En effet. Des cours bien clôturées mais pleines de garnottes. Un carré de sable pour enfants en plein centre d’un carré de garnottes avec des beaux bancs. C’est simple mais quand même ‘‘inclusif’’ au goût de certains. 
Merci pour ces photos… la photo Negro Community Centre me fait penser à la serie Le Porter 
Il faut aussi regarder le documentaire Dear Jackie, disponible sur CBC Gem Dear Jackie | Films | CBC Gem
J’ai assisté à une projection spéciale avec la communauté noire au Union United Church sur Atwater/Delisle (là où Nelson Mandala a fait un discours lors de sa visite à Montréal) en compagnie du réalisateur Henri Pardo et de 4 des personnages qu’on voit dans le documentaire. J’ai eu un gros coeur de coeur pour le Dr. Ivan Livingstone.
C’est un super documentaire sur l’histoire de la communauté noire, en majorité anglophone, de la Petite-Bourgone qui est très différente de la communauté haïtienne des les autres secteurs de Montréal. Lors de la projection, Henri Pardo, qui est d’origine haïtienne ayant grandi dans CDN, disait que ça a été difficile d’approcher la communauté pour son documentaire. Il n’était pas accepté d’emblée.
Aussi, un projet communautaire s’en vient sur le terrain! La Ville en a fait l’achat il y a quelques mois. Il y aura des salles communautaires pour les différents organismes et des logements
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La densité du secteur Saint-Viateur Est, ainsi qu’une machinerie industrielle au nord, sur Henri-Julien:
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Du moment que les terrasses sont permises, elles sont installées à la vitesse de l’éclair et aussitôt adoptée à nouveau. 
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@vincemtl, merci de publier toutes ces magnifiques photos de Montréal et notamment les ruelles vertes de la ville. Quelle extraordinaire révolution dans l’espace urbain, où les ruelles ne sont plus des fonds de cour sales, minéralisés et sans vie. D’ailleurs en plus de continuer à donner accès à des bâtiments secondaires, des garages privés et des cours végétalisées, elles deviennent des lieux de promenades et de déplacement actif dans les quartiers anciens, quand ce ne sont pas de véritables jardins urbains.
Je me rappelle que dans mon enfance on allait jouer dans les ruelles asphaltées ou tout simplement en terre battue, laides et parfois dangereuses (la nuit). Elles étaient pourtant des sites populaires de jeux, en plus de donner accès aux anciens hangars (à charbon) sombres et lugubres (démolis car c’était de dangereux nids à feu). Mais tout n’était pas négatif, car ces derniers ont souvent servi de refuges clandestins à nos premiers amours.
Quelle époque! On était à des années-lumières de l’écologie et des pratiques environnementales devenues incontournables de nos jours. Les ruelles étaient alors purement fonctionnelles et sans charme, notamment pour la collecte des poubelles nauséabondes de tous formats, manutentionnées à la va-vite par des éboueurs pressés souvent négligents. Ce qui encombrait par conséquent ces allées d’éternels détritus et qui nourrissaient généreusement les rat des alentours.
Aujourd’hui réhabilitées, embellies et réaménagées pour la plupart, elles favorisent la biodiversité et le verdissement des quartiers, en plus d’encourager les rencontres sociales et de bon voisinage. D’ailleurs elles ne sont plus le parent pauvre du territoire urbain, mais un plus pour les propriétés riveraines qui gagnent en valeur, en devenant de véritables oasis de détente et de bien-être en ville.
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Sur le Plateau
Des saillies avec des lilas en fleur:
Une belle fruiterie qui anime le trottoir:
Une ruelle verte:
Rénovation de façades qui donnent dans une ruelle:
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Plusieurs petites choses simples qui démontrent non seulement la beauté du secteur mais qui offrent aussi une qualité de vie indéniable et cela en pleins milieu urbain.
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