Depuis le 18 mai, le Plateau compte une nouvelle adresse aussi ludique que rafraîchissante : Coquine, une crèmerie festive et vintage où l’on sert des glaces… alcoolisées.
Chez Coquine, on transforme des recettes iconiques de cocktails en glaces maison, infusées de vrais spiritueux et préparées avec des ingrédients naturels. À travers les créations d’Anton, on goûte l’Aperol en version givrée façon spritz à l’italienne, l’espresso martini revisité en crème glacée suave à la fève tonka, le margarita dans un sorbet mangue-piment relevé à la tequila, ou encore la cerise-amaretto inspirée des crèmes glacées à l’ancienne. On peut aussi personnaliser une slush maison avec une mini bouteille de Prosecco ou de vino, pour un petit extra festif.
Un nouveau projet gourmand voit le jour dans le Mile-End : Dalmata, une gelateria italienne (comme ils disent eux-mêmes ou un bar laitier comme ils écrivent sur leur site) qui propose des gelatos maison savoureux, dans un local sans prétention mais soigneusement pensé, au coin des rues Bernard et Clark. Située entre deux adresses bien connues — le café Alphabet et le réputé Bernie Beigne —, Dalmata s’intègre naturellement dans ce secteur dynamique, reconnu pour sa créativité et son offre culinaire originale.
Le nouveau règlement sur le bruit de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal proposé cet automne se veut plus clément envers les salles de spectacles. Mais avec des amendes salées en perspective, plusieurs établissements y voient un resserrement qui pourrait mettre à mal la vie nocturne montréalaise.
Une belle initiative pour l’achat local et le journalisme local sur le Plateau
Avant le départ, j’en profite pour vous partager, en grande primeur, notre Carte de rabais du Plateau! En vente au coût de 20$, elle vous permettra de soutenir ce projet de journalisme local ET de faire des économies.
Cette carte physique pourra être utilisée dans 12 entreprises du Plateau, du Mile End et de Milton-Parc pour obtenir des rabais exclusifs. De plus, vous aurez tout l’automne pour en profiter puisque la carte est valide du 1er septembre au 31 décembre.
À noter que la carte est incluse dans les abonnements annuels payants. Donc, si vous voulez obtenir des rabais tout en ayant accès au Calendrier du Plateau, il suffit de mettre à jour votre abonnement:
Le réputé restaurant Le Violon a une nouvelle antenne dans le Mile End. Son chef Danny Smiles et ses compères y ont ouvert une gelateria à l’italienne, le Dalmata.
Depuis son ouverture, début juillet, ce nouveau bar laitier fait courir les foules. Il faut dire qu’il est situé dans un quadrilatère déjà bien gourmand, comprenant le café Alphabet et le Bernie Beigne, notamment.
Ses twists frais et délicieux de gelato viennent compléter parfaitement l’offre alimentaire du quartier, avec une petite pointe raffinée.
Le menu est assez minimaliste, ce qui permet d’exécuter chaque dessert à la perfection. Les parfums de crème glacée molle changent toutes les quelques semaines ; lors de notre passage, c’était toujours les twists fraise-chocolat et abricot-fior di latte qui étaient au menu.
On y sert aussi une coupe glacée décadente ou encore une brioche fourrée à la crème glacée au chocolat, surmontée d’un coulis de pistache. Si l’on est d’humeur plus légère, on peut opter pour la barbotine à l’hibiscus.
Des pots sont aussi offerts pour emporter, dans le congélateur situé dans un coin du local.
Le 150, rue Bernard O est l’ancien L’Gros Luxe. Je me demandais pourquoi il avait fermé; ça me semble un bon spot, et il y avait pas mal toujours du monde quand j’y suis allé.
Dans le local où il y avait jadis la Boucherie Comtoise, sur l’avenue Mt-Royal est, il y a maintenant une SAQ POP! Est-ce que ça veut dire que c’est temporaire ?
Dernier projet pilote lancé : la SAQ POP. Situé sur l’avenue du Mont-Royal, ce tout nouvel espace sert à la dégustation des alcools de la SAQ. Les clients peuvent goûter jusqu’à cinq produits par jour parmi une cinquantaine offerts. Des employés les accompagnent et répondent à leurs questions. La dégustation coûte 10 $, remboursés en points Inspire si un achat en ligne suit la visite.
« Impossible de repartir avec une bouteille, on ne vend rien sur place. On souhaite évidemment convertir la dégustation en achat en ligne », souligne Isabelle Dufour.
Le concept sera testé six mois, le local devant être libéré à la mi-janvier. S’il est concluant, une SAQ POP pourra voir le jour de façon permanente. Le modèle pourrait même être repris ailleurs au Québec.
Le local pratiquement en face de la bagelerie a maintenant le fameux logo du Fairmount, mais modifié pour tenir une tasse de café. Le local est encore en travaux, mais ça semble avancer assez vite.
c’est discret!
Sans les enseignes rouges, ça aurait pu être un petit café de quartier. Il faut juste quelques tables et chaises pour faire une petite terrasse sur le trottoir
Je ne me souviens pas d’un Tim avec des cadres sur les murs :think:
mais je mets rarement les pieds dans un Tim
Commerce emblématique du boulevard Saint-Laurent, à Montréal, le magasin centenaire H. Fisher & Fils vient de rouvrir ses portes. Cet espace devenu un musée vivant offre une plongée unique dans l’univers de sa sympathique propriétaire, Esther Rosenfeld Fisher.
Le magasin appartient désormais au Musée du Montréal juif, qui en a fait une exposition immersive. Les visiteurs peuvent y toucher presque tout ce qui s’y trouve, ouvrir les tiroirs et fouiller dans les papiers.
Le Musée du Montréal juif a d’ailleurs entrepris d’interviewer d’anciens clients et acteurs du secteur du vêtement, dont un ancien gestionnaire du magasin Schreter’s, situé un peu plus haut sur Saint-Laurent.
Le musée a aussi transformé les vitrines de Fisher en espace d’exposition pour des artistes et artisans qui explorent des thèmes comme l’industrie textile et l’immigration, ainsi que l’identité et l’héritage juifs.
