PL 96, débat sur les langues et discussions connexes

Je dois avouer que c’est pas mal comme nom!

Nous avons un sujet politique pour discuter de la langue. Vu la nature de la conversation, j’ai transféré votre discussion dedans.

Le message original a été édité pour que la source soit clairement compréhensible. Un rappel que vous pouvez faire des citations d’un sujet à l’autre vous-mêmes.

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I’m simply saying how the text was clearly added as an afterthought, to follow the rules. They are just stuck on letters that doesn’t match the style of the store, and I imagine this type of signage will continue because it’s cheap. It doesn’t need to be this bad, it could match the store but in this case it doesn’t.

Additionally what you highlighted in the screenshot, it’s tiny text—that I didn’t even notice until you circled it—and is a sale, which like I said is temporary, not large letter placed on the top of a window in text that’s not descriptive of what’s actually sold in the store.

It’s laughable you’re comparing these two very different things:

Moi je vais pas te laisser me toiser juste parce que tu penses être le boss de la défense du Québec. Parle calmement ou parle tout seul.

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The language they’re using is clearly paternalistic and condescending which doesn’t feel very welcoming here

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Faudrait pas tomber dans la mauvaise fois ici… personne ne perd le sommeil. Mon point est pourquoi enlaidir INUTILEMENT l’espace public ? On aurait écris 8x fois le mots : Soldes ou Rabais, ça aurait été aussi laid, même chose si on avait laisser écrire ‘‘New Balance’’ 4x fois dans chaque vitrine.

Pourquoi il faudrait rester indifférent à l’enlaidissement de la place publique ? On peut pas essayer de rendre nos villes belles et par surchargées d’enseignes qui ne servent qu’à donner bonne conscience a un gouvernement qui dit vouloir protéger le Français, mais qui ferme des classes de francisation… Je travaille dans le domaine du design et de l’architecture, je dois dealer avec ces nouvelles normes et ça rajoute une couche inutile qui ne sert littéralement aucune cause.

Les statistiques linguistiques vont pas changer car c’est écrit ‘‘Entrepôt’’ 6 fois sur les murs d’un Costco. On a créer une règle qui donne ‘‘visuellement’’ une impression qu’il y a plus de français, mais si l’employé ne parle pas français, alors ça sert à quoi lui imposé 3 enseignes ? Si une marque de commerce ce donne un nom francisé, j’ai aucun problème, c’est même une bonne chose, ça donne une régionalisation de la marque.

Faire campagne sur l’affichage, ça va pas gagner des élections, les gens ont littéralement autres choses en tête, alors je ne comprend pas trop le commentaire sur la démocratie ici…
L’excès n’est pas d’avoir du français en abondance dans les façades, mais d’avoir n’importe quels écriteaux partout.

Pour prendre l’exemple du New Balance, on a une superficie maximale a respectée côté affichage, alors rajouter des termes additionnels enlève de l’équilibre à la façade. On aurait vue avoir une seule enseigne, avec le ‘‘NB’’ et le New Balance en dessous, plus gros, centré et pas une devanture qui semble sortie d’une vente de fermeture avec 2 décalques en vinyle…

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Une « colonne vertébrale » pour s’assurer de la valorisation de la langue de Molière dans la métropole : c’est comme ça que la responsable de la langue française au comité exécutif de la Ville, Caroline Bourgeois, décrit le Bureau de la langue française en marge de son annonce officielle lundi.

En obtenant un document transmis aux employés de la Ville, Le Devoir avait révélé jeudi l’existence de ce nouvel outil, qui sera en première ligne des efforts mis en place à la suite des recommandations du deuxième rapport du comité sur la langue française daté d’octobre 2024.

Lui-même une recommandation du rapport, le Bureau de la langue française « va permettre d’assurer l’analyse des autres recommandations et d’accélérer toute la transition vers l’exemplarité » en matière de valorisation du français, explique Mme Bourgeois.

Avec son budget annuel qui s’élève à environ 325 000 $, cette initiative va permettre de s’assurer que le nouveau slogan de Montréal, « la métropole francophone des Amériques », n’est pas qu’une phrase lancée dans le vide — tant pour le monde culturel de la ville que pour les institutions municipales et le monde économique ou sportif, souligne Mme Bourgeois.