Réseau cyclable montréalais - Discussion générale

«Ferrandez a toujours eu ce type de discours. On ne peut pas lui demander de changer son fusil d’épaule. Il s’imagine qu’on vit dans une belle société verte avec le moins d’autos possible.»

Effectivement, Ferrandez avait une vision, s’est fait élire, et a réalisé sa vision sans chercher à plaire à toutes les critiques constantes s’opposant aux changements.

Résultat: une administration qui a un support extrêmement élevé. Comme quoi quand on a le courage de changer les choses, plutôt que de bougonner que rien ne doit changer et qu’on doit fermer les yeux face aux enjeux contemporains, on peut faire ces changements pour le mieux.

Ferrandez a bien des défauts, et n’a pas toujours bien géré certains dossiers, mais ses politiques sont autant un succès qu’ils ont fait couler d’encre en critiques de toute sorte.

Salaison St-André:

«À la place, on va fermer et on va s’en aller. C’est ça qu’ils veulent. Il n’y a pas vraiment de solution.»

C’est sans lien direct avec le REV, mais oui, il devrait s’en aller. C’est le boucher de ma famille depuis des décennies. Mon père connaît très bien ce monsieur dans la vie. Je ne serais pas surpris que mon père soit dans son top 5 des meilleurs clients grand public de la boucherie. Bref, j’ai beaucoup d’amour pour ce commerce. On mange constamment des produits de là dans nos soupers familiaux. Mais le fait que le boucher parle de sa clientèle comme étant gériatrique avancée, c’est un problème dans un quartier très jeune, bourré de familles capables d’acheter une maison sur l’île. Son commerce devrait être sur Fleury, ou une continuité commerciale où il sera découvert par de nouvelles personnes, plutôt que d’espérer qu’une clientèle de 80 ans passés qui n’est plus capable de marcher un coin de rue fera vivre le commerce pour son fil dans le futur.

Sinon, je pense qu’il y a une légitimité à demander des mesures pour assurer des espaces de stationnement pour les commerces, et assurer la possibilité des livraisons. Cependant, je ne crois pas que cela soit en opposition au REV ou la voie réservée. Henri-Bourassa est un axe est-ouest où on peut transférer facilement des choses sur les rues perpendiculaires. Faut juste le faire, et le faire bien. Ça demande de s’assurer que cela se fasse plus loin que des discours rassurants.

Et de l’autre côté, jamais rien ne changera si on a constamment peur d’un changement, pour conserver un statuquo qui tue les villes et la planète, littéralement.

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J’aime le passage suivant:

Le fameux loyer
Après la publication de l’article sur le site du Journal de Montréal, plusieurs personnes ont mentionné sur les réseaux sociaux que Bussière ne divulguait pas les vraies raisons de sa fermeture.

Ces personnes mentionnaient notamment que ce sont la hausse du prix de son loyer et la baisse de son chiffre d’affaires qui étaient les causes.

«Je n’ai rien caché, précise Bussière. Les problèmes que nous avons eus avec les locataires au-dessus de nous, on les a toujours eus.

«C’est un problème récurrent (des dégâts d’eau) que mes parents avaient également quand ils étaient propriétaires. Par contre, ce n’est pas ça qui allait me faire partir de mon emplacement. Tu ne fermes pas ton commerce en raison de locataires gossants.»

Comment esquiver la question!

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J’ai carrément l’impression que le Journal de Montréal aie inscrit la malhonnêteté intellectuelle dans leur mission. C’est incroyable à quel point ils sont capable de nous écrire des articles basés à 100% sur des arguments émotionnels. Aucune assise factuelle, on se trouve réellement dans une ère post-vérité avec l’avènement des médias sensationnalistes comme Québécor.

«On a appris que nos livraisons se feront dans la voie réservée aux autobus, explique-t-il. Cependant, à compter de 2025, il faudra trouver une autre solution. On va faire quoi? On va faire parachuter notre matériel?»

Un bel exemple de malhonnêteté ici. Il n’y a pas une dichotomie entre la livraison et l’implantation d’une piste cyclable. Sinon comment font les commerçants du plateau ? Les affaires semblent bien aller et pourtant c’est le quartier avec le plus d’infrastructures piétones et cyclables.

«La colère des gens du secteur est perceptible. En plus de l’abolition des places de stationnement, les gens ne pourront plus tourner à droite sur les petites rues.

«Puis, c’est déjà compliqué de trouver du stationnement en raison des vignettes. Ça va l’être encore plus avec la présence du REV.»

Encore ici, aucun fait, aucune affirmation empirique, on part sur l’affirmation que « les gens ne sont pas content » (selon qui ?) et cela est assez pour justifier que le REV est une nuisance aux commerces de proximité. Ensuite, ça sort des affirmation catastrophiques du genre :

«Ils sont en train de détruire Montréal.»

Quand la ligne éditoriale d’un média se base sur la nécessité de provoquer l’indignation générale, qu’elle soit fondée ou non, il s’agit réellement d’une nuisance au bien collectif. En continuant dans cette lancée, les débats publiques deviendront de plus en plus difficiles puisque l’argumentation et la logique deviendront secondaires aux émotions et au sensationnalisme. Si j’était journaliste, ce serait une véritable honte d’avoir mis mon nom sur cet article.

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If you look at their articles about the Brossard downtown redevelopment, it’s literally only negative opinions. They’re the NIMBY newspaper, and in 10+ years when these projects will be finished, people will look back at this “journalist’s” articles and shame them for it like people already are doing today.

I look back at articles about St-Denis, it’s the exact same thing, the business owners against the project are proven wrong, and refuse to be interviewed again after they notice an increase in revenue

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Actually the bike path makes it much more easier to take someone in an ambulance than having parked cars!

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Je trouve ça quand même amusant l’opposition au réaménagement du boulevard Henri-Bourassa pour protéger la vitalité commerciale de la rue. Si je pense à une rue avec une belle vitalité commerciale, Henri-Bourassa ne serait vraiment pas un exemple. La majorité des locaux entre la voie ferrée et le boulevard Saint-Laurent sont placardés et fermés.


C’est certain que les commerces qui existent actuellement sur un boulevard quasi autoroutier s’accommodent bien de cet environnement. Même si au final je pense qu’une boucherie ou une cordonnerie vont bénéficier de faire affaire sur une artère plus apaisée qui attire plus la clientèle locale et pour laquelle la clientèle venant en voiture acceptera en grande proportion de sa garer sur les rues perpendiculaires.

Je remarque que je n’ai pas entendu de critiques venir de l’opposition officielle. C’est probablement parce que le maire de Saint-Laurent supporte le projet et a hâte qu’il rejoigne son arrondissement.

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Leur ennemie #1? Les centre d’achats. Et les autos des gens qui vont au centre d’achat.

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Dans le 24 Heures (appartient aussi à Québécor, mais on y présente des chiffres… et pas seulement les peurs de quelques commerçants)

La piste cyclable sur Saint-Denis: bonne ou mauvaise chose pour les commerces?

Mathieu Carbasse
11 décembre 2023 18H09 MISE À JOUR 11 décembre 2023 21H17

L’implantation en 2024 d’une piste cyclable du Réseau express vélo (REV) sur le boulevard Henri-Bourassa suscite l’inquiétude de certains commerçants. Pourtant, l’exemple de la piste nord-sud sur la rue Saint-Denis ne devrait-il pas les inciter à l’optimisme? On fait le point en un graphique.

Depuis l’inauguration de la piste cyclable du REV, en novembre 2020, le taux d’occupation des commerces de la rue Saint-Denis est globalement en progression.

Il a même atteint un sommet au mois de mars 2023: 86,04%. Il s’agit du taux d’occupation le plus élevé depuis que la Société de développement commercial (SDC) rue Saint-Denis a mis sur pied sa méthode de calcul actuelle.

Alors que ce taux était de 77% en janvier 2019, soit un an avant la pandémie, il s’est stabilisé depuis un an autour de 84%.

Quant au REV, son succès ne se dément pas. Le nombre d’utilisateurs du réseau est en constante hausse depuis son lancement, il y a trois ans.

Le REV mauvais pour les commerces ?

Depuis l’inauguration de la piste cyclable du Réseau express vélo (REV) en novembre 2020, le taux d’occupation des commerces de la rue Saint-Denis est globalement en progression.

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Graphique: 24 heures
Source: SDC Saint-Denis et Ville de Montréal

Pas assez de «sorties d’autoroute»

En entrevue à 24 heures, le directeur général de la SDC Saint-Denis, Julien Vaillancourt Laliberté, se dit satisfait de ces chiffres. Selon lui, les gens qui étaient réfractaires au début se sont faits au REV, qui fait partie maintenant de leur quotidien.

En revanche, M. Vaillancourt Laliberté aimerait désormais des aménagements supplémentaires pour faciliter la vie des consommateurs, comme d’autres stationnements à vélos ou un meilleur affichage. Il voudrait aussi que les utilisateurs du REV puissent quitter plus facilement «l’autoroute» pour faire leur magasinage.

«Quand on parle du REV, on utilise souvent un langage autoroutier, on dit “c’est une autoroute pour vélos” ou “ça permet d’aller d’un point A à un point B”, etc. Mais sur une autoroute, il y a des bretelles de sortie… On n’en a pas sur Saint-Denis des bretelles de sortie. Ce n’est pas parce qu’il y a une lumière rouge que les gens vont sortir», explique-t-il.

La crainte de l’axe est-ouest

Malgré le succès du REV sur Saint-Denis, Julien Vaillancourt Laliberté dit comprendre les inquiétudes des commerçants d’Ahuntsic.

Selon lui, les craintes des commerçants seraient notamment liées au fait que le boulevard Henri-Bourassa, qui va d’est en ouest, est moins bien desservi par les transports en commun qu’un axe nord-sud comme la rue Saint-Denis.

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Au sujet de la piste cyclable sur la rue de Terrebonne dans NDG

Un projet de piste cyclable qui est loin de faire l’unanimité


Hubert Hayaud, Archives Le Devoir
Aménager une piste cyclable en milieu urbain n’est pas une opération sans douleur.

Jeanne Corriveau
12 décembre 2023
Transports / Urbanisme

Aménager une piste cyclable en milieu urbain n’est pas une opération sans douleur. Dans Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce (CDN-NDG), la construction d’infrastructures cyclistes dans la rue de Terrebonne entraînera l’an prochain la disparition de plus de 200 places de stationnement. Comme dans d’autres quartiers montréalais où de tels projets ont vu le jour dans les derniers mois, le bonheur des uns fait le malheur des autres.

En 2020, en pleine pandémie, l’arrondissement de CDN-NDG avait aménagé deux voies cyclables dans la rue de Terrebonne dans le cadre d’un projet-pilote, entraînant le retrait de 250 places de stationnement. La grogne fut telle que, trois semaines plus tard, les infrastructures étaient démantelées et l’affaire était momentanément enterrée.

Trois ans plus tard, l’arrondissement récidive. Cette fois, le projet est différent, soutient la mairesse Gracia Kasoki Katahwa, arrivée au pouvoir il y a deux ans. La rue de Terrebonne deviendra à sens unique. Les voies cyclables protégées quatre saisons seront construites de part et d’autre de la rue sur une distance de 2,5 kilomètres et une seule rangée de stationnement sera retranchée, ce qui fera tout de même disparaître 204 places. L’arrondissement en profitera pour renforcer l’application du règlement qui interdit le stationnement à moins de cinq mètres des intersections, ce qui éliminera des dizaines d’espaces de stationnement supplémentaires.

Haute tension

Résidente de la rue de Terrebonne depuis près de 20 ans, Valerie Keszey estime qu’aménager une piste cyclable sur cette rue résidentielle est un non-sens, non seulement parce que le nombre de cyclistes qui s’en serviront sera limité, mais également parce qu’elle nuira aux écoles de cette artère, dont le Centre Mackay, qui accueille une clientèle d’enfants handicapés. « Il y a déjà quatre pistes cyclables à moins de cinq minutes de la rue de Terrebonne », fait-elle valoir. Comme bien d’autres, elle appréhende la difficulté de garer sa voiture, surtout en hiver. « Où est-ce que je vais stationner ? Je n’ai pas de stationnement sur mon terrain. […] La mairesse ne nous écoute pas. »

Le projet a toutefois ses partisans, notamment chez les membres de l’Association des piétons et cyclistes de CDN-NDG. Jason Savard soutient que la rue de Terrebonne a été identifiée par les cyclistes comme une artère dangereuse pour eux il y a quelques années. « Il y a huit ou neuf pistes cyclables dans CDN-NDG. C’est peu pour l’arrondissement le plus populeux de Montréal. »

La mairesse de l’arrondissement, Gracia Kasoki Katahwa, se garde bien de jeter plus d’huile sur le feu. Elle reconnaît que la mesure cause du mécontentement. Mais, selon elle, ce projet est nécessaire. Les changements climatiques imposent des gestes en faveur de la mobilité durable, souligne-t-elle. « Je pense que le rôle d’un élu local municipal, c’est d’accompagner les citoyens dans le changement. On voit l’impact des changements climatiques sur le quotidien des gens. Les gens subissent des inondations à Montréal. Il faut avoir le courage d’amener les changements de façon logique, pragmatique, avec des données. »

Un air de déjà-vu

Gracia Kasoki Katahwa n’est pas la seule élue à se retrouver plongée dans ce dossier controversé. Rosemont–La Petite-Patrie avait subi la tempête en 2020 avec la piste Bellechasse, qui a éliminé 800 places de stationnement. En septembre dernier, la mairesse de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, Laurence Lavigne Lalonde, avait été catégorique dans sa réponse aux citoyens qui se plaignaient de la perte de places de stationnement. « La Ville n’a pas la responsabilité de trouver un espace de stationnement pour chaque voiture sur le territoire », avait-elle dit.

En octobre, c’était au tour de la mairesse de Montréal-Nord et membre d’Ensemble Montréal, Christine Black, d’affronter la colère de citoyens. « Ça fait plus de 40 ans que Montréal-Nord n’a pas eu de nouvelles pistes cyclables en site propre », avait-elle fait valoir au sujet d’un projet sur la rue des Récollets.

Dans CDN-NDG, le projet ne fait pas l’unanimité même chez les cyclistes. François Gagnon juge que l’arrondissement aurait pu envisager un scénario moins contraignant en aménageant les pistes sur deux artères parallèles, la rue de Terrebonne et l’avenue Somerled. Cette formule, croit-il, limiterait la perte de places de stationnement. « Il me semble que ça donnerait un résultat plus équitable pour l’ensemble des résidents de NDG. »

Favorable à l’aménagement de nouvelles pistes cyclables en raison des bénéfices à long terme, le conseiller d’Ensemble Montréal dans CDN-NDG, Sonny Moroz, croit que c’est tout le processus de planification qui pose problème. Les résidents et les personnes à mobilité réduite n’ont pas le sentiment que leur voix est écoutée, ce qui avive les tensions, avance-t-il. « Il faut plus de consultations pour que tout le monde puisse s’exprimer. Et un sondage, même s’il n’est pas favorable. On peut faire mieux. »

Gracia Kasoki Katahwa assure que son administration demeurera à l’écoute, notamment pour les débarcadères des écoles. La part modale du vélo dans CDN-NDG plafonne depuis des années à 1 %, contre 13 % pour le Plateau-Mont-Royal et 8,7 % pour le Sud-Ouest. « On fait le pari que, s’il y a plus de pistes sécurisées, il y aura plus de gens qui vont les utiliser. »

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Vidéo de la chaîne YouTube Oh the Urbanity! sur le vélo d’hiver avec bcp d’images de Montréal

Biking in the Winter: Crazy or Common Sense?

What’s it like to bike in the winter in Montreal, a big North American city that’s pretty bike-friendly but also has cold and snowy winters?

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Tiens je crois qu’on a manqué ça, 5 kilomètres de pistes cyclables dans Montréal-Nord en site propre, mais seulement la piste prieur à l’année (1km). Ca dit que c’est déjà implementé mais elles ne sont pas sur la carte officielle du réseau cyclable.
J’ai remarqué ça dans l’article du devoir qui parlait des oppositions aux pistes de cette année, ça mentionnait un opposition à ces pistes dont j’avais pas entendu parler.

Carte des pistes :

Des quartiers plus accessibles et des déplacements plus sécuritaires

Mis à jour le 26 septembre 2023
Temps de lecture : 2 min

L’arrondissement de Montréal-Nord poursuit résolument sa mission d’améliorer la mobilité durable de ses citoyens et citoyennes en 2023. Cette année marque une étape significative dans la création de quartiers plus accessibles en transport actif et des déplacements plus sécuritaires pour tous.

Avec l’aménagement de 5,4 kilomètres de voies cyclables sur quatre rues structurantes, l’Arrondissement offre aux résidents un axe cyclable quasi-continu, permettant de traverser l’ensemble du territoire en toute sécurité. Ces initiatives s’inscrivent parfaitement dans les objectifs de l’Arrondissement et de la ville de Montréal en matière de mobilité durable

Les nouveaux liens cyclables implantés en 2023 :

  • Rue Prieur est entre la limite de l’Arrondissement et la rue des Récollets : cette piste cyclable bidirectionnelle sera ouverte toute l’année. La circulation automobile y sera à sens unique permettant de maintenir deux voies de stationnement et cet aménagement offre ainsi une alternative de transport actif durable dans le quartier.

  • Rue des Récollets, entre la rue Prieur et le boulevard Gouin : des pistes cyclables unidirectionnelles protégées seront aménagées de chaque côté de la rue, tandis qu’une voie de stationnement sera maintenue. L’aménagement cyclable sera trois saisons pour permettre le stationnement en hiver (du 1er décembre au 1er avril).

  • Rue Amos, entre la rue Saint-Julien et l’avenue Salk : une piste cyclable bidirectionnelle protégée du côté sud sera mise en place, tandis qu’une voie de stationnement sera maintenue du côté nord. En hiver, la rue retrouvera son stationnement habituel (du 1er décembre au 1er avril).

  • Avenue Salk entre la rue Amos et le boulevard Gouin : des pistes cyclables unidirectionnelles protégées seront aménagées des deux côtés de l’avenue, avec une voie de stationnement du côté ouest. Le double sens véhiculaire sera maintenu, mais le stationnement sera temporairement retiré du côté est à partir du 1er avril au 1er décembre.
    [cont.]

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Félicitations à la CDPQ-Infra qui, au lieu de verdir à profusion sous leur viaduc, ont décidé de faire des stationnement autos, au milieu de nulle part: :man_facepalming:

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Il est beau le Gazelle.

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Il y a un panneau d’interdiction de stationnement. Est-ce que ça pourrait être le débarcadère d’un futur arrêt de bus?

J’en doute car c’est ainsi sur toute la longueur!

C’est le vélo de ma conjointe que je vole de temps en temps :wink:

Ce n’est pas la responsabilité des villes, ces emménagement? Donc, c’est une raison que certains opposants au REM avances en disant que c’est emménagement aurait dû être inclus dans le coût global du projet du REM.

Edit. Mon message était incompréhensible.

J’ai dressé le Palmarès et bilan de la cuvée 2023 des aménagements vélo à Montréal. J’espère avoir été juste:

https://x.com/jacouzi/status/1741430163395490159?s=20

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On parlait de 60 km en mai

Saint-Antoine/Saint-Jacques dans le Sud-Ouest auraient ajouté quelques km de plus, si ce n’était de l’échec de l’appel d’offres en début d’année

Une cinquantaine de projets sur une soixantaine de kilomètres : la Ville de Montréal lance mardi sa saison 2023 de travaux d’aménagement de nouvelles pistes cyclables et d’entretien du réseau existant.

La série de projets, qui est accompagnée d’une enveloppe budgétaire dépassant les 30 millions de dollars, englobera 14 arrondissements et 4 villes liées, fait-on savoir par voie de communiqué

Parmi les projets phares inclus dans la programmation cyclable 2023, notons :

  • La pérennisation du lien cyclable sur la rue de Verdun entre le boulevard LaSalle et la rue Henri;
  • l’aménagement du premier tronçon du REV Henri-Bourassa;
  • les nouvelles pistes unidirectionnelles sur l’avenue Christophe-Colomb, dont la mise en service est prévue à l’automne;
  • la consolidation du réseau cyclable sur la rue Prieur Est, qui reliera les arrondissements de Montréal-Nord et d’Ahuntsic-Cartierville, par une piste cyclable bidirectionnelle;
  • l’aménagement d’une nouvelle piste sur l’avenue Bourbonnière, qui reliera les arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie et de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve;
  • l’aménagement de la piste bidirectionnelle sur l’avenue Bourret, la première traversée sécuritaire sur Décarie, au nord de Sherbrooke, un axe traversé tous les jours par des centaines de cyclistes.
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Une belle poignée d’applaudissement pour nos arrondissements arriérés préférés. :tada: :tada:

Vraiment fier de leur performance cette année. Good job !

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