REM - Discussion générale

Realistically, if parking is full-full in the morning, that means the cost is not high enough. Either convert some more free spots to paid or create some “Super-Premium” spots which cost even more, but that will always have one available in the event that someone needs one in an emergency.

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Ce matin en heures de pointes j’ai vu les rames passer vers le centres ville pleines a craquer. Bonne nouvelle pour le TEC!

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What I’d like to see is a parkade, or at least a more permeable parking lot.

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100% d’accord!
Ainsi (en haussant le tarif) ça permettra une utilisation plus optimale du stationnement.
Ça convertira (par exemple) “certains” usagers qui hésitaient à prendre un bus pour s’y rendre.

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The paid parking was almost empty. Maybe about 7 cars in it.

Same is true for Chevrier Parking lot. It had about 15 cars in it after rush hour. I still can’t believe Brossard is paying $90k a year for that instead of on Bixi…

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Or in lieu of green/permeable paving, a solar canopy over the spots. Keeps the asphalt from absorbing (and then releasing) heat, and adds electricity to the grid on space that otherwise contributes little to improving society, “incentivizing” transit notwithstanding.

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So Brossard is financing free parking for a few people… :woman_facepalming:t2:

Like this supermarket parking in France

It’s now mandatory.

Depuis le 1er juillet, les nouveaux bâtiments à usage commercial, logistique, industriel ou artisanal, de plus de 500m² doivent équiper leurs toitures de panneaux photovoltaïques. Les bâtiments de bureaux de plus de 1 000 m² sont également concernés.

Pour l’instant, la couverture en panneaux solaires doit représenter au moins 30 % de la surface du bâtiment nouvellement construit ou lourdement rénové. Le taux passera ensuite à 40 % en 2026, puis 50 % en 2027. En 2028, tous les bâtiments de plus de 500 m² seront concernés, neufs ou existants.
[…]
Concernant les parkings, la loi d’accélération des énergies renouvelables impose désormais aux parkings extérieurs de plus de 1 500 m², de s’équiper d’ombrières photovoltaïques sur au moins 50 % de la superficie. Jusqu’alors, seuls les parkings rattachés à des bâtiments de plus de 500 m² étaient concernés. En cas de non-respect de cette nouvelle disposition, les amendes peuvent aller jusqu’à 40 000 € par an.

It also keeps the cars in the shade

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Ça ne fait que de bon sens.

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Le REM réclame 60 millions à ses assureurs


PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

05 septembre 2023 | Publié à 13h44 | Henri Ouellette-Vézina La Presse

« Malgré le temps écoulé depuis l’explosion et les nombreuses pièces justificatives communiquées aux [compagnies d’assurance], celles-ci n’ont toujours pas confirmé leur position quant à savoir si l’explosion et ses conséquences sont couvertes », lit-on dans une requête déposée mardi au palais de justice de Montréal.

Au total, près d’une vingtaine d’assureurs, dont Zurich Insurance, Liberty Mutual, Westport Insurance, Axis ou encore CNA Canada, sont citées dans la poursuite pilotée par le cabinet d’avocats montréalais De Grandpré Chait. Celui-ci estime les pertes et dommages de toute cette affaire à 60 millions, mais n’exclut pas que ce montant soit ensuite appelé à augmenter.

En juillet 2020, CDPQ Infra, le gestionnaire du train léger, avait fait face à une « détonation imprévue », alors que des explosifs datant du début du 20e siècle avaient été découverts dans le tunnel Mont-Royal. L’incident a forcé le report d’une branche névralgique du REM.

À ce moment, la Caisse de dépôt avait convenu que les dépassements de coûts pourraient atteindre jusqu’à quelques centaines de millions. À eux seuls, les travaux de renforcement dans le tunnel du mont Royal atteignaient environ 80 millions. Le gouvernement Legault, de son côté, avait indiqué d’emblée qu’il n’épongerait pas ces nouveaux coûts.

Selon la poursuite, une enquête réalisée après l’accident « a permis d’identifier que la cause ayant mené à l’explosion est l’interception d’un ancien trou de forage contenant des explosifs datant de la période de construction du tunnel en 1912 ».

Un « sinistre »

Dans le document, le bureau de projet du REM fait essentiellement valoir que l’explosion constitue un « sinistre », au sens où « aucun explosif n’avait été installé » à l’origine par le consortium responsable de la construction, NouvLR. Pour le prouver, le REM affirme avoir transmis à ses assureurs « une importante quantité de documents » visant à faire connaître « les circonstances de l’explosion, ses conséquences importantes sur le projet, de même la valeur estimée de sa perte ».

Outre les dommages et la suspension des travaux pendant plusieurs mois, les « méthodes de travail prévues ont dû être modifiées, ce qui a entrainé des conséquences importantes » sur l’échéancier du chantier, soutient-on.

Par mesure de sécurité, les 30 000 trous de forage requis pendant les travaux doivent depuis être réalisés à l’aide d’une caméra et d’un système de contrôle à distance.

Aucun employé ne peut être à moins de 50 mètres du lieu de forage. En deçà de 585 mètres, les ouvriers doivent être dans une cabine protégée, ce qui les empêche de travailler « de façon superposée et de mener différentes tâches en parallèle », avait expliqué à l’époque le président de CDPQ Infra, Jean-Marc Arbaud.

Celui-ci avait prévenu que « d’autres explosifs » pourraient demeurer dans le tunnel, d’où l’impact sur l’échéancier pour « prendre toutes les précautions ». En janvier 2022, La Presse avait rapporté que le chantier du REM avait été secoué par deux nouvelles explosions imprévues. Cette fois, il s’agissait toutefois d’explosifs modernes, utilisés par le consortium NouvLR pour élargir le tunnel et percer une station.

Quelle suite ?

On ignore encore ce qui adviendra dans ce dossier. Chose certaine : si un règlement à l’amiable n’intervient pas entre le REM et ses assureurs, un juge devra se pencher sur la question pour trancher.

Une seule antenne du REM a pour l’instant été mise en service : celle entre Brossard et la gare Centrale de Montréal fonctionne depuis le 31 juillet dernier, avec cinq stations, dont trois sur la Rive-Sud, une à L’Île-des-Sœurs et une au centre-ville de Montréal.


PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE | Une seule antenne du REM a pour l’instant été mise en service : celle entre Brossard et la gare Centrale de Montréal fonctionne depuis le 31 juillet dernier.

Pour le reste, CDPQ Infra avait annoncé en juin 2022 que la livraison de 18 stations du REM, au centre-ville, dans l’ouest de l’île et dans la couronne nord, devra à nouveau être reportée. Pour l’instant, il faudra donc attendre au moins jusqu’à la fin de 2024, le chantier étant encore durement touché par la découverte des explosifs. Quant au tracé devant relier l’aéroport au centre-ville, la livraison est prévue en 2027 seulement, des travaux de construction de la station devant d’abord avoir lieu jusqu’en 2026.

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What is the situation at Panama (free and paid parkings) as it is way smaller it used to be?

Indeed. The 10$/day or 121$ monthly fee is not unreasonable, given most parkades downtown are about 20$ for the day. If the paid portion is empty, it’s still a bad use of our investment. I’d convert half of the free parking to a paid parking, but lower the rate at 5$/day, 50$ month at Brossard since the service is new, and the goal of the station is to attract riders from further away. Panama being a more constrainted space and closer to downtown can keep a 10$/day price.

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I’ll write about it in the Panama section when I get home, I have quite a bit to share!

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To their credit, (only time I ever say that about Kirkland) they do have the only raised pedestrian crossing in the West Island. They seem to know how to do traffic calming and good pedestrian infrastructure, they just decide not to in most cases. Even this crossing doesn’t have sidewalks.

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Realistically, if parking is full-full in the morning, that means the cost is not high enough. Either convert some more free spots to paid or create some “Super-Premium” spots which cost even more, but that will always have one available in the event that someone needs one in an emergency.

This is a terrible idea right now. The reason the parking is full is not because it is too cheap, it is because the bus system to get to the station is horrible.

If you make the parking more expensive, people will continue to use it until the parking in Montreal is cheaper and then they will just drive to Montreal.

What needs to be done is really improve the bus connection, especially outside of rush hour.

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Tout est une question d’équilibre. En ce moment, ce qui détermine la disponibilité du stationnement c’est l’heure d’arrivée en majorité.

Sachant qu’il y a une énorme demande pour des gens qui ne peuvent pas se stationner après une certaine heure, je crois que c’est louable de tarifer le stationnement et générer des revenus pour la Caisse, jusqu’à un équilibre où ce n’est pas tellement cher que c’est rendu moins coûteux de conduire jusqu’au centre-ville et s’y stationner.

Se stationner à une station de métro est un privilège, donc je crois que c’est normal de payer pour ce privilège. C’est même beaucoup plus juste par rapport aux usagers qui arrivent en autobus depuis la zone C.

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Je ne pense pas qu’il faut taper sur les automobilistes en général. Que ce soit au niveau local (autobus) ou métropolitain (métros, trains) l’offre de transport en commun n’est pas adéquate (pour rester poli) et si plus d’automobilistes prenaient le transport en commun, le réseau ne pourrait pas le supporter (e.g. la ligne orange avant la pandémie). Nous avons des années de retard à combler pour créer une meilleure offre pour les citoyens. Commençons par la carotte avant le bâton.

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il y a quand même une limite. Même dans des villes comme Paris, Berlin et Londres, cet argument est utilisé (selon lequel les transports en commun ne sont toujours pas assez performants pour finalement utiliser le “bâton”). J’espère donc que nous réaliserons un jour que les choses vont assez bien et que nous n’avons pas peur de déprioriser les voitures dans certains endroits. Je pense qu’une fois le REM A et la ligne Bleue sont construits, on y sera presque.

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mais on vient de le dire, le but d’avoir plus de places payantes ça serait même pas punitif, mais rationner en fonction du besoin une ressource limitée

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Réf que le service de bus est inadéquat:

C’est l’oeuf ou la poule: il n’y a pas assez de fréquence car il n’y a pas assez d’usagers (qui utilisent alors leur voiture car pas assez de fréquence…)

Anyways, l’espace près d’une station de métro a une valeur considérable. C’est effectivement un privilège de pouvoir s’y stationner.

Si le stationnement gratuit devient rapidement complet, c’est que ce stationnement devrait coûter plus chers (afin de ré-équilibrer l’offre et la demande). Ça pernettra ainsi une utilisation plus rationnel de ces espaces.

En plus des revenus supplémentaires pour le REM, ça serait alors aussi un incitatif supplémentaire pour utiliser l’autobus.

→ Pour ceux qui ont fait le choix de demeurer dans une zone sans un bon service d’autobus, a t’on une obligation de vous fournir un stationnement gratuit?

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Attention! Il y a aussi à considéré l’accessibilité économique. Est-ce que les gens peuvent se payer un appartement/condo plus près de leur lieu de travail? Souvent la réponse est non surtout depuis 2021. Je prend mon exemple, j’aimerais accédez à la propriété plus près du centre mais pour un condo 2 chambres les prix commence à plus de 650 000$ plus les frais annuel relatif. Sinon ma maison en première couronne payé 260 000$ ne me permet tout simplement pas de me qualifié avec mes revenus pour avoir accès à une hypothèque de plus de 350 000$.

Donc aussi bien dire que de plus en plus l’ile de Montréal deviens inaccessible pour une grande majorité de gens qui veulent acheté. Et pour la location ont parle d’un prix moyen de 1600$/mois pour un appartement 2 chambres. Honnêtement j’ai plus vu près de 1800-2000$/mois. Alors je choisi par défaut de resté à l’extérieur de l’ile. Et Si tu n’as pas un travail de bureau au centre-ville (lundi à vendredi de 9h à 17h) les transports en commun ici (Vaudreuil) sont pratiquement inutile. Alors nous avons 2 voitures et pas par choix.

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Je comprend le choix “économique” de s’établir en banlieue / 2e couronne etc. versus l’ile de Montréal. Et c’est parfaitement logique et justifiable.(C’est aussi ce qui nourrit l’étalement urbain, mais ça c’est un autre débat).

J’ai aussi choisi l’emplacement de ma résidence en fonction de mes moyens, et des compromis qui s’en suit. Et ça incluait le coût / temps pour me rendre au travail via autobus / métro ou automobile. J’utilise surtout mon auto (mais je ne vais pas au C-V)

Et j’assume alors 100% de mon choix de résidence. Et le cas échéant, j’accepte les contraintes de transport en commun qui viennent avec.

Si plus tard de nouvelles opportunités de transport apparaissent (stations REM…), génial alors. Je regarde si le package (bus vers le REM, ou parking $ au REM) est plus
attrayant que mon auto. Et je décide. Et le cas échéant je serai parfaitement heureux de payer le stationnement si ça m’assure une place à mon arrivé.