Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais la Station De la Concorde a Laval, devait s’appeler Concorde originellement mais ils ont rajouté le « De La » pour qu’on la confonde moins avec la Station Guy-Concordia…
Donc c’est même pu une question d’avoir le même nom, c’est tout simplement de la délicatesse !
La STM a déjà proposé des noms dans le passé pour ces stations de métro.
De mémoire (je ne retrouve plus le document en question) :
Pie-IX → Provencher (ça, j’en suis assez certain)
Viau → De Cannes
Langelier → Dumesnil ou Bellefeuille, je ne suis plus certain
N’oublions pas que la STM s’efforce déjà d’éviter les doublons en nommant une station du nom d’une autre rue proche. Par exemple, la station Namur est sur Jean-Talon (mais on ne l’a pas appelé Jean-Talon Ouest), Fabre est sur Papineau. Et Montmorency aurait pu être nommée Corbusier, mais j’imagine qu’à l’époque on prévoyait un éventuel prolongement sur ce boulevard là.
Il y a également un aspect de sécurité important, pour communiquer et coordonner les services d’urgences en cas d’accidents ou actes violents.
La station Fabre s’appelle pas PIE-IX, de Castelnau n’est pas St-Laurent, etc.
Hein la station Fabre est à côté de Pie-iX??
J’habite à côté de La station Fabre, je l’utilise à tous les jours, c’est pas proche de Pie-iX du tout !
il voulait dire Papineau, c’est certain, car il y a deja un Papineau sur la ligne verte et fabre est essentiellement sur Papineau mais plus au nord.
Étape très concrète ce matin, la STM lance son «Avis de qualification pour la construction du tunnel pour le prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal».
En ce qui concerne les noms… c’est surtout qu’on a une source illimitée de noms disponibles… C’est pas très compliqué d’en trouver d’autres.
Tout ça me semble assez mineur comme problème. C’est pas plus compliqué au niveau des opérations de désigner les stations comme Viau Bleue et Viau Verte. C’est pas plus compliqué qu’avoir des rues avec une section Est et une section Ouest, c’est assez rare qu’une ambulance aille au coin de Sherbrooke/Du Fort au lieu de Sherbrooke/De Lorimier parce qu’elle a confondu l’Est et l’Ouest (parce que les services d’urgences s’assurent que le lieu est bon).
À l’inverse, les stations avec le même nom aident énormément à comprendre la ville. Bien des gens ne savent même pas que Namur, Lionel-Groulx ou De Castelnau sont des noms de rue, et ils pourraient encore moins situer ces rues sur une carte. Et pour ces mêmes stations, il y a autant de gens qui ne savent pas que ces stations donnent sur Jean-Talon, Atwater et St-Laurent, qui sont pourtant des repères beaucoup plus significatifs. C’était mon cas les premières fois que je venais à Montréal, et je trouve pas que ça m’a aidé à comprendre plus vite la grille de rue de Montréal et à me repérer d’avoir des noms de stations différents. Et jamais je n’aurais imaginé qu’un autobus m’amenait de Papineau à Fabre aussi facilement si je n’avais pas pris le temps de regarder (alors que j’aurais fait le lien tout de suite si les deux stations portaient le même nom).
En plus, c’est déjà comme ça pour les autobus et ce n’est pas le chaos. Ça sera comme ça pour le SRB Pie-IX aussi et on entend pas trop de critique. Pourquoi cette exception pour le métro? Aussitôt qu’il faut guider quelqu’un un peu plus loin que le métro, on lui donne des noms d’intersection ou les lignes à emprunter et les gens se débrouillent. Avec les applications comme Google Maps/Transit/etc., il ne doit pas y avoir encore beaucoup de gens qui sont complètement démunis si on leur demande de se rendre au 4050 Papineau sans autre indication, pas assez je dirais pour nier aux autres la compréhension de réseau à mon avis.
Avec le REM de l’Est, on se retrouverait avec 4 stations différentes de train/métro/REM sur Pie-IX, en plus du SRB, sur un réseau métropolitain de presque 200 stations de transit à haut niveau. Rendu là, ça va être beaucoup plus long pour quelqu’un de chercher sur une carte une station qui s’appelle Jeanne-D’Arc ou Provencher (des rues dont il a aucune idée de l’existence probablement) que de simplement lui dire de nous rejoindre au coin Pie-IX et Beaubien. Les différents noms de stations n’apportent rien du tout.
En même temps, Parc Olympique c’est beaucoup plus informatif que Pie-IX si quelqu’un veut se retrouver sur l’île.
A mon avis ça devrait être:
Station Parc Olympique 
+SRB
Station Pie-IX 
Pie-IX REM de l’Est (pas le même système, donc pas de problème au niveau communications)
Il y a une volonté de mettre davantage de noms féminins et autochtones. L’occasion sera surement saisie pour le faire. Et si ça amène à modifier des noms de rues, alors tant mieux.
Pie-IX, on peut très bien penser à mieux que ça.
Sans trop chercher loin, on peut déjà avoir “Boulevard”, “Marie-Rollet”, “Francesca-Cabrini”, “Félix-Leclerc” et “Goncourt” sur la table. Et Pie-IX, on renomme pour “Nadia-Comaneci”. 
D’un point de vue purement personnel on dirait que je ferais une sorte de hiérarchie de noms dépendant du mode:
Train de banlieue: les gares devraient porter des noms de quartier ou de ville (Montréal-Nord, Pointe-aux-Trembles, Anjou, etc.)
Métro: Noms de rue ou de chose proche (Place-D’Armes, Jean-Talon, etc.)
Bus: Nommer l’intersection.
Pourquoi pas Caitlyn Jenner 
(jk… we do not endorse Republicans)
Si ça entraîne un changement de nom de rue, c’est une chose, mais autrement les noms que tu nommes ne font référence à aucun lieu ou point de repère connu (à part le Boulevard). Le but, c’est d’avoir un point de repère clair, pas de rendre hommage à quelqu’un. On ne crée pas le lieu, on y fait référence. C’est en plus s’attirer bien du trouble dans notre époque de nommer une station par le nom d’une personne, on n’a qu’à voir la saga autour de Lionel-Groulx.
effectivement je voulais dire Papineau, my bad
si on ouvre EN MÊME TEMPS les stations Viau bleue et Viau verte, alors oui l’habitude aura été prise dès le départ de les distinguer.
Mais si l’une existe depuis 40 ans, tous les documents, procédures, communications, références internes et externes, etc. deviennent de potentielles sources de confusion.
PHOTO FOURNIE PAR LA STM
L’appareil est ainsi deux fois plus rapide que les méthodes traditionnelles comme le dynamitage, affirme la STM, en plus d’être « beaucoup plus silencieux » et d’émettre moins de vibrations.
Un mois après la confirmation du budget pour le prolongement de la ligne bleue, la Société de transport de Montréal (STM) lance comme prévu son « avis de qualification » pour l’utilisation d’un tunnelier, afin de creuser le tunnel du métro qui reliera Anjou à Saint-Michel.
Publié à 12h31
Henri Ouellette-Vézina La Presse
« Il s’agira d’une première utilisation d’un tunnelier dans l’histoire de la STM. Son usage accélèrera le processus d’excavation et contribuera à la qualité des infrastructures du tronçon prolongé de la ligne bleue », a expliqué mardi la directrice générale par intérim de l’organisme Marie-Claude Léonard.
La société de transport estime que cet avis de qualification, autorisé par Québec, lui permettra de gagner « environ trois mois » pour la suite, en identifiant les entrepreneurs « conformes » pour procéder aux travaux d’excavation avec un tunnelier. Un appel d’offres en bonne et due forme devrait par la suite être lancé. « On n’a pas de date officielle pour la publication de cet appel d’offres. Ça va suivre l’approbation du dossier d’affaires par les autorités gouvernementales. Mais on est dans une question de mois, pas d’années », explique à La Presse le conseiller aux affaires publiques Philippe Déry.
Il faudra environ 18 mois pour lancer les travaux avec le tunnelier, une fois que l’appel d’offres sera réalisé. Les cinq nouvelles stations doivent être livrées en 2029.
À la mi-mars, le gouvernement Legault avait confirmé qu’un budget oscillant entre 5,8 et 6,4 milliards sera finalement consacré au prolongement de la ligne bleue, qui fait l’objet d’engagements gouvernementaux depuis plus de 30 ans. Les autorités estiment que cette fois est la bonne, alors que des économies d’environ 1,1 milliard ont été dégagées.
Recourir à un tunnelier, comme l’a déjà fait CDPQ-Infra pour son REM de l’Ouest, comporte « plusieurs avantages », explique Philippe Déry. « Ça nous permet d’avoir un échéancier qui est plus réaliste, et beaucoup moins susceptible d’être affecté par différents imprévus », souligne-t-il.
En moyenne, le tunnelier pourra gruger entre 13 et 15 mètres de roc par jour, un chiffre « à peu près invariable ». L’appareil est ainsi deux fois plus rapide que les méthodes traditionnelles comme le dynamitage, affirme la STM, en plus d’être « beaucoup plus silencieux » et d’émettre moins de vibrations. Il permettra d’offrir une durée de vie d’environ 125 ans aux tunnels, qui seront plus résistants à l’eau.
« On estime également que les parois du tunnel seront beaucoup plus étanches grâce aux voussoirs de béton préfabriqués qui seront installés au fur et à mesure de sa progression. D’un point de vue environnemental, cette véritable usine souterraine mobile a également l’avantage de requérir, pour son fonctionnement, une alimentation électrique, donc moins polluante », avance aussi la STM.
Un « appel de propositions » public sera par ailleurs lancé dans les prochains mois, afin d’inviter le public à trouver un nom au tunnelier. Le même exercice avait été réalisé avec le REM de l’Ouest, qui a finalement baptisé son tunnelier « Alice » en décembre 2019.
C’est le nombre approximatif de nouveaux logements qui pourraient être construits le long des cinq nouvelles stations de la ligne bleue, selon une estimation récente de la mairesse Valérie Plante.
Ville de montréal
Avec cette nouvelle, on peut vraiment dire que le projet est lancé!
Image extraite du communiqué de la STM sur cette nouvelle… On remarque que le diamètre du tunnelier serait de 10 mètres:
Schéma technique d’un tunnelier
M’a l’croire quand la machine va être dans l’trou
