kim Doucet supports bike lanes, but is concerned about the amount of parking spaces being sacrificed to extend the REV along St-Jacques and St-Antoine streets. (Dave St-Amant/CBC)
Beitel, who has a PhD in active transportation and works as a data researcher for the company Eco-Counter, said there has been a marked increase in the number of cyclists using the corridors already built as part of the REV, notably the St-Denis bike lane.
He said that bike lane is seeing about 8,000 cyclists per day, and he anticipates that number will rise.
He also believes that once the St-Jacques–St-Antoine bike path is finished, it should also see an uptick in users — plus, he says it’ll be safer.
L’enregistrement de la séance d’info du tronçon dans Ville-Marie est disponible
Celui du tronçon dans Le Sud-Ouest aussi est disponible
Des images de la séance d’info du REV Saint-Antoine entre Atwater et Rose-de-Lima
Aménagement permanent (de gros travaux d’infra doivent être faits au préalable)
L’enegistrement de la séance devrait être dispo sur la page d’info
Pas de perte de stationnement à Montréal, juste à Westmount
Sur Saint-Antoine, à l’Est du Square Victoria, la bande cyclable a été repeinte juste à côté du trottoir avec une zone d’emportièrage. Tous les stationnements ont été enlevés, même devant l’hôtel.
J’ai roulé dessus lundi midi, c’était plein de motos et de voitures stationnées dans la nouvelle voie cyclable…
Il manque les bollards/délinéateurs.
C’est un défaut de la ville quand elle fait le marquage, c’est souvent en plus qu’une phase, donc c’est pas clair. Juste à voir la photo, on dirait des stationnements. La ville devrait vraiment être plus intense sur les couleurs et la démarcation des espaces.
Quand on regarde les progrès du développement de voies cyclistes en tout genre à Montréal, on ne peut qu’être impressionné. En effet à part toute la logistique, parfois majeure, que cela exige, il faut voter des budgets considérables pour mener à bien tous ces travaux publics.
On constate en même temps la complexité de certains tronçons qui demandent souvent une redéfinition complète de la géométrie des lieux et des intersections. Derrière tout ça il y a une multitude d’études et de collaboration de la part de plusieurs services municipaux pour arriver à la réalisation finale. D’où une volonté soutenue et engagée de la part des autorités politiques et beaucoup de consultations publiques et privées pour mener à bien le développement croissant de l’ensemble du réseau.
En bout de ligne tous ces efforts donnent un entrelacement déjà très étendu et sécuritaire qui s’allonge constamment d’années en années, offrant une véritable option cycliste crédible en matière de mobilité active. On est donc rendu à des années-lumières, comparé à mon époque de résidence à Montréal et ses proches banlieues, où le vélo était bien davantage perçu comme un loisir qu’un moyen de transport reconnu officiellement.
Vraiment il faut avoir vécu ce temps où le vélo devait disputer sa place sur la voir publique au péril de sa propre vie, notamment au centre-ville. Ce qui ne m’a toutefois jamais empêché de pratiquer ce sport régulièrement et m’éloigner du centre pour découvrir les autres quartiers montréalais et toutes les proches banlieues sur l’ile et les rives sud et nord.
Alors l’expansion exponentielle de la pratique cycliste à Montréal aujourd’hui tient selon moi du rêve, un progrès incroyable quand on pense au chemin parcouru. C’est en fait une véritable révolution et un changement de paradigme au niveau de l’aménagement urbain, où tout le monde y gagne sur le plan social comme environnemental.
Donc le REV est le rêve inavoué de ma jeunesse, la concrétisation d’un mode de vie et de transport rendu accessible à la majorité. Une nouvelle façon de vivre sa ville et de s’y déplacer aisément comme jamais auparavant. Et le plus beau dans tout ça, c’est que l’expansion se poursuit, ajoutant de plus en plus de segments complémentaires avec le temps et davantage de qualité de vie pour les cyclistes contemporains urbains ou ruraux.
De mon côté j’ai dû apprendre à pratiquer ce sport que j’adore dans les conditions topographiques exigeantes de Charlevoix. En effet la beauté des paysages bucoliques s’accompagne d’un niveau de difficulté supplémentaire pour un cycliste amateur très moyen, mais déterminé comme moi. Comme je n’ai pas encore pris le virage électrique, c’est alors à coup de changements de vitesse que je négocie les pentes avec tout de même le même plaisir qu’avant. Soit celui de combiner la forme physique et la liberté de mouvement, avec la contemplation de la grande nature, source de pur bonheur.
Je suis d’accord. Je suis passé hier et c’était un fouillis sur Saint-Antoine.