PL 96, débat sur les langues et discussions connexes

Franchement! On parle de littérature ici… la littérature anglophone existe et n’importe qui a le droit de vouloir la partager. C’est d’un ridicule.

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Désolé pour mon français, mais même si j’écris de la langue anglaise, j’essaie pratiquer mon français ici :joy:

La vérité: même si vous habitez dans un arrondissement ou ville bilingue, les services municipaux ne considèrent pas le communauté anglophone.

Le moment qu’un événement devienne “English”, l’argent est disparu, les publicités sont disparus, et votre activité n’existe pas aux yeux de la ville.

Mais – tristement pour la belle langue française (et en vérité j’adore ma deuxième langue) – l’anglais est omniprésent, alors notre monde culturel persiste dans une autre “dimension” sans argent gouvernemental, sans règles, et – souvent – sans tax :sweat_smile:

ça c’est l’effet de la “ghettoization” ici… Mais pas comme Éric Girard disait.

This is insane. What is this all about? In Verdun, the English speakers and French speakers live in harmony side by side. This is too much, and then they permit Italian events, Spanish, Arab. get out of here.

This is why I never read this thread.

Je suis un francophone fier de ma langue et je trouve cela ridicule.

Ya des anglos ici depuis des generations ils sont autant quebecois que moi.

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https://www.montrealgazette.com/news/provincial-news/provincial-politics/article718477.html/

:person_shrugging: :person_shrugging: :person_shrugging:

Library got it wrong: Language law does not apply to book club, Roberge says
Chris DiRaddo, a Montreal author, started a book club about six years ago called The Violet Hour Book Club that focuses on LGBTQ2+ literature and conducts its meetings in English. Dave Sidaway Montreal Gazette The provincial language minister and the city of Montreal now say a municipal library erred when it refused space to an English-language book club citing Quebec’s new language law.

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Toula Drimonis a écrit un long éditorial sur cette histoire

https://www.montrealgazette.com/opinion/columnists/article717805.html

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En criant au loup on perd sa credibilité.

Athlétique… qu’est ce que toutes ces descriptions commencent à sérieusement me fatiguer. Restaurant, boutique, fragrances. Ça va devenir très caricatural tout ça.

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C’est pas en placardant des mots en français partout qu’on arrive à défendre la langue, ça fait juste alourdir une façade. Ces nouvelles règles d’affichage ne font que dénaturer des bâtiments et amoindrir la qualité esthétique de l’environnement bâti.

En tant que Francophone, juste avoir 2 fois le mot ‘‘athlétique’’ en grosse lettre mais me faire répondre wierd si je dis ‘‘bonjour’’, ça aura rien réglé. Je trouve cette mesure totalement inutile et futile.

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Je suis d’accord que ce n’est pas ça qui va sauver une langue mais d’en faire une obsession dans le genre je trouve ça lamentable. Nous vivons en démocratie, au final ces lois ont été votées démocratiquement. Si vous ne les aimez pas présentez vous aux élections et dites aux gens à quel point elles vous empêchent de dormir. Et absolument rien n’est “dénaturer” ici, quel excès de language (tu sais qu’il y aura éventuellement des affiches en français dans ces vitrines). Comptez vous chanceux ce n’est quand même pas un magasin “Nouvelle balance”. J’aimerais pas vous voir entrez dans un Bureau en Gros.

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Un trésor comme la langue française dans une Amérique du Nord largement anglophone mériterait mieux au niveau du design d’information. Utile ou non, la nouvelle politique d’affichage ne semble pas apporter grand-chose quant à la qualité et au patrimoine graphique de l’espace public, sauf peut-être un éparpillement et une surenchère visuelle (ce dont on pourrait faire avec moins, particulièrement à Montréal). Peut-être que la politique pourrait être plus sévère ou simplement révisée, mais en tout cas pour l’instant ces exemples d’étalage générique et prééminent du français laissent croire que le MIFI n’a même pas pris la peine de réfléchir à ces enjeux.

AJOUT:

J’aime bien ce scénario :speak_no_evil:

Donc de ce que comprend pour ceux dont la loi 101 les empêche de dormir, le bonjour-hi est un signe d’ouverture aux autres. Mais le libellé français sous le nom anglais c’est de la répression, de la surchage visuelle?

Got it.

It’s not about it being French that makes it overcharging, it’s that adding unnecessary text on windows that should be simply the business adds unnecessary visual clutter to the landscape, in any language

These businesses in Paris, for example, would have to change their signs in Quebec to add text over every window to describe the place:

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Such a laughable argument. All those parisian facades are quite busy in their own way.

En quoi ce serait différent d’un slogan, d’une affiche qui annonce un solde, d’un menu?

Okay…?

We live in a democracy, we’re allowed to criticize visual chaos on a forum about infrastructure and public spaces, we’re simply leaving our opinions on the signage, not that we all want to run for public office to fight against it

Parce qu’il ne s’agit pas d’une vente ou d’un menu. Une vente est temporaire, un descripteur ne l’est pas.

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et j’ai le droit de répondre en disant que deux trois mots en français dans une vitrine ne vous empêchera pas de dormir ni ne causera de saignement oculaire.

Bonne journée!

Et misère! Même à Paris pas moyen d’avoir de vitrines propres!

Je crois que la traduction serait plutôt “Nouvel Équilibre” :wink:

D’ailleurs, si la loi demande à ce qu’il y ait une description en français, c’est assez bizarre parce que même en anglais, New Balance n’a pas grand chose à voir avec le sport, du moins de manière explicite. Pourquoi donc aurions-nous besoin qu’on nous mentionne explicitement le type de magasin?

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J’aime encore mieux!

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Je dois avouer que c’est pas mal comme nom!