Pavillon Judith-Jasmin (UQAM) (rénovation) - 8 étages

Pour la première fois de ma vie je me suis baladé à l’intérieur du pavillon Judith-Jasmin aujourd’hui. J’ai été impressionné par la nomenclature des facultés et départements que l’on retrouve dans ce pavillon, surtout ceux reliés aux arts, entre autre. Mais pourquoi je ne savais pas ce qui se trouvait dans ce pavillon? Tout simplement parce qu’il est fermé sur lui-même et qu’il n’est pas invitant pour le quidam d’y entrer. Et pourtant il aurait avantage à s’ouvrir sur la rue afin de permettre aux passants d’avoir accès à la bibliothèque Centrale, pour découvrir les expositions de la Galerie ou admirer l’architecture intérieur, plutôt brute mais intéressante, surtout avec ses œuvres d’arts que je trouve malheureusement trop ‘‘cachées’’.

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Les travaux se déplacent sur Ste-Catherine, en espérant une restoration du transept


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I would personally prefer to keep the brick, but effectively change the ceiling. Selon moi, l’effet d’écrasement du hall est principalement à cause que le plafond est sombre et trop bas.

Je pense qu’avec un plafond plus haut et plus clair, et une meilleure luminosité, on pourrait créer l’illusion d’une cour intérieure montréalaise.

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Je suis entièrement d’accord avec toi. Un lambris d’une essence de bois plus claire apporterait plus de chaleur aussi. Mais la tuile brune foncée serait à changer aussi selon moi.

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Me semble que j’ai déjà vu cette porte quelque part auparavant… :laughing:

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Surprenant que l’UQAM n’est pas demandé à des étudiants de réalisé une murale sur la barricade de chantier…

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Ce matin:

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Avis favorable du CCU à la séance du 14 mars 2024.

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Le nouveau et le vieux revêtement:

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Je trouve la brique plus belle que l’originale.

Cette rénovation redonne un véritable vent de fraicheur aux deux monolithes de l’UQAM, J’aborde dans le même sens, la nouvelle brique et le métal foncé s’harmonise bien, surtout avec la forme unique des 2 pavillons

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Avec les rénovations récentes, je commence à apprécier un peu plus ce massif pavillon, surtout coté nord-est.

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Cest un batiment pourtant assez exceptionnel, plutot exemplaire en terme de volume inséré dans un contexte existant. Moderne, certes, mais clairement sensible aux echelles du quartier, meme a ses composantes historiques (lucarnes, oriels, mansardes, coins tronqués, etc).

Son gros problème est le traitement du rez de chaussée, beaucoup trop opaque à son environnement, ou encore en decalage ou en trop grand retrait par endroit, aux secteurs névralgiques.

Et malheureusement en matiere de perception, cest là que tout se joue.

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Je partage le même avis. J’adore la volumétrie de l’ensemble, mais l’interface sur rue est désastreuse. Le campus est plus accessible du niveau métro qu’au niveau de la rue qu’on a complètement abandonné à l’automobile ou pour des quais de chargement.

Berri est le côté le plus problématique avec les accès en demi-sous-sol qui mènent tous à des portes closes. Ces trous donnent l’impression d’un espace sombre d’où pourrait surgir quelque créature mystique en provenance des bas-fonds de la terre. Je préfère souvent changer de trottoir ou passer par une autre rue si je veux me rendre au métro ou à la BANQ. L’UQAM devrait soit ouvrir ces accès, soit y aménager des terrasses ou espaces de repos accueillants et visibles du niveau de la rue. À la limite, ça pourrait être un jardin ou même une promenade couverte pour se protéger des intempéries, comme la façade ouest sur Saint-Denis.

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De l’intérieur

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La joie des années 60. On construisait des gros volumes refermés sur eux-mêmes. Le Marriott Château Champlain est un autre bon exemple avec la Place du Canada, where the openness on the street level is abysmal.