Faudrait savoir à qui appartient cet espace public et qui en est responsable. À voir le type de bois, il m’apparait évident que ce n’était pas du bois traité ou de bonne qualité.
Je me console en me disant qu’un fois le site de Molson accessible on pourra refaire de manière plus durable cette promenade de bois qui se joindra aux autres sentiers de marche qui réuniront l’ilot Voltigeur au Vieux-Port et au Vieux-Montréal. Pour le moment c’est malheureusement une impasse peu fréquentée qui a de toute évidence très mal vieilli.
La zone à priorité piétonne est implantée progressivement de l’été 2024 jusqu’en 2030. Des mesures d’apaisement sont ainsi prévues dans le quadrilatère délimité par l’axe de la place d’Armes, puis des rues Saint-Antoine, Berri et de la Commune.
Différentes phases d’intervention sont planifiées ou à l’étude. Parmi les principaux gestes déployés en 2024, on retrouve la piétonnisation permanente du parvis de la basilique Notre-Dame et le réaménagement de la rue Saint-Paul O en rue partagée.
La création d’un corridor de mobilité durable sur la rue de la Commune et la piétonnisation permanente de la place Jacques-Cartier sont présentement à l’étude.
Je pense que c’est la métaphore de la grenouille qu’on fait bouillir lentement.
Avec l’opposition locale des commerçants, des changements progressifs dans le temps vont probablement mieux passer, tout en évitant des chocs dans les habitudes.
C’est certain que pour les gens vendus au projet en partant, c’est un échéancier vraiment long cependant. Pour ma part je n’ai aucun doute que la piétonnisation du secteur va être bénéfique.
Dans le Budget 2024 on parle de 2025-27 pour de la Commune.
À moment donné il y aura la prolongement de la rue de la Commune à l’est de la rue Atateken jusqu’à la rue Alexandre-DeSève.
Peut-être, mais 6 ans pour un quartier où la majorité du travail est déjà fait(les rues du vieux sont plus étroites et la Ville semble un peu trop apprécier mettre des bacs de plantation), c’est un projet qui pourrait littéralement se faire en 2 étés, 1 si on est aggressifs.
Je ne vois absolument aucun justificatif de brasser la sauce pendant 6 ans.
Mon hypothèse est le 54% des habitants, travailleurs et commerçants du quartier qui sont opposés. C’est quand même un problème de perception du projet et de la controverse qui entoure son implémentation.
À savoir si c’est une raison de prendre autant de temps est une autre histoire, mais cette donnée existe.
Si j’étais le dictateur en chef de Montréal ça serait fait en deux semaines. Tu as bien raison que sur le plan de l’aménagement ça ne bloque pas.
Avec un peu de chance les gros changements iront plus vites par la suite. Ça va juste prendre un bon été pour observer les bénéfices. Et après ça ce ne sera plus une année d’élection…
Un autre segment qui n’est pas mentionné, c’est Place d’Youville devant Pointe-à-Callière et la Place Royale. C’était tellement agréable quand c’était piétonnier cet été, mais maintenant que c’est rouvert les véhicules l’utilisent comme raccourci vers l’Ouest au lieu de la Commune et roulent super vite. À mon avis on devrait y faire la même chose que devant la basilique.
Je viens de passer dans la «nouvelle zone piétonne» what a waste of time and money. Sérieusement pour si peut et si inutile, on aurait du concentrer nos efforts ailleurs.
Sur St-Jacques on a même pas 2m de plus de cobblestone aucunement faite pour la circulation piétonne… personne va marcher dessus quand on a un trottoir lisse à côté
Aucun fauteuil roulant, aucune personne à vélo ou pas grand monde vont s’y aventurer. Et le meilleur pour la fin : voici votre nouvelle surface, petez vous pas trop les chevilles
On élargie l’espace piéton mais on patch même pas les trous… c’est pitoyable. Rendu la qu’on ferme la rue complètement ou qu’on élargie juste un côté pour au moins avoir une bande large et pas forcer les gens à marcher dans les trous… surtout qu’on est dans une côte !
Je trouve personnellement qu’on commence à mettre un peu trop de gros bacs un peu partout. J’ai marché sur Ste-Catherine l’autre jour (portion refaite) et il y a tellement de bacs de plantation temporaires rajoutés le long de la rue que malgré l’agrandissement du trottoir, on se sent curieusement à l’étroit. Certes, c’est beau de la végétation, mais le pari des gros bacs de façon continue un peu partout me parait plus ou moins bien maitrisé. Trop, c’est comme pas assez, comme le dit le dicton
