Quartier Namur-Hippodrome

Faux départ immobilier à l’ancien hippodrome Benoit Dorais « surpris » par le manque d’intérêt des développeurs


PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE | Le terrain de l’ex-hippodrome de Montréal.

Le responsable de l’habitation de l’administration Plante s’est dit « surpris », lundi, par le manque d’intérêt des développeurs immobiliers pour le premier lot offert sur les anciens terrains de l’hippodrome.

20 février 2023 | Publié à 14h33 | PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD | LA PRESSE

Un appel d’offres lancé l’automne dernier par la Ville de Montréal pour une parcelle 4200 mètres carrés n’a suscité aucune soumission, a révélé La Presse fin janvier. La Ville demandait un prix minimal de 10 millions et exigeait que 60 % des condos construits soient abordables.

« Ça a été une surprise pour nous aussi de voir que le milieu privé n’a pas été au rendez-vous alors que le terrain avait un rabais vraiment extrêmement élevé. Le terrain était soldé. On donnait toute la chance aux entrepreneurs d’y aller », a affirmé Benoit Dorais, le responsable de l’habitation de Valérie Plante. « C’est dommage que le privé n’ait pas dit oui. »

L’élu a souligné qu’un autre terrain offert au secteur communautaire avait, pour sa part, suscité beaucoup d’intérêt.

Selon les informations recueillies par La Presse, les développeurs auraient été repoussés par le prix minimal fixé par la Ville, ainsi que par l’absence de plan directeur pour le reste du site de l’hippodrome.

M. Dorais répondait aux questions de Stéphanie Valenzuela, élue de l’opposition officielle, au conseil municipal.

Le développement de l’ancien hippodrome de Montréal prend du retard. Les courses ont cessé depuis 2009. Les maires Gérald Tremblay et Denis Coderre ont tous deux élaboré des plans de développement pour le secteur, prévoyant la construction de 5000 à 8000 logements. Mais l’administration Plante a préféré développer son propre projet.

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Pas surprenant qu’un développeur immobilier ne voudrait pas perdre l’argent à travailler

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Est-ce qu’on est vraiment le responsable de l’habitation si on est aveugle aux besoins des constructeurs d’habitation lors de projets de développements?

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Un terrain à 10$M avec 60% de logement à perte dans un endroit sans infrastructure, sans plan d’ensemble, sans éléments vendeurs sûrs de proposé par la ville (aucune idée si des parc, terrains pour écoles ou lieux communautaires/sportifs). Faut pas être surpris à ce prix là, 22120$ du pied carré au milieu de nul part, ça donne pas envie.

Si on avait un plan directeur et des connections avec les secteurs voisins, ça serait déjà plus intéressant pour n’importe quel acheteur, sauf qu’en plus ici, je ne sais pas c’est quoi les règlements de hauteur, mais je suis surpris qu’on puisse y construire quoi que ce soit de rentable sur ce terrain donner envie à n’importe quel privé d’y mettre de l’argent et de vouloir en faire plus dans le secteur.

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Not surprised, developers have a single purpose to their core, its to make a profit. If that incentive is taken away, or is hindered with zoning regulations, they’ll walk away. Now I do support social housing and affordable , it’s a great way to provide affordable units to the average folk who otherwise cannot compete in the free market. From what I read, seems like the city imposes a lot of zoning restrictions here, if they want to attract developers, ones gotta go, heavy zoning regulations, or mandatory affordable housing requirements. Mayor Plante cannot have both.

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If this isn’t further proof of amateurism, I really don’t know what else can convince people that we need a change in administration stat. They are clearly not up to the task of running, planning and developing a global city.

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Apparemment c’était du 55$ du pc bâtissable, donc à 10 millions de dollars c’est un peu plus de 180000 pc bâtissables.
4200 mètres carrés c’est environ 45000 pc; donc le terrain a l’air d’être permis pour construire environ 5 ou 6 étages avec les marges latérales.

Amen, they over promise, vastly under deliver, they like to talk, and then butcher the walk.

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Le directeur général « en amour » avec le tramway

Le directeur général de la Ville de Montréal, Serge Lamontagne, s’est émerveillé de voir un quartier en construction déjà desservi par une ligne de tramway. Un scénario normal à Vienne, où l’on priorise la réalisation des projets collectifs (transports en commun, parcs, écoles, etc.) sur les logements afin que les premiers résidants emménagent dans un quartier déjà complet.

« Moi, je suis en amour avec le tramway », a lancé le directeur général Serge Lamontagne en évoquant sa visite, avant de se tourner vers la réalité montréalaise. « Si on veut développer l’hippodrome, c’est comme ça qu’on va y arriver, avec un projet de transport structurant. » Donc, un tramway à l’hippodrome ? « Un projet structurant », a-t-il répété, sourire aux lèvres.

« Il n’y a pas un plus beau mode de transport que le tramway pour développer l’urbanité, a ajouté Laurence Vincent, de Prével. C’est un bel outil qui malheureusement a été délaissé à travers le temps. »

La possibilité qu’un tramway pénètre l’immense terrain pour relier tous ses habitants à la station de métro Namur avait déjà été évoquée dans une version du projet datant de 2008.

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« Avant, c’étaient les chevaux qui tournaient en rond à l’hippodrome. Maintenant, c’est nous », a lancé Alan DeSousa, maire de l’arrondissement de Saint-Laurent, en anglais.

Je dois dire qu’elle est bonne :laughing:

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Je l’ai entendu à la radio de Radio-Canada! :wink:

Les nouveaux logements se font toujours attendre à l’ancien hippodrome


Jacques Nadeau archives Le Devoir
Ensemble Montréal reproche à l’administration Plante de « tourner en rond » dans le développement de nouveaux logements sur l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, ici photographié en novembre 2021.

Jeanne Corriveau
2 mai 2023
Montréal

Le projet de développement qui doit voir le jour sur le terrain de l’ancien hippodrome de Montréal fait du surplace, estime l’opposition à l’hôtel de ville qui réclame de l’administration Plante l’élaboration d’un plan d’ensemble pour le site de manière à accélérer la construction de logements.

Il fut une époque où les chevaux « tournaient en rond » sur la piste de l’hippodrome, a rappelé mardi Alan DeSousa, maire de l’arrondissement de Saint-Laurent et membre d’Ensemble Montréal. Désormais, c’est l’administration Plante qui tourne en rond avec le développement de ce site, a-t-il dit.

En septembre dernier, la Ville avait lancé un appel d’offres afin de trouver un OBNL qui se porterait acquéreur d’un terrain pour 4,5 millions de dollars afin d’y construire des logements abordables. La soumission d’un organisme aurait été retenue, mais la transaction n’a pas encore été finalisée.

Le second appel d’offres, lancé en octobre, visait plutôt à trouver un promoteur immobilier prêt à acheter un lot pour 10 millions et y construire des logements, dont 60 % de type abordable. Or, aucune soumisse n’a été reçue, témoignant du peu d’attrait de la proposition de la Ville.

Un plan de développement nécessaire

Selon Alan DeSousa, l’absence d’infrastructures souterraines et de plan précis pour l’ensemble du site rebute les promoteurs immobiliers, d’autant que les lots mis en vente ne représentent qu’une part infime du site de 43,5 hectares. « On a besoin de savoir exactement où vont être les rues et les services publics, comme les parcs, les infrastructures d’eau et d’égouts et les logements sociaux », a-t-il indiqué mardi. « En connaissant ça, on va être en mesure de chiffrer les montants [requis]. »

Selon lui, conclure une entente avec les autres ordres de gouvernement pour le financement des infrastructures rassurerait les promoteurs immobiliers. La Ville devrait aussi prévoir des investissements pour ces infrastructures dans son plan décennal d’immobilisations, note-t-il.

C’est dans ce contexte qu’Ensemble Montréal présentera une motion lors de l’assemblée du conseil municipal du 15 mai. Cette motion réclame de l’administration qu’elle dépose un Programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le site dès le mois de septembre et qu’elle mandate l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) afin de mener une consultation à ce sujet. Une entente sur un plan d’investissement avec Québec et Ottawa permettrait d’accélérer le développement du site, avance l’opposition.

Financer les infrastructures

Si le prix demandé pour le lot offert aux promoteurs a pu en décourager quelques-uns, Jean-Marc Fournier, p.-d.g. de l’Institut du développement urbain (IDU), croit que les contraintes imposées par la Ville et surtout, l’absence d’un plan d’ensemble pour le développement du site ont refroidi les promoteurs. « Ce n’est pas facile de se faire une tête quand on ne sait pas ce qui va arriver à côté, sur 96 % du site », souligne-t-il.

Le site ne comporte pas d’infrastructures souterraines. Pour y remédier, la Ville pourrait conclure une entente avec Québec afin que le gouvernement assume une partie des investissements nécessaires, quitte à ce que la Ville lui verse une partie des taxes foncières récoltées pendant les premières années, avance-t-il.

« Je sais que pour les villes, ce n’est pas un réflexe de partager leurs revenus. Mais en ce moment, la Ville de Montréal n’en fait pas ! », dit-il. Au terme du contrat, la Ville pourrait récupérer la totalité de ses revenus fonciers, signale M. Fournier.

Selon lui, un nouveau pacte de développement entre la Ville et le gouvernement du Québec — et peut-être même Ottawa — serait avantageux car des sites comme celui de Namur-Hippodrome, Bridge-Bonaventure et certains secteurs de l’Est de Montréal sont appelés à devenir des « quartiers de proximité de l’avenir ». « Le site de l’hippodrome appartient à la Ville. On ne peut pas dire que ce sont les promoteurs qui retardent le projet », dit-il. « Et dans le cas de l’hippodrome, il y a déjà une station de métro à proximité. »

Discussion avec la ministre Duranceau

La mairesse Valérie Plante assure que le dossier de l’hippodrome « avance ». « C’est une vision concertée entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec. Et on veut travailler avec l’ensemble de l’écosystème », a-t-elle commenté mardi, en marge d’une conférence de presse sur les rues piétonnes estivales.

La Ville n’a pas encore relancé l’appel d’offres pour les promoteurs. La mairesse a cependant indiqué que le dossier Namur-Hippodrome a figuré au menu de ses discussions avec la ministre responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, il y a deux semaines. « Autant la ministre que moi souhaitons que ça bouge le plus rapidement possible même s’il y a des enjeux majeurs comme le coût des infrastructures. »

En 2012, le gouvernement du Québec avait convenu de céder le site de l’hippodrome à la Ville de Montréal. En échange, la moitié des revenus générés par la vente des lots de terrain à des promoteurs devait être versée au gouvernement. Il a fallu cinq ans avant que la cession se concrétise, mais aucun logement n’a encore vu le jour.

Avec Zacharie Goudreault

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Est-ce qu’on a décidé du mode de transport pour ce futur quartier? Ce serait bien de discuter de ça en amont plutôt que de figurer ça plus tard. Peut-être une ligne d’autobus qui faire des aller-retour avec la station de métro avec une voie dédiée et qui a un fréquence au 10 minutes toute la journée?

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Comme on dit on se penche dessus. Pour peut etre a la fin s’écraser par terre.

La machine gouvernemental municipale de Montréal est comme une tortue virée en l’envers. Et qui attend qu’on l’a revire.

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Ancien hippodrome La mairesse d’arrondissement rêve d’un tramway

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Site de l’ancien hippodrome, dans Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce

L’idée de faire circuler un tramway sur les terrains de l’hippodrome « fait rêver » la mairesse locale, qui vient de dévoiler qui construira le premier projet immobilier du futur quartier de 12 500 logements.

Publié à 1h32 Mis à jour à 5h00

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Philippe Teisceira-Lessard
Philippe Teisceira-Lessard La Presse

Le tramway, « j’aime bien ça comme idée », a dit Gracia Kasoki Katahwa, élue en 2021 à la tête de l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce.

PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

Gracia Kasoki Katahwa, mairesse de l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce

Il faut qu’on soit en mesure de rêver. Et je pense qu’un secteur comme Namur-Hippodrome […], c’est un endroit où on devrait se permettre de rêver.

Gracia Kasoki Katahwa, mairesse de l’arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce

Au cœur de l’enjeu : la connexion de cet immense terrain avec la ligne bleue du métro via les stations Namur et de la Savane. Elle n’est pas la seule à avoir ce rêve. Fin avril, en Europe, le directeur général de Montréal, Serge Lamontagne, se disait « en amour avec le tramway » viennois, qui l’inspirait pour le développement de l’hippodrome.

Mme Kasoki Katahwa s’exprimait en entrevue téléphonique avec La Presse à l’occasion du dévoilement des résultats du premier appel d’offres pour un terrain de l’hippodrome. C’est un projet d’édifice de 200 à 250 logements proposé par l’organisme La Traversée qui a remporté le processus visant le secteur communautaire. La Traversée explique sur son site web qu’elle gère déjà un parc immobilier de 20 bâtiments, destinés notamment aux aînés et aux populations vulnérables.

Un autre appel d’offres, auprès du secteur privé, n’avait attiré aucune soumission, à la « surprise » de l’administration Plante. Selon les informations de La Presse, les promoteurs immobiliers n’avaient pas voulu formuler de proposition ferme sans savoir à quoi ressemblerait le quartier dans lequel ils s’inscriraient.

« On avance vite »

Le dévoilement du projet communautaire gagnant marque l’un des rares indices publics de progrès dans le dossier de l’hippodrome, 14 ans après la fin des courses de chevaux et 6 ans après le transfert du terrain à la Ville.

L’entente entre le gouvernement du Québec et Montréal prévoyait justement qu’elle pourrait être résiliée si la Ville ne commençait pas à céder des lots six ans après sa signature en 2017.

L’administration Plante ne craint toutefois pas que le gouvernement Legault déchire l’entente et reprenne le terrain.

« Pas du tout, a assuré Benoit Dorais, responsable de l’habitation au sein de l’administration Plante. On travaille de concert avec le gouvernement du Québec et ça va bien. On n’est pas du tout inquiets. On est là, on avance, on avance vite. »

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Benoit Dorais, responsable de l’habitation à la Ville de Montréal

Les gens nous disent que c’est long, mais oui, c’est long parce que c’est un coin complexe. On ne veut pas développer n’importe quoi dans ce coin-là.

Benoit Dorais, responsable de l’habitation à la Ville de Montréal

« Depuis le début de mon mandat, les gens ne le voient pas nécessairement, mais on travaille activement », a aussi assuré la mairesse d’arrondissement Kasoki Katahwa, qui dit insister sur l’importance d’inclure des équipements collectifs, comme des écoles et des centres sportifs, dans la planification. Elle ne veut « pas seulement un lieu où les gens viennent dormir, mais un lieu où les gens vont travailler », a-t-elle ajouté.

Pas « perfectionnistes à outrance »

Après avoir écarté le plan tout prêt de l’administration Coderre parce qu’il manquait de logement social et après six ans à préparer le sien, l’administration Plante prêche-t-elle par excès d’idéalisme dans ce dossier ?

« Je ne pense pas qu’on est perfectionnistes à outrance. Je pense qu’on est pragmatiques, a continué M. Dorais. On est pressés. C’est certain qu’on est pressés. Mais on doit s’assurer d’avoir les conditions favorables pour avancer. »

Pour l’élu, ce pragmatisme doit aussi s’appliquer au choix du mode de transport qui sera implanté dans le secteur.

« Le tramway, ça fait souvent rêver, ça, c’est sûr et certain », a-t-il dit, beaucoup plus prudent que sa collègue de l’arrondissement.

« On a vraiment à faire de bonnes analyses, à regarder les meilleures solutions. Je ne suis pas en train d’écarter le tramway, mais je ne suis pas en train de faire un plaidoyer pour le tramway qui ferait en sorte que c’est absolument la voie qu’il nous faut pour Namur-Hippodrome, a-t-il dit. Je pense qu’il nous faut la meilleure solution pour le développement d’un secteur. »

Namur est à 10 minutes de marche. Au moins 70% de la ville est moins bien desservi en TEC que ce futur quartier. Ca ne devrait clairement pas être une priorité.

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Laisser un corridor pour un futur tramway dans ce secteur comme ils ont fait à Toronto sur le boulevard Fort York et l’avenue Sheppard.

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Tellement pragmatiques et pressés que 6ans après avoir écarté le plan précédent rien n’est fait. Même le fait de nous parler de tramway c’est de la poudre aux yeux pour détourner l’attention du fait qu’ils gèrent mal le projet et que les résultats ne sont pas au rendez-vous. SVP nous prenez pas pour des zouaves.

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Le territoire à l’air petit pour un tramway qui ne la dessert. On parlerait d’un train ou 2, non?

Il n’y a jamais eu de plan pour l’hippodrome.

L’administration Tremblay a dévoilé son “plan”. L’administration Coderre a dévoilé son “plan”. L’administraion Plante a dévoilé son “plan”.

Le dossier dans son ensemble est assez vieux pour avoir son permis de conduire. C’est facile de lancer un chiffre de logements, et l’accompagner d’une poignée de volumes sur un rendu. C’est beaucoup plus difficile de démontrer comment on va payer 800 millions en infrastructures (ce qui ne comprend pas Cavendish, encore moins d’autres souhaits de tramway).

C’est un échec collectif de longue date. Québec ne voulait pas se mouiller et était bien contente de se débarrasser du site à la ville de Montréal après des années d’inertie. La ville de Montréal a pris le site avec seule condition de partager les revenus de la vente des terrains… Sans savoir comment payer pour le développement.

Pas de plan, pas de terrain qui se vend. Pas de terrain qui se vend, pas d’argent. Pas d’argent, pas de plan.

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Mon avis personnel sur la chose, c’est que le site débloquera quand le financement sera sécurisé. D’ici là, c’est certain qu’on va patiner et donner l’impression de faire de quoi tout en se grattant la tête sur la façon d’y arriver. Et quiconque dans la sphère politique critique les délais sans apporter une solution réaliste ne dit rien de très intéressant, IMO. Plusieurs administrations successives à Québec et à Montréal m’ont déçu à ce niveau.

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