Québec - Projets d'infrastructure

On devrait commencer par mieux entretenir ce que l’on a déjà avant de se lancer dans de nouvelles constructions… Mais c’est forcément moins glamour.

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Plus des mononc’… Mais bon cela n’engage que moi.

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Mais on a déjà 2 ponts côte à côte…

Et le Fédéral a mentionné qu’il serait prêt à elargir le pont de Québec avec une nouvelle voie


Ajout : À l’émission radio Le 15-18


Party d’analystes et de commentateurs :wink:

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J’écoute l’entrevue du 18h30 avec Patrice Roy… Il est flagrant pour moi que la Ministre Guilbault s’acharne à vouloir proposer un 3e pont sans justement essayer de penser “out of the box”… Comme si une entente avec le gouvernement fédéral pour un aménagement du pont de Québec était plus compliqué. C’est vraiment gaspiller l’argent des contribuables.

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c’est moins « sexy » inaugurer une nouvelle voie qu’un nouveau pont…


En fait le Fédéral baisserait le tablier du pont de Québec pour que les camions puissent y rouler

Ottawa ouvert à abaisser le tablier du pont de Québec

Sans surprise, le député de Québec et ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Jean-Yves Duclos, continue d’appuyer le projet de tramway dans la capitale québécoise.

Il en a cependant profité pour défaire l’argument lancé par le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) selon lequel un troisième lien autoroutier est essentiel, notamment pour assurer la sécurité économique de la région.

Jean-Yves Duclos estime que le pont de Québec, une fois son tablier abaissé, représente une solution de rechange pour garantir le transport de marchandises par camion.

« Nous avons pris possession du pont de Québec le 15 mai dernier. Le pont de Québec peut être aménagé pour faciliter le transport de camions et de SRB au cours des prochaines années. Il s’agirait de baisser un peu le tablier. C’est une opportunité qui n’était pas présente il y a quelques mois à peine », estime le ministre.

« En abaissant un petit peu le tablier, le tablier qui de toute manière doit être refait au cours des prochains mois, on permet le transport de camions sur le pont de Québec et on permet aussi le transport de services rapide d’autobus, au cours des prochains mois, des prochaines années, des prochaines décennies », croit Jean-Yves Duclos.

De son côté, le ministère des Transports et de la Mobilité durable du Québec (MTMD) a indiqué, en mai, que ce n’était pas dans ses plans.

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Tasha Kheiriddin so confidently saying stuff that are false makes her so inspiring :joy:

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Entrevue avec le président de la Chambre de commerce

La Chambre de commerce et d’industrie de Québec accueille avec prudence l’annonce du 3e lien.

«C’est pas qu’on n’est pas vendu au 3e lien. […] On souhaite des données qui justifient ces coûts», explique Steeve Lavoie, président et chef de la direction de la Chambre à Zone économie.

L’entrevue est sur YouTube

Donc aucune des études de sa pile ne mentionnait la sécurité économique?

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J’ai vraiment de la misère à imaginer un pont à cet endroit. Ça déguiserait vraiment la vue de la colline parlementaire en regardant à partir de l’Est. Je vois très mal comment passer devant la pointe de l’Île sans avoir une levé de bouclier. Du coté de Lévis, les options vont être de passer à travers Lévis, ou de longer la côte jusqu’à pas loin des chantiers Davie. J’ose à peine imaginer les réactions. Personnellement, je serait plus favorable à un pont entre la rive sud et l’Île d’Orléans que ce qui semble être proposé ici.

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Dans Le Devoir

Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, regrette ses commentaires passés sur un projet de troisième lien routier entre Québec et Lévis et invite les chefs fédéraux, lui compris, à s’en tenir à ne pas empiéter dans les champs de compétence des provinces.

« Mêlez-vous de vos affaires », lâche-t-il au bout du fil jeudi soir, en entrevue avec La Presse canadienne, après avoir dénoncé les propos qu’il juge « très agressants » et l’absence de « respect » pour l’Assemblée nationale et la Ville de Québec du premier ministre Justin Trudeau, de son ministre Jean-Yves Duclos et du chef conservateur Pierre Poilievre.

Éditorial de Marie Vastel

Précieux alliés en politique, les avis d’experts permettent souvent au moment opportun de gagner du temps. Ils ont en revanche le fâcheux défaut de ne pas toujours livrer par la suite le verdict espéré. François Legault doit ainsi regretter d’avoir lui-même commandé la dernière rebuffade servie par CDPQ Infra à son projet de troisième lien routier. Ces rapports externes ont cependant l’autre cynique avantage de pouvoir être aisément — et instantanément — ignorés.

À l’analyse exhaustive de 1000 documents et de 90 heures de consultation, résumée dans le rapport de 140 pages de CDPQ Infra présenté mercredi, la Coalition avenir Québec (CAQ) préfère son clientélisme entêté, afin de retenir au sein de son caucus ses élus de la région de Québec et dans son giron électoral leurs commettants. Pour un premier ministre qui plaisantait en disant souhaiter retrouver sa boussole, François Legault semble plutôt préférer conserver sa girouette.

Car l’exercice de contorsionniste était de niveau olympique jeudi, le premier ministre et sa ministre des Transports, Geneviève Guilbault, trouvant le moyen de justifier la relance du projet en brandissant un nouvel argument — celui de la sécurité économique — jusqu’ici écarté. Le troisième lien, promis par la CAQ depuis 2018 avant d’être abandonné l’an dernier puis ressuscité au lendemain d’une défaite amère lors de la partielle dans Jean-Talon, ira donc de l’avant.

Chronique de Régis Labeaume

Pierre Poilievre voit des incompétents partout. Pas gêné, le prétendant, et on cherche encore son œuvre à lui. Il lui faudra nous expliquer ses propres attributions avant qu’on lui donne raison.

À propos d’incompétence, je viens de découvrir un nouveau mot, un grinçant : kakistocratie.

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L’aura de la CDPQ

Pour sa part, l’entièreté de la vision présentée par la CDPQ Infra obtient 54 % des faveurs populaires.

Le sondeur explique ce résultat par «une certaine aura de respectabilité et de professionnalisme perçue» par les citoyens à l’endroit de la CDPQ.

Son plan directeur du Circuit intégré de transport express (CITÉ) touche de plus l’ensemble de la région, avec un service rapide par bus (SRB) et des autobus pour mieux desservir les banlieues.

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The small text at the IKEA on the fake TVs mention the third link on it haha:

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La capacité du gouvernement de la CAQ de se tirer d’un mauvais pas en faisant quelque chose d’encore pire est infinie.

Résumé

La « doctrine Guilbault »

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Geneviève Guilbault et François Legault en conférence de presse dans la foulée du rapport de CDPQ Infra sur la mobilité à Québec


Michel C. Auger
Michel C. Auger Collaboration spéciale

La capacité du gouvernement de la CAQ de se tirer d’un mauvais pas en faisant quelque chose d’encore pire est infinie.

Publié à 1h32 Mis à jour à 6h00

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On vient de le voir à propos du troisième lien : au lieu d’oublier une promesse électorale mal ficelée dès le départ, il crée maintenant un nouveau dogme de gouvernance – la « redondance sécuritaire », une mauvaise idée érigée en principe. Appelons ça la doctrine Guilbault.

Le gouvernement utilise comme une bouée de sauvetage un tout petit paragraphe dans le rapport de CDPQ Infra – hors contexte puisqu’on spécifie que ce sont des « considérations qui dépassent le mandat de CDPQ Infra » – pour dire que des gens consultés ont émis des inquiétudes quant à la sécurité des ponts.

C’est vrai que si le pont Pierre-Laporte devait fermer, ce serait un sérieux problème pour la région de Québec. Mais il n’y a aucune raison sérieuse de croire que cela va arriver.

À moins d’une catastrophe tout à fait imprévisible, comme celle du pont de Baltimore, les infrastructures comme les ponts peuvent être sécuritaires pour littéralement des siècles à condition d’être bien entretenus. Le vénérable pont Victoria, à Montréal, est utilisé quotidiennement depuis 1859, tant par les trains que par les véhicules automobiles. À côté de ça, le pont Pierre-Laporte est une jeunesse !

Évidemment, il faut les entretenir, ces infrastructures. Or, le Québec a un très important déficit d’entretien de ses ponts et de ses routes. Selon la vérificatrice générale, le déficit d’entretien des chaussées au ministère des Transports atteint les 10 milliards de dollars.

Au rythme où le ministère des Transports « réalise ses travaux de reconstruction et de réhabilitation majeure actuellement, le rétablissement de l’état de ses chaussées prendra plus de 25 ans », disait son rapport de novembre 2023.

Quelques semaines plus tôt, l’Autorité des marchés publics affirmait, à propos de l’inspection des ponts : « les programmes d’inspection [des ponts] ne permettent pas de déceler des problèmes majeurs et ceux-ci ne sont finalement constatés que lors d’évènements fortuits ».

Dans ces circonstances, il est plutôt curieux de voir la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, dire qu’il est « irresponsable de n’avoir qu’un seul lien » et que « si le pont Pierre-Laporte devait fermer quelques mois, voire quelques années, il n’y aurait aucune autre alternative à Québec que de passer par Trois-Rivières ou par Montréal ».

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Le pont de Québec et le pont Pierre-Laporte

Ce qui serait proprement irresponsable, pour reprendre le mot de la ministre, c’est de ne pas entretenir correctement le pont Pierre-Laporte, au point qu’on doive le fermer. Mme Guilbault devrait se retenir de faire peur au monde si elle ne fait pas le nécessaire pour éviter les problèmes.

Évidemment, si on pousse la logique de la « doctrine Guilbault » à son aboutissement logique, il faudrait doubler toutes les infrastructures stratégiques par mesure de sécurité. En commençant par un deuxième pont à Trois-Rivières, sinon le gouvernement manquerait manifestement à son devoir d’agir de façon responsable.

Mais les grandes infrastructures comme des ponts, quand on les entretient correctement, n’ont pas à être doublées. Et on n’a pas besoin d’inventer des problèmes potentiels de sécurité pour justifier l’injustifiable.

Par ailleurs, il est vite devenu évident que, sur cette question, le gouvernement improvise et n’a pas fait ses devoirs.

En conférence de presse, jeudi, le premier ministre et ses collègues ont été totalement pris de court quand on les a informés qu’il serait possible de permettre aux camions d’utiliser le bon vieux pont de Québec (ouvert en 1917) en abaissant son tablier d’un mètre ou deux. En passant, des travaux de réfection du tablier sont déjà prévus au budget de Transports Québec.

Il y a un débat d’ingénieurs sur cette solution, certains disent qu’elle n’est pas possible techniquement. Mais il reste inacceptable pour un gouvernement de lancer un projet de nouveau lien autoroutier en ignorant carrément la possibilité d’utiliser le pont de Québec, ce qui coûterait évidemment beaucoup moins cher que de bâtir un nouveau pont.

De même, le gouvernement relance l’idée de bâtir le lien autoroutier vers l’est, quelque part entre le port de Québec et la pointe de l’île d’Orléans. Mais ce corridor de l’est avait déjà été envisagé en 2018 et il existe plusieurs études qui sont déjà dans les tiroirs du gouvernement et qui font état de nombreuses contraintes. Ce qui explique qu’on ait abandonné l’idée à l’époque.

Même CDPQ Infra a rejeté cette option comme impraticable dans le rapport qu’elle a remis au gouvernement. On se retrouve donc avec un gouvernement qui agit comme si l’étude qu’il a pourtant commandée ne valait finalement pas grand-chose.

Devant tant d’improvisation, on peut se demander très légitimement si le but du gouvernement n’est pas de simplement maintenir le troisième lien juste assez vivant pour être une promesse électorale dans deux ans et ainsi « sauver le soldat Drainville » et une couple d’autres sièges dans Chaudière-Appalaches. Mais avec le risque bien réel d’en perdre beaucoup plus ailleurs…

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Aïe Aïe… C’est le troisième article d’opinion de C. Auger que avec lequel je suis en accord. Qu’est ce qui m’arrive? :laughing:

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Il a mentionné CDPQ sans cracher sur le REM. Attention à ne pas vous faire mordre par les poules

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C’est la CAQ qui arrive à unir tous les gens…contre elle :wink:

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Côté dans Le Soleil

Un 3e lien juste au cas où Gozilla attaque Québec :wink:

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Dans cette entrevue de fin de cession parlementaire avec Patrice Roy qui sera diffusée à 17h sur RDI, le PM rejette l’idée de baisser le tablier du pont de Québec pour faire passer les camions

On a choisi de faire le pont

François Legault a également dû justifier sa décision de s’engager à construire un pont à l’est de Québec et de Lévis, malgré le rapport de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ Infra).

Le premier ministre du Québec affirme qu’il ne s’agit pas d’un choix électoraliste. On a un dossier où ce n’est pas tout noir ou tout blanc, souligne-t-il.

Il maintient l’argument de la sécurité économique et réitère qu’il est important d’avoir une autre option que le pont Pierre-Laporte pour la circulation des camions. Ce n’est pas sérieux, pour une ville de la grosseur de Québec, de dire qu’il n’y a pas de pont alternatif, répète-t-il.

C’est un risque énorme de dire que si le pont [Pierre-Laporte] ferme, tous les camions vont devoir aller passer par Trois-Rivières. Ce n’est pas raisonnable.

— François Legault, premier ministre du Québec

François Legault affirme d’ailleurs que des experts ont déjà écarté l’idée d’abaisser le tablier du pont de Québec comme solution de rechange au troisième lien autoroutier, comme proposé par le ministre fédéral Jean-Yves Duclos.

Les experts du ministère des Transports nous disent que ce n’est pas réalisable, explique-t-il.

Pour lui, il n’y a pas d’opposition entre le projet de tramway et la construction d’un nouveau pont, puisque son gouvernement compte faire les deux. C’est pourquoi il affirme être prêt à travailler avec le premier ministre fédéral en place, peu importe celui qui sera au pouvoir au moment de concrétiser les projets.

François Legault parle lors d'une entrevue sur un plateau télé.

Il est conscient que le premier ministre fédéral Justin Trudeau n’est pas favorable au troisième lien autoroutier et que le chef conservateur Pierre Poilievre ne compte pas investir dans un tramway.

Mon espoir, c’est d’être capable de convaincre soit monsieur Trudeau, soit monsieur Poilievre qu’on a besoin des deux projets. […] Je veux dire aux deux chefs que les deux projets sont importants, insiste-t-il.

François Legault dit avoir bon espoir de faire avancer le projet d’ici les prochaines élections au Québec. J’ai encore deux ans et demi pour leur prouver que le dossier avance. […] En deux ans et demi, je suis capable d’en faire beaucoup pour convaincre que ça va se faire, défend-il.

L’entrevue est en ligne sur YouTube

(Québec) La nécessité de construire, à coup de milliards de dollars, un troisième lien autoroutier entre Québec et Lévis est loin d’avoir été démontrée, selon trois experts consultés lundi par La Presse Canadienne.

Résumé

Le troisième lien de François Legault vu par trois experts

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Après plusieurs tergiversations, le premier ministre François Legault a annoncé, jeudi dernier, qu’il relançait son projet de troisième lien autoroutier, même si la Caisse de dépôt et placement du Québec le déconseille.

(Québec) La nécessité de construire, à coup de milliards de dollars, un troisième lien autoroutier entre Québec et Lévis est loin d’avoir été démontrée, selon trois experts consultés lundi par La Presse Canadienne.

Publié à 13h58

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Caroline Plante La Presse Canadienne

Après plusieurs tergiversations, le premier ministre François Legault a annoncé, jeudi dernier, qu’il relançait son projet de troisième lien autoroutier, même si la Caisse de dépôt et placement du Québec le déconseille.

Il a évoqué un nouvel argument de « sécurité économique » ; selon lui, la région de Québec a besoin d’un autre pont pour assurer le transport de marchandises par camion au cas où le pont Pierre-Laporte fermerait.

Cet argument « sort de nulle part », déplore en entrevue téléphonique la professeure Catherine Morency du Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal.

« Un, ça part de nulle part […] et deux, si on veut assurer la faisabilité de transporter nos marchandises, ce n’est pas le camion qui devrait être notre plan A », soutient-elle.

PHOTO FOURNIE PAR CAROLINE PERRON, ARCHIVES LA PRESSE

Catherine Morency du Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal

« Pour tout ce qui est transport des marchandises, le futur n’est pas autour des camions lourds pour les longues distances ; il faut faire du transfert vers le ferroviaire et le maritime » qui ont une empreinte carbone plus faible.

Le gouvernement Legault, dénonce Mme Morency, « ne s’appuie jamais sur des analyses ».

C’est extrêmement inquiétant – c’est même odieux - qu’un projet de cette ampleur, on décide de le lancer comme ça sans rien, aucune justification, rien. Ça devient farfelu.

Catherine Morency

« Est-ce que le gouvernement peut me laisser faire ma “job” ? […] Je suis prof, je suis supposée faire de la recherche et former du monde. Mais il vient un moment où c’est tellement absurde qu’on se dit : “Voyons, on ne peut pas laisser passer quelque chose d’aussi stupide” », renchérit-elle.

Le professeur Jean Dubé, de l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional de l’Université Laval, déplore également que « le besoin, il n’est même pas documenté ».

En entrevue, il prône la réalisation d’une analyse coûts-bénéfices. « Sachant que ce qu’on fait va avoir des impacts pour des générations à venir, la moindre des choses, c’est de ne pas se fermer les yeux […] et de mettre l’ensemble des possibilités de l’avant », affirme-t-il.

Le gouvernement va actuellement « à l’encontre de ce qu’on devrait faire en termes de société pour le développement de nos villes, pour la lutte contre les changements climatiques », ajoute Jérôme Laviolette, doctorant en génie des transports au sein de la Chaire Mobilité à Polytechnique Montréal.

« Les données ne sont pas là pour justifier un troisième lien. […] C’est beaucoup d’argent investi pour un lien qui, selon les analyses de la CDPQ, ne va pas amener grand-chose. »

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