REM - Discussion générale

No passengers i hope

Les passagers s’y trouvaient plus tôt ce soir, mais ce train a été évacué aux alentours de 21h et les passagers sont arrivés à Panama aux alentours de 21h30.

Le train en question aux alentours de 21h30…

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Moins bruyant, mais encore perturbant: Réseau express métropolitain | Moins bruyant, mais encore perturbant | La Presse

Someone else can do the embedding

Entendu aux nouvelles que les passagères et passagers ont été coincés près de 2 heures dans la rame qui était sur le pont :scream:

Une importante panne a également immobilisé trois trains du Réseau express métropolitain (REM), mercredi soir, forçant l’organisation à interrompre son service jusqu’à jeudi matin.

Un premier train a pu être évacué presque instantanément, a expliqué le porte-parole du REM, Francis Labbé. Un autre, en panne à Pointe-Saint-Charles, près du magasin Costco, a pu être évacué ensuite grâce aux escaliers de secours et les passagers ont été récupérés par des bus.

Quant au train immobilisé sur le pont Samuel-De Champlain, la tâche a été plus compliquée. Certains des passagers ont publié sur les réseaux sociaux être restés coincés près de deux heures.

« On tentait de réalimenter la voie pour pouvoir sortir le train lui-même avec les passagers dedans, mais ça tardait un peu donc on a envoyé un autre train pour les évacuer », a détaillé M. Labbé

J’espère qu’ils n’avaient pas trop envie d’aller aux toilettes!

I know someone on this REM! They sent a video walking along the emergency walkway, I believe they evacuated about an hour after waiting

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Sur Rem.info:

Petite information technique:
Plusieurs mesures sont utilisées en acoustique, comme l’amplitude du signal (2x = 3dB), puissance du signal (2x = +6dB) ou encore l’intensité du signal (2x +8db a +10dB selon la fréquence).
la perception humaine est souvent mesurée en intensité

Donc une réduction de -8dBA (1KHz) est a peu près équivalent au son de la music de votre téléphone si vous réduisez le volume de 100% à 50%.

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Je ne prends plus de chance perso… Même si je n’ai que 10 min de métro pour rentrer chez moi je vais prendre le soin d’aller à la toilette avant de quitter la job si mon corps me le signaler :rofl: Tellement chanceux que je pourrais être coincé dans un tunnel 2h alors que j’en ai plus envie. Le genre de scénario catastrophe ha ha.

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C’est considérable comme amélioration.

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Il y a encore toujours des articles et des commentaires négatifs lors de pannes et de ralentissements peu importe le contexte. C’est certainement ennuyeux.

Mais je vais vous ajouter une information de plus quand le REM est en panne ou en ralentissement.
Très souvent pour mettre en oeuvre le service de navette, le RTL dois annuler des passages de bus sur des lignes. Quand ton bus passe au 30 min. en heure de pointe et qu’un passage est annulé, ça rend le TEC encore moins populaire et ça continue à fournir des munitions pour les commentaires négatifs. Et surtout, je soupçonne que ça encourage encore plus de citoyens à délaisser le TEC.

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CDPQ Infra attribue à une fluctuation dans l’approvisionnement électrique les problèmes survenus mercredi soir alors que la tempête avec de forts vents faisait rage. Pour se protéger de ces fluctuations, les disjoncteurs ont coupé l’alimentation électrique du réseau du REM. « On a essayé de réenclencher les équipements et c’est là que ça a pris plus de temps que ce à quoi on s’attendait. On est en train d’essayer de comprendre [ce qui s’est passé] », a expliqué jeudi Francis Labbé, du service des relations avec les médias de CDPQ Infra. « Ce n’est pas la première fois qu’il y a déclenchement [des disjoncteurs], mais c’est la première fois qu’on a autant de mal à ramener les équipements. »

Texte complet : CDPQ Infra s’explique mal la longue panne du REM pendant la tempête

CDPQ Infra s’explique mal la longue panne du REM pendant la tempête


Photo: Christinne Muschi Archives La Presse canadienne CDPQ Infra attribue à une fluctuation dans l’approvisionnement électrique les problèmes survenus mercredi soir alors que la tempête avec de forts vents faisait rage.

Jeanne Corriveau
13 h 15
Transports / Urbanisme

Au lendemain de la panne qui a paralysé le Réseau express métropolitain (REM) mercredi soir, CDPQ Infra s’explique mal pourquoi l’alimentation électrique n’a pas pu être rétablie rapidement. À aucun moment, la sécurité des passagers coincés pendant deux heures dans un train immobilisé sur le pont Samuel-De Champlain n’a été mise en péril, assure toutefois la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

CDPQ Infra attribue à une fluctuation dans l’approvisionnement électrique les problèmes survenus mercredi soir alors que la tempête avec de forts vents faisait rage. Pour se protéger de ces fluctuations, les disjoncteurs ont coupé l’alimentation électrique du réseau du REM. « On a essayé de réenclencher les équipements et c’est là que ça a pris plus de temps que ce à quoi on s’attendait. On est en train d’essayer de comprendre [ce qui s’est passé] », a expliqué jeudi Francis Labbé, du service des relations avec les médias de CDPQ Infra. « Ce n’est pas la première fois qu’il y a déclenchement [des disjoncteurs], mais c’est la première fois qu’on a autant de mal à ramener les équipements. »

Trois trains se trouvaient sur les rails au moment de cette interruption de service vers 19 h 10. L’un des trains, immobilisé à proximité de la station Du Quartier, à Brossard, a été évacué rapidement. Les usagers du second train, arrêté à la hauteur de Pointe-Saint-Charles, ont pu quitter les lieux par les escaliers de secours.

Le troisième train, qui a interrompu sa course sur le pont Samuel-De Champlain avec une soixantaine de passagers à son bord, est toutefois resté sur place plusieurs heures. « Sortir les gens de ce train-là avec des vents de 90 km/h, ce n’était pas une bonne idée du tout pour leur sécurité. D’autant qu’on a passé une partie de la nuit à enlever des débris, des plaques de métal et de plastique, qui étaient tombés sur nos rails », a fait valoir Francis Labbé. « On a donc choisi de demander aux gens de rester dans les wagons. Je pense que c’était la décision à prendre dans le contexte. »

M. Labbé assure toutefois que CDPQ Infra était en constante communication avec les usagers. « Il y avait des messages qui étaient envoyés aux trois minutes aux gens qui étaient dans les trains », dit-il. « Il y avait des agents d’intervention qui étaient en contact par intercom et des employés étaient disponibles pour répondre à des questions spontanées. »

« On a gardé contact avec les usagers, ce qui nous a permis de voir qu’il n’y avait personne qui était dans une situation de crise. Sinon, on aurait réagi autrement », a-t-il ajouté. « Mais on s’entend, c’est déplorable. On comprend que ce n’est vraiment pas intéressant d’être pris deux heures, dans de forts vents, sur le pont dans un train dont la batterie faiblit faute d’alimentation. »

Tous les trains du REM sont munis d’une batterie, mais faute d’alimentation électrique, celle du train immobilisé sur le pont a faibli et le chauffage a cessé de fonctionner.

Après de multiples tentatives pour rétablir l’alimentation électrique, les autorités ont finalement décidé d’envoyer un autre train pour prendre en charge les usagers infortunés. Le service n’a pas repris en soirée. « Dans les circonstances qu’on avait hier, rétablir le service normal, ce n’était pas la priorité. La priorité, c’était la sécurité des gens qui étaient dans le train », signale M. Labbé.

Le REM a subi plusieurs pannes depuis sa mise en service en juillet dernier. En janvier dernier, après une série de pannes, des usagers du REM se sont plaints des arrêts de service à répétition et ont dénoncé l’exclusivité accordée au REM sur le pont Samuel-De Champlain, qui fait en sorte que les autobus ne peuvent plus y circuler et que leur temps de parcours s’est allongé pour de nombreux d’entre eux.

Dans la foulée de ces difficultés, la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, avait prévenu que des correctifs devraient être apportés au service du REM. « Pour provoquer un transfert modal, il faut que nos réseaux de transport collectif fonctionnent », avait-elle déclaré. « Les problématiques rencontrées depuis six mois doivent être prises au sérieux et nous devons nous assurer que les usagers sont bien informés. Il est impératif que le système s’améliore. »

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Les articles mentionnent qu’ils ont envoyé un autre train chercher les passagers. Ont-ils des variantes du REM qui fonctionne à essence pour ces situations? J’aimerais bien voir de quoi ils ont l’air!

Les véhicules de maintenance sont tous au diesel. Ça leur permet de couper l’alimentation pendant que les équipes de maintenance travaillent.

Non dans une entrevue radio, la personne des communications de la CDPQinfra a expliqué qu’une rame avec assez de réserve d’électricité dans la batterie a été envoyée

:radio: :headphones: Des usagers du REM encore coincés pendant deux heures : Francis Labbé Rattrapage du 29 févr. 2024 : Camper sous l’autoroute, et la Loi sur la laïcité confirmée

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Si les véhicules ont des batteries pourquoi le véhicule qui était pris sur le pont n’a pas pu l’utiliser pour parcourir la distance qui manquait?

What battery? This is news to me. I wasn’t aware that any of these Metropolis vehicles have traction batteries.

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well they must keep the charge somewhere

What charge? The motors are fed by the overhead wire, just like the motor in my vacuum cleaner is fed by the wire to the wall receptacle. I know most metro and light rail trains have small head-end power backup batteries to keep the lights on and the doors operating, as well as to maintain the communications system. But you can’t run a train on these batteries.

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