Politique fédérale

Un très mauvais usage des deniers publics qui en plus favorise les plus riches. Décidément les libéraux continuent à approfondir le déficit fédéral de manière irresponsable. Les Conservateurs n’auront pas mon vote, mais Trudeau non plus. :rage:

Je suis surpris de ne pas avoir vu plus de pression au Québec pour égaliser la mesure avec l’Ontario, qui bénéficie d’un bien plus gros rabais avec la taxe harmonisée. De nombreux Québécois vont faire de gros achats dans la province d’à côté…

Ce qui est ironique car c’est une mesure qui a été imposée par le NPD, le parti fédéral qui supposément défend les plus démunis.

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That’s because Québec already came out and said no, they will not suspend the PST.

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Je savais pas trop où mettre ça, mais cette rhétorique de Ford risque de causer plus de tort que de bien! Ford threatens to cut off energy in response to Trump's tariffs | CTV News

L’annonce fait suite à une étude menée par l’ancien gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, sur la manière de catalyser les investissements nationaux des fonds de pension canadiens.

« Les fonds de pension canadiens ont plus de 3000 milliards d’actifs et une expertise en investissement parmi les meilleures au monde », a-t-elle mentionné aux journalistes.

Nos fonds de pension investissent de l’argent canadien. Ils sont gérés par des Canadiens qui vivent ici, qui aiment le Canada et qui aimeraient investir davantage ici, plus près de chez eux.

La ministre des Finances, Chrystia Freeland

Un témoignage sur la perte d’influence d’Ottawa à travers le monde, sur l’oppression de la nation québécoise et sur le projet d’indépendance.

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Alors que le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, est partisan d’une ligne dure – il a proposé de couper l’énergie aux Américains – son homologue québécois, François Legault, pense qu’il faut davantage viser à apaiser Donald Trump quant aux immigrants qui traversent du Canada vers les États-Unis.

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Je n’aime pas la description qu’il fait de la culture canadienne qui est pour moi une très grosse simplification de celle-ci, certes il y a beaucoup de ressemblance sur la forme avec les Américains, mais le fond est très différents avec des valeurs généralement plus à gauche au Canada. Aussi, je trouve vraiment que sa vision de la position diplomatique d’un Québec indépendant est à la limite du wishful thinking, je veux dire on serait encore plus désaventager au niveau de la disparité de population avec les États-Unis. Il n’y a aucune chance qu’il nous considère avec respect avec un si petit marché et on serait encore plus dépendant des exportations vers ceux-ci et je suis désolé, mais on est plus en 1870 les US ne veulent plus de notre indépendance ça leur apporterait absolument rien. Il y a des possibilités qu’on se rapprocherait de la francophonie et de la scandinavie, mais on serait pas un assez gros marché pour eux pour qu’ils importent réellement en masse et ça serait encore une dépendance aux exportations. Finalement, il présente la situation comme si seul le Canada était responsable de nos problèmes, alors qu’une fois encore, la situation est beaucoup plus complexe. La majorité des problèmes qui touchent le Québec pourraient être réglés par nos gouvernements provinciaux (logement, transport, santé, éducation, toutes compétences provinciales), mais ils ne font rien parce qu’ils sont toutes dans cette mentalité néo-libérale et c’est pas Ottawa qui force ça.

Finalement, sans dénier qu’il y a quelques problèmes au niveau de l’intégration des francophones au gouvernement fédéral, est-ce qu’on pourrait arrêter de parler d’oppression svp? Il y a eu de gros abus et des crimes commis à l’endroit du Québec et il ne faut pas les oublier d’où le fait qu’on a gagner plus de compétences, mais de là à encore parler d’une oppression on y va fort. Encore une fois, le rôle du gouvernement fédéral par rapport au Québec à énormément changer depuis les années 90, on est passé d’un rôle très actif à un plus passif. Avec les pouvoirs qu’on a gagné, on est quasiment indépendant de facto, les seuls trucs qu’on a pas c’est la défense nationale et la diplomatique étrangère, mais sinon le reste on ne peut que s’en prendre à nous-même pour les problèmes qu’on a actuellement. À un moment, cessons de toujours blâmer les autres pour nos problèmes et agissons bordel, si on parle d’améliorer la vie des gens normaux c’est pas en se lançant dans un projet incertain que ça va aider, mais c’est plutôt en menant des actions concrètes qu’il est déjà possible de faire. Le fédéral à quasiment rien à voir avec la très, très grande majorité des problèmes, blâmez les vrais responsables pour ça et c’est loin d’être les immigrants, contrairement à ce que PSPP voudrait nous faire croire.

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16 décembre 2024

Sur X

See my letter to the Prime Minister below // Veuillez trouver ma lettre au Premier ministre ci-dessous

It seems like a last minute resignation.

Also, the Housing Minister resigned today.

Chronique de Paul Journet qui parle de vengence et non d’une simple démission

Chrystia Freeland aurait pu annoncer son départ vendredi, ou attendre la fin de semaine. Mais elle a choisi de larguer la bombe au pire moment pour Justin Trudeau : à quelques minutes du début du huis clos pour la mise à jour économique du gouvernement.

Tous les médias s’apprêtaient à étudier ce mini-budget portant sa signature. Ce document, elle n’y croyait pas. Elle vient officiellement de le désavouer. Et elle plombe en même temps le peu de crédibilité économique que M. Trudeau avait encore.

Ne cherchez pas un précédent. Même dans les moments les plus orageux, Jean Chrétien et Paul Martin évitaient de torpiller leurs budgets.

Cela montre l’ampleur du froid entre Chrystia Freeland et son patron. Elle ne s’est pas seulement sentie désavouée. Elle a été humiliée.

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On n’est plus dans une simple divergence d’opinions, il s’agit de la ministre des Finances qui désavoue très publiquement son premier ministre. Le divorce était inévitable.

Manifestement, les chèques de 250 $ et le congé de TPS n’ont pas passé le test de la ministre des Finances. Mais on a demandé à Mme Freeland de présenter un énoncé économique qu’elle réprouvait et en sachant qu’elle subirait, quelques jours plus tard, une rétrogradation vers un ministère qui n’en est pas un. C’était trop demander, même à la plus loyale des ministres et numéro deux du gouvernement Trudeau.