Bien vu on est d’accord
Il faut voir dans quel contexte le pont Pierre-Laporte a été construit. L’ancien pont avait atteint son seuil de capacité et ne pouvait suffire à la nouvelle demande de transit. Puisque le réseau autoroutier était déjà en place il aura permis de grandes économies surtout en matière d’expropriation. Il faut aussi savoir que la banlieue inter-rive était déjà à l’ouest de la ville (et elle l’est encore) et qu’il était prioritaire de répondre à ses besoins pour satisfaire sa demande de croissance.
Quant à construire un autre pont, l’essentiel du budget serait passé aux expropriations puisque les approches et les emprises aurait nécessité d’immenses corridors routiers pour faire le lien sur les deux rives dans une zone urbaine dense et entièrement construite. En fait la logique voudrait que l’on relie efficacement les deux centres urbains Québec-Lévis par un tunnel de transport en commun qui renforcerait les deux pôles tout en favorisant une plus grande densité urbaine de part et d’autre.
L’avantage d’un tunnel de TEC direct est qu’il aurait beaucoup moins d’incidence sur l’étalement urbain et ne contribuerait pratiquement pas à l’augmentation du bilan carbone de la région. Voilà d’ailleurs la solution durable la plus respectueuse de l’environnement et qui offrirait un débouché au tramway dans une deuxième phase.
À noter qu’un tunnel de transport en commun serait beaucoup plus court car il ne nécessiterait pas d’approche en dehors du périmètre du centre-ville ni de lien avec le réseau automobile. Finalement il pourrait y avoir une station souterraine de correspondance entre les deux lignes de tram. En terminant jusqu’à nos jours les routes à Québec ont profité de la grande part des investissements publics tandis que les transports en commun sont d’un autre âge et indigne d’une agglomération de l’importance de la capitale nationale.
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Les arguments de la CAQ pour promouvoir le 3è lien est une insulte à l’intelligence et mine totalement sa crédibilité. De l’amateurisme de haut niveau.
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Chronique de Simon Jodoin à l’émission Le 15-18 sur le PPM 
Actualité avec Simon Jodoin : Legault et l’indice des ponts par million Rattrapage du 18 avril 2022 : Lapins errants, et Ukrainiennes en Pologne
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Je penses que c’est une question technique et/ou financière aussi. C’était bien plus simple de construire ce pont à l’ouest, où le fleuve est plus étroit et l’espace suffisant pour une autoroute des deux côtés, comparé au centre, où se situe la citadelle/colline parlementaire et le centre historique de Lévis, ou à l’est sur l’île d’Orléans.
Moi aussi je trouve que c’est une demande légitime, mais en 2022 on aurait du prioriser un lien de transport en commun, surtout si l’on vise à relier deux centre-villes. Rien ne justifie un lien routier, alors qu’on a des alternatives qui sont plus efficaces, plus vertes et qui peuvent favoriser une augmentation de la part modale du transport en commun à Lévis et à Québec.
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Lol
Un Jeu politique Satirique sur le troisième lien où on doit détruire le plus de transport en Commun Possible Youppi!!!
Pour plus de détails…
Une bonne nouvelle
1 mai 2022 Mis à jour le 2 mai 2022 à 14h19
Terre des Soeurs de la Charité: un grand projet de société qui portera fruit!
Claudine Dorval
pour Voix citoyenne
Simon Bégin
pour Institut Jean-Garon
POINT DE VUE / Le gouvernement du Québec vient d’annoncer l’acquisition prochaine des terres des Soeurs de la Charité afin d’y implanter un projet agricole innovateur et axé sur la collectivité. Une consultation publique est prévue pour définir ce projet qui se déploiera sur plus de 200 hectares d’excellentes terres agricoles au coeur de Québec, dans les arrondissements de Beauport et Charlesbourg.
Cette démarche fait écho aux multiples représentations de la société civile ainsi que de bon nombre de citoyens.nes, notamment dans une lettre envoyée le 22 octobre dernier et qui comptait quelque 350 signataires, dont près de 50 groupes et plus de 300 individus.
Après plus de six ans de sensibilisation et de mobilisation, le gouvernement, la Ville de Québec et les Sœurs de la Charité ont vraiment entendu la population et reconnu l’importance stratégique de ces terres pour nourrir la collectivité à l’heure des changements climatiques et de diverses autres incertitudes à l’échelle planétaire. Il y a donc lieu de se réjouir de cette nouvelle encourageante et porteuse d’avenir.
Nous saluons le fait que la Ville de Québec soit un acteur de premier plan au sein du comité de travail mis en place pour identifier les concepts directeurs et préparer la consultation. L’expertise reconnue de certains groupes de la société civile devrait être aussi intégrée dès le départ pour assurer, tout au long du processus, la prise en compte des aspirations communautaires à l’égard d’une plus grande autonomie alimentaire.
Ce projet doit devenir une réalisation exemplaire dont notre ville et le Québec tout entier aura raison de tirer une immense fierté.
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Pas de « dossier d’opportunité » au MTQ pour le 3e lien, dit François Bonnardel
hier à 19 h 30
Le ministre des Transports François Bonnardel a réitéré ne pas avoir de « dossier d’opportunité » au sujet du tunnel entre Québec et Lévis, malgré les doutes de l’opposition.
Lundi, le maire de Québec Bruno Marchand estimait que le gouvernement Legault avait l’obligation de démontrer aux citoyens que le troisième lien répond à un besoin réel en matière de mobilité.
Pour ce faire, il réclame qu’une étude d’opportunité en bonne et due forme soit publiée. Un porte-parole du ministère des Transports confirme, par courriel, que l’étude d’opportunité est toujours en cours. Elle sera rendue public aussitôt complétée.
Bien que le gouvernement insiste pour faire la nuance entre une étude et un dossier d’opportunité, la situation n’a pas empêché le ministre d’être attaqué sur le manque d’informations autour du projet par le péquiste Pascal Bérubé lors de l’étude des crédits, mardi.
Il n’a pas de dossier d’opportunité, Monsieur le Président. On a utilisé l’article 32 qui nous amène directement au dossier d’affaires. Il n’y a pas de dossier d’opportunité, a répondu le ministre Bonnardel.
Au moment de son arrivée au pouvoir, en 2018, la CAQ a choisi de faire passer le projet de troisième lien directement à l’étape de planification, sans mener à terme l’étude d’opportunité entreprise par le gouvernement précédent.
Je repose ma question, ce serait embêtant d’en trouver un. Est-ce qu’il existe un dossier d’opportunité au ministère des Transports du Québec (MTQ)? Est-ce que quelqu’un dans cet aréopage a vu un dossier d’opportunité et un jour dire, M. Bérubé, il en avait un, a de nouveau questionné le député Bérubé.
Non, pas à ma connaissance, a de nouveau répondu le ministre.
Pas d’études avant les élections
Le ministre Bonnardel a aussi été interrogé sur le dévoilement d’études qui appuie les choix du gouvernement pour le troisième lien.
Celui-ci a répondu qu’une mise à jour du projet aurait lieu annuellement, mais que celle-ci aurait lieu au printemps, soit après les élections de novembre.
On a compris qu’on n’aura pas de données d’ici la campagne électorale, a laissé tomber le libéral André Fortin, reprochant au MTQ d’avoir dévoilé une nouvelle mouture sans même justifier les changements.
André Fortin critique aussi le report de l’échéancier avec la nouvelle mouture. Le projet bitube devrait voir le jour en 2032.
On est retourné à la table à dessin. On a retravaillé avec l’ancienne administration municipale pour revoir la colonne vertébrale du réseau express de la Capitale, qui est le tramway. Ç’a été des négociations qui étaient longues. Tout le travail d’être capable de répondre à toute la périphérie de Québec, répondre à Guillaume Couture, la 116, c’est un travail qui a été de longue haleine et qui a permis de déposer cette mise à jour, se défend le ministre.
Étalement urbain
Le ministre des Transports a été bombardé de questions par l’opposition sur les potentielles conséquences du 3e lien sur l’étalement urbain. François Bonnardel refuse de dire que le nouveau tunnel entre Québec et Lévis causera de l’étalement urbain, parlant plutôt d’occupation du territoire.
On a entendu le ministre dire qu’il fallait égaliser le développement, que le développement sur la Rive-Sud et plus à l’ouest, il fallait égaliser ça à l’est, c’est quoi si ce n’est pas de l’étalement urbain, a demandé la députée de Taschereau, Catherine Dorion.
Vous savez, le discours de l’étalement urbain, voilà quelques années, quand je suis arrivé, on parlait d’occupation du territoire, a répondu le ministre. Selon M. Bonnardel, la tendance actuelle en urbanisme et en architecture est à la densification plutôt que l’étalement urbain.On le voit sur l’autoroute 30, on le voit sur Guillaume Couture [à Lévis]. Selon lui, le développement se fera plutôt aux abords des trajets de transports collectifs.
Le ministre a réitéré que le troisième lien ne mènerait pas à du développement sur des terres agricoles puisqu’il existe des règlements pour protéger les terres agricoles. Personne dans ce gouvernement n’a dit qu’on allait du jour au lendemain “bulldozer” les terres agricoles.
Le troisième lien permettra plutôt d’offrir une opportunité à certaines municipalités de se développer, sans forcément mener à un étalement urbain.
C’est du gros n’importe quoi, la CAQ prend les gens pour des valises et avec ça ils veulent être respectés et bien sûr réélus. J’ai rarement vu autant d’incompétence du côté ministériel, on joue sur les mots pour ne pas avoir à admettre la vraie réalité des choses. Vivement des élections et une vraie coalition, pas celle de la CAQ 
La CAQ va gagner. C’est presque certain.
Aberrant !
Il y a tout un “clash” entre la grande région de la ville de Québec et le reste de la province. 
Je croise les doigts que le maire de Québec, Bruno Marchand, va tenir son bout quand à l’issue de ces 2 projets 
… et prie que le gouvernement ne “suive” pas trop ces sondages 
… (mais j’ai malheureusement certaines craintes…).
Les appuis au tramway toujours au plus bas selon un sondage Léger
TVA Nouvelles | Publié le 16 mai 2022 à 15:42
Je ne m’inquièterais pas trop, ce sondage est déjà vieux de presqu’un mois, avant les différentes interventions du maire Marchant. À noter qu’il n’y a pas encore eu de véritable campagne de promotion intensive pour le tram auprès des citadins québécois. Cela viendra à mesure de l’avancement des travaux. Une chose demeure, le chantier du tram est confirmé par les autorités et sa réalisation ne dépend pas de sa popularité.
Quant au troisième lien, il n’y a absolument rien de concret ni de détaillé sur le plan technique dans ce projet, pas plus que d’estimation crédibles sur les coûts véritables. On peut donc le considérer comme un simple rêve à ce stade-ci et tout le monde aime rêver. On verra beaucoup plus tard (bien après les élections si la CAQ est réélue) comment les gens réagiront une fois que les études seront précisées et qu’on ait un authentique avant-projet et non pas de pures improvisations comme actuellement.
Un autre détail à considérer dans l’équation, le troisième lien n’a aucun appui du côté de l’opposition pas plus que de la mairie. Ainsi ce projet tombera avec Legault. Autre danger pour le 3è lien: la comparaison financière avec d’autres projets du même genre dans le monde et les défis technologiques qu’il implique et qui n’ont même pas encore été analysés sérieusement.
Finalement puisque la facture échouera à l’ensemble des québécois, ils devront être convaincus du bien fondé de ce projet. Ce que je doute fortement. Mais bon la CAQ le présente comme un hochet pour les automobilistes de la capitale, une promesse qui pourra servir pour gagner des votes à court terme seulement et qui s’estompera rapidement face aux énormes défis qu’un tel projet comporte versus les avantages qui ne feront pas le poids.
Dernier détail, Ottawa ne fournira que des miettes parce que c’est avant tout un projet autoroutier. Donc une facture astronomique que les québécois refuseront d’emblée. Or Legault aura un bouc émissaire idéal à blâmer pour l’échec éventuel de son projet, le fédéral.
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Qu’est-ce qui constituerai une véritable campagne de promotion intensive? Les efforts de l’administration précédente et l’administration actuelle sont remarquables sur ce plan, mais visiblement le projet ne cesse de perdre en popularité.
Ça sera probablement après la mise en service du tramway, lorsque les gens pourront vivre concrètement les bénéfices, que la ligne gagnera en appuis. C’est toujours bien plus facile de penser à tout les possibles désavantages plutôt qu’aux bénéfices.
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Tellement ! 
Troisième lien Le Lego de François
PHOTO PATRICE LAROCHE, ARCHIVES LE SOLEIL | François Legault présentant le Réseau express de la capitale, qui inclut le tunnel Québec-Lévis, en mai 2021
RÉGIS LABEAUME, MAIRE DE LA VILLE DE QUÉBEC DE 2007 À 2021
Retour sur l’image : dernières élections au Québec, 2018. La troisième de François Legault à la tête de la CAQ. Deux défaites au compteur. Une troisième et c’en est fait de sa carrière. Il deviendra un passage à vide dans l’histoire politique du Québec. Un statut de perdant, sa vie durant. Lourd, très lourd !
Publié à 6h00
Il a vénéré Lévesque et Parizeau. Il voulait être dans leurs pas. L’accomplissement passait par là.
Alors pas de farfinages cette fois-ci. On en met plein la gueule avec les promesses et on verra ensuite pour les détails ; les coûts. Ce que le peuple veut, je le veux. La région de Québec est incontournable pour faire la fête ? On pique une idée des radios : le troisième lien. Ah, les radios ! Ce terreau de grandes vérités à Québec.
François s’est engagé, il a gagné et il est pris avec la maudite promesse. Le pire, c’est qu’il l’aurait remporté sans elle.
Depuis, François joue au Lego. Un tube, deux tubes. Six voies, quatre voies. Très à l’est, moins à l’est. Mais le Lego ne sert pas à questionner le pourquoi, plutôt à bâtir le comment. Pas connaître le besoin, mais développer la solution. L’envers du bon sens.
Malgré moi, j’ai eu un petit rôle dans ce film, muet, parce que je n’en ai pas su beaucoup plus que le public.
Délicate, l’affaire. On me les tenait par en dessous avec le tramway. J’ai poussé à bout l’utilisation du verbe tergiverser. J’ai joué l’horloge, comme au hockey. Oui, non, peut-être, la baboune et quoi encore. Mais bonimenteur comme c’est pas possible, je confiais à mes proches que je n’y croyais pas, que le troisième lien ne se ferait pas. Je le pense toujours.
François et sa liste de paye s’immoleront en jurant le contraire. Jusqu’à prétendre, sans rire, qu’ils le creuseront sans l’argent du fédéral. Arrêtez l’image ! On parle, oui, ici d’un pipeline à votes pour octobre prochain, comme aux dernières élections, ne cherchez plus.
Mise en exploitation en 2032 qu’on prétend. Je serai mort ou sur le seuil d’un CHSLD. Dossier d’affaires en 2025 ? Pas à la veille d’autres élections, ça ? Et François n’y sera peut-être même pas pour un troisième mandat en 2026. Bon, l’héritier ramassera le paquet. Grec, le cadeau.
Et s’il revient, aux alentours de 2025-2026, il pourrait nous fredonner un air connu sur le thème des risques et coûts trop élevés, des finances publiques et du « j’voulais mais j’peux pas ». Un classique.
Mais pas payant politiquement, ce scénario. Une séquence plus simple fera glisser la strap.
Le fédéral ne mettra pas un kopeck là-dedans, c’est écrit dans le ciel. Pas de fit avec ses programmes, qui investissent dans le transport en commun. Et on ne rigole pas avec la conformité aux programmes à Ottawa.
Dans la capitale fédérale, on veut aussi y aller avec sa propre évaluation environnementale sur le projet, et on a le droit, ça touche au fleuve. D’expérience, cela pourrait durer des années. Québec contestera la juridiction de cette évaluation, prétextant une autre intrusion du fédéral dans les affaires du Québec. Vous êtes surpris ? Ottawa demandera des études, qui mettront une éternité à venir, etc.
Ottawa ne confirmera pas de financement, du moins pas de mon vivant.
Dans les bureaux du grand chef François à Québec, on le sait trop bien que pour se débarrasser du problème, il doit s’incarner dans une autre grosse crise contre le fédéral, qui doit devenir la piñata du projet. Il faut que ça merde ! Ainsi, nous revivrons un autre « smog » politique pour plusieurs semestres.
À moins que M. Poilievre ne devienne éventuellement premier ministre, et décide de contribuer en cryptomonnaie…
Elle est bien futée, la petite combine politique, mais elle coûtera cher.
Si le projet de tramway à Québec a pris autant de retard, c’est qu’il était assujetti politiquement à l’avancement du projet de troisième lien.
Pas question que sa construction démarre avant d’avoir contenté les partisans du nouveau lien. Un coût additionnel de 100 millions de dollars par année de retard pour le tramway, selon le Vérificateur général de la Ville de Québec. Au moins deux ans de perdus jusqu’ici, un coût additionnel de 200 millions facile déjà là. Un minimum selon mon expérience. Additionnez au tout les 325 millions consentis pour les travaux de planification du bureau de projet du troisième lien, et on dépasse le demi-milliard de huards.
Le plus désolant, c’est que des besoins immémoriaux existent partout au Québec pour faire survivre des réseaux routiers tout en ornières et crevasses, et pour démarrer des projets publics de transport collectif qui trébuchent sans cesse.
Je préférerais quasiment être à côté de mes pompes avec mes hypothèses, ne pas avoir raison dans ce feuilleton politique hallucinant.
[…]
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C’est annoncé depuis le 6 mai, mais les finalistes pour le nouveau pavillon «Espace Riopelle» du MNBAQ sont:
- Agence Spatiale + BGLA
- CCM2 + BIG
- FABG
- STGM, en collaboration avec Cobe
La plus connue des firmes dans le lot est certainement BIG (Bjarke Ingels Group). Ce ne serait pas son premier musée en tout cas. Le gagnant sera annoncé en fin août 2022. Peu importe le lauréat, j’ai bien hâte de voir le résultat.
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J’aime beaucoup les nouvelles chroniques de M. Labeaume dans La Presse, il a une plume extraordinaire!
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De mon côté, je souhaite vraiment voir COBE gagner! Une des meilleures firmes international à mon avis!
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Espace Riopelle: les finalistes du concours d’architecture dévoilés
Portail Constructo | 25 mai 2022
Crédit : Bruce Damonte
Le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) franchit une nouvelle étape importante vers la réalisation du futur Espace Riopelle.
Les quatre groupes québécois et internationaux sélectionnés sont : Agence Spatiale et BGLA, CCM2 et BIG (Bjarke Ingels Group), FABG ainsi que STGM en collaboration avec Cobe.
Lors de la deuxième phase du concours, les quatre groupes retenus seront appelés à développer leur approche conceptuelle initiale sous forme de solution fonctionnelle, et ce, dans le respect des besoins et des contraintes techniques et budgétaires du projet de l’Espace Riopelle.
Une fois ce processus complété, le jury sélectionnera la proposition répondant le mieux aux critères d’excellence et aux besoins du projet. La firme lauréate sera annoncée à la fin de l’été 2022. Réalisé en collaboration avec les équipes du MNBAQ et de la Fondation Jean Paul Riopelle, le processus de design intégré complétera les étapes de création.
Point culminant
Rappelons que ce projet majeur de 42,5 M$ verra le jour grâce à un partenariat entre le Gouvernement du Québec, le MNBAQ et la Fondation Jean Paul Riopelle. Le Gouvernement du Québec contribue à hauteur de 20 M$, auxquels s’ajoute un don de mécènes de la Fondation Jean Paul Riopelle, soit 20 M$ pour la construction du bâtiment. La Fondation du MNBAQ s’est engagée à compléter le cout du projet par un apport financier de 2,5 M$ grâce à la participation du secteur privé.
La réalisation de l’Espace Riopelle est le point culminant des célébrations entourant le centenaire de Jean Paul Riopelle, dont l’inauguration est prévue en 2025.
Source : Musée national des beaux-arts du Québec
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J’étais à Québec il y a une semaine et j’aimais beaucoup le montant de chaises et tables « libres » dans les places publiques, comme on voit souvent à Paris ou à New York. Je ne comprends pas pourquoi il y en a quasiment pas à Montréal, à part l’Esplanade Tranquille.
Voici un exemple au coin de Cartier et René-Lévesque dans Montcalm, mais il y a aussi des chaises libres sur le parvis de l’Église St-Jean-Baptiste, dans la Place Limoilouse, devant l’Hôtel de Ville, etc…
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Le Port de Québec aménagera le premier bain portuaire en Amérique du Nord
Portail Constructo | 1 juin 2022
Crédit : Port de Québec
Le Port de Québec, en partenariat avec la Société des Gens de Baignade et le Village Nordik du Port de Québec, a annoncé l’ouverture prochaine de l’Oasis du Port de Québec dont la première action sera la mise en place du premier bain portuaire en Amérique du Nord.
Ce nouveau site de baignade gratuit et ouvert au public sera situé au bassin Louise, tout près de l’Espace 400e. Il sera majoritairement constitué de pontons et d’une rampe permettant l’accès à l’eau à partir d’un quai.
Une section détente y sera également aménagée en plus de vestiaires, de casiers et de douchettes extérieures. Le bain portuaire offrira par ailleurs l’équivalent d’une piscine de dimension olympique avec cinq couloirs de natation de 50 mètres chacun, de même qu’un espace de baignade libre d’une superficie de 25 mètres carrés.
L’ouverture du site est prévue pour la fin du mois de juin 2022.
Source : Port de Québec
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