You’re ignoring the fact that a car is capable of accelerating from 0 to 50 in a matter of seconds. People are regularly driving 120 km/h on the highway.
A bike and a car are very different machines. I’m not sure why you would insist on comparing the safety features of the two.
Again, how would mandatory helmets work with Bixi? Is the entire population expected to carry a helmet at all times just in case they want to hop on a bike? Bixi had 10 million rides last year. How much of a decline would you be happy to see to ensure that everyone was wearing a helmet? Melbourne ended its Bixi-based bike share system in 2019 because it was ultimately incompatible with the helmet law.
As others have noted, we have a very good balance in Quebec: helmets are not mandatory but are recommended. And as others have noted, the rate of cycling accidents has more to do with safe infrastructure than with helmet use, and head trauma from cycling accidents is not lower in places with helmet laws. If the INSPQ has determined the science on the matter is unclear, I’m not sure why you’re convinced you know better than public health experts.
I’m not sure if you get around by bike or not, but you seem to think that all cyclists are speed demons on carbon frame bikes racing at 50 km/h. They aren’t. Most are riding slowly for their commutes – less than 20 km/h. That’s a big reason why the hospitals aren’t being flooded with trauma victims from cycling accidents.
If you’re concerned about reducing the risk, you should be insisting we all wear helmets when walking in the winter, because we’re all much more likely to injure ourselves by slipping on the ice than we are by cycling like a normal commuter in the summertime.
I suppose you didn’t watch the Shifter video that @ScarletCoral posted because your attitude is a good example of helmet fundamentalism.
Il y a quand même eu des gains au sein de l’ensemble de la population:
passant de 43,5 % à 60,6 %
Faut pas oublier que c’est pour l’ensemble de la population, alors que le règlement ne concerne que les moins de 18 ans. Dans ce cas, c’est beaucoup plus significatif qu’il en appert.
Le tout, avec même des gains au niveau de l’adoption du vélo:
Pour l’étude, cela concerne seulement les 12-17 ans (tableau 3). Mais comme mentionné dans l’étude, ces chiffres ne sont pas fiables pour y voir une tendance. C’est malheureusement une limite des échantillons, cela est expliqué à la page 16, c’est assez technique.
Ils mentionnent une autre étude où il y a eu une augmentation des cyclistes casqués, cependant celle-là s’est probablement faite parce que les gens sans casque ont juste arrêté de faire du vélo.
Ça ne veut pas dire que le phénomène n’est pas arrivé cependant, juste qu’on ne peut pas le prouver avec une certitude satisfaisante (pas assez pour une loi à mon avis).
Ça oui. Il faut dire que Sherbrooke a profité de l’occasion pour promouvoir l’usage du vélo.
L’étude arrive à une conclusion assez restreinte quand même:
Les résultats de notre étude suggèrent qu’un règlement municipal obligeant les moins de 18 ans à porter un casque à vélo peut être implanté sans être associé à une diminution de la pratique du vélo chez les jeunes de 12 à 17 ans, si ce règlement est implanté de façon non punitive et s’il est accompagné d’activités visant à promouvoir la pratique du vélo et le port du casque à vélo. Le devis de cette étude ne permet pas toutefois d’exclure la possibilité qu’un tel règlement ait pu réduire l’effet des activités visant à promouvoir la pratique du vélo.
Ça concerne juste les jeunes, règlement non punitif, et promotion du vélo en parallèle.
Je suis bien d’accord avec les objectifs d’encourager les gens à avoir un casque sur la tête personnellement (l’INSPQ aussi), mais pour les moyens, j’irais avec plus de carottes que des bâtons, du moins pour le moment. Pareil pour la connaissance des règlements d’ailleurs. On peut reconnaître qu’il y a aussi des manquements sur les règles de la route, mais il y a bien des approches pour changer cela, avant de risquer une perte de vitesse dans la pratique du vélo
AJOUT
J’ai bougé la discussion sur les casques dans le sujet général sur les vélos, vu que c’est un sujet pas mal plus large que l’Axe Jean-Talon.
Sincèrement, ça doit être la pire idée que j’ai entendue de la journée. Pour faire ça court :
Un permis vélo couterais une fortune comparés aux bénéfices apportés (de mémoire en 2023 les décès causés par les cyclistes sur des usagers autre qu’eux même sont nuls)
Un permis cycliste pour les 16 ans et + signifierait que les moins de 16 ans ne puissent pas se déplacer à vélo sur la voie publique ? (sinon quelle est l’utilité d’un tel permis).
Si l’argument avancé est que les cyclistes commettent plus d’infractions que les autres usagers de la route, c’est un mythe
À part les rares accidents quels sont les bénéfices concret d’une telle mesure ?
Here are some of the safety features a car has that a pedestrian (or moto, for that matter), DOES NOT HAVE:
chassis with a crumple zone to distribute the force of the impact
multiple airbags (your racing car does not have that btw)
seat belt
active safety software like adaptative cruise control, collision warning, rear camera, etc (a modern Corolla 2017+ has the features as standard)
a windshield
J’ai remplacé “vélo” par “piéton” pour démontrer que cette comparaison est absurde. La seule raison pourquoi un cycliste (non sportif) aurait besoin de se protéger est à cause de la présence des autres voitures. Si on élimine le facteur automobile, le pire qui peut arriver sont des blessures mineures.
Aussi, je penses que les motos vont dans une catégorie distincte des vélos. Tout simplement parce que c’est très difficile d’accéler et d’aller si rapidement sur une bicyclette.
Généralement lorsque j’ai mon casque avec moi, j’ai mon vélo avec moi aussi. Bixi perd toute sont utilité comme solution du “dernier kilomètre” si le port du casque devient mandatoire.
En fait, le code de la route devrait être enseigné dans les écoles à partir du primaire, parce que tout le monde à partir de l’enfance emprunte déjà la voie publique à pied et à vélo. Comme ça on sensibilise les élèves/étudiants aux priorités piéton/cycliste, la courtoisie, le privilège de la conduite automobile. On les rend plus alertes, conscients, et surtout plus autonomes en tant que piétons. Et quand ils arrivent en âge de faire le permis de conduite, on se retrouverait avec des conducteurs avec une meilleure attitude sur la route, en plus de piétons/cyclistes avec une meilleure conscience des risques/contraintes de la route.
Ah puis tiens, arrivé en secondaire 5, on fait passer aux étudiants l’examen final du code de la route et on met le permis de conduire conditionnel à l’obtention du diplôme d’études secondaires.
Voilà, je viens aussi de régler le problème du décrochage scolaire lol
Accélérer la mise en place d’infrastructures sécuritaires serait déjà infiniment plus productif que d’imposer le port du casque ou d’autres demi-mesures de la sorte.
Je serais d’accord pour les vélos électrique. Cependant, il faut distinguer deux catégories : ceux avec assistance aux pédales et ceux avec un levier de vitesse. Une simple assistance au pédalage permet d’améliorer l’accessibilité de mode de transport. Elle ne permet pas d’accélérer significativement plus vite et se coupe après 35km/h. Dans l’ensemble, ces vélos ne diffère pas des vélos accoustiques normaux. À l’inverse, les vélos électrique avec un levier de vitesse (ceux à mi-chemin entre bicycle et scooter) sont dans l’angle mort de la règlementation actuelle. À mon avis, ceux-ci sont au même niveau de danger que des 50cc et nécessite un niveau plus important de responsabilisation de l’usager.
Pas mal sûr qu’aux États-Unis, c’était la norme il y a une certaine époque!
En rétrospective, le “permis de conduire” serait plutôt pour les vélos électriques, puisqu’ils sont motorisés.
Mais @Rotax a trouvé une superbe solution.
Votons pour lui.
Oui, au dela de 500W ça devient essentiellement une mobylette.
Tout de même, je vois mal un vélo électrique de 499W avec un levier de “throttle” sur les pistes cyclables. Je pense qu’un véhicule ne devrait pas pouvoir être considéré comme “vélo” s’il y a présence d’un tel mécanisme.
Il y a moyen de garder des apprentissages de cette tragédie, surtout qu’ici, nos camions sont beaucoup plus gros et semble avoir des plus grands angles morts.
Les règles de base du code de la route sont déjà enseignées au primaire. Du moins, elles l’étaient il y a 20-30 ans vu l’énorme quantité d’élèves qui s’y rendaient à pied.