Refonte du réseau bus

The bus redesign includes installing new signage across the network that feature the colours used online: pink, lighter blue, and purple!

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By 2023, they plan on putting the direction of the bus stop as well:

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omg thank god

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Est-ce qu’ils vont aussi ajouter la direction sur les girouettes des bus? C’est une demande que j’avais faite il y a quelques temps.

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En réponse:
“Pas pour le moment, mais c’est clairement quelque chose que nous aimerions voir. Nous sommes actuellement limités par la technologie utilisée par Axion-Luminator pour ce panneau de destination. Mais nous travaillons activement et parlons pour être sûrs d’inclure cette possibilité à l’avenir.”

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En quoi c’est si complexe de rajouté Est ou Ouest lors du switch de direction ? On est capables d’avoir des messages comme : Bravo Canadiens, ou Alouettes, etc, donc rajouté un mot au messages de bus, genre 24 Sherbrooke Est & 24 Sherbrooke Ouest.

Et si c’est trop long, ça va juste apparaître en 2 temps, comme les longs noms de bus genre 427 Expresse St-Joseph

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D’autant plus que Longueuil et Laval affichent beaucoup plus d’informations sur leurs panneaux que ce qu’on demandais. À moins, qu’on utilise des girouettes différentes, je ne vois pas trop à quelles contraintes techniques ils font référence.

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De nouvelles lignes d’autobus sont à prévoir sur la Rive-Sud avec l’arrivée du REM. C’est une bonne occasion d’améliorer le maillage du réseau de TEC pour les usagers. :spider_web: :sunglasses:

Le réseau de bus de la Rive-Sud se prépare à l’arrivée du REM


Photo: Paul Chiasson La Presse canadienne | Un train du Réseau express métropolitain est arrêté à la station de Brossard, en construction.

Le Devoir | Transports / Urbanisme | 6 avril 2022, 20h49 | Zacharie Goudreault

L’arrivée prochaine du Réseau express métropolitain (REM) bouleverse déjà les habitudes de plusieurs sociétés de transport de la grande région de Montréal. Mais pour Exo, elle offre aussi l’opportunité de refondre son service d’autobus sur la Rive-Sud pour faciliter les déplacements entre les villes de la région.

À l’heure actuelle, par exemple, un résident de Chambly qui souhaite utiliser le transport en commun pour se rendre à Candiac doit se rendre par bus jusqu’au centre-ville de Montréal avant de pouvoir emprunter une autre ligne en direction de sa destination. Il faut ainsi prévoir environ 80 minutes pour se déplacer entre ces deux villes pourtant situées à moins de 30 km l’une de l’autre, a souligné le conseiller principal au développement des réseaux d’Exo, Julien Grégoire, lors d’une rencontre virtuelle à laquelle Le Devoir a pris part.

La mise en fonction prévue du REM sur la Rive-Sud cet automne devrait changer la donne : Exo pourra alors faire usage des autobus desservant une quinzaine de lignes qui utilisent présentement le pont Samuel-De Champlain, auquel ils n’auront plus accès, pour assurer de nouvelles liaisons entre les différentes municipalités de la région.

« On voulait revoir la desserte pour qu’elle réponde mieux aux besoins de l’ensemble de la population [de la Rive-Sud] », a ainsi résumé la directrice au développement des réseaux d’Exo, Catherine Beaulieu. Les heures de service seront aussi élargies le matin, le soir et la fin de semaine, a indiqué M. Grégoire.

Ainsi, au terme de cette refonte, un résident de Candiac désirant se rendre à Chambly en transport en commun pourra emprunter un bus pour se rendre d’abord au terminal de Brossard, puis un autre vers sa destination finale. La durée totale de ce trajet sera alors de 35 minutes, entrevoit Exo.

« Le terminus de Brossard du REM va devenir notre grand terminal central d’Exo. On va avoir une vingtaine de lignes qui vont s’y rabattre, ce qui va permettre de mieux connecter la couronne sud. Ça va devenir une espèce de pôle d’échanges central sur la Rive-Sud », a illustré M. Grégoire. Les déplacements à l’intérieur de la région seront aussi facilités dans les environs de Longueuil, depuis la station Panama, a-t-il ajouté.

À terme, l’ensemble de lignes de bus d’Exo (qui en compte plus de 230 à travers les banlieues nord et sud de la métropole) fera l’objet d’une refonte. Cette première étape se limite toutefois à une douzaine de municipalités de la Rive-Sud qui seront directement affectées par l’arrivée de la première phase du REM.

La réforme permettra de multiplier les trajets vers les stations Brossard et Panama du REM, entre autres, mais aussi vers plusieurs quartiers industriels et les établissements scolaires de cette région en plein boom démographique et économique.

Quant à savoir si les résidents de la Rive-Sud pourront aussi se rendre plus facilement au centre-ville de Montréal, Exo n’a pas voulu s’avancer. « Ce ne sera pas nécessairement plus vite, mais ce ne sera pas plus long », a laissé tomber Mme Beaulieu lorsque questionnée par Le Devoir à ce sujet.

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Le réseau des bus de l’île-des-Soeurs fera aussi l’objet d’une refonte, juste à temps pour l’ouverture de la station du REM.

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Rive-Sud de Montréal Un réseau de bus « transformé » par l’arrivée du REM


PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, LA PRESSE | Les services d’exo sur la Rive-Sud de Montréal seront concentrés à la station Brossard et d’autres circuits d’autobus iront jusqu’à la station Panama à l’arrivée du REM.

L’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) sur la Rive-Sud de Montréal marque un « grand changement » pour son réseau de bus, lesquels ne pourront plus emprunter le pont Samuel-De Champlain pour se rendre au centre-ville. Exo, le réseau qui les exploite, compte profiter de l’occasion pour redévelopper son offre entre les banlieues.

15 avril 2022 | Publié à 7h00 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

« On ne pourra plus directement aller au centre-ville. C’est le REM qui va faire le lien maintenant. Notre quinzaine de lignes concernées vont s’arrêter à la station Brossard principalement, qui va devenir un pôle pour nous, et certains services iront jusqu’à la station Panama. Ça implique toute une réorganisation », explique à La Presse la directrice au développement des réseaux chez exo, Catherine Beaulieu.

Elle affirme que le changement se fera « du jour au lendemain », dès l’implantation du REM sur la Rive-Sud – qui est pour l’instant prévu à l’automne –, d’où « l’urgence d’agir » pour son organisation.

Jusqu’ici, les réseaux d’exo étaient surtout faits de lignes locales qui se rabattent sur des stationnements incitatifs. De là, partent ensuite des circuits express vers le centre-ville. C’est maintenant en bonne partie de la station Brossard que les bus partiront, à la différence que les tracés desserviront surtout les banlieues entre elles. Le REM se chargera d’amener les gens qui le souhaitent vers le centre-ville.

« Tout ça fera en sorte de simplifier les déplacements sur la couronne. Je vous donne un exemple : actuellement, quelqu’un qui part de Chambly vers La Prairie doit aller au centre-ville et ensuite revenir sur la Rive-Sud. Ça prend une heure vingt, c’est très long, et ce n’est pas très intuitif. Maintenant, avec ce pôle à Brossard, on aura une ligne Chambly-Brossard et une autre vers La Prairie. Ça ne prendra maintenant que 35 minutes », confie Mme Beaulieu.

Les banlieues changent aussi

Exo dit avoir pris la décision de « refonder son réseau » – un exercice qui se fait à coûts fixes puisque les kilomètres perdus vers le centre-ville sont « réinvestis » et non pas « ajoutés » – pour offrir le plus d’options aux usagers. Mais aussi parce que la vie en banlieue se transforme, elle aussi.

« On voyait déjà des choses changer avant la pandémie, mais la COVID-19 a accéléré certains phénomènes. Les banlieues deviennent de plus en plus autonomes, avec des pôles d’emploi, d’éducation, de loisirs. On y retrouve de plus en plus de campus. Bref, ce ne sont plus seulement des lieux de résidence. Et c’est une évolution à laquelle on veut répondre », poursuit la directrice des réseaux.

Son groupe vise aussi à faciliter les déplacements locaux « à l’extérieur des heures de pointe », notamment en milieu de journée. Avec la présence maintenant bien installée du télétravail, le réseau « doit offrir une solution de rechange tout au long de la journée », affirme Catherine Beaulieu à ce sujet.

« Il y a aussi beaucoup de quartiers industriels qui méritent d’être mieux desservis, notamment celui de Chambly, qui est très peu accessible. On aura des lignes qui y iront directement dorénavant. Ça va créer une masse d’employés beaucoup plus vaste venant de Montréal ou de Longueuil », précise-t-elle aussi.

Défis de taille

Dans les prochains mois, voire les prochaines années, l’arrivée des futures antennes du REM risque de créer ce même rapprochement local des différents réseaux d’autobus d’exo autour de l’île de Montréal. Une « refonte » similaire est notamment prévue à l’ouest puis à l’est de la couronne nord, puis à l’extrême ouest et est de la couronne sud. « On veut être prêts en 2024 pour revoir ces réseaux-là, quand le REM va débarquer. On poursuit nos efforts en ce sens », conclut la cadre.

Pour la professeure au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM Florence Junca-Adenot, cette « remodélisation » du réseau implique des défis majeurs. « C’est un peu comme ce que fait le Réseau de transport de Longueuil (RTL) actuellement : ils n’ont pas le choix de se réorganiser. Le REM leur impose en quelque sorte de revenir vers une desserte plus locale », observe-t-elle.

« Cela dit, il ne faut pas sous-estimer les difficultés que ça peut engendrer, enchaîne l’experte. Qu’on le veuille ou non, un bus, ça a besoin de densité. Et avec la COVID, qui amène des changements dans l’organisation du travail, les horaires modifiés vont agir sur nos déplacements. »

Mieux desservir localement « devient donc beaucoup plus complexe », poursuit encore Mme Junca-Adenot, qui réitère toutefois que tout demeure « possible et réalisable ». « Je pense qu’on va dans le bon sens avec cette démarche. Ils auront l’occasion de faire toute une batterie de tests », conclut-elle.

EN SAVOIR PLUS

  • 242

À ce jour, le réseau d’exo compte 242 lignes d’autobus et 61 de taxibus, 66 stationnements incitatifs offrant 28 160 places d’automobile et 3585 places de vélo. L’organisme chapeaute aussi 5 lignes de train de banlieue et 52 gares.

Exactement comme la STL y’a 15 ans précisément quand le métro est venu sur l’île Jésus!

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En même temps, ce n’est pas comme si le rabattement vers les lignes de transport lourd n’était pas pratique courante. À ma connaissance, le RTL opère une seule ligne le long du tracé de la ligne jaune. La et Exo ont modifié presque toutes leurs lignes de la couronne nord pour les rabattre sur les stations de Laval quand l’AMT y a prolongé la ligne orange. Seule la 31 Auteuil traverse le pont. Il en serait de même à l’ouest si on prolongeait la ligne orage de Côte-Vertu vers Laval.

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Je pense que le REM Lavoie va sur Curé-Labelle justement pour laisser la Voie libre pour la Orange au Centre-ville de Laval en confirmation! C’est un un peu hors-sujet je sais !

“lesquels ne pourront plus emprunter le pont Samuel-De Champlain”, “Le REM leur impose en quelque sorte de revenir vers une desserte plus locale”… on pourrait aussi dire “lesquels n’auront plus besoin d’emprunter le pont Samuel-De Champlain” et “Le REM leur permettent en quelque sorte de se concentrer sur une desserte plus locale”. Les premières formulations permettent de dépeindre le REM comme néfaste, et c’est ce que beaucoup de personnes retiennent, pourtant l’article décrit une transformation globalement positive.

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Sa m’étonne qu’il n’y a toujours pas de consultation pour la refonte de bus pour l’ouest de Montréal. Le rem devrait arriver dans 2 ans dans ce secteur et il n’y a toujours rien.

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Oui les horaires pour les 3 lignes sur l’île des sœurs sont déjà fait en plus!

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Que veux-tu voir dans l’ouest? Ma priorité est une réseau de 15 min sur tous les axes principaux coordonnées avec le REM, et de maximiser l’accès à ce réseau.

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Perso J’aimerai un service comme le 470 mais qui va à l’est au lieu de L’Ouest, surtout si la STM veut implanter une voie dédié sur Pierrefonds. Ceux qui habitent entre St-Jean et Des Sources pourraient plus facilement se déplacer à Fairview.

De plus, J’aimerai voir des bus express qui servaient comme navette entre certains hubs. Par exemple un bus Fairview-Angrignon qui rendrait les trajets entre l’ouest et les autres destinations sans passer par le CV. Le REM va surement réduire le temps de trajet, mais on pourrait encore améliorer le transport entre les arrondissements.

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Des infrastructures piétonnes de base, que les secteurs de l’est (même les moins denses) prennent pour acquis, comme des trottoirs.

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