C’est quand même assez inquiétant !
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Faut faire aimer le francais ne pas l’imposer.
Le probleme maintenant c’est que la CAQ a politisé l’usage du francais.
Plusieurs qui sont a la base francophone vont même parler en anglais par défi pour montrer leur désacord.
Je suis francophone j’adore le francais mais je n’aime pas ce que la CAQ fait.
Les anglos du quebec sont autant quebecois que moi. Ils ne sont pas une menace ce sont mes voisins, mes collegues, mes clients et certains d’entre eux sont des amis.
J’ai une idée comme ca si on veut valoriser et faire épanouir le francais. Pourquoi on ne fait pas des alliances avec des universités et colleges francophones que ce soit dans le reste du Canada ou ailleurs dans le monde.
Par exemple l’université St-Joseph de Beyrouth au Liban a ouvert récement un campus en cote d’ivoire.
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100% d’accord. Je connais plusieurs francophones dans mon entourage dans un Cégep anglophone qui ont choisi d’y aller simplement pour montrer leur désaccord avec la loi 96.
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J’envisageais avant la CAQ d’aller à une université anglophone, mais ça n’était pas une chose importante pour moi. Étant francophone je trouvais cela comme une expérience intéressante, qui m’aurait permise de me faire des amitiés ayant une langue et des expériences différentes de la mienne, etc. Je voulais le faire pour améliorer mon anglais également.
Désormais j’envisage même sérieusement d’aller étudier à Ottawa ou Vancouver. Et la CAQ et sa politique linguistique y joue pour quelque chose. Dans la listes des avantages et inconvénients c’est devenu un avantage (alors qu’avant faire un pied de nez aux nationalistes n’était même pas dans ma liste de considération)
C’est vrai aussi que mon bilinguisme s’est énormément amélioré depuis mon secondaire, mais ça n’est pas grâce au système scolaire québécois. Plutôt grâce à moi qui s’est fait des amitiés anglophones ou bilingues.
Finalement, j’ai plusieurs connaissances francophones qui ont été à des cégep anglophones et dans la majorité des cas c’est car ils voulaient après aller à l’université en anglais pour certain programme spécifique et qu’ils tenaient à avoir l’expérience d’étudier en anglais avant d’arriver à l’université. Je ne connais personne qui y ait aller par dédain du français. Même que les francophones que je connais étaient tous très heureux d’aider les anglophones dans leur cours de français. (Après je dois dire que toutes les personnes que je connais étaient des femmes, c’est peut-être différent chez les hommes)
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As French-English bilingualism in Quebec has for the most part been on the rise since the early 1960s — with almost one in two people being able to have a conversation in Canada’s two official languages in 2021 — recent studies involving Montreal researchers now point to tangible cognitive benefits of speaking two languages.
Not only does bilingualism help maintain brain health following an Alzheimer’s diagnosis, but speaking two languages could help make the brain more efficient at any age.
Acquiring a language at a younger age provides even more benefits, says Dr. Denise Klein.
It’s part of the findings from a recent study out of the Montreal Neurological Institute-Hospital, the University of Ottawa and the University of Zaragoza in Spain.
Recruiting 151 participants who either spoke French, English or both languages, researchers recorded the age at which participants learned their second language and recorded whole-brain connectivity.
The results revealed bilingual participants had increased efficiency of communication between brain regions. This connectivity was even stronger in those who learned their second language at a younger age.
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J’ai pas appris l’anglais par amour pour la langue, je l’ai appris parce qu’on me l’a… Imposé.
J’ai toujours trouvé cette façon de voir les choses ridicule. Au final le français c’est quoi si on y va avec cette approche? Un petit aspect cute du Québec? Un petit quirk mignon de la population? Franchement.
Non, le français c’est la langue d’usage et de travail, point. Ça fait plus de 250 ans que le Canada n’aimes pas et ne respecte pas le français. Ce qui a changé c’est qu’on a mis nos culottes et on a contraint le pays à valider notre existence, pas en essayant de les convaincre que le français est cool.
Soyons clair, je n’aime pas la loi 96, mais l’approche que vous proposez, je n’y crois absolument pas.
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Alors explique moi pourquoi les joueurs anglophone du canadiens d’aujourdhui ne parlent pas francais ou disent 1 ou 2 mots.
Alors qu’a l’époque des années 70-80 beaucoup de joueurs anglophone du canadiens se débrouillaient bien en francais. Que se soit Larry Robinson, Bob Gainey, Steve Shut, Ken Dryden etc…
Je ne croit pas vraiment qu’ils ce sont fait imposer de parler francais.
Pour sauver et promouvoir une langue cela prend aussi une masse critique.
Les anglos moins nombreux de plusieurs région du Québec ont quasiment disparus du décor.
Que se soit en gaspesie ou encore au saguenay, dans les cantons de l’est …
Un peu comne ce qui se passe avec les francos des autres provinces.
L’anglais s’impose dans le monde car on promouvois des études dans des universités anglophones.
On pourrait faire la même chose avec des universités francophones et offrir un standard dans certains facultés que se soit en ingenierie en medecine etc… Plusieurs libanais m’ont dit que le francais etait et est encore une langue de prestige au Liban.
Si on se retourne sur notre petit univers notre chien est mort.
On a la chance de parler une langue qui est parler a plusieurs endroits dans le monde.
Bien sure que beaucoup d’anglos n’aime pas la competion du francais. Ironiquement la devise sur le passeport Britannique est en francais.
Dieux est mon droit. Honi soit qui mal y pense .
Sans le francais l’anglais comme on le connait aujourdhui n’existerai même pas tellement le francais a eu une influence sur cette langue.
Et quand un anglo se plaint qu’il a des genres dans les mots en francais. Je leur rappel que le old english avait aussi le masculin et le feminin ainsi que le neutre.
En 1977:
- Seulement 37% des anglophones connaissaient le français.
- Seulement 47% des allophones connaissaient le français.
- Seulement 15% des jeunes allophones allaient à l’école en français.
Les 4 joueurs de hockey canadiens sont une particularité qui ne s’applique pas au reste de la société. Était-ce vraiment un élan d’amour spontané par quelques individus, ou une obligation de carrière dans une domaine fortement identitaire pour les canadiens-français de l’époque?
Je ne rentre pas dans le reste du débat (ce n’est pas ma tasse de thé), mais spécifiquement pour cette comparaison, je ne crois pas qu’elle soit révélatrice dans ce sens. Au contraire, le français s’est renforcé dans la société québécoise alors qu’il a visiblement disparu chez le Canadien…
Pas que ça discrédite le reste de l’argument ou non, comme j’ai dit, je ne commente pas là-dessus. C’est juste mon grain de sel sur l’exemple.
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Quand même ironique que ses joueurs a l’époque ou le francais était moins present que de nos jours ils pouvaient parler francais alors que pas un foutu joueur anglos du canadiens aujourdhui ne parlent francais.
J’ai nommer 4 joueurs mais il y en avait plus que ca qui pouvaient parler en francais.
Dale Hunter ne parlait pas vraiment bien francais mais déja ils en connaissaient pas mal plus de mots que tout les joueurs anglos du canadien que l’on a maintenant .
Il y avait plus de joueurs qui provenaient du marché local avant. De plus les joueurs changeaient moins d’équipe.
Un bonne portion de l’équipe était francophone, aujourd’hui ce n’est plus le cas.
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Il y a aucun endroit au Canada où ce truc fonctionne.
Montréal avant la loi 101? C’était entre 70% et 90% des immigrants qui envoyaient leurs enfants dans les écoles anglophones.
Ottawa, la ville supposément bilingue? Elle ne compte plus que 10% de francophones. Essaie d’aller commander au resto en français. Ça marche des fois, mais disons que c’est pas la majorité des fois. Et les immigrants n’apprennent pas le français.
Le Nouveau-Brunswick, la seule province officiellement bilingue? Elle voit le nombre de francophones diminuer d’une année à l’autre. Lentement mais sûrement. Les anglos ont réussi à élire un premier ministre unilingue sans compter sur le vote francophone. Heureusement il n’est plus là.
Alors je suis bien d’accord pour faire aimer le français mais tout seul, ça marche pas. Ça prend une loi pour encadrer les droits des francophones.
Jean-Jacques Rousseau a déjà dit: « La liberté opprime les hommes entre eux, la loi seule les libère. »
C’est ça avec le français au Canada. Au Québec on a la chance de pouvoir voter des lois pour inverser la tendance naturelle, ce que les Franco-Ontariens ou les Acadiens ne peuvent pas faire. Et je parle même par des Franco-Manitobains pour qui la bataille est déjà perdue.
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Je ne crois pas que les joueurs du Canadien sont une métrique valable. Surtout à cette époque.
oui, de population.
Empire Britannique et Américain ensuite, pas besoin de chercher bien loin.
Au Liban, ici le français est encore, et sera toujours vu, comme une langue de seconde zone.
Bref j’ai de la misère à saisir ton argument. L’anglais s’est imposé dans le monde par la force et le sang. On peut bien établir des lois ici pour leur dire de débarasser le plancher avec leur anglonormativité, c’est pas si épouvantable que ça à comparer aux anciennes méthodes de l’Empire. On en produit de la culture ici, je dirais même beaucoup plus que le Canada anglais à part égal. On a aussi la France qui à un énorme poid culturel à côté. Bah non, les anglais s’en foutent complètement. On continuera d’imposer le français parce que c’est la seule chose qui fonctionne.
Un mot demographie.
Si tu es moins nombreux ta langue risque de déperir aussi simple que ca.
Les communautés anglos du quebec on presque disparu de la carte a part le west island et l’outaouais .
Selon cette logique, les Autochtones ont juste à accepter leur sort et arrêter de nous casser les couilles.
Langue de seconde zone. Si on se complait a s’isoler dans notre confort.
On devrait non seulement enseigner l’histoire du Quebec a l’école mais aussi l’histoire de l’amerique francaise. Beaucoup ne savent même pas que Chicago et Detroit on été fondé par des francophones.
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Désolé mais les langues autochtone jusqu’a recement n’avait pas de maniere d’etre écrite.
Et puis on se met la tete dans le sable si on pense qu’une langue va survivre avec un tres petit nombre de locuteurs.
Les anglais ont imposer leur langue comme les espagnols, les francais et les portuguais.
Ceux qui ont le mieux reussi dans ce domaine ce sont les Espagnols.
Les britannique n’ont pas vraiment reussi a imposer leur langues en Inde aux même niveau que les espagnols ont fait en amerique du sud et centrale.
Juste a entendre les indiens et pakistanais que je cotoie dans mon travail. Leur niveau d’anglais n’est pas ce qui a de plus élaboré , Jean Chretien n’aurait pas a être gener en comparaison avec son anglais.
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J’ai un BAC en histoire et je me suis spécialisé dans le Canadaé
C’est un discours très problématique ça. Sans vouloir donner une intention à ton commentaire, mais les britannique avait un raisonnement similaire quand ils ont refusé d’aller aider les inuits du labrador qui crevaient par millier à cause de la grippe espagnol. Le raisonnement était simple: On laisse la nature des choses suivre son cours.
Bah non, l’anglais est la lingua franca, pas l’espagnol, déjà ça devrait te donner un bon indice.
Bref on tourne en rond et j’ai de la misère à comprendre ton point sur la langue. Il faut convaincre les anglais de l’aimer ou je sais pas? C’est la nature des choses? Faut de plus gens? Je ne sais pas ce que tu essayes de dire. Bref.
Mais quel commentaire creux, mais qu’est ce que tu veux dire?? Es-tu en train d’insinuer que si le français est vu de haut par le Canada anglais c’est… genre de notre faute? Parce qu’on s’isolerait?
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