Prolongement de l'autoroute 25 et amélioration de la route 125

Pour rajouter des précisions sur ton point, Lanaudière hors-CMM est desservie par le CRTL. Il y a une desserte existante dans l’axe de la 25/125 jusqu’à Saint-Donat, qui est la ligne 125.

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On en avait parlé l’an dernier… rappelons que Saint-Donat-Montréal c’est 27,85$ l’aller-simple (à payer comptant dans le bus apparament).

Pas nécessairement relié au prolongement de l’A25…, mais c’est tout de même lié à une dépense insensée que pourraient assumer des résidents de ses affluents tout près.

A25 à Mascouche Un mur antibruit qui serait payé par une poignée de résidants


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE | Le quartier de Mascouche concerné par le projet de mur antibruit

Des résidants de Mascouche ont été renversés d’apprendre qu’ils pourraient devoir verser des centaines de milliers de dollars à leur municipalité si un projet de mur antibruit le long de l’autoroute 25 va de l’avant.

11 février 2023 | Publié à 5h00 | PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD | LA PRESSE

Une telle structure est une « amélioration sectorielle » qui devra être payée aux trois quarts par les résidants qui en bénéficieront, plutôt que d’être assumé à même le budget municipal, avertissent les ingénieurs de la Ville de Mascouche dans une lettre distribuée cette semaine, rue Brien.

La missive appelle les citoyens à se prononcer. Si 65 % d’entre eux veulent aller de l’avant avec un mur, le projet progressera. Facture : 136 000 $ par résidence si Québec subventionne le chantier, 272 000 $ dans le cas contraire. Les paiements peuvent atteindre 437 000 $ si les citoyens choisissent d’étaler la facture sur 20 ans de taxes foncières.

« Je n’ai pas ça. Je suis à la retraite. Avec notre retraite, on arrive, on s’en sort, mais c’est impossible » d’acquitter une telle facture, a expliqué Miguel Tomas à La Presse. L’homme a installé une affiche « NON AU MUR » sur son abri d’auto. « Je ne sais pas ce qu’on va faire. C’est incroyable. » Leur fille craint aussi que la maison – dont l’évaluation municipale avoisine les 250 000 $ – devienne invendable si les acheteurs doivent assumer une telle facture.


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE | Miguel Tomas et son épouse Vilma s’opposent à la décision de la Ville.

M. Tomas et son épouse Vilma ont acheté leur maison en 1987, un an après avoir immigré au Québec. L’autoroute 25 bordait déjà les modestes bungalows de la rue Brien à ce moment. Au fil des 35 dernières années, le couple s’est habitué à la présence du bruit, qui a crû avec l’augmentation de la circulation automobile. « Elle ne me dérange pas, l’autoroute », a dit M. Tomas, dont la femme compare le bruit à celui de la mer.

Bassin limité

D’autres résidants semblent beaucoup moins l’apprécier.

Ce sont des plaintes de citoyens qui ont poussé Mascouche à faire évaluer l’intensité du bruit le long de l’A25, l’automne dernier, selon la lettre du service du génie de la Ville de Mascouche.

Résultat : les maisons d’un côté de la rue Brien, qui font dos à l’autoroute, reçoivent un niveau sonore trop élevé en vertu des normes du ministère des Transports du Québec.

Seule solution évoquée : un mur antibruit de « plus de 26 millions ». « Comme il s’agit d’une amélioration sectorielle, la construction d’un mur antibruit serait financée à 25 % par la Ville de Mascouche et à 75 % par les résidants du secteur qui en bénéficieraient », continue le document.

Et le bassin de payeurs potentiels est limité : seules 73 résidences seraient appelées à mettre la main à la poche. « Si vous recevez cette lettre […], vous auriez à contribuer financièrement », avertit la Ville de Mascouche.

La Ville a lancé une consultation virtuelle des propriétaires de ces 73 résidences. Si 65 % d’entre eux y sont favorables, le projet progressera.

C’est toutefois loin d’être la dernière étape avant la mise en chantier d’un éventuel mur, a précisé la Ville de Mascouche.

« Une mobilisation en défaveur »

« Si le projet recevait assez d’appuis de la part des citoyens (65 % et plus), ceux-ci seraient conviés à une séance d’information et le projet devrait ensuite faire l’objet de la procédure normale d’approbation réglementaire pour l’obtention d’un règlement d’emprunt », a indiqué Isabelle Gagné, conseillère aux communications au sein de la Ville. « Cette nuance est importante puisque le processus pourrait avoir une incidence sur la suite du projet. Autrement dit, même si l’issue de la consultation actuelle était favorable au projet, l’ouverture d’un registre pourrait venir changer la donne. »

Mme Gagné a souligné que la Ville répondait d’abord à des demandes de citoyens en mettant ce projet sur les rails. Toutefois, « je vous informe aussi qu’à l’heure actuelle, nous sentons une mobilisation en défaveur du projet », a-t-elle ajouté.

C’est peut-être le fait de Miguel Tomas, qui fait la tournée de ses voisins pour tenter de les convaincre de renoncer au mur antibruit : « On ne va pas payer tout ça pour le caprice de quelqu’un. »

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C’est fou, les gens du quartier a Mascouche doivent payer pour un mur qui protège leur oreilles d’un autoroute, mais les gens du quartier Mercier est né doivent pas payer les milliards que ça va coûter pour mettre un métro en tunnel a cause de leur préférence visuel.

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Me semble que quand t’achètes à côté d’une autoroute, tu sais un peu dans quoi tu t’embarques. Il est temps qu’on réalise à quel point les autoroutes ont un effet négatif sur la valeur des propriétés adjacentes, ce qui est tout le contraire des stations de transport en commun. Créer de l’infrastructure de TeC va créer de la richesse collective, tandisque que construire des autoroutes a l’effet contraire.

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Tout à fait comme le groupe Les Mécontents Voisins de l’Aéroport. “Le vendeur ne m’avait pas fait connaître qu’il y aura des décollages et atterrissages d’avions là!”

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Un projet routier datant des années 1970 sème la controverse dans Lanaudière


Le trait bleu représente le projet du prolongement de l’A-125.
Photo: Google maps, à partir du site de Mobilité 125

Zoé Arcand
29 juin 2023 à 17h10 - Mis à jour 29 juin 2023 à 17h12 6 minutes de lecture

Un projet d’infrastructure routière divise la petite municipalité de Sainte-Julienne, dans Lanaudière. D’un côté, un groupe de citoyens lutte contre le projet de prolongement de la route 125, un projet qui date des années 1970 et qui, selon eux, mettrait en danger des espèces menacées et détruirait des milieux humides. À l’opposé, élus et citoyens attendent impatiemment la concrétisation de ce projet «depuis 48 ans».

Shanie Gauthier, jeune femme de 23 ans résidant à Sainte-Julienne, est l’initiatrice d’une pétition s’opposant au projet, pétition qui compte à ce jour près de 2300 signatures. Elle milite activement pour la préservation des milieux humides qui seront rasés pour faire place à quatre voies automobiles. Ces voies feront 90 mètres en largeur et s’étaleront sur près d’une dizaine de kilomètres.

«Le projet entraînera la destruction de forêts et d’un environnement exceptionnel» s’attriste de son côté le vice-président du Conseil régional de l’environnement de Lanaudière (CREL), Francis Bergeron. Il explique que dans la MRC de Montcalm, où se trouve Sainte-Julienne, de plus en plus de biodiversité est perdue puisque «le privé fait l’acquisition de terres où se construiront des quartiers».

Là, on va perdre des milieux exceptionnels de manière volontaire, parce que c’est le gouvernement qui choisit de construire une autoroute au lieu de préserver la biodiversité.

Francis Bergeron, vice-président du CREL

Une ville divisée

Datant des années 1960, les plans initiaux du projet de prolongement de la R-125 – qui constitue également une portion de l’autoroute 25 – ont subi diverses mutations au fil de ans, explique le ministère des Transports et de la Mobilité durable du Québec (MTQ).

Le territoire sur lequel doit se construire cette route a été acquis en 1975.

Cette année-là, alors que Gérald Daviau avait 25 ans, ses parents auraient perdu un tiers de leur terre – principalement un boisé –, une portion acquise par le MTQ. Aujourd’hui, le septuagénaire juge que cette route doit être construite. «On n’a pas le choix, ça fait 48 ans qu’on l’attend!»

Le trafic ralentit la circulation plusieurs jours dans l’année, soutient-il. Tout près de chez lui, un complexe de plusieurs centaines de portes doit voir le jour, ce qui accentuera l’achalandage routier. Si cette portion de route n’est pas construite, «je vais être fâché», lâche M. Daviau.

«Ces travaux permettront d’améliorer la sécurité routière en augmentant l’accessibilité de la partie nord de la région de Lanaudière et en diminuant la circulation au centre-ville de Sainte-Julienne», résume de son côté le MTQ.

Plusieurs élus de municipalités bordant la R-125 entre Saint-Esprit et Saint-Donat se sont unis sous la bannière Mobilité 125. Le comité travaille comme partenaire du MTQ pour la concrétisation du projet. L’état actuel de la mobilité dans le secteur causerait selon les élus des enjeux de sécurité et nuirait au développement économique et social et à la qualité de vie du secteur.

Mobilité 125 n’a pas répondu aux demandes d’entrevue de Métro.

Un projet anachronique

Du côté de l’organisme Vivre en ville, de Shanie Gauthier et du CREL, on critique l’anachronisme que représente ce projet de prolongement routier. «La croissance pour la croissance, c’est un paradigme duquel il faut se sortir», croit le directeur général de Vivre en ville, Christian Savard.

«C’est un projet qui est déconnecté de la réalité climatique d’aujourd’hui», ajoute Mme Gauthier.

M. Daviau croit lui aussi que le transport en commun devrait être mis de l’avant, «mais qu’est-ce que tu veux qu’on fasse? Le gouvernement n’investit pas là-dedans.»

En 2021, le gouvernement devait investir 287 M$ pour le prolongement de la R-125. «Avec l’inflation, on va être rendu à quoi, 400 M$?, se demande M. Bergeron. Avec ce montant-là, on pourrait en avoir, des autobus, des chauffeurs et des gares!»

Avec son projet, le message que le gouvernement envoie à la population c’est «achetez-vous un char».

Francis Bergeron, vice-président du CREL

Ce prolongement causerait de l’étalement urbain, faisant en sorte que dans 15 ans, la population serait aux prises avec le même trafic qu’aujourd’hui, soutiennent ses opposants, qui trouvent inconcevable la destruction d’un milieu naturel «pour que des touristes arrivent plus vite à leur chalet».

Le pied sur le gaz

Malgré la division que ce projet crée chez les citoyens de Sainte-Julienne, la Coalition Avenir Québec (CAQ) maintient sa décision de le voir se concrétiser. Le projet de prolongement de la R-125 compte en effet parmi les 181 projets assujettis à la Loi 66 visant à permettre l’accélération de certains projets nationaux d’infrastructure. Plusieurs groupes de la société civile, dont ceux impliqués contre le prolongement de la R-125, militent pour l’abrogation de cette loi, adoptée dans un contexte pandémique.

«Cette loi-là a été adoptée pendant la pandémie pour stimuler l’économie, mais là, non seulement l’économie roule, mais en plus, il n’y a pas de main-d’œuvre», soutient le vice-président du CREL. Avec la Loi 66, seules les consultations publiques ciblées sont retenues et dans ce cas-ci, elles sont réservées aux individus et aux groupes sélectionnés par la ministre Geneviève Guilbault, souligne-t-il.

Selon le MTQ, le comité Mobilité 125, en faveur de la construction du tronçon d’autoroute, aurait travaillé comme partenaire en présentant «sa vision globale des besoins en transports pour améliorer l’accès au nord de Lanaudière».

Le ministère de l’Environnement et de la Lutte aux Changements climatiques à émis un avis défavorable au projet présenté par le MTQ. Ce dernier «effectuera l’analyse des enjeux soulevés dans le cadre de cette consultation publique menée par le MELCCFP et s’assurera d’y donner suite. M. Bergeron croit que la route passera «davantage du côté des champs d’agriculture» et maintient sa position vis-à-vis le projet.

Soulignons que les citoyens de Sainte-Julienne ne sont pas les seuls concernés par un projet du genre qui divise. À Trois-Rivières, un réseau de citoyens s’oppose aussi à la destruction d’un milieu humide du secteur, qui se ferait au bénéfice de la construction d’une infrastructure routière.

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Du gros ark ce projet.

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Pas compliqué, ce projet n’a pour but que de soulager le gros trafic du vendredi soir quand les citadins veulent aller à leur chalet ! Tout ça parce que le MTQ a permis la construction le long de la voie de contournement à Ste-Julienne ! Ça prend donc une nouvelle voie de contournement pour contourner les 2 (!!!) feux de circulation qui bloquent tout !
Ce qui revient à dire que la portion entre Ste-Julienne et St-Esprit est superflue, juste à faire une nouvelle voie de contournement, en interdisant complètement le développement cette fois-ci !
Ste-julienne

Ou encore mieux, que les gens prennent leur mal en patience ! Pas comme si c’était très long à traverser !

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Premièrement les chalets sont pas là. La route dessert 25 000 résidents et plus, c’est des résidences anciennes et des blocs d’appartements tout neufs pour le monde de la grosse ville qui n’arrivent plus à payer; et secundo l’attente entre St-Esprit et le nord de Ste-Julienne dépasse parfois les deux heures. Je trouve que comme attente il y en a qui se plaigne bien plus pour avoir attendu leur autobus un gros dix minutes.

Faut croire alors que les «résidents» sont là surtout le vendredi soir et retourne «travailler» vers Montréal le dimanche… Pour habiter la région, les seules fois que ça peut prendre plus de 15 minutes supplémentaires, c’est quand il y a un accident ! Impossible autrement que ça prenne 2 heures pour parcourir 12km !! Présentement, à 17h, ça prend 14 minutes de l’échangeur 158-25 jusqu’à la sortie du village de Ste-Julienne. Le vendredi, à la même heure, c’est 30 minutes.

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C’est le chemin pour y accéder. Rawdon, Saint-Côme, NDM, Saint-Donat, Chertsey, Entrelacs, Saint-Marguerite… C’est sûr que ça fait pas un bon mix avec les milieux semi-urbains à Saint-Esprit et Sainte-Julienne. Peut-être serait-ce le temps que ces communautés développent des alternatives pour moins dépendre de l’auto? Plutôt que de détruire des milieux naturels et encourager l’étalement urbain.

Je seconde Asakha concernant les temps de trajet, je vois pas d’où ces chiffres sortent.

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Les maires de Lanaudière lancent une consultation publique/étude pour documenter les problèmes de congestion… pour étayer le besoin de prolonger l’autoroute 25…

Reportage radio à l’émission le 15-18

:radio: :headphones: Maintenir en vie le projet de prolongement de l’autoroute 25 : P.-A. Saulnier Rattrapage du 5 mars 2024 : Le point sur la saison de ski, et le Groupe Juste pour rire à l’abri de ses créanciers

Ils ont aussi fait une consultation auprès des cyclistes sur les moyens de rendre la 125 plus sécuritaire pour eux. Lire entre les lignes : pousser les voitures vers la nouvelle autoroute pour protéger les cyclistes…

Mobilité 125

C’est bête de même, mais un prolongement d’autoroute ne changera rien à la configuration actuelle, donc autre le fait qu’il y aurait moins de voitures (tant qu’il n’y a pas d’accident sur l’autoroute), ça restera aussi dangereux pour les cyclistes si c’est la «configuration» le problème ! Ah, c’est vrai, pour mieux nous vendre l’autoroute, on nous promet une piste cyclable (qui servira aux motoneigistes l’hiver) le long de cette nouvelle autoroute, et une piste de VTT de l’autre coté !

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Ce qui est vraiment terrible dans toute cette saga de la 125, c’est qu’à Ste-Julienne, cette route est déjà la voie de contournement du village. C’est juste qu’avec le temps on y a autorisé un développement commercial et immobilier avec beaucoup de rues transversales, ce qu’on aurait jamais dû faire. Ça sabote toute l’utilité d’une voie de contournement :roll_eyes:

Pour vrai, ce qui permettrait une fluidité à bas prix est simple: on interdit toutes les traverses de la 125 et on met des vrais carrefours giratoires à l’entrée et à la sortie du périmètre urbain de ce village. Bingo, pas besoin d’une autoroute qui déstructure les paysages et l’environnement. Mais ça arrivera jamais, le MTQ va jamais faire ça.

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Pour y avoir fais souvent du vélo entre Montréal et Rawdon, le tronçon en question est déjà le plus sécuritaire de la 125. L’accotement est d’une bonne dimension et les vendredi d’été (le seul vrai moment où il y a du trafic), on va plus vite en vélo qu’en auto :upside_down_face:

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Le problème, c’est les 2 feux de circulation, celui avec la 346 et l’autre devant le Métro… À la limite, si Ste-Julienne tient tant à sa seconde voie de contournement…
Capture d’écran du 2024-03-07 08-42-34
Ça reprend sur 75% les terrains déjà expropriés et ça règle 90% du «problème», entre guillemet, parce que ça pose réellement du trafic que le vendredi et le dimanche ! Je veux bien croire qu’en 1960, on a construit la 15 pour les plaisanciers des Laurentides, mais on est plus là en 2020 !

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Honnêtement, je ne vois pas pourquoi deux carrefours giratoires ne pourraient pas régler le problèmes des files d’attente aux feux? Ou au moins venir le mitiger…

Il y en a deux sur la 117 à Tremblant qui semblent faire amplement le travail.

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Faut pas oublier qu’à Tremblant, les carrefours giratoires sont sur une voie de contournement plus qu’assez large pour une autoroute (56 mètres) ! À preuve, les 2 autres accès plus au nord ont carrément des échangeurs. Pour faire la même chose à Ste-Julienne (22 mètres), il faudrait exproprier, pour l’intersection 125/337/346 les 3 commerces sur les coins. Pour l’intersection du Métro, il faudrait exproprier une partie du stationnement de ce commerce et le Subway. Ou juste retirer cet accès au stationnement et faire le carrefour giratoire à la hauteur de Lac Lemenn. Ensuite on retire la voie centrale pour tourner à gauche entre les 2 carrefours giratoires. Oui, c’est possible de le faire, mais disons que les 2 ne sont pas tout à fait comparable en terme d’espace disponible !

Ce sont les concepts que je comparais.

Exproprier quelques commerces selon moi est pas mal moins coûteux et destructeur que construire une voie de contournement (ou une autoroute!!) sur des espaces naturels.

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