Réseau eau potable de Montréal - Discussion générale

Il ne faut donc pas se surprendre et se désespérer de voir autant de chantiers dans nos rues. L’administration Plante est la première à se dévouer sérieusement à cette tâche ingrate qui monopolise notamment une partie importante des finances publiques. Malheureusement cette attitude exemplaire de la part de PM sera vite oubliée, quand l’immense défi sera relevé dans plus ou moins une décennie. Du moins selon la nouvelle publiée plus haut et à condition que la Ville continue à s’acharner à la besogne sans se décourager.

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Près de 140 municipalités, dont Montréal, Gatineau et Ottawa, ont manifesté leurs préoccupations en lien avec le dépotoir à la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN), l’organisme de réglementation nucléaire canadien, et 10 Premières Nations algonquines se sont opposées à l’installation. En février, le Bloc québécois et le Parti vert ont demandé qu’Ottawa mette un terme au projet qui, selon eux, représente une menace pour l’environnement et pour les droits autochtones.

Plutôt que d’être enterré profondément sous la terre, le dépotoir sera construit à la surface du sol, dans un monticule protégé notamment par une membrane synthétique et des couches d’argile. Pour le construire, les LNC devront raser la forêt qui recouvre le site et évacuer la faune qui y réside.

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Lorsqu’un patient atteint d’un cancer prend des médicaments, les produits chimiques qu’ils renferment, y compris les cytostatiques, sont évacués par ses déchets solides et liquides.

Les déchets des patients finissent dans le système d’égouts hospitalier ou domestique, où les produits chimiques qu’ils contiennent ne sont pas entièrement éliminés par les stations de traitement des eaux usées. Ces produits chimiques peuvent ensuite se retrouver dans les écosystèmes aquatiques, et même dans notre approvisionnement en eau potable, à des concentrations variables.

Les médicaments cytostatiques sont désormais classés comme contaminants émergents en raison de leurs conséquences environnementales.

Le message est clair : ce problème ne fera qu’empirer à mesure que de plus en plus de personnes utiliseront des médicaments anticancéreux.

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Chronique à l’émission radio Le 15-18 de Richard Bergeron sur les aqueducs et eau potable de Montréal

:radio: :headphones: Urbanisme avec Richard Bergeron : L’eau, c’est la vie

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Geyser dans le Centre-Sud « Si jamais on a un bris ailleurs, l’est de Montréal n’a pas d’eau »

Maja Vodanovic, responsable de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal

La Ville de Montréal s’est dite pressée de réparer la conduite principale qui a éclaté le 16 août dernier, jeudi, afin de sécuriser l’alimentation en eau potable de l’est de l’île.

Publié à 12h37

Le bris d’aqueduc n’a pas entraîné de problèmes majeurs parce que la conduite avait été doublée, mais un nouveau bris d’une conduite principale – un évènement très rare – pourrait être catastrophique, a indiqué Maja Vodanovic, l’élue responsable de l’eau au comité exécutif de Valérie Plante.

« En ce moment, on n’a pas de redondance », a dit Mme Vodanovic en point de presse. « Si jamais on a un bris ailleurs, l’est de Montréal n’a pas d’eau. C’est pour ça […] qu’on veut qu’il soit réparé le plus tôt possible. »

Mme Vodanovic s’adressait aux médias devant des travailleurs d’une firme privée qui s’apprêtaient à faire descendre un robot d’inspection dans la conduite d’eau potable problématique. L’analyse permettra de connaître le nombre de tuyaux à changer avant que la conduite soit remise en service.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Un robot d’inspection a été descendu dans la conduite d’eau potable problématique

« On va le savoir d’ici deux semaines, peut-être même avant », a ajouté l’élue. « Ce sont des inspections qu’on fait d’urgence, qu’on a devancées. »

La Ville de Montréal avait déjà indiqué que la réparation du bris d’aqueduc ne pourrait pas commencer avant plusieurs semaines, faute de pièces.

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En vidéo à CityNews

City of Montreal investigating cause of major water main break

“We have to find out why,” said Maja Vodanovic, responsible for water for the city of Montreal’s Executive Committee, about the investigation to determine the cause of the major water main break nearly two weeks ago. Gareth Madoc-Jones reports.


Reportage au Téléjournal

Comprendre la fuite d’eau : images inusitées d’un robot qui inspecte des conduites

La Ville de Montréal s’attend à découvrir d’ici environ deux semaines l’origine du bris d’aqueduc qui a causé un geyser exceptionnel à l’est du centre-ville. Les autorités ont envoyé un robot à l’intérieur de la conduite problématique.

Incursion dans le réseau d’aqueduc avec Louis-Philippe Trozzo

Alain Larrivée, Directeur de l’eau potable à la Ville de Montréal depuis 2019, a donné une conférence sur le sujet le 27 août au Centre Elgar de l’Île-des-Soeurs à Verdun. C’est à l’invitation de l’Association des propriétaires et résidents de l’Île des Sœurs (APRIDS) que ce dernier a expliqué le système d’approvisionnement en eau potable à Montréal, sa qualité, ses coûts et ses enjeux.
[…]
Selon le Bilan 2022 de l’usage de l’eau potable, les 950 employés du Service de l’eau de la Ville de Montréal ont pour mission de fournir de l’eau potable à 2 millions de Montréalais.

Des éléments uniques de la géographie de Montréal, tels le fait que la ville soit ceinturée par le fleuve Saint-Laurent, le lac Saint-Louis et la rivière des Prairies, des sources d’eau quasi inépuisables, facilitent cette gestion. L’existence du Mont-Royal permet également d’acheminer l’eau potable par gravité vers différents quartiers.

Les actifs nécessaires pour prélever l’eau représentent la moitié de la valeur des actifs totaux de la Ville. Les investissements annuels requis de 2023 à 2032 devraient idéalement atteindre presque 1,3 milliard de dollars par an. En 2022, ils étaient seulement de 482 millions de dollars. Ce sous-financement est préoccupant, selon M. Larrivée.

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Résumé

Fuite d’eau majeure au centre-ville La conduite recouverte d’asphalte sans être réparée

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

La Ville de Montréal a réasphalté le tronçon du boulevard René-Lévesque sous lequel une conduite d’eau a éclaté en août dernier, sans toutefois avoir réparé le problème.

Les apparences sont parfois trompeuses. Un mois après la rupture de canalisation qui a transformé une conduite d’eau du centre-ville en geyser, la Ville de Montréal vient de réasphalter la rue touchée… sans toutefois avoir réparé le problème, faute de pièces.

Publié à 1h16 Mis à jour à 5h00

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Philippe Teisceira-Lessard
Philippe Teisceira-Lessard Équipe d’enquête, La Presse

Ce qu’il faut savoir

Le 16 août dernier, une conduite principale de 84 pouces a éclaté sous le boulevard René-Lévesque.

La Ville de Montréal ne tenait pas en inventaire les pièces nécessaires à cette réparation.

Un mois après l’incident, les cols bleus ont recouvert la conduite toujours brisée, et prévoient une réparation au cours des prochaines semaines.

Le petit tronçon du boulevard René-Lévesque, qui relie l’avenue De Lorimier à la rue Notre-Dame, est complètement rouvert à la circulation depuis la semaine dernière, alors que les cols bleus attendent toujours les pièces dont ils ont besoin pour procéder aux réparations.

La rue devra alors être de nouveau excavée.

« La réparation de la conduite sera effectuée dans les semaines à venir », a confirmé le relationniste Guillaume Rivest, dans un courriel à La Presse.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Le 16 août dernier, une fuite d’eau majeure aux allures de geyser a inondé une importante portion du Centre-Sud, à Montréal.

Après la réouverture d’une première voie en août, les travaux de réparation de la chaussée ont pris fin la semaine dernière, « ce qui a permis de rouvrir la deuxième voie du boulevard René-Lévesque », a continué M. Rivest. La Ville a préféré rouvrir l’artère à la circulation pour limiter la congestion dans ce secteur à la tête du pont Jacques-Cartier.

Pas en stock

Même si son territoire compte quelque 150 kilomètres de conduites du même type et du même diamètre que celle qui a éclaté en août, la Ville de Montréal ne garde pas en réserve le matériel nécessaire à de telles réparations.

« La Ville dispose d’un grand [stock] de pièces de réparation pour le réseau principal pour les diamètres plus courants », a expliqué Guillaume Rivest, toujours dans un courriel. « Compte tenu du diamètre surdimensionné de cette conduite de 84 pouces, de la variabilité des tronçons à remplacer en fonction des bris et de la rareté du type de matériau de cette conduite par rapport au reste du réseau, il serait extrêmement coûteux pour la Ville de tenir ce type de pièces en [stock]. »

Conduite importante

La conduite d’eau potable de 84 pouces de diamètre a éclaté le 16 août dernier, créant une impressionnante volute d’eau pendant plusieurs heures. Un rapport d’inspection rendu public la semaine suivante a révélé que cette section avait déjà été identifiée comme particulièrement vulnérable en 2018. La Ville estimait toutefois disposer de quelques années pour procéder à son remplacement.

Cette conduite principale est d’une grande importance dans le réseau d’eau potable de la ville de Montréal.

Avec sa mise hors service, « si jamais on a un bris ailleurs, l’est de Montréal n’a pas d’eau », avait affirmé l’élue responsable du service de l’eau en conférence de presse, fin août, avant de nuancer ses propos à la radio.

Tout de suite après la rupture, à la mi-août, Valérie Plante avait déjà indiqué qu’il serait « impossible de débuter les travaux de remplacement avant plusieurs semaines ». Elle évoquait à ce moment-là une réouverture « partielle et temporaire en attendant les travaux dans la conduite brisée ».

Une centaine d’appartements ont été évacués dans un bâtiment de l’Esplanade Cartier, dont les sous-sols ont été complètement inondés le 16 août dernier. On avait annoncé à leurs occupants, à la fin d’août, qu’ils devraient attendre de quatre à six semaines avant de retourner chez eux « si tout va bien et s’il n’y a pas d’embûches ».

Le fait que la ville n’a aucune pièce de rechange pour toutes ces différentes pièces d’équipements stratégiques est simplement irresponsable.

On le sait que le réseau en entier est loin d’être en bon etat et on a rien “au cas où” car on le sait, ça peut arriver sur n’importe quel pièce du réseau…

Il me semble que ce n’est pas surprenant. La Ville l’avait mentionné que la rue sera réasphaltée en attendant de recevoir une nouvelle conduite de cette taille (qui doit être fabriquée sur commande ?).

Cependant, selon ce dernier, les réparations ne pourront pas commencer avant un mois ou deux, parce que la Ville n’a pas l’équipement nécessaire pour ce type de travaux.

La priorité est de remettre de l’ordre sur le terrain, rouvrir la rue, ne serait-ce que de façon temporaire, le temps de recevoir les pièces pour procéder aux réparations qui devront être faites ultérieurement.
— Une citation dePhilippe Sabourin, porte-parole de la Ville de Montréal

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C’est expliqué dans l’article:

« La Ville dispose d’un grand [stock] de pièces de réparation pour le réseau principal pour les diamètres plus courants », a expliqué Guillaume Rivest, toujours dans un courriel. « Compte tenu du diamètre surdimensionné de cette conduite de 84 pouces, de la variabilité des tronçons à remplacer en fonction des bris et de la rareté du type de matériau de cette conduite par rapport au reste du réseau, il serait extrêmement coûteux pour la Ville de tenir ce type de pièces en [stock]. »

La ville a un grand stock de remplacement. C’est visiblement une pratique standard, et ce serait effectivement irresponsable du contraire.

Cette pièce n’est tout simplement pas une qui est de rechange, car elle n’est pas standard. Faudrait probablement de nombreux kilomètres de tuyaux qui ne serviront jamais pour couvrir ces cas.

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From the city of Baie-d’urfe:

:droplet: 𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐥𝐮𝐨𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐚𝐮 𝐚̀ 𝐁𝐚𝐢𝐞-𝐃’𝐔𝐫𝐟𝐞́ : 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐮𝐧𝐢𝐥𝐚𝐭𝐞́𝐫𝐚𝐥𝐞
La Ville de Montréal envisage, sans consultation publique préalable, de mettre fin à la fluoration de l’eau d’ici la fin de l’année 2024. Cette décision a été prise sans que les villes défusionnées, comme Baie-D’Urfé, ne soient consultées.

Nous comprenons que cette décision suscite des préoccupations chez nos citoyens, et nous encourageons ceux qui s’opposent à cette mesure à faire entendre leur voix.

:e-mail: 𝐒𝐢 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐡𝐚𝐢𝐭𝐞𝐳 𝐞𝐱𝐩𝐫𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐬𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝, nous vous invitons à écrire directement à :
:point_right: Mme Maja Vodanovic, responsable de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal : maja.vodanovic@montreal.ca
:point_right: Mme Valérie Plante, mairesse de Montréal : mairesse@montreal.ca

Pour plus d’informations, veuillez visiter notre site web : Ville de Baie-D’Urfé – Fin de la fluoration de l’eau à Baie-D’Urfé?


:droplet: 𝐄𝐧𝐝 𝐨𝐟 𝐖𝐚𝐭𝐞𝐫 𝐅𝐥𝐮𝐨𝐫𝐢𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐢𝐧 𝐁𝐚𝐢𝐞-𝐃’𝐔𝐫𝐟𝐞́: 𝐀 𝐔𝐧𝐢𝐥𝐚𝐭𝐞𝐫𝐚𝐥 𝐃𝐞𝐜𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧
The City of Montreal is planning to end water fluoridation by the end of 2024, without prior public consultation. This decision was made without consulting demerged towns like Baie-D’Urfé.

We understand that this decision raises concerns among our citizens, and we encourage those who oppose it to make their voices heard.

:e-mail: 𝐈𝐟 𝐲𝐨𝐮 𝐰𝐢𝐬𝐡 𝐭𝐨 𝐞𝐱𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬 𝐲𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐢𝐬𝐚𝐠𝐫𝐞𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, please contact:
:point_right: Ms. Maja Vodanovic, Executive Committee Member for Water, City of Montreal: maja.vodanovic@montreal.ca
:point_right: Ms. Valérie Plante, Mayor of Montreal: mairesse@montreal.ca

For more information, please visit our website: Town of Baie-D’Urfé – End of Water Fluoridation in Baie-D’Urfé?

One BIG issue is that water is a competency of the aglomeration and that the Pointe-Claire water filtration system was forcefully transferred to mtl city back in the day

Expect next aglo Council to have talks about it

Fuite d’eau sur la rue Rachel ce matin

Rachel était bien inondé

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Bris de conduite aux abords du parc La Fontaine

Le bris d’une conduite d’eau principale a mené à la fermeture d’une portion de la rue Rachel, lundi matin. La rue est fermée à la circulation entre l’avenue Papineau et la rue Marquette.

Ces événements ne sont-ils pas un peu trop récurrents? Comment les prévenir et éviter les dégâts qui en découlent? Sans parler des coûts considérables qui s’accumulent dans les budgets afférents. Or il pourrait éventuellement y avoir une incidence au niveau des assurances qui pourrait pénaliser fortement les résidents des quartiers concernés. Vraiment tout le monde est perdant dans ce genre de situation, raison de plus pour augmenter les subventions gouvernementales pour assurer un meilleur entretien préventif.

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Sur la page FB de l’arrondissement

Le bris semble être sous la piste cyclable

Un bris d’aqueduc est est survenu ce matin vers 5h05 devant le 1685, Rachel Est. Il s’agit d’une conduite primaire de 16 pouces.

La rue Rachel Est est fermée, entre Papineau et Marquette. Notez que l’avenue Papineau demeure ouverte.

Nos équipes sont dépêchées depuis tôt ce matin, la pression d’eau a été baissée de manière significative il y a quelques instants, ce qui va permettre d’entamer sous peu l’excavation et les travaux de réparation du bris. Il n’y a pas de coupure d’eau pour les citoyen(ne)s.

Il est trop tôt actuellement pour dire quand la rue rouvrira, mais on vous tient au courant!

En face du 1681-1685 Rachel.

Publication sur la page FB du maire du PMR

Je viens de passer sur les lieux de la fuite d’eau sur la rue Rachel. J’ai pu discuter directement avec le contremaître sur place.

Premièrement, c’est une conduite majeure de 16” qui a éclatée sur une distance d’environ 7 pieds. Cette conduite sera remplacée dès demain. En attendant, une conduite plus petite a été installée par notre équipe afin de redonner l’eau le plus rapidement possible aux voisins immédiats.

Par ailleurs, on le voit à l’œil nu avec les gondolements de l’asphalte, une évaluation de la structure de la rue devra être réalisée avant de la rouvrir à la circulation. Des travaux sont à prévoir, donc la rue Rachel ne rouvrira pas tout de suite. On en saura plus demain sur l’ampleur des travaux à réaliser.

Je tiens à remercier nos équipes de cols bleus qui ont travaillé de manière très intense depuis ce matin afin de colmater la fuite et de redonner l’eau le plus rapidement possible aux citoyennes et citoyens.

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Un jour après

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