lampadaires et feux de circulation installés!
Il reste une intersection à bétonner et par la suite, ce sera le temps de faire l’asphaltage au complet et les plantations.
lampadaires et feux de circulation installés!
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Les restes d’un ancien zoo découverts sur le Plateau-Mont-Royal
Des fouilles menées près de l’avenue des Pins ont permis de découvrir une fontaine près d’un ancien jardin botanique.
PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS
La Presse canadienne
Publié à 13 h 56
Des fouilles archéologiques menées sur le Plateau-Mont-Royal ont récemment permis de retrouver une fontaine qui aurait été située à l’entrée d’un ancien zoo et d’un ancien jardin botanique où les Montréalais pouvaient admirer au XIXe siècle des hippopotames, une baleine qui vivait dans une citerne ainsi que des acrobates.
Jonathan Choronzey, un archéologue de la firme Ethnoscop, dit que la fontaine a été découverte pendant des travaux routiers sur l’avenue des Pins.
« Je ne sais pas si une attraction touristique d’aujourd’hui pourrait s’y comparer. Tout le monde y venait, Anglais comme Français, riches et pauvres. Tous venaient admirer les animaux exotiques et les spectacles. »
— Une citation de Jonathan Choronzey, archéologue
La fontaine était un élément d’un des premiers jardins botaniques de Montréal, fondé par Joseph-Édouard Guilbault au XIXe siècle.
M. Choronzey raconte que ce Joseph-Édouard Guilbault était un horticulteur qui a déplacé son jardin plusieurs fois avant de l’installer vers 1860 près de ce qui est aujourd’hui l’avenue des Pins. À l’époque, ce secteur était essentiellement rural, ce qui lui a permis d’étendre la superficie du jardin pour y inclure un zoo et pour y accueillir des cirques ambulants.
Justin Bur, administrateur de la Société d’histoire du Plateau-Mont-Royal, mentionne que M. Guilbault avait commencé en vendant des plantes exotiques aux riches mais qu’il avait diversifié ses activités vers d’autres formes de divertissement.
Une affiche datant de 1862 annonce la venue du cirque Hippozoonomadon mettant en vedette les plus gros éléphants au monde, un hippopotame, des chevaux et des… comédiens.
Une baleine blanche
En 1864, un journaliste du Montreal Herald avait écrit un article enthousiaste sur un équilibriste nommé Farini dont le numéro était si audacieux que de nombreux spectateurs qui l’observaient silencieusement étaient stupéfaits de sa témérité.
Les journaux racontaient aussi que M. Guilbault avait engagé un chasseur pour capturer une baleine blanche, sans doute un béluga. Il avait prévu de transporter la bête par train dans une citerne.
La baleine blanche dont il est question était probablement un béluga.
PHOTO : ISTOCK
Ce monstre est, selon ce qu’on nous a dit, le plus gros animal jamais transféré d’un endroit à un autre, pouvait-on lire dans un article du Montreal Herald de mai 1863. L’animal de 19 pieds était plus gros que celui présenté par Barnum et qui lui avait permis de réaliser un immense profit, poursuivait le journaliste en référence à l’éminent homme de cirque américain, P. T. Barnum, fondateur du cirque Barnum & Bailey.
Un parc d’attractions?
Le jardin accueillait une patinoire l’hiver. Des sources historiques mentionnent la présentation de pièces de théâtre et la présence d’une école de cirque, d’aires de pique-nique et de terrains de sport.
C’est bien avant l’invention du cinéma, bien avant l’invention de la radio. Les gens avaient besoin d’une forme de divertissement qui était réel, explique M. Bur.
Bernard Vallée, guide touristique qui a étudié les jardins montréalais, décrit M. Guilbault comme un Barnum canadien qui avait compris que les gens avaient besoin de s’évader de leur vie de tous les jours.
« Il y avait un côté visionnaire à cet entrepreneur. Il constatait que les citoyens des villes en croissance avaient besoin de loisirs, avaient besoin de la nature. Dans un contexte de développement urbain et de misère, ils avaient besoin de s’évader. »
— Une citation de Bernard Vallée, guide touristique
M. Choronzey dit que la fontaine est présentement le seul artéfact lié au jardin de M. Guilbault qui a été retrouvé pendant les fouilles.
À l’exception d’une petite place publique située tout près et nommée en l’honneur de M. Guilbault où les sculptures d’hippopotame rose ont été installées, il n’existe que bien peu de traces du premier parc d’attractions de la métropole.
Il y a eu plusieurs fouilles archéologiques à Montréal, notamment sur le site du fort de Ville-Marie, comme le montre notre photo. (archives)
PHOTO : MUSÉE POINTE-À-CALLIÈRE
M. Choronzey mentionne que les fouilles ont permis de découvrir des objets typiques de la vie à l’époque victorienne, notamment de la vaisselle, des fondations de maisons et de vieilles toilettes. Il ajoute qu’il y a beaucoup de choses enfouies sous les rues de Montréal, probablement les traces de la présence des Premières Nations, des colons français ou des habitants du XIXe siècle, selon les secteurs.
Il y a toujours quelques joyaux cachés sous nos pieds, lance-t-il.
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Jai hate que le REV soit poursuivi suite a cette complétion!
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Ce matin, mon voeu est exaucé : les travaux de complétion du REV vers le sud sont en cours. Il y a désasphaltage vers Sherbrooke jusqu’au Carré St-Louis, et il y a fort à parier que la totalité sera faite d’ici la fin de la journée. Je ne crois pas qu’il y ait de mails en béton prévus par contre. J’ai passé assez rapidement en vélo.
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Maintenant avec la nouvelle végétation, à chaque année la rue gagnera en beauté et en fraicheur pour le plaisir et le bien-être de tous les citoyens et les visiteurs.
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Juste voir ces pistes cyclables 
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Un système d’arrosage automatisé?
C’est ce que je crois également. Chaque espace de plantation avait ce tube entourant les végétaux. 
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Plusieurs fosses récentes dans le Plateau ont ce système, comme à la place Andrée-Lachapelle 
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Très content de voir ce projet progresser.
J’aurais aimé voir les pistes cyclables être construites en béton (avec une démarcartion claire par rapport au trottoir) question de durabilité, mais c’est un détail. Je ne sais pas si les voies automobiles auraient pu être beaucoup plus étroites puisqu’il s’agit d’un axe de camionnage recommandé (est-ce que ça va changer?), mais je ne m’inquiète pas outre mesure des trottoirs étroits; ce n’est pas une artère commerciale, je doute que le trafic piéton y soit tellement considérable. Disons que je vais plaider pour une amélioration de la situation sur l’avenue du Mont-Royal (obsolète) avant de déchirer ma chemise sur cette rue davantage institutionnelle et résidentielle.
Une déception toutefois: les fosses de plantation sont étroites alors qu’elles auraient pu s’étendre sous la piste cyclable en souterrain, augmentant le potentiel de croissance des racines, mais on aurait certainement pu faire d’une pierre deux coups et inclure des aménagements pour absorber l’eau de pluie et la détourner des égoûts. Le potentiel était là, c’est vraiment une occasion manquée. Dommage qu’on se limite encore à des micro-projets “phares” comme la place des Fleurs-de-Macadam. Les fosses sont également séparées par de larges dalles de béton sans que je n’en comprenne la raison. Un passage de largeur “trottoir” uniquement devant les entrées des résidences et institutions aurait été parfaitement suffisant (et un débarcadère aux arrêts d’autobus).
Pourquoi dépenser davantage dans du béton qui imperméabilise les sols et qui nécessitera un remplacement à l’avenir? La ville comme donneur d’ouvrage n’a-t-elle pas des lignes de conduite pour les nouveaux projets moindrement en phase avec ses aspirations écolos? On dirait que chaque projet qui se démarque à ce niveau relève plus de l’anomalie que d’une réelle politique concertée. Je n’ai pas de chiffres à l’appui, mais je doute que d’utiliser beaucoup moins de béton se révèle tellement plus dispendieux…
Bien vu, merci!
Je remarque toutefois que sur ce rendu, les fosses sont continues (i.e pas séparées par de larges îlots de béton), que la piste cyclable est en béton et les trottoirs en pavé… Reste à voir ce qu’il en est dans la réalité! Il n’y a pas seulement Devimco ou CF pour nous offrir des rendus aguichants qui résistent mal à l’épreuve de la réalité…
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C’était pas mal sur les rendus depuis le début…
(ceci étant dit, ces zones de béton restent absurdes)
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