Voir qu’on est pas capable de déconstruire ce qui est récupérable et reconstruire à l’identique, c’est pas un bâtiment complexe non plus…pas besoin de sculpteurs de pierre ici…
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En fait, ce serait simplement une option pour la reconstruction d’y aller pour cette technique. Elle n’empêche pas la démolition.
Cependant, peut-être que celle-ci passerait mieux si le projet de remplacement était une reconstruction identique. Hâte de voir ce que propose l’arrondissement en remplacement.
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Ce qui s’est passé est expliqué sur la page de la séance d’information :
“Des travaux de rénovation ont débuté à l’automne 2017, avant d’être suspendus en raison d’une détérioration majeure du bâtiment, notamment la découverte de fissures importantes et d’amiante.”
Le chantier avait dû être arrêté d’urgence en raison de risques d’effondrement. Sous un sous-plafond, le personnel de chantier avait découvert le toit fissuré. Depuis, beaucoup de démarches ont eu lieu pour connaître l’état du bâtiment et les différents scénarios possibles.
Pour l’avoir visité, c’est vraiment majeur, ce n’est pas une hyperbole. On ne parle vraiment pas que de “changer une poutre” comme ça a été dit. La séance sera diffusée sur YouTube pour ceux que ça intéresse.
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Alors peut être en effet que la reconstruction a l’identique devrait être l’option envisagée.
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Le bâtiment n’est pas classé par Québec. En quoi la Ville devrait avoir un dossier solide pour justifier de ne pas dépenser des millions en restauration pour un bâtiment que même Québec ne juge pas assez unique pour le classer? Je comprends qu’il se retrouve sur une liste de patrimoine municipal, ou d’intérêt patrimonial, mais rien à voir avec le vrai classement national.
Le gouvernemnt du Québec a des lacunes majeures en matière de classement et d’inventaire du patrimoine moderne. Le ministère de la culture accuse un retard de plusieurs décennies à ce propos. Ce nest pas du tout une excuse valable que d’invoquer l’absence de statut provincial vue l’incompétence provinciale manifeste à cet égard. Côté patrimoine moderne, Quebec n’est pas une référence.
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Dans le journal local du Grand Sud-Ouest
La mairesse de Verdun, Marie-Andrée Mauger, a annoncé que le pavillon des baigneurs du Natatorium de Verdun devra être reconstruit mais que les bassins extérieurs seront conservés, lors d’une soirée d’information et d’échanges sur le projet qui se tenait à la mairie d’arrondissement le 30 avril. C’est le scénario recommandé par le Service de gestion et de planification des immeubles de la Ville de Montréal (SGPI).
Mme Mauger a toutefois précisé vers la fin de la période de questions que « ce n’est pas coulé dans le béton ».
Questionnée sur l’éventualité que cet espace serve de futur centre aquatique et sportif pour l’arrondissement de Verdun, l’équipe des communications a confirmé dans un courriel à Nouvelles d’Ici qu’« aucun centre aquatique n’est prévu à cet endroit ».
Texte d’Héritage Montréal sur le Natataorium
Dans le Plateau, la Maison du jardinier (60 rue Milton) sera déconstruite, face à sa dégradation avancée. L’édifice appartient à la ville.
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Un autre cas où, comme le Natatorium, si c’était un promoteur privé qui était arrivé avec un projet de démolition, la ville aurait exigé des efforts importants de conservation et de mise en valeur.
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L’ancienne caserne 11 au 1212 rue Ontario Est a finalement été consolider entre janvier et avril selon le panneau de la Ville.
Hâte de voir ce qu’il adviendra de cette ancienne caserne. D’ailleurs, il y avait eu un article sur le sujet sur RC en 2023.
« D’anciennes casernes de pompiers à l’abandon à Montréal » D’anciennes casernes de pompiers à l’abandon à Montréal | Radio-Canada
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« J’aimerais rester à Montréal », a dit M. Asselin, vendredi, en entrevue téléphonique. Il a évoqué la possibilité de s’installer au Quartier des spectacles, au centre-ville ou sur les rives du canal de Lachine avec une structure agrandie.
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Pour faire suite de l’ancienne caserne 11 au 1212 rue Ontario Est. Je suis passé devant aujourd’hui, on peut effectivement voir les travaux de consolidation de la façade.
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Le bâtiment Édifice J.W. McConnell de l’Université Concordia vient d’être retiré de la liste des immeubles d’intérêt. C’est très inquiétant, surtout que beaucoup ne gens de saisissent pas son intérêt. Ce n’est pas du patrimoine «habituel».
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Ce patrimoine inhabituel est à l’image de son époque, les années 1980, tout comme la mode et les coupes de cheveux de ces années là.
Mais si l’immeuble perd sa protection, est-ce que la vieille façade en terra-cotta émaillée de l’ancien Royal Georges Appartement perd aussi son statut ? L’édifice est oui un exemple très maladroit de post-moderne, mais je ne comprend pas sa perte de statut.
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Bon! J’ai enquêté.
En fait, le bâtiment postmoderne n’a jamais été officiellement listé.
Ce sont ces deux bâtiments qui l’étaient, soit la maison Octavia Grace Ritchie, ainsi que la façade du Royal Georges.
Par contre, la carte indiquait par défaut, de manière erronée, l’ensemble du bâtiment.
Cette mise à jour de la carte vise simplement à la coordonner avec la liste.
Ceci dit, c’est une bonne occasion de réfléchir à ce qu’on considère être des immeubles d’intérêts. À mon avis, ici on aurait pu inclure l’ensemble du pavillon.
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