J’y ai pensé mais d’un point de vu UX/UI ca rajouterai beaucoup de complexité et aussi d’un point de vu backend, les deux entitées sont sur des bases de données différentes
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Le REM et les défis de l’hiver
LE REM EN SERVICE | PUBLIÉE LE 9 NOVEMBRE 2023
> Ouverture exceptionnelle ce samedi 11 novembre à 7 h 30
Le réseau ouvrira exceptionnellement ses portes à partir de 7 h 30, ce samedi 11 novembre, en raison d’une mise à jour de systèmes. Des navettes d’autobus vont assurer le trajet de 5 h 30 à 7 h 30 entre les stations Brossard et Gare Centrale.
L’hiver arrive au Québec! Avec les premiers flocons sur le sol du Grand Montréal, voici un survol de tout ce qui a été mis en place pour permettre au REM de circuler à l’extérieur.
Un plan d’opération pour faire face aux intempéries
Comme c’est le cas pour les automobilistes au retour de chaque hiver, il y a toujours une période d’adaptation de la conduite lors des premières neiges. Bien que nous ayons eu de grands apprentissages lors des précédents hivers, une adaptation aux changements de températures est nécessaire, particulièrement en cette première année de service.
Afin de bien nous préparer, nous avons réalisé différents tests au cours des dernières années:
1- Tests statiques en chambre climatique
De novembre à décembre 2020, des tests statiques se sont déroulés avec une voiture du REM dans l’une des meilleures chambres climatiques au monde, à Vienne, en Autriche. L’objectif : démontrer la validité de la conception des voitures en vérifiant que le confort des futurs voyageurs serait optimal et que tous les types de conditions climatiques n’impacteront pas les fonctions critiques.
Crédit photo : Alstom/Planimonteur-L.Trottier
2- Tests dynamiques du système de métro en conditions réelles
Au cours des derniers hivers, les équipes ont procédé à des tests dynamiques, avec un REM en mouvement, d’abord sur un court segment extérieur de 3,5 kilomètres et, ensuite, sur l’ensemble du tronçon de la Rive-Sud en 2022.
Crédit photo : JF Savaria
Utilisation des freins hivernaux
Tout comme des réseaux de transport dans d’autres grandes villes du monde, le REM est muni de freins hivernaux. La présence de portes palières dans nos stations exige une grande précision lorsque chaque voiture arrive en station et doit s’immobiliser au niveau de celles-ci. Un des apprentissages de la période de tests dynamiques est la nécessité d’appliquer, lors de tempêtes et en fonction de la quantité de neige reçue, une légère pression des freins afin de dissoudre la neige qui pourrait s’accumuler entre le sabot et la roue. Cela nous permet d’assurer la fine précision exigée dans l’opération du REM.
Dans les premiers jours, des équipes techniques seront déployées sur le terrain pour superviser la situation. Elles sont reconnaissables à leurs vêtements GPMM et/ou REM. Leur présence contribue à la bonne conduite des opérations.
Attention aux usagers et usagères : lorsque la légère pression du frein est appliquée sur la roue, il est normal que le contact entre les deux surfaces d’acier puisse dégager une odeur semblable à celle du brûlé.
Déneigement des voies
Finalement, afin de procéder au déneigement des voies, un ensemble de stratégies a été prévu : passages fréquents des voitures pour éviter les accumulations de neige, engins de maintenance spécialisés pour effectuer le déneigement des voies et déploiement du système de réchauffeurs d’aiguillage.
Une conception pour les hivers québécois
La conception de la voiture, un modèle Métropolis d’Alstom, a été spécialement adaptée afin de faire face au contexte climatique du Grand Montréal.
Les adaptations principales concernent les composants majeurs des 212 voitures commandées à Groupe PMM, notamment :
- Un double vitrage, pour une isolation thermique renforcée;
- Un pare-brise avant chauffant, afin d’éviter les accumulations de neige et de glace sur le vitrage;
- Un système de chauffage/climatisation à hautes performances;
- Des seuils de porte et des planchers chauffants;
- Des coupleurs automatiques chauffés. Ces coupleurs, aux extrémités des trains, ont pour fonction de « lier » deux trains ensemble afin de créer des rames de 4 voitures;
- Une sélection spécifique de matériaux sous la voiture (bogies, sablières…);
- Un chasse-neige installé à l’avant des rames pour faciliter le dégagement des accumulations de neige;
- Un grattoir à glace sur certains pantographes. Ce grattoir permettra de retirer les accumulations de glace sur la caténaire servant à alimenter le système en électricité.
Au chaud dans le réseau
Tant dans les stations que dans les voitures, des fonctionnalités sont prévues afin d’assurer le confort des usagers et usagères durant l’hiver.
Crédit photo : JF Savaria
Du côté des voitures, celles-ci sont équipées de différentes fonctions permettant une chaleur optimale et le confort des personnes à bord. Les blocs de chauffage ont été renforcés et le chauffage au sol permettra d’évacuer la glace et la neige que les voyageurs pourront peut-être amener en voyage avec eux.
En station, les bâtiments sont chauffés et équipés de portes palières qui permettent de minimiser la perte de chaleur entre les stations et la voiture.
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Si le train s’arrête pendant 1h durant une grosse bordée de neige collante, ça va être drôle de voir le REM devenir un banc de neige ambulant
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Dans les photos que J-F Savaria a publié aujourd’hui dans ses médias sociaux, il y en a une où on voit le REM changer de voie
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C’est drôle, c’est ce que je fait avec mon vélo pour retirer la neige/slush de la surface de frein. 
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The REM is using paper signs to warn people around work. Honestly, this is great. NYC has been doing this since forever and it’s a really easy way to inform people of work without requiring social media too.
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The REM’s website now clearly shows the service status on the homepage, without needing to search for it:
In French, the elevators are “In function”, (This should be “En fonction”)
And in English, the elevators are “In function”! (This should be “In service”)
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That’s hilarious. Maybe they let Sri City run the website.
Ou Elvis Gratton.
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They’ve fixed the French website (I bothered them to fix it).
English website still isn’t correct but it’s fine it doesn’t really matter (“In function” still makes some sense)
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At this point I think most transportation agencies have a Respond to mashdash protocol, and if they don’t, they should.
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À 4min30 environ du second vidéo, le journaliste pose la question ou affirme " si vous n’atteignez pas votre rendement de 8%, c’est le gouvernement qui compensera. "
Je ne comprends pas qu’un journaliste économique ne soit pas capable de comprendre le principe d’un rendement prioritaire. Si la CDPQINFRA fait un rendement de 6% à l an 1. Il n y a personne qui va mettre des fonds pour que CDPQINFRA est son 8%. Mais, à l an 2. Si les profits sont de 10%. Le 8% iras à CDPQINFRA et le 2% restant servira pour compenser l an 1. Si CDPQINFRA fait sont 8% et qu’ il y a un surplus, il va au gouvernement jusqu’à l entremise d un rendement de 3,7% de son investissement.
Donc, il n y a pas de retour pour le gouvernement tant que CDPQINFRA n a pas fait sont rendement prioritaire. Mais, il n y a aucunes obligations pour le gouvernement de compenser pour un rendement sous les attentes.
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La «période de rodage» du REM s’étire
Zacharie Goudreault
24 novembre 2023
Transports / Urbanisme
La « période de rodage » du Réseau express métropolitain (REM), évoquée pour justifier les arrêts de service et les défaillances du métro léger dans les jours suivant son lancement, à la fin du mois de juillet, s’étire, déplorent experts et usagers. Une situation dont témoigne la hausse des plaintes visant le REM dans les derniers mois.
Une véritable valse de passagers entrant dans le REM et en sortant avait cours jeudi matin à la gare Centrale de Montréal lors du passage du Devoir. Aucune interruption de service n’étant survenue, les usagers ont pu se rendre à temps au travail, sans embûches, un café à la main, après avoir profité d’un métro léger moderne aux passages fréquents.
Le service connaît toutefois des failles qui n’ont pas manqué d’être critiquées par ses usagers depuis son lancement. En trois mois, soit entre août et octobre, les usagers du REM ont déposé 563 plaintes, montrent des données fournies au Devoir par CDPQ Infra.
En comparaison, l’organisme de transport Exo, qui gère cinq lignes de train de banlieue, a enregistré 428 plaintes lors de cette même période, a indiqué celui-ci par courriel. « Le bon fonctionnement des équipements de vente et de perception est la principale raison de plainte », relève le porte-parole d’Exo, Jean-Maxime St-Hilaire.
La Société de transport de Montréal (STM) a pour sa part reçu 184 plaintes concernant son métro de 68 stations réparties sur 71 km pendant les mois d’août et de septembre. Le tout même si le réseau n’est pas muni de portes palières qui viendraient réduire les interruptions de service reliées aux usagers, contrairement au REM, mentionne Isabelle Tremblay, conseillère aux affaires publiques de la STM. Elle note au passage que les deux modes de transport sont « complètement différents », donc difficilement comparables.
Un départ en dents de scie
Parmi les plaintes reçues par l’opérateur du REM, 255 concernent les multiples interruptions et ralentissements de service survenus depuis que la ligne de cinq stations entre Brossard et le centre-ville de Montréal est en service.
Elles ont surtout été formulées en marge des premiers jours d’exploitation du métro léger, de même qu’en octobre, mois lors duquel 154 plaintes ont été déposées par des usagers, notamment en raison d’un manque de communication lors de pannes, lequel avait d’ailleurs été critiqué par la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
« J’ai l’impression qu’il n’y a pas de détails. On ne nous dit pas à quelle heure un bus va se présenter quand un arrêt de service survient », déplore ainsi Asmae Amrani, une usagère du REM rencontrée à la gare Centrale jeudi matin. « On dirait qu’ils ne sont pas organisés », soulève quant à elle Sylvie Robichaud, une résidente de Brossard qui garde de mauvais souvenirs des interruptions de service.
Les données font d’ailleurs état d’une hausse mensuelle des plaintes portant sur la « communication aux voyageurs ». Le nombre de critiques augmente aussi mensuellement pour ce qui est du manque de stationnement autour des stations et de la défaillance d’équipement — les distributrices de titres et les ascenseurs, entre autres, ont souvent été en panne dans les dernières semaines.
Une situation qui montre que la « période de rodage » du REM n’est pas terminée près de quatre mois après sa mise en service, estime Florence Junca-Adenot, professeure d’études urbaines à l’Université du Québec à Montréal. « Normalement, on doit arriver à une période de stabilisation des plaintes », poursuit l’experte en mobilité. Autrement, des usagers pourraient se décourager. « C’est clair qu’il faut à un moment donné arriver à une vitesse de croisière où il y a le moins de perturbations possible, parce que sinon, c’est un incitatif à prendre la voiture. »
Des plaintes prises au sérieux
Par écrit, Emmanuelle Rouillard-Moreau, conseillère aux relations médias chez CDPQ Infra, indique pour sa part que 22 interruptions de service de plus de 20 minutes, qui totalisent 20 heures sur un total de 1860 heures d’activité, étaient survenues sur le réseau du REM en date du 31 octobre. Le service bénéficie donc d’une fiabilité de 99 %, souligne-t-elle. CDPQ Infra assure également travailler avec ses partenaires pour améliorer la communication avec les usagers.
Plusieurs utilisateurs du REM interrogés par Le Devoir jeudi souhaitent que les mesures mises en place lors des pannes soient elles aussi bonifiées, notamment pour éviter aux travailleurs du centre-ville de Montréal d’avoir à faire un détour par Longueuil pour ensuite monter dans un bus bondé à destination de Brossard.
Les interruptions de service du REM « font plus mal » que celles qui surviennent dans le réseau souterrain de la STM, « parce que dans le cas du métro, en général, ça ne dure pas très longtemps, et dès qu’il y a un sentiment que ça va durer plus longtemps, il y a toujours des mesures “alternatives” qui sont proposées très rapidement », relève Mme Junca-Adenot. Du côté du REM, à l’inverse, « les mesures “alternatives” ne sont pas bien rodées », poursuit l’experte.
« Les gens se sentent moins au dépourvu quand il y a une panne dans le métro parce qu’il y a plusieurs options de rechange », soutient elle aussi la directrice générale de Trajectoire Québec, Sarah V. Doyon, qui propose un meilleur arrimage entre les différentes sociétés de transport de la région et le REM pour améliorer les options offertes lors des pannes du métro léger.
« Il y a des suivis qui sont faits. On est en communication avec l’ensemble de nos partenaires de transport sur le plan de relève » afin que les options proposées aux usagers lors des interruptions de service soient révisées, indique pour sa part Emmanuelle Rouillard-Moreau, qui précise que les équipes du REM sont à pied d’oeuvre pour se préparer à l’arrivée de l’hiver, notamment. « Notre objectif ultime, c’est d’offrir un service de qualité aux gens. »
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En parlant d’interruptions et de «ralentissements»,
l’heure n’est plus affiché dans les écran numériques des wagons depuis le gros «ralentissement» de 2h il y a quelques semaines.
C’est surement juste un «adon» 
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pas toute, il manque la station Griffintown–Bernard-Landry
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Tres bonne nouvelle.
Je m’attends.quand même à un retard de quelques mois. Si ils commencent les tests au printemps 2024…pas sûr qu’ ils seront prêts dès l’automne prochain.
Je continue de penser que cette énorme phase accueillera ses premiers passagers au printemps 2025
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La date c’est fin 2024 encore, personnellement ça ne m’ettonerais pas de les voir ouvrir le REM début décembre. Histoire d’avoir un peu de rodage avec des passager avant le rush du début janvier. Mais ca ne m’étonnerais pas non plus qu’ils repousse l’ouverture de 1-2 mois aussi.
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Ce n’est pas nécessairement faux:
- Prochaine phase du REM
- Je veux voir la construction débuter pour y croire. Pour l’instant cette station n’existe pas de mon point de vue.
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Il me semble que ça fait longtemps qu’ils disent que le réseau est prêt à 85%. C’était le chiffre qu’ils disaient lors de l’ouverture de la branche Sud. 