PL 96, débat sur les langues et discussions connexes

Pour les USA, le PL 96 est allé un peu trop loin dans ses exigences d’affichage…

U.S. discussed imposing trade sanctions on Canada over Quebec’s language law

American government officials debated hitting Canada with trade sanctions over Quebec’s controversial Bill 96 language law, CBC News has learned. Documents obtained by CBC News under the U.S. freedom of information law also reveal that officials were told that implementing Bill 96 could see fewer American products being shipped to Canada.

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Les commerces auront 1 an pour se conformer

CE QU’IL FAUT SAVOIR

  • Tout commerce devra d’ici juin 2025 afficher au moins deux fois plus de français que toute autre langue, en termes de superficie.
  • La surveillance sera augmentée à l’OQLF dans les prochaines années.
  • Les citoyens sondés demeurent pour la plupart sceptiques de voir de réels changements.

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Je préfèrerais de loin mettre l’argent et les ressources humaines sur des professeurs de Français au lieu d’avoir plus d’inspecteurs. D’ailleurs, je rêve d’une grande école de Français dans le quartier latin. Un endroit multifonctionnel ou non seulement on pourrait y apprendre le Français mais ou on baignerait dans la culture franco-québécoise, autant littéraire, musical que cinématographique par exemple. Un endroit adosser avec un petit hôtel qui pourrait accueillir, pour quelques mois, des jeunes du Manitoba, de la Nouvelle Orléans, de l’Acadie ou de l’Afrique afin qu’ils puissent non seulement pratiquer le Français, mais aussi le parfaire et surtout échanger avec d’autres francophones dans un contexte riche et stimulant. Un endroit associé avec l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie) qui aurait pour simple mandat de promouvoir la langue française avec la participation de la Grande bibliothèque ainsi que l’UQAM et le CÉGEP du Vieux, entre autre.

Il me semble qu’on est rendu là. Que c’est dans quelque chose du genre qu’on devrait investir pour favoriser l’apprentissage de notre langue.

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Affichage commercial en français : le nouveau règlement québécois est adopté

Québec resserre officiellement ses exigences sur le plan de l’affichage commercial, avec pour objectif de contribuer à inverser le déclin de la langue française sur son territoire.

Les mesures qui figurent dans ce nouveau règlement découlent de l’adoption en mai 2022 de la Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français (aussi connue comme la « loi 96 »).

Les nouvelles obligations en matière d’affichage sont les mêmes qu’annoncé cet hiver. Elles font en effet suite à un projet de règlement qui avait fait grand bruit lors de sa publication, en janvier.

Le reportage d’Elisa Serret.

J’ai quand même l’impression qu’on risque surtout de générer une quantité démesurée de pollution visuelle.

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les arrondissements ont des règles sur l’affichage commerciale…
Par exemple, dans le Sud-Ouest, il me semble qu’une enseigne lumineuse ne peut pas dépasser 10% de la superficie de la façade.

trouvé dans lerègelement d’urbanisme
Article 438 :

4º sa superficie ne dépasse pas 10 % de la superficie des ouvertures qui se trouvent dans la partie de la façade adjacente au local, au niveau où elle est située;

Plusieurs exemples d’affichage dans cet article

Je voulais éviter ce débat, mais même si j’appuie habituellement les mesures qui visent à promouvoir le français comme langue commune, les nouvelles règles touchant les marques de commerce me font rager.

Y a-t-il quelqu’un au gouvernement qui a réfléchi à la pollution visuelle qui découlerait de l’application de ces règles ? L’exemple de Fiorellino est assez éloquent. L’affichage de cette chaîne de pizzerias est très discret et de bon goût, mais voilà que le restaurateur sera obligé d’ajouter à sa devanture des mots génériques deux fois plus grands.

On peut déplorer que des entreprises québécoises choisissent de plus en plus des noms commerciaux anglais, mais je souhaite tout de même que le Québec continue d’accueillir des grandes enseignes et marques internationales. Or, en exigeant que les marques de commerces soient noyées par des termes génériques, le Québec se fout de l’identité même de ces enseignes étrangères.

D’ailleurs, en édictant des règles qui tiennent compte désormais de la marque de commerce, le gouvernement amène l’OQLF en terrain inconnu (et dominé par l’arbitraire). Je serais curieux de savoir comment un juge trancherait un litige où la marque de commerce serait composée de mots étrangers mais reconnus par un dictionnaire français de référence comme le Robert ou le Larousse. Oui, des mots comme “top” et “discount” sont suivis par la mention “anglic.” dans le dictionnaire, mais les dictionnaires mentionnent tout autant l’origine “non française” de mots comme hockey, steak et pizza.

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Small question regarding historical buildings,
Would this sign from 1956 be forced to be taken down?

Petite question en relation de bâtiment historique,
Est ce que cette enseigne de 1956 devrai être détruit?

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The front counter has “crémerie dairy Queen”
Le comptoir avant as “crémerie dairy Queen”

I ask since the sign is still original neon
Je vous demande car cette enseigne est toujours en néon original

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