L’image se concentre sur un grand parc central et végétalisé. Les tours de 25 étages ne sont pas présentées.
En cherchant la publicité de la place Versailles, je suis tombée sur une parodie de l’émission française Secrets d’histoire sur la place Versailles 
Si vous n’avez jamais regardé Secrets d’histoire, c’est disponible sur la plateforme de TV5/Unis
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“Ceinturé de modestes stationnements où l’on entend encore parfois bourdonner les Grand Marquis et les Chrysler Le Baron.”
C’est une solide maîtrise du calembour automobile ça!
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wow quelle trouvaille
Content du résultat. On était rendu là. Désolé pour les petits commerçants dans la Place Versailles faudra regarder ailleurs ou fermer boutique malheureusement. Les gens ont besoin de se loger au plus vite d’ici les prochaines années!
Sur le site d’Urbania
L’actualité entre en mode estival, si bien que la peut-être-future-pas-tu-suite-démolition (ou pas) de la mythique Place Versailles est sur toutes les lèvres. En même temps, c’est pas comme s’il y avait une guerre qui s’enlise en Ukraine ou un génocide dans la bande de Gaza…
Pire, l’annonce de la mort du premier centre commercial couvert de la métropole ne serait en fait qu’un fake news, puisque les propriétaires nous martèlent depuis lundi de se calmer le pompon, que des travaux de démolition se feront de manière graduelle et ne débuteront pas avant encore deux ou trois ans.
Sitôt révélé cette semaine le projet de conversion de la Place Versailles en quartier résidentiel, Jean-Sébastien Girard a publié un message sur un réseau social pour expliquer à quel point le centre commercial de l’est de Montréal représentait quelque chose de central pour lui. Il a carrément parlé de son « QG », et probablement que des dizaines de milliers de Montréalais qui le fréquentent depuis 60 ans pourraient en dire autant.
Juste un détail, dans le nouveau mandat de lobbyisme pour le projet, le promoteur est CORPORATION D’INVESTISSEMENT GLADSTONE.
Précédemment le client était PLACE VERSAILLES INC.
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J’aime ces volumes plus détaillés, je vais pouvoir modéliser ça dans Google Earth 
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Une école intégrée à même les plans initiaux d’un développement d’importance?!
Est-ce qu’on aurait appris (un peu) des erreurs de Griffintown?
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Cependant on sait que ça demande plus que d’offrir un terrain… Construire une école est souvent compliqué. J’espère que ça fonctionner avec une planification dès le début!
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Qui a des bons yeux et est capable de me dire les differents superficies occupees par les diff/rentes fonctions(commerce, residentiel,etc)
Il y a plusieurs bonnes intentions!
Malheureusement, c’est un aménagement très «à la saveur du moment», et on sait que plusieurs choses ne fonctionnent pas dans ce type de projet, mais dans le contexte actuel je crois que personne ne va rien dire. Il faut construire. On compensera plus tard!
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Qu est qui serait le point le plus a corrige
je ne trouve plus mes accents
Ma prof de projet terminal en urbanisme aurait surement dit au sujet de ce type de projet quelque chose comme:
«C’est très militaire. Où est la notion de parcellaire?»
Mais honnêtement c’est un projet qui semble très tourné vers lui-même, comme beaucoup de projets le sont de nos jours. C’est massif et monotone, si on se fit au plan très sommaire qu’on voit.
Et les espaces publiques ne semble pas très intéressants, vu leur orientation vers l’intérieur. En même temps, il faut donner la chance au coureur et c’est juste les premiers plans. Le projet va évoluer, c’est sur.
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Le principal point serait l’échelle des choses.
On est ici dans une logique de Plus c’est mieux.
Alors que non.
Rien de plus désagréable que d’être planté seul au milieu d’un espace public vide.
À 5200 logements, il n’y aura jamais la masse critique pour remplir ces gigantesques lieux. Ce le même cas que le Solar Uniquartier.
À titre comparatif, simplement avec les parcs 1,2,3 et la place civique privée (!) on est à 40 000m2.
La place des festivals, en incluant Jeanne-Mance, fait 4 000m2. C’est dix fois moins!
Et c’est sans compter tous les très grands cœurs d’ilot.
Ça parait bien sur dessin, beaucoup de verdure, beaucoup d’espace public.
Mais au final tout le monde gagnerait à avoir des espaces publics à une échelle plus appropriée, et du même coup davantage d’unités qui donnerait une plus importante masse critique d’habitants pour assurer l’animation des commerces et du quartier.
C’est un équilibre fragile et complexe!
La ville nouvelle d’Almère aux Pays-Bas à en partie réussi, mais même là c’est pas évident, l’espace est souvent triste et vide.
Même problématique d’échelle par rapport à l’offre commerciale. Pour que ça fonctionne, il faut une certaine densité commerciale, encore une fois une masse critique. Vu la taille du lieu, ce sera difficile à atteindre. 65 mètres entre deux commerces face à face, c’est beaucoup!
Et iL y A auSsI lA pRobLéMatIquE dE lA MOde DeS QuArtiErS «DyNaMIquES», avec une surabondance de diversité dans les volumétries. Erreur classique. L’espace publique c’est un vide! Que du vide. Il faut contenir ce vide pour qu’il existe, qu’il soit agréable. Quand on a autant d’hauteurs différentes, de formes, de trous, c’est confus, l’espace n’existe pas.
Ce quartier de Stockholm est un bon exemple de cadre bâti qui contient l’espace public.
Et il y aussi l’erreur d’éliminer complètement le centre commercial. Il y a, dans un centre commercial, une logique sociale qu’il est intéressant de conserver en partie, de préserver et d’intégrer.
Le cas d’Utrecht est intéressant. Le centre commercial a été presque entièrement gardé, mais ses stationnements ont été construits, ce qui en fait un véritable cœur de quartier. Même la nouvelle mairie a été construite sur ce site.
(ça vaut la peine de se promener autour des trois exemples, la vue Streetview ne montre pas tout)
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Merci c est tres eclairant!
Commerces ± 26,000M2
École et équipement collectif ± 4,300M2
Bureaux ± 10,000M2
Hôtel +1 240 Chambres
Stationnement étagé ± 570 Places
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