Un message a été fusionné à un sujet existant : Migration, émigration et immigration - Discussion générale
C’est de la pure provocation vis à vis du Québec qui a déjà statué sur le sujet depuis plusieurs années, en refusant les risques du transport par pipeline de cette ressource qui traverserait notre sol, nos rivières et le fleuve.
Radio-Canada a obtenu + d’info sur ce qui s’est passé en décembre dernier
Après sa lettre dans les médias, Jean Chrétien en entrevue avec Patrice Roy
L’ex-premier ministre Jean Chrétien discutent des défis qui attendent Ottawa
L’ancien premier ministre Jean Chrétien affirme que le Canada ne doit pas se laisser intimider par la future administration Trump aux États-Unis.
Dans une entrevue à Radio-Canada, celui qui a dirigé le pays de 1993 à 2003 soutient que le gouvernement Trudeau est trop sur la défensive pour faire face aux menaces tarifaires brandies par le président désigné.
Lisez notre article sur le sujet pour plus de détails : Justin Trudeau « aurait dû démissionner plus vite », estime Jean Chrétien | Radio-Canada
Mark Carney était au Daily Show avec Jon Stewart
Mark Carney - Canada Not Interested in Trump’s Offer & Liberal Leadership Prospects | The Daily Show
Mark Carney, Canadian economist and former Governor of the Bank of Canada and Bank of England, chats with Jon Stewart about his country’s response to Donald Trump’s desire to annex Canada: “It’s not going to happen.” They also discuss the impending financial crisis Canada faces if Trump follows through on his tariff threats and how the country’s upcoming election involving the leader of the opposition Conservative Party Pierre Poilievre mirrors the 2024 U.S. presidential race. Carney also discusses his bonafides as he considers entering the race to replace Trudeau as the leader of Canada’s Liberal Party.
Propos « mensongers » et « fallacieux »
Pour la survivante de la tuerie de l’École polytechnique de Montréal, Nathalie Provost, les propos de M. Poilievre voulant que, s’il devient premier ministre, il protégerait les chasseurs et les tireurs sportifs en éliminant C-21 et C-71 constituent tout simplement « du mensonge ».
« Il n’y a pas un chasseur qui a perdu une arme de chasse au Canada. […] Il n’y a pas un chasseur qui va aller en prison à cause de C-71. Toutes les armes de chasse sont légales. Les seules affaires qui sont détruites, c’est les armes de style d’assaut », a déclaré Mme Provost en entrevue avec La Presse Canadienne.
Elle constate que le chef conservateur reprend les arguments du lobby des armes à feu voulant qu’il ne faille pas s’attaquer aux propriétaires honnêtes lorsqu’il est question de lutter contre le crime. « À quoi ça sert à un propriétaire honnête une arme de style d’assaut », a-t-elle lancé.
Christy Clark ne se présentera finalement pas - on s’enligne pas mal par un duel Freeland/Carney
J’espère Carney, Freeland je pense vraiment pas qu’elle est assez populaire pour espérer faire mal à Poilievre réellement et elle est trop lier au gouvernement libéral.
À lire pour mieux connaitre le candidat Carney
J’ai très hâte de voir comment se présentera Carney, car tout se jouera avec son attitude et son ascendant qui pourrait favoriser l’homme ou inversement. Au niveau des compétences peu de doute, au niveau du leadership je ne suis pas trop inquiet non plus, mais c’est sur le plan politique qu’il devra faire ses preuves avec un sens inné de la réparti, un certain charisme, un esprit rassembleur et une combativité à toute épreuve. Parce que le climat promet d’être très toxique comme l’exprime mon deuxième article ci-bas.
le Parisien a fait un portrait de Pierre Pollièvre
Ce n’est pas flatteur
vous remarquerez que le narrateur prononce « Justin » à l’anglaise…
Qui est Pierre Poilievre, le « Trump canadien » qui rêve de prendre la place de Trudeau ?
Bon orateur, combatif, parfois injurieux, cette bête politique siège au Parlement depuis vingt ans. Comme Donald Trump, le chef du Parti conservateur canadien a su parler à la classe moyenne, dont il est issu.
J’ai vécu en France 2 ans et tout le monde là-bas prononce son nom comme ça
Souhaitons une entrée remarquée et efficace de Carney car cest le seul mince espoir de stopper Poilievre
Comparer un politicien de droite à Trump simplement parce qu’il est de droite est le summun de la paresse journalistique. Lamentable, peu importe l’opinion qu’on se fait de Poilièvre. And the fear mongering from the mainstream liberal media losing its power keeps going…
Tu as des similarités plus qu’évidente dans ces politiques, ce n’est pas juste pour du sensationnalisme, la majorité des populistes de droites ont aujourd’hui pris inspiration de Trump.
J’ajouterai que Brian Mulroney était de droite, mais n’aurait jamais été traité de « Trump du Canada ». Il respectait les institutions, les médias sérieux… Il était capable de travailler avec l’opposition. Il a conseillé les Libéraux lors du premier mandat de Trump… contrairement à Pollièvre… Au delà des idées, il y a aussi les comportements
Comparer les individus n’est pas nécessairement pertinent (Pierre Poilievre n’est pas, au niveau personnel, Donald Trump), mais la façon de faire de la politique, c’est du marketing, et c’est certain que Poilievre est un politicien qui s’est inspiré d’une formule qui raisonne auprès de bien des gens.
Les slogans simples répétés ad nauseam, l’angle d’attaque agressif sur les rivaux politiques, exploiter les dissensions sociales, le rejet des experts, ne pas avoir peur de mentir si ça score des points… C’est de l’image de marque pour le parti et son chef.
Il y a toujours un angle opportuniste dans la politique, des coups bas, et on peut trouver des erreurs factuelles dans tous les discours. Mais quant à moi, ce qu’on voit en ce moment est une baisse importante de la qualité du débat politique. Et c’est correct de le dénoncer, en ciblant les problèmes de cette approche.
C’est dommage, car j’ai l’impression qu’on brule la réputation d’un parti sur le gain à court terme. Poilievre finit par se définir uniquement par ses attaques contre Justin Trudeau. Et je n’ai aucune idée des véritables politiques de ce gouvernement. C’est facile de dire qu’on veut régler les problèmes du prédécesseur, c’est une autre histoire de savoir comment, et d’offrir une vision qui va plus loin.
J’espère que la qualité du discours politique va augmenter à l’approche des élections, et après celles-ci.