Sérieusement je comprend même pas pourquoi on offre une plateforme pour ce genre d’article inutile, pauvre banlieusard qui ont du attendre une fois et c’était pas clair…
Combien de personne doivent attendre une 6ieme bus plein quand y’a un arrêt de service. Oui le REM c’est pas parfait, mais les gens de banlieues arrêtez de brailler comme si vos vies en dépendait quand le REM est en panne
Les gens n’ont pas de mémoire ni ne savent compter. Je me demande combien de temps ça prennait quand tous les autobus faisait la file dans Griffintown ( avant la pandémie) . Aussi, on veut vraiment me faire à croire que tu peux te payer un stationnement au CV à ce prix.
Stationnement place Bonaventure 320$ par mois.
Palais des congrès 280$.
Surtout qu’on parle d’un achat de véhicule, pas juste utiliser la voiture déjà dans le garage. Je ne serais pas surpris que ça lui revienne plus cher que son 55$ de taxi pour lequel elle veut poursuivre… Tous les jours qu’elle part au travail, pour un VUS neuf.
Est-ce-qu’il y peut-être aussi des employés incompétents. Pourquoi, on indique au gens de se diriger au TCV quand c’est écris depuis longtemps que de 14h à 18h30, les gens doivent se rendre à Longueuil.
Je trouve qu’on stress trop sur l’utilisation de la portion sud à ce point-ci du réseau.
C’est l’un des gros avantages du REM sur les autres sociétés de transport: elle a tout à gagner à augmenter l’utilisation. Plus de passagers/km = plus de $$$, donc elle va tôt ou tard addresser les doléances des clients si ça leur empêchent structurellement d’utiliser le service.
En même temps, l’ouverture a été reporté quelques fois pour justement testé en mode hivernal. Ils sont ceux qui justifiaient le tout pour justement éviter d’avoir des problèmes avec la clientèle.
«Je n’ai pas de doute, le niveau est là, mais il faut faire tous les réglages et les mises à jour avant d’ouvrir», a ajouté M. Arbaud.
La CDPQ Infra veut également vérifier l’endurance de ses trains électriques dans un environnement hivernal.
Par la suite, une «marche à blanc», dans laquelle les trains rouleront dans des horaires réguliers, mais sans passagers, permettra de mener les derniers ajustements.
«Pour un utilisateur, si on lui fournit un système performant, il va très vite oublier ces délais.
Par contre, si on le plante le matin pour aller au travail par moins 20, il ne va pas oublier.
So what’s London’s excuse? These things are to be expected when something is new. The REM is averaging a 99% service reliability rate in its first 6 months of service and it’s still endless negativity… sigh.
99% of reliability seems like a lot, but on a year, it means 3 full days without service. Or 12 minutes everyday.
I guess a few minutes delay would pass, but a when it is more than one hour, even if it’s once a week, doesn’t appeal much !
Je ne suis pas contre faire des articles quand les choses ne marchent pas. Mais le problème ici au Québec que les media ne publie que rarement des articles / reportages sur les réussites ou les avantages des projets des TC contrairement au media français par Example. Cela donne une mauvaise réputation au TC en commun en général et ne favorise aucunement le transfert modal. .
Texte complet : Les arrêts de service sont « beaucoup trop longs », déplore le patron du REM
Les arrêts de service sont « beaucoup trop longs », déplore le patron du REM
Les trains du Réseau express métropolitain (REM) ont connu quatre arrêts de service en quatre jours la semaine dernière. (Photo d’archives)
PHOTO : CDPQ INFRA
À la suite d’une semaine marquée par quatre arrêts de service en quatre jours, le président et chef de la direction de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud, estime que le taux d’efficacité du REM est « bon », mais que la durée des arrêts de service est beaucoup trop longue.
Cette séquence d’interruption de service a commencé mercredi dernier par une panne en pleine heure de pointe du soir qui a paralysé la circulation des trains plus de 45 minutes dans les deux directions. Jeudi, c’est un problème dans le fonctionnement d’une porte palière qui a provoqué un arrêt de service.
Vendredi, un bris d’équipement a provoqué un ralentissement de service et samedi, la circulation des trains a dû être interrompue deux heures sur le pont Samuel-De Champlain pour procéder au déglaçage de la structure. Un problème hors du contrôle des autorités du REM, mais qui a causé tout autant de désagrément aux usagers.
Depuis le retour du mois de janvier, il y a eu des choses difficiles et cette semaine, effectivement, c’est un mauvais concours de circonstances. Ça n’excuse en rien la situation. On est pleinement conscient des inconvénients que cela cause aux usagers, a déclaré le patron du REM, Jean-Marc Arbaud, au micro de l’émission Tout un matin, sur les ondes d’ICI Première.
Questionné sur la fiabilité de la mise en service du premier tronçon du REM, il y a six mois, M. Arbaud assure que le taux d’efficacité du REM, qui devrait se situer autour de 99 %, est toujours bon, mais que c’est la durée des interruptions de service qui pose problème. Et on n’en est absolument pas satisfait, précise le patron du REM.
Est-ce qu’on peut avoir des pannes? C’est certain, mais pas avec une durée aussi importante par rapport à la cause [de la panne].
— Jean-Marc Arbaud, président et chef de la direction de CDPQ Infra
Des milliers d’usagers utilisent le REM chaque jour pour se rendre au centre-ville de Montréal. (Photo d’archives)
PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / GRAHAM HUGHES
Une partie du problème vient notamment de la formation des employés qui n’ont pas encore, selon lui, suffisamment l’habitude de nouveau système de transport. Par exemple, lors de l’incident impliquant une porte palière jeudi, c’est une mauvaise manœuvre lors de la remise en service qui aurait prolongé indûment la panne, a relaté M. Arbaud.
Nos fournisseurs [AtkinsRéalis et Alstom] savent très bien qu’il faut qu’ils apportent rapidement des solutions aux différents enjeux.
Mais il n’y a pas que les temps de réponse aux pannes qui clochent. La communication avec les usagers des trains demeure toujours problématique. Mercredi, les usagers pestaient contre les longues files d’attente pour les navettes et la transmission de mauvaises informations aux passagers dont plusieurs ont été dirigés vers des sites où il n’y avait pas de navettes.
C’est important qu’on communique mieux et plus par anticipation. Il y a des événements dans la semaine où la communication était loin d’être parfaite.
— Jean-Marc Arbaud, président et chef de la direction de CDPQ Infra
Des autobus doivent être mis en service rapidement lors des arrêts de service du REM pour assurer la circulation des usagers.
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS
L’entente qu’a prise le REM avec l’ARTM pour activer un système d’autobus pour déplacer les usagers lors des pannes connaît aussi son lot de ratés, a souligné M. Arbaud, qui explique que l’ARTM n’a pas été en mesure de fournir mercredi dernier des autobus à la Gare Centrale en heure de pointe pour une raison qu’il dit ignorer. Il présume que c’est à cause d’un manque de chauffeurs.
On a une entente avec l’ARTM pour qu’ils mettent en place un plan de relève advenant certains événements et il faut que ce plan de relève soit en place et soit efficace.
Québec s’impatiente
Au cabinet de la ministre des Transports du Québec, Geneviève Guilbault, on s’impatiente à la suite de ces arrêts de service récurrents depuis la mise en service du REM en juillet 2023.
Pour provoquer un transfert modal, il faut que nos réseaux de transport collectif fonctionnent! La ministre Guilbault est en lien avec les équipes du REM et de l’ARTM. Les problématiques rencontrées depuis six mois doivent être prises au sérieux et nous devons nous assurer que les usagers sont bien informés. Il est impératif que le système s’améliore, a réagi lundi le cabinet de la ministre.
La grogne s’installe
Pendant ce temps, les plaintes de la clientèle se multiplient, notamment sur les réseaux sociaux, où une pétition circule pour réclamer le retour du système d’autobus sur le pont Samuel-De Champlain, jugé plus fiable que le REM.
D’autres réclament une action collective contre le REM pour dédommager les usagers.
Enfin, certains clients disent qu’ils en ont assez d’être en retard au travail et qu’ils sont retournés à la voiture. Ce à quoi Jean-Marc Arbaud répond : Nous faisons tout pour aider nos fournisseurs à fournir une prestation de qualité et avec un système qui soit fiable. Le plus fiable possible.
En ce qui a trait aux problèmes de nuisance sonore des trains, le patron du REM a expliqué que le processus de meulage des rails est complété et que 85 % des absorbeurs dynamiques sont installés. Les 15 % manquants seront installés au printemps.
On peut voir que les mesures que nous avons prises ont eu un impact excellent sur le bruit et les nuisances sonores, se félicite M. Arbaud.
Pour ce qui est de l’entrée en service du tronçon de la phase 2 qui comprend les segments Ouest-de-l’Île, Rive-Nord et Centre de Montréal, des trains devraient commencer à y circuler dans le cadre d’essais au printemps, a assuré M. Arbaud.
On va commencer à faire rouler des trains sur la partie nord. Après, au début de l’été, on va réellement démarrer les tests sur cette partie. À ce moment-là, on verra pour donner une date [de mise en service].
Texte complet : Pannes répétées | Le REM devra faire mieux rapidement, martèle Québec
Pannes répétées | Le REM devra faire mieux rapidement, martèle Québec
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE
Le REM circulant dans le quartier Griffintown
Après quatre incidents techniques en quatre jours, le Réseau express métropolitain (REM) doit s’améliorer rapidement, réclame le gouvernement Legault. Le gestionnaire du train léger, lui, concède que plusieurs « problématiques » doivent être solutionnées.
Publié à 9h45 HENRI OUELLETTE-VÉZINA LA PRESSE
« Pour provoquer un transfert modal, il faut que nos réseaux de transport collectif fonctionnent. Les problématiques rencontrées depuis 6 mois doivent être prises au sérieux et nous devons nous assurer que les usagers sont bien informés », a martelé lundi la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
Selon elle, « il est impératif que le système s’améliore » dans les prochains jours, afin de redonner confiance aux usagers de sa fiabilité. Son ministère sera d’ailleurs en lien avec CDPQ Infra et l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour s’en assurer.
Mme Guilbault réagissait ainsi à une tournée radiophonique effectuée par le président et chef de la direction de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud, en matinée, dans la foulée des quatre incidents techniques survenus en quatre jours la semaine dernière. Le plus récent était survenu samedi, en raison de déglaçage sur le pont Samuel-De Champlain, et avait affecté le service pendant plus de deux heures. Les trois autres provenaient toutefois d’enjeux de systèmes, le plus souvent informatiques.
De longues pannes comme on a vu […] ça devrait être voisin de zéro. On ne devrait pas en avoir. Et on n’en est absolument pas satisfaits.
— Jean-Marc Arbaud, président de CDPQ Infra, sur les ondes de Radio-Canada
Selon lui, la situation du REM est « difficile depuis le retour du mois de janvier ». « Cette semaine, c’est un mauvais concours de circonstances. On a eu 4 enjeux en 4 jours. Ça n’excuse en rien la situation et on est pleinement conscients des inconvénients que cela cause aux usagers », a-t-il dit.
Des enjeux identifiés
M. Arbaud affirme que trois enjeux devront être solutionnés rapidement, de concert avec les fournisseurs du REM, soit AtkinsRéalis et Alstom. D’abord, il cite le fonctionnement des portes palières parfois « retardé » par de mauvaises manœuvres, comme ça a été le cas jeudi dernier. C’est selon lui le « mauvais nettoyage » qui serait en cause, du gravillon s’étant installé dans une glissière de la porte palière.
À ses yeux, le niveau de formation du personnel pourrait également jouer pour beaucoup dans la longueur des pannes, certains employés « n’ayant pas encore suffisamment l’habitude avec le système REM ».
« On l’a déjà dit, mais on a aussi des enjeux avec la communication vis-à-vis du public. Il faut qu’on communique mieux. Il y a des évènements dans la semaine où la communication était loin d’être parfaite », a ajouté M. Arbaud, qui écorche au passage l’ARTM pour l’inefficacité des plans de relève, soit ces autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) qui transportent les usagers en cas de panne.
Tout cela survient alors que les premiers trains devraient circuler sur la partie nord du REM à compter du printemps, en mars ou en avril. La livraison du train léger y est toujours prévue pour la fin 2024, mais un échéancier plus précis sera fourni au moment du lancement des tests formels, cet été.
Quant au bruit du REM, les travaux ne sont toujours pas terminés. Le meulage acoustique, soit le polissage sur les rails pour réduire le bruit de frottement avec les rails, est achevé. Mais les absorbeurs dynamiques, prévus pour réduire la propagation des vibrations sur les rails, sont installés « à 85 % », selon M. Arbaud.
Le reste devra attendre au printemps, dit-il. « Cela dit, je pense qu’on peut voir que les mesures que nous avons prises ont eu un impact excellent sur le bruit et les nuisances sonores. »
Photo: Jacques Boissinot, Archives La Presse canadienne
La ministre québécoise des Transports, Geneviève Guilbault, est en lien avec les équipes du REM et de l’ARTM pour s’assurer que des mesures sont prises pour redresser la situation.
Dans la foulée des arrêts de service à répétition survenus la semaine dernière et le cafouillage entourant les communications aux usagers, Québec juge que le service du Réseau express métropolitain (REM) doit s’améliorer.
« Pour provoquer un transfert modal, il faut que nos réseaux de transport collectif fonctionnent. […] Les problématiques rencontrées depuis six mois doivent être prises au sérieux et nous devons nous assurer que les usagers sont bien informés. Il est impératif que le système s’améliore », a indiqué le cabinet de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, lundi matin.
La ministre Guilbault, a-t-on précisé, est en lien avec les équipes du REM et de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour s’assurer que des mesures sont prises pour redresser la situation.
Au cours de la dernière semaine, le REM a connu quatre interruptions de service, dont une panne majeure mercredi dernier, en pleine heure de pointe. Comme le rapportait Le Devoir, les usagers ont été invités, mercredi dernier, à se rendre à l’extérieure de la Gare centrale, au 1000, de la Gauchetière, où des navettes devaient les conduire sur la Rive-Sud. Or, les autobus ne sont jamais venus et après une quarantaine de minutes, les usagers ont été informés qu’ils devraient se rendre à la station de métro Longueuil pour prendre les navettes. Des usagers ont fait part au Devoir de leur grande frustration. À bout de patience, certains ont même décidé de renoncer au REM pour prendre leur voiture.
En entrevue à Radio-Canada lundi matin, le président et chef de la direction de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud, a reconnu que le mois de janvier avait été difficile et que les interruptions de service étaient trop longues, mais qu’il s’agissait d’un « mauvais concours de circonstances ». « On a eu quatre enjeux en quatre jours. Ça n’excuse en rien la situation. On est pleinement conscients des inconvénients que cela cause aux usagers », a-t-il dit. « Nos fournisseurs, AtkinsRéalis et Alstom, savent très bien qu’il faut qu’ils apportent rapidement des solutions aux différents enjeux. »
Il a souligné que jeudi, le REM avait été aux prises avec des problèmes relatifs aux portes palières et que la reprise du service avait été retardée en raison notamment du manque de formation du personnel. M. Arbaud a par ailleurs admis que les communications avec les usagers étaient déficientes. « C’est important qu’on communique mieux et plus par anticipation. »
Jean-Marc Arbaud croit aussi que le plan de relève, qui est de la responsabilité de l’ARTM, devra s’améliorer. « Il faut que ce plan de relève soit en place et soit efficace », a-t-il dit. « Ça n’enlève en rien le fait que, pour moi, ce n’est pas acceptable. […] Les longues pannes comme ça, ça devrait être voisin de zéro. On ne devrait pas en avoir. C’est tout. »
Il a tout de même affirmé que le taux d’efficacité du REM demeurait élevé. « Si vous regardez sur le nombre de trains qui fonctionnent, le taux d’efficacité est toujours très bon », a-t-il soutenu.
S’ils crient trop fort ça peut leur revenir en pleine face. Ça me rappelle le REM de l’Est. Il y a une ligne rouge quelque-part où CDPQi va simplement retirer ses billes (Québec, Rive-Sud).
Et comme le REM de l’Est, CDPQi est en partie l’auteur de ses malheurs.
Si la satisfaction de CDPQINFRA envers GPMM continue d’être bas. J’espère qu’il y a des modalités pour résilier le contrat. Parce que sinon, on est pogné avec eux pour 30 ans.
When I needed to replace the clutch on my car, I needed to leave it at the mechanic’s for a couple of days too. I’ve had the fortune of never needing to call a tow truck other than when my car was ready for the scrap heap. That being said, when you car dies on the side of the highway, you’re stuck. You can’t just leave your car there. On the other hand, when the REM goes down, unless you’re stuck between stations, you’re getting on a shuttle that will still get you to where you need to go.
Cars, like transit are subject to the luck of the draw of whether or not they work or not. I’d guess that with the maintenance regimen of transit agencies that transit has a higher MTBF than personal vehicles on a mileage basis. It just feels like we have control on the outcome with cars when we’re still subject to the same probabilities. It’s just more frustrating when its “someone else’s fault”.
I have had the exceptional fortune of never being on a bus that died, or a metro that has been shuttled. My car and/or motorcycle on the other hand give me a issue at least once a year where I simply cannot use it. Not to mention the amount of times I get stuck in gridlock due to the misfortunes of others on public roads.