Parfois, on trouve de l’info en cherchant dans les appels d’offres sur seao.ca
Absolument!
Je parlais plus du communiqué officiel de la Ville; disons simplement que la décision de sortir le communiqué en juin l’été dernier ne m’est pas étrangère
Merci pour les infos, j’ai tout simplement hâte d’avoir un alternatif à la piste du canal!
J’aurais mis les stationnements du côté sud, comme ça, pas de piétons qui doivent traverser le REV et on aurait pu mettre une vraie délimitation physique plantée, par juste de la peinture et des bollards qui deviennent un mess l’hiver.
Ce sera juste 1.5 kms, donc si je fais bien le calcul, ça va de Berri à Square-Victoria. Il y aura donc un trou entre Square-Victoria et Guy. Les 2 nouvelles lignes du haut de la carte sont celles couvertes par cette séance d’information. Celles du bas ont été faites par l’arrondissement du S-O en 2021.
Ce rendu est inquiétant.
On pouvait accepter un aménagement excessivement bas de gamme sur Saint-Denis dans la logique de faire vite avant les élections et pour épargner les commerçants qui venaient de déjà vivre plusieurs années de chantier.
Mais on ne va pas étirer ces aménagements de voirie dans toute la ville! Et surtout pas dans des secteurs comme le Quartier international.
On devrait développer le REV avec une vision d’au moins 30 ans, mais on dirait qu’on est encore et toujours dans du temporaire.
Peut-être que ce gap va être compléter lors des éventuelles réfections de St-Antoine & St-Jacques dans le cadre du PPU du Quartier des Gares.
Le REV Saint-Denis n’a pas été fait rapidement dans un contexte électoral (en 2020). La rue venait d’être refaite et la Ville n’a pas tout defoncé pour cette raison.
Sur le site du REV, on indique que l’aménagement de Saint-Denis est transitoire, alors que Peel est permanent.
Autrement dit, la ville ne refait pas une rue et ses infrastructures au complet si elle n’a pas besoin de le faire. Pour moi, c’est de la saine gestion.
Le problème de cette mentalité c’est qu’on se retrouve avec vraiment beaucoup trop d’éléments ‘transitoires’ comparativement aux éléments finis. Avec beaucoup trop d’éléments ‘en attendant’ par rapport aux éléments de qualité durable.
À un point, il faut se commettre et faire les choses bien dès le début, sinon on ouvre la porte à des critiques menant à un retour en arrière, notamment. Des critiques qui seront justifiées sur la base que le projet en question n’est pas durable, pas de qualité, pas beau, pas à la hauteur d’un quartier X, etc. Et les critiques auront malheureusement raison.
Or, si on fait les choses correctement dès le départ, on évite cette perte de temps, et ces risques de rétro-pédalage. Et on a une ville plus intéressante, qui se démarque pour vrai, plus longtemps.
Pour moi, cette technique est de la bonne gestion dans certains cas, mais de la gestion à court terme, sans qualité, dans d’autres. On ne peut pas invoquer cet argument comme un absolu qui doive prévaloir dans tous les cas ; il faut faire preuve de discernement et de jugement : il y a des moments où ça vaut amplement la peine de pousser un projet à un niveau de qualité supérieure parce que le contexte l’exige.
Il me semble aussi que Saint-Denis a besoin de flexibilité, pour les terrasses, qui peuvent être n’importe où dans l’avenir, au gré des commerces qui viennent et partent. Cependant les éléments permanents sont bien faits je trouve.
Mais bon, quand la possibilité est là, je suis un grand fan des terrepleins verdis. Les derniers qu’on a fait sur le Plateau (Bréboeuf et Clark) sont magnifiques.
Reconstruire une dalle de béton, déplacer et remplacer des infrastructures souterraines qui ont encore une durée de vie de 10 ans et plus (et encore plus dans le cas de Saint-Denis) sur plusieurs kilomètres dans un contexte de transition écologique, c’est rendre l’aménagement et le projet encore plus vulnérables aux critiques que cet aménagement transitoire.
AJOUT : Cet aménagement sécurisera les déplacements cyclables, réduira la vitesse véhiculaire, augmente le nombre d’arbres et permet une traverse en 2 temps des intersections. À mon avis, il remplit très bien sa fonction d’ici à ce qu’il soit justifié de reconstruire la rue.
Je ne me suis pas prononcé sur un axe en particulier, ni sur un projet en particulier. Mon commentaire est en général.
Peut-être, mais tu réponds à une conversation sur l’aménagement transitoire du REV 2 et celui de Saint-Denis. C’est normal qu’on te réponde en te parlant de ces aménagements cyclables.
Absolument, c’est pour ça que je le précise.
Reste que je trouve qu’il y a un abus d’asphaltage et de marquage au sol. On pourrait multiplier des saillies ou des mails plantés même avec un aménagement ‘transitoire’.
En fait, il y a 3 aménagements du REV
La grosse différence entre l’évolutif et le transitoire sont les mails de béton aux intersections
Je crois comprendre que c’est un aménagement transitoire avant que la ville refasse des travaux complets de voiries et aqueducs. Tant qu’à passer autant de temps à faire la planification de la mise à niveau d’une infrastructure qui existe déjà, on devrait immédiatement viser une infrastructure permanente, puis ensuite un plan de maintenance pour les travaux futurs de la ville.
Nb: J’avais adressé mon message précédent à la mauvaise personne
Le trou entre les tronçons Sud-Ouest et Ville-Marie… wow. C’est navrant. On dirait que l’administration Plante manque beaucoup d’ambition depuis les élections. Ce n’est pas un REV digne du nom.
C’est une décision de fonctionnaire et non pas politique. Le “trou” sera comblé au printemps 2023.
Comme vous pouvez voir, on voit les premiers éléments du REV. Ici, les saillies bétonnées.
Tout le long du parcours, on voit que plusieurs saillies de béton sont prévues, pratiquement à toutes les entrées et sorties des stationnements des immeubles.
À un seul endroit, j’ai vu une saillie avec fosses de plantation comme sur Saint-Denis.
Note: ne vous en faites pas avec la chaussée maganée. En général, la contruction des saillies se fait en premier et par la suite la voirie est asphaltée.