Réaménagement de l'avenue des Pins

Je suis daltonien c’était une petite blague x) Je ne voit aucune différence entre l’asphalte “supposément rouge” du SRB Pie-IX et l’asphalte régulière.

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Les points soulevés sont intéressants. Est-ce qu’on doit créer des aménagements idiot-proof, améliorer la signalétique, surveiller et donner des contraventions plus promptement…?

Personnellement, je crois qu’un heureux mélange de ces stratégies est la meilleure solution. Sans vouloir déresponsabiliser les usagers, je crois toutefois que l’aménagement intuitif a ses mérites.

Si on construit une route de trois voies de la largeur d’une autoroute et qu’on limite la vitesse à 40km/h, on peut blâmer les automobilistes rebelles, mais on peut aussi blamer l’aménagement déficient.

C’est comme les portes de commerces avec une poignée clairement faite pour être tirée, mais avec un petit écriteau qui indique qu’il faut pousser; le message est très clair, il faut pousser la porte! Alors est-ce que l’utilisateur qui a le réflexe d’essayer de tirer est un imbécile? Ou est-ce plutôt l’aménagement qui est trompeur? (Oui, c’est une question rhétorique)

Une bordure de granite ou de béton est généralement un signal très bien compris des automobilistes. Est-ce qu’on aurait dû en ajouter une sur le REV Peel, ou est-ce qu’on parie que les automobilistes (et les piétons) vont s’acclimater à ces nouveaux aménagements exotiques, puisqu’il y a toujours un moment d’adaptation?

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Ce n’est pas seulement toi, je ne suis pas daltonien et je peux à peine voir la différence lol

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Pourquoi s’être donné l’effort de “colorer” l’asphalte si on est rendu là…

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Il ne faut pas oublier l’effet d’entraînement. Quand on parle de stationnement sur rue, dès qu’une personne est stationnée dans la piste cyclable, ça augmente fortement les chances qu’une deuxième personne qui aurait pu hésiter à faire pareil. Et dès qu’il y a plus que 2-3 personnes de stationnées, alors toute la rue (ou piste cyclable) se remplira très rapidement de voitures stationnées. On le voit à chaque fois que la ville fait une piste en bordure de trottoir: les voitures se stationnent dedans assez longtemps avant que tout le monde comprenne qu’ils doivent se stationner en retrait (parfois des semaines).

Donc oui aux aménagements intuitifs pour que la vaste majorité des gens comprennent le message, mais oui aussi aux remorquage très rapide pour s’assurer que personne ne soit tenté d’imiter les contrevenants.

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Une rue à différents stades d’un coin de rue à l’autre:



Un peu moins avancé à l’ouest:

Et finalement à l’ouest de Saint-Laurent:

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Tellement! Le SRB pie ix utilise de l’asphalte rouge, donc je vois pas pourquoi on pourrait pas coloré l’asphalte des piste cyclable. Par contre, je sais pas si c’est super facile de faire de l’asphalte bleu, comme le REV pour différencier des voies d’autobus

c’est moins chalerueux que le rouge :-).

Pensez-vous que les travaux seront terminés quand sur Des Pins? mi-octobre? La ville parle de novembre, mais j’imagine qu’ils se donnent du lousse.

D’ailleurs j’ai hâte que ce soit terminé, je vais faire une analyse de l’aménagement au complet.

Beauoup de belles choses à dire, mais aussi quelques critiques,

Comme la largeur des trottoirs? J’y suis passé récemment et je suis persuadé qu’on aurait pu réduire les voies véhiculaires pour laisser plus de place au niveau des trottoirs.

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Ils ont été au maximum du possible pour la largeur des trottoirs.

Mes critiques seront au niveau:
1- des faux trottoirs traversants
2- des carrés d’arbres non connectés (pourquoi mettre du béton entre 2 carrés d’arbres alors que ça pourrait servir à capter l’eau (tsé, comme sur la piste Clark, elle est toute verdie)
3- de la jonction trottoir-rue pour les gens à mobilité réduite.

Les éloges seront du côté de:

  • la qualité de la finition et des matériaux
  • des saillies drainantes
  • le fini de la piste cyclable
  • l’arrosage automatique
  • la connexion de la piste avec carrés d’arbres pour y drainer l’eau de pluie
  • l’ensemble de la transformation bien sûr.
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https://www.journaldemontreal.com/2022/09/27/montreal-une-fontaine-cachee-sous-lasphalte-de-lavenue-des-pins

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Au maximum selon les normes désuètes de la ville de Montréal. Mais loin du maximum dans les faits.

L’excuse donnée est pour le ramassage des poubelles. Un peu exagéré à mon avis. On aurait pu mettre autre chose que du béton, un peu comme sur St-Viateur Est. Aussi, devant des bâtiments comme le manège militaire ou celui coin Saint-Denis, on aurait pu en mettre moins, voir même aucun.

Il faut savoir que dans l’appel d’offre pour la conception, il était demandé que le chargé de projet soit un ingénieur civil. Les notions de design urbain, d’aménagement et de verdissement étaient considérés en second plan. (En opposition avec les mandats comme l’Esplanade Tranquille et le Square Viger, octroyés à des firmes de paysage, avec les ingénieurs en support).

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La Ville de Montréal dévoile le concept de l’oeuvre qui rendra hommage aux infirmières, sur la nouvelle avenue des Pins

29 septembre 2022

Cabinet de la mairesse
et du comité exécutif

Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate

La Ville de Montréal dévoile le concept de l’oeuvre qui rendra hommage aux infirmières, sur la nouvelle avenue des Pins

MONTRÉAL, le 29 septembre 2022 - La Ville de Montréal dévoile aujourd’hui le lauréat du concours d’art public en hommage à la profession infirmière, un projet initié par quatre diplômées de l’école des infirmières de l’hôpital St. Mary (1968). L’œuvre intitulée Notre souffle par-delà du collectif La Société des archives affectives (Fiona Annis et Véronique La Perrière M.) sera constituée de trois éléments de bronze, référant à l’hospitalité, à la transmission et au soin. À l’image de la relation d’un∙e patient∙e avec son infirmier∙ère, l’œuvre sera à échelle humaine. L’inauguration est prévue à l’automne 2023 sur la nouvelle placette de l’avenue des Pins, à l’intersection de la rue Jeanne-Mance.

Notre souffle par-delà, de La Société des archives affectives (Fiona Annis et Véronique La Perrière M), Montréal, 2022

La démarche de création de l’œuvre permettra à une douzaine d’infirmiers et d’infirmières de différents âges, genres et cultures, en emploi ou à la retraite, de participer à un atelier de moulage et à un échange sur leur pratique professionnelle. Leurs mains par la suite coulées en bronze seront transposées dans l’œuvre, devenant l’une de ses composantes.

« Au cœur du réaménagement de l’avenue des Pins, près de l’hôpital fondé par Jeanne-Mance, l’œuvre Notre souffle par-delà nous rappellera l’importance de la profession infirmière dans notre société. Je remercie La Société des archives affectives pour sa proposition qui emmènera artistes et infirmières à collaborer et à échanger. Le partage des savoirs entre les générations passées et futures est un aspect particulièrement touchant de ce projet citoyen », a déclaré la mairesse de Montréal, Valérie Plante.

« La présence d’art public dans nos milieux de vie contribue à notre bien-être collectif. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que nous attendons cette œuvre qui rendra hommage à la profession d’infirmière. Elle s’installera sur une avenue des Pins verdie et apaisée pour le bénéfice des Montréalais et des Montréalaises », a ajouté Luc Rabouin, maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal.

Le projet, initié en 2017 par les infirmières Catherine McIninch Murphy, Judith Tisseur Norton, Maureen Fitzgerald et Brenda Noonan Brown, a mobilisé divers acteurs de la communauté montréalaise qui souhaitaient offrir un legs aux Montréalais∙es à l’occasion du 100e anniversaire de la reconnaissance légale de la profession infirmière en 2020.

« Véronique Perrière et Fiona Annis ont conceptualisé une œuvre d’art digne d’éloges afin de célébrer la profession d’infirmière. L’élément des mains moulées afin de nous connecter à l’œuvre de façon permanente est une magnifique idée multidimensionnelle. C’est emballant d’anticiper la finalisation de cette œuvre et j’espère que la population montréalaise appréciera le produit fini. Je ne peux faire autrement que de souligner l’ensemble de l’équipe derrière ce projet, notamment la Fondation de l’hôpital St. Mary, les communautés religieuses, nos amis, nos familles, ainsi que nos partenaires remarquables au Bureau d’art public, nos multiples et talentueux mentors, et surtout, tous nos généreux donateurs. Nous avions besoin d’une énergie concertée, ainsi que de simple gentillesse à tous les niveaux. Ces personnes constituent le souffle de vie, l’âme, le tissu social, la communauté, l’essence-même de notre profession, le tout capté de façon si touchante par les artistes choisies pour réaliser cette œuvre d’art public. Je remercie nos partenaires, sans qui ce projet aurait été impossible! », a déclaré Catherine McIninch Murphy, l’une des instigatrices du projet.

Téléchargez les images de Notre souffle par-delà du collectif La Société des archives affectives (Fiona Annis et Véronique La Perrière M.) en cliquant ici.

Découvrez la collection d’art public de la Ville de Montréal en cliquant ici.

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=34634

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Très joli! Toutefois, j’aurais aimé quelque chose de plus monumental, même si je comprends que l’échelle humaine est volontaire.

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Pour le monumental, j’aimerais bien voir une véritable place aménagée autour du monument à Jeanne Mance au coin de Saint-Urbain.

1930
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vers 1930

1961

2019

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En passant ce matin:

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c’est une promesse électorale sur le Plateau:


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Espérons que la mise à niveau de la rue encouragera les propriétaires à développer leurs terrains vagues et à rénover leurs immeubles croulants. Car certains sont une disgrâce pour le Plateau.

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