Réseau cyclable montréalais - Discussion générale

À Pointe-aux-Trembles

https://montreal.ca/articles/la-friche-ferroviaire-decouvrez-le-plan-concept-du-parc-lineaire-3991

La friche ferroviaire : découvrez le plan concept du parc linéaire

Mis à jour le 12 mars 2021

Temps de lecture : 2 min

Vous voulez en savoir plus sur ce projet phare qui transformera le visage de Pointe-aux-Trembles ? Lisez ceci !

Aménager l’un des plus longs parcs linéaires de l’Île de Montréal

Le projet de la friche ferroviaire consiste à transformer l’ancienne emprise ferroviaire en l’un des plus longs parcs linéaires de l’île de Montréal. On y aménagera un sentier piétonnier et une piste cyclable bidirectionnelle de 4.25 km. Le long du parcours, on retrouvera quatre haltes de détente thématiques avec des supports pour vélos et du mobilier urbain. L’arrondissement installera aussi des panneaux de signalisation indiquant les points d’intérêt et les points de services dans les parcs. On bonifiera l’éclairage et réaménagera certaines intersections afin de permettre une circulation sécuritaire pour les piétons et cyclistes.

Ce projet urbain novateur viendra favoriser le transport actif, ajoutera un espace vert de qualité au secteur et deviendra sans aucun doute un lien fort pour le quartier.

Où se trouve la friche ferroviaire ?

La friche ferroviaire est le terrain de l’ancienne emprise ferroviaire qui marque le paysage de Pointe-aux-Trembles depuis plus d’un siècle. Elle s’étend de la 1ère à la 53e Avenue sur une longueur totale de 4,25 kilomètres, traversant ainsi le cœur du quartier.

Un projet mobilisateur

Le projet de la friche ferroviaire fait l’objet d’une inspirante mobilisation citoyenne. En effet, à l’automne 2016, un groupe citoyen se mobilise pour proposer la réalisation d’un projet de mise en valeur du site. Dès lors, l’arrondissement se penche sur le dossier et entame des discussions avec les instances concernées. Durant trois ans, le projet reste bien vivant, animé notamment par la volonté des citoyens qui organisent des corvées de nettoyage et de tonte sur le terrain.

Parallèlement, des rencontres de travail ont lieu entre l’arrondissement et le groupe citoyen afin de jeter les bases du projet. Une marche exploratoire est organisée afin de travailler le projet de concert avec la population.

En 2019, la Ville de Montréal et le service de transport de Montréal EXO ont conclu une entente de location. L’entente est pour une durée de vingt ans (environ 58 000$ indexable au coût de la vie par année), à partir du 1er janvier 2020, et couvre un peu plus de la moitié de la superficie de l’emprise ferroviaire.

Présentation du projet

L’arrondissement a dévoilé le 11 mars dernier, au cours d’une présentation publique virtuelle, le concept entourant le parc linéaire. La vidéo complète vous est présentée ci-bas.

Nous avons un projet transformateur qui est en voie de se réaliser chez nous, un beau projet, bien pensé. Nous avons hâte de tirer le plein potentiel de ce terrain incroyable qu’est la friche ferroviaire.

— Caroline Bourgeois, mairesse d’arrondissement

https://res.cloudinary.com/villemontreal/image/upload/v1615513807/portail/zqmnewzl4ktvqseaql8j.pdf

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Le vélo gagne du terrain, mais creuse le fossé


Photo: Photos Valérian Mazataud, Le Devoir
Des données compilées par Éco-Compteur font état d’une moyenne de 450 passages quotidiens sur la piste cyclable de la rue Saint-Denis entre le 7 janvier et le 15 février. Celle-ci a été mise en place l’an dernier dans le cadre du projet de Réseau express vélo, qui prévoit à terme l’aménagement de 184 kilomètres de voies cyclables protégées accessibles toute l’année.

Zacharie Goudreault
6 avril 2021

La pandémie a suscité une véritable frénésie autour du vélo, à Montréal comme dans plusieurs autres métropoles du monde, créant un besoin pour plus d’infrastructures cyclables. La Ville se retrouve toutefois devant le défi de devoir répondre à cette demande sans s’attirer les foudres d’une partie de la population.

La tendance à la hausse de ce mode de transport à deux roues ne date pas d’hier. Entre 2001 et 2016, le pourcentage des déplacements entre le domicile et le travail effectués à vélo sur l’île de Montréal a plus que doublé pour atteindre 3,6 %, selon des données colligées par la Communauté métropolitaine de Montréal. Ce pourcentage grimpe à 14,5 % sur le Plateau-Mont-Royal et à 8,8 % dans Rosemont–La Petite-Patrie, tandis qu’il diminue à mesure qu’on s’éloigne du cœur de la métropole.

La pandémie semble d’ailleurs avoir accru cet attrait pour le vélo. Des données de la firme Moneris font notamment état d’un bond de 32 % des dépenses pour l’achat et l’entretien d’un vélo au Québec en 2020.

« La pandémie a fait en sorte que, pour beaucoup de personnes, c’est devenu un moyen de transport facile et sécuritaire », constate Véronique Laurin, conseillère en mobilité durable chez Jalon MTL. L’organisme à but non lucratif est notamment à l’origine du projet de livraison par vélos-cargos Colibri, qui s’étend dans un nombre croissant d’arrondissements à Montréal. Le cas de la métropole québécoise est d’ailleurs loin d’être isolé, les projets cyclables se multipliant dans plusieurs villes d’Europe et d’Amérique latine, de même que chez nos voisins du Sud.

« Aux États-Unis, il y a un intérêt croissant pour la bicyclette. De plus en plus de personnes font du vélo pour aller travailler », explique au Devoir Daniel Piatkowski, professeur adjoint en planification communautaire et régionale à l’Université du Nebraska, à Lincoln, qui suit depuis 15 ans la progression de ce mode de transport dans ce pays.

Ce dernier a coréalisé ce mois-ci une revue complète de la littérature sur les conséquences économiques et sociales de l’utilisation du vélo comme mode de transport. Le document de 15 pages mentionne notamment que la création de pistes cyclables fait augmenter la valeur foncière des immeubles à proximité, générant « des recettes fiscales accrues » pour les villes. La pratique du vélo comme mode de transport peut aussi contribuer à lutter contre la pollution de l’air en réduisant les déplacements en voiture, peut-on lire.

La pandémie a fait en sorte que, pour beaucoup de personnes, c’est devenu un moyen de transport facile et sécuritaire.

— Véronique Laurin

Populaire été comme hiver

À Montréal, la pratique du vélo n’est d’ailleurs plus marginale, comme elle l’était auparavant. Des données compilées par Éco-Compteur, que la Ville de Montréal a fournies au Devoir, font état d’une moyenne de 450 passages quotidiens sur la piste cyclable de la rue Saint-Denis entre le 7 janvier et le 15 février. Celle-ci a été mise en place l’an dernier dans le cadre du projet de Réseau express vélo (REV), qui prévoit à terme l’aménagement de 184 kilomètres de voies cyclables protégées accessibles toute l’année pour relier différents secteurs de la métropole.

« Il y a une croissance de la place du vélo en ville, et il y a un besoin pour plus de sécurité et de confort pour les cyclistes », souligne au Devoir le responsable de la mobilité au comité exécutif, Éric Alan Caldwell. Ainsi, cet été, la Ville poursuivra le déploiement du REV, notamment rue Peel, tandis que de nouvelles voies cyclables devraient aussi voir le jour pour bonifier le « réseau local », indique-t-il en entrevue. De nombreuses rues piétonnes verront aussi le jour dans des artères routières de la métropole, comme ce fut le cas l’été dernier.

Une levée de boucliers

La place que la Ville devrait accorder au vélo dans les rues de Montréal ne fait toutefois pas consensus. L’an dernier, plusieurs projets de pistes cyclables ont créé une forte division entre les résidents. Le projet de REV rue Saint-Denis a notamment soulevé l’ire de certains commerçants, qui ont menacé de poursuivre la Ville. L’administration de Valérie Plante a aussi été contrainte, l’été dernier, d’annuler plusieurs projets de « voies actives sécuritaires » devant le mécontentement populaire, notamment parce que celles-ci impliquaient le retrait temporaire d’espaces de stationnement dans certaines rues.

Une situation qui ne surprend pas M. Piatkowski, qui constate que « la culture de l’automobile » complexifie le développement du réseau cyclable en Amérique du Nord. « Dans la plupart des endroits aux États-Unis, on a beaucoup trop de places de stationnement. Le retrait de certaines places n’aurait donc pas d’effet sur les automobilistes. Mais la perception que ça les affecterait est si forte que beaucoup de projets [de pistes cyclables] ne voient pas le jour », explique-t-il.

Dans ce contexte clivant, Jean-François Rheault, président-directeur général de Vélo Québec, presse la Ville de colliger plus de données sur les répercussions économiques et sociales de la congestion routière afin d’augmenter l’appui populaire au transport actif à Montréal.

« Il faut savoir bien documenter et informer les gens de ces choix-là, reconnaît M. Caldwell, qui promet d’agir en ce sens. Sinon, on est condamné à avoir une plus grande utilisation de l’auto solo, à avoir plus de congestion et de place occupée par l’automobile dans notre ville. Et on ne réglera aucun problème, ni pour la sécurité des cyclistes, ni pour la sécurité des piétons, ni pour une amélioration de notre environnement urbain. »

En outre, la Ville devrait impliquer davantage les résidents dans tout le processus de création de ses aménagements cyclables dans une optique de « codesign », croit Victor Char, conseiller en mobilité durable chez Jalon MTL. À cet égard, M. Caldwell promet de bonifier le processus de consultation encadrant la mise en place de ses projets de pistes cyclables afin d’obtenir « l’adhésion du plus grand nombre ».

« J’ai espoir que les gens vont se les approprier et ne vont pas voir ça comme des projets qui ne les concernent pas », souhaite l’élu de Projet Montréal, tandis que se profilent les prochaines élections municipales.

Le vélo est le mode de transport qui est appelé à avoir la plus grande croissance dans les prochaines années. Ça, c’est sûr et certain.

— Jean-François Rheault

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Je ne suis pas convaincu que plus de consultation aiderait à obtenir “l’adhésion du plus grand nombre”. Les consultations ont tendance à mobiliser les opposants d’un projet ; ce sont d’eux dont on entendrait parler, au détriment de la majorité silencieuse.

Je suis davantage partisan du geste fort, imposé. Souvent, après un an ou deux, les gens s’habituent à un changement et n’y pensent plus. Je soupçonne que ça sera le cas pour le REV : ça a fait réagir au début, la présence de nombreux cyclistes va vite entrer dans les moeurs et habitudes, si bien que dans quelques années les gens auront de la difficulté à croire qu’on ait pu se passer du REV si longtemps.

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Il y aurait eu + de 14 000 passages sur la piste multifonctionnelle, dont 6987 passages à vélo, entre le 18 décembre 2020 et le 18 mars 2021. :snowflake: :bike: :cold_face: :cloud_with_snow:

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Le communiqué de la SPJCC

https://jacquescartierchamplain.ca/wp-content/uploads/2021/04/PISTEM1.pdf

Pas vraiment sur les pistes cyclables, plutôt une bonne nouvelle pour tous les cyclistes de Montréal: Le SPVM s’est enfin associé au Garage 529 / Project 529 pour contrer le vol de vélos

Pour ceux qui ne connaissent pas, Garage 529 est un site qui permet d’enregistrer son vélo et de déclencher une alerte si jamais il se fait voler. Plusieurs villes l’ont déjà adopté

J’ai enregistré mon vélo l’an dernier sur le site à l’aide d’un autocollant que j’ai acheté sur Amazon, mais il semble que le SPVM va en distribuer dans les postes de police et que les magasins de vélos va en fournir un à l’achat d’un nouveau vélo.

Pour enregistrer son vélo spvm.qc.ca/garage529

Détails ici : lickst.at/xGnM6jr

Article d’Urbania sur le sujet

Si on a déjà un compte, on peut ajouter le SPVM dans la liste des organisations associées par les paramètres du compte.

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merci!!! Je ne connaissais pas du tout. Je viens de m’inscrire, ajouté mes photos du vélo et numéro série, etc. j’ai commandé mon kit garage 529 sur Amazon…

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https://montreal.ca/actualites/un-amenagement-cyclable-transformera-la-rue-villeray-13165

Un aménagement cyclable transformera la rue Villeray

Publié le 22 avril 2021

Mis à jour le 22 avril 2021

Relié àVilleray–Saint-Michel–Parc-Extension

Dès cet été, la rue Villeray offrira une toute nouvelle expérience aux cyclistes grâce à la mise en place d’une piste cyclable protégée, conviviale et sécuritaire qui sera accessible quatre saisons.

Des nouveautés se déploieront cette année entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Boyer, en tant que première phase de la reconfiguration de la rue Villeray, identifiée comme lien cyclable privilégié lors de l’élaboration du Plan vélo en 2019 par la Ville de Montréal.

L’Arrondissement souhaite qu’à terme, une piste cyclable sur la rue Villeray unisse l’est et l’ouest du territoire, le traversant de la 24e Avenue au boulevard Saint-Laurent et reliant à la fois le parc Jarry, la Route verte et le Réseau express vélo. Afin de doter l’arrondissement de cet axe cyclable structurant, inclusif et agréable à parcourir par les cyclistes de tous âges, nous allons entamer tune démarche de participation citoyenne sur le prolongement de la piste cyclable à l’est de Boyer.

Dès mai, de courts travaux s’amorceront entre la rue Boyer et le boulevard Saint-Laurent pour faire place à ce nouvel aménagement.

Deux premières sections d’un axe cyclable en évolution

La première section de cet aménagement cyclable, accessible depuis le 1er avril, se situe entre les rues Saint-Denis et Boyer. La configuration s’apparente à celle mise en place en 2020 dans le cadre des voies actives sécuritaires avec plusieurs ajustements : des arrêts d’autobus et débarcadères universellement accessibles, piste cyclable ouverte quatre saisons et adaptation de la signalisation de stationnement pour favoriser le commerce local. Des bollards seront ajoutés prochainement afin de délimiter la piste de la circulation automobile.

Arr. VSP

Partage de la chaussé de la rue Villeray, entre les rues Boyer et Saint-Denis

De plus grands changements prendront forme sur la deuxième section, située entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent. Une voie cyclable protégée sera aménagée en direction est. En direction ouest, les vélos et les automobiles emprunteront la même chaussée, dans le cadre d’une vélorue. Un déviateur de circulation sera installé à l’angle de la rue Saint-Dominique : son objectif est de réduire la circulation automobile de transit pour optimiser la cohabitation des modes de déplacement, sans compromettre l’accès facile aux commerces.

Tracé de la piste cyclable sur la rue Villeray, entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent
Arr. VSP
Tracé de la piste cyclable sur la rue Villeray, entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent

En plus d’offrir un environnement plus propice à la pratique du vélo, ce partage de la chaussée permettra toujours l’installation de terrasses, essentielles pour préserver l’identité commerciale de la rue Villeray. Les changements visent également à améliorer la qualité de vie dans le quartier et créeront une ambiance apaisée. Contrairement à la configuration en place en 2020, celle-ci impactera plus faiblement le stationnement pour préserver en moyenne 60 % des espaces existants, jusqu’à 85 % sur certains tronçons.

Également, des améliorations additionnelles viendront bonifier la traversée du parcours : l’Arrondissement a planté 18 arbres sur la rue Villeray et ajoutera des supports à vélo sur les trottoirs. De plus, l’ouverture de la piste concordera avec le réaménagement de l’entrée du parc Jarry, à l’intersection de la rue Villeray et du boulevard Saint-Laurent, en faisant un point d’arrivée idéal.

Le début des travaux d’aménagement est prévu au courant du mois de mai. Les deux sections de la piste cyclable sur la rue Villeray devraient être accessibles dès le début du mois de juin.

Une démarche de participation citoyenne sera mise en place prochainement, en amont du déploiement de la phase 2 de l’axe cyclable sur la rue Villeray, entre la rue Boyer et le boulevard Saint-Michel. Continuez de suivre nos réseaux de diffusion. Nous ferons d’autres annonces au courant des prochaines semaines.


Arr. VSP
Plantation d’arbres sur la rue Villeray

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Excellente nouvelle! Il manque cruellement d’axes cyclables sécuritaires est-ouest dans Villeray.

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Super nouvelle ça wow. Je vais rarement dans Villeray mais la dernière fois, il y a quelques semaines, j’avais remarqué les traces de peinture défraichie d’une piste cyclable de chaque côté de la rue Villeray et je ne me souvenait pas qu’il y en avait une. C’était récent?

Il y avait eu une piste cyclable temporaire l’an passé avec la CoVId

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Ça serait cool que Google map ait une autre façon d’identifier les voies cyclables de grande qualité comme celle du REV.

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En ce moment Google Maps est vraiment incomplet pour les cyclistes. Ils ont des couleurs pour les pistes séparés des voitures (sentiers cyclables) mais c’est souvent en retard sur la réalité. De plus, les ‘‘voies douces’’ oublient d’importants chemins tout en ayant certains pas très convaincants…

Ils pourraient réorganiser ça en utilisant des couleurs plus distinctives
Ils pourraient désigner les pistes unidirectionnelles
Ce serait bien qu’ils mettent un mode hiver aussi.

Le problème, c’est que la communauté ne peut pas contribuer comme Wikipedia, il faut attendre que ça leur tente de rendre ça pas pire

La Ville a une carte du réseau cyclable 4 saisons avec une distinction sur les voies protégées
https://portail-m4s.s3.montreal.ca/pdf/reseaucyclable4saisons2020-2021.pdf

Je crois que cette information est disponible en données ouvertes. Google pourrait au moins ajouter cette information à sa carte.

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On a vraiment des grands déserts de pistes cyclables et on reconnaît facilement les arrondissements/villes de chars concernés

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Je pense que cette photo montre juste les pistes de la ville de Montréal. Les autres villes ont leur territoire grisonné, donc la carte n’affiche pas les pistes cyclables de ces territoires.

En ta défense, même s’ils affichaient les pistes cyclables de ces endroits il n’y en aurait pas beaucoup plus haha!

Edit: Ajouté l’image

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Exact sans compter que le cercle de @danny à Anjou concerne la partie très industrielle de l’arrondissement. Juste au sud du cercle on voit des pistes cyclables qui sont aussi dans Anjou. Le cercle au centre de l’île concerne Mont Royal qui est une ville indépendante dont les pistes cyclables ne sont pas répertoriés dans le document mais aussi une partie industrielle de l’arrondissement de Saint-Laurent. Pourtant on voit qu’ailleurs dans ce même arrondissement, juste en dehors du cercle se retrouvent des pistes cyclables. Attention aux conclusions hâtives de la sorte.

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J’ai grandi à Dollard Des Ormeaux, j’utilisais souvent les pistes cyclables là-bas. Il n’y en a pas autant, mais il ne faut pas oublier que la plupart des rues de l’ouest de l’île sont grandes et généralement très calmes (comme en banlieue), ce qui les rend sûres pour les cyclistes.

Je vais vous donner une idée de ce que Google Maps peut considérer comme ‘‘bicycle-friendly roads’’


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Saint-Charles bike friendly?? J’ai fait une seule fois du vélo là, et plus jamais, tant qu’il n’y a pas un meilleur aménagement. C’était horrible, le stresse et la peur a rendu l’expérience complètement désagréable.

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