“Licence complète” c’est pas mal rétro comme message
Il y a un permis de rénovation pour l’ancien Exotica, sur Parc. Depuis la vente de l’immeuble, l’édifice est condamné.
2025-06-12
Permis de transformation #3001845793
Façade, RC, remplacer portes, vitrine, entablement béton moulé, ajouter pilastres béton; 2e+3e, remplacer parement+ couronnment à l’identique, avec mêmes détails: allèges, linteaux, béton prémoulé, remplacer fenêtres à guillotine 1/3-2/3 avec 2 piédroits en bois par ouverture. SS+RC, réaménager commerce d’alimentation. 2e, aménager 1 logement. 3e, réaménager 1 logement.
Il va y avoir un commerce d’alimentation.
Une nouvelle place de crème glacée dans le Mile End, à côté du café Alphabet et en face des beignes Berni. Donc ils ne vont pas manquer de visibilité. C’est le local de l’ancien coiffeur Raphael ( ). C’est par le chef Danny Smile.
Je mets ça ici
Connaissez-vous Madame Slush qui vend des slush faits à partir de jus de fruits à vélo dans les parcs du Plateau?
Elle était en entrevue à l’émission radio Le 15-18 : Mme Slush dans un parc près de chez vous : Maya Cardin, artiste et Mme Slush | OHdio | Radio-Canada
J’ai appris que ça prend un taux de sucre élevé pour avoir la bonne consistence
Photos du compte Instagram de Madame Slush et de son compte d’artiste
Le marché fermier Laurier est vraiment bien. En plus il est juste à côté de la sortie Nord du métro Laurier
J’y suis allée deux fois l’été dernier, car j’ai eu un empêchement pour récupérer mon panier hebdomadaire de mon « fermier de famille » qui avait aussi un point de cueillette dans Griffintown. Et j’en ai profité pour acheter des trucs aux autres kiosques.
Sur la rue des Pins, cet édifice était abandonné avec un terrain vacant depuis un bout, mais on dirait que ça va devenir une crémerie, avec peut-être une petite terrasse.
Le week-end passé la crèmerie était en fait un food truck stationné sur le terrain.
Je vois bien une belle murale sur ce mur de brique.
J’avais déjà parlé de la librairie Joie de livres sur Saint-Laurent, dans le Mile End.
Aujourd’hui j’ai pris la peine de mieux regarder l’offre. Il y a beaucoup de romance dans l’avant de la librairie, et au fond, c’est une sélection de science-fiction et fantastique ( ce qui m’intéresse un peu plus ). Il y a de très nombreuses éditions de qualité de classiques, et beaucoup d’auteurs jeunes à découvrir.
La place était pleine, ça semble bien rouler. C’est un endroit aussi très socialement engagé, avec une emphase sur le bien-être. Et c’est un local magnifiquement rénové.
Dans le thème des librairies, il y a les éditions La Pastèque qui ont un beau local sur Laurier, toujours dans le Mile End. Ce sont de très beaux livres, belle sélection pour les enfants:
Le restaurant Leila dans le Mile End, par le chef Amine Laabi (vous l’avez peut-être vu dans l’émission Les Chefs) est une très belle adresse. En groupe, nous avons essayé le menu “dégustation” pour 70$ par personne, et j’ai été agréablement surpris de la qualité et surtout la quantité des plats pour un tel menu. J’ai été conditionné à penser que c’était fini à la moitié du repas, et on avait même pas eu les plats principaux… Je recommande fortement à ce prix. Fait intéressant, ils ont aménagé une espèce de speakeasy dans le fond du local, dans le garage de la ruelle:
un article d’Urbania sur le Renzo
Avec quatorze sandwichs, une esthétique rétro, un design pensé pour durer et des slush alcoolisées pour survivre à l’été, Renzo mise sur le long terme.
Dans une ville où les comptoirs à sandwich fancy sont plus fréquents que les logements abordables, il en faut beaucoup pour qu’un nouveau se démarque du lot. Fraîchement débarqué au coin de Saint-Laurent et Fairmount, Renzo affiche une réussite sur toute la ligne.
À elle seule, l’enseigne retient l’attention : peinte à la main, audacieuse et lisible à un coin de rue. « Même si j’ai pas faim, si je lis “sandwich” à 500 mètres, c’est sûr que je mange un sandwich », lance Guillaume Ménard, cofondateur et designer chez MRDK.
Et c’est précisément le but. Renzo a avant tout été conçu pour se faire remarquer, mais pas de façon criarde ni tape-à-l’œil. Il s’agit plutôt d’un lieu sûr de lui sans être arrogant, stylé sans trop essayer, nostalgique sans tomber dans le pastiche.