Ouvrages d'art Tronçon Central - Discussion

Notamment les murs anti-bruit doivent êtres courbés, le son étant une onde. Je suis surpris que les notres sont encore droit.

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In NYC, I lived over a flight path, and the sound is the same, if not louder than the REM passes. Because I’m visiting, I got to record it:

You can’t have a conversation with someone unless you shout, so people pause and wait till after it passes. This recording is quieter than where I lived, because it’s from the Brooklyn Botanic Garden (further away from the airport). If people really are concerned about sound quality, High Speed Rail and removal of highways should be priority

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Je crois que tu touches exactement le bon point ici. Le REM est certainement responsable d’une grande partie du bruit et doit continuer à travailler dessus, je ne sais pas ou la faute a été fait dans le processus de construction. Mais, clairement, quelqu’un a mal fait son travail. Sauf, que la faute viens aussi à l’aménagement urbain de ce secteur qui amplifie les sons. Ce documentaire est super intéressant sur le sujet https://www.arte.tv/en/videos/090637-091-A/re-how-to-reduce-noise-in-cities/

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Dans le passé, au point de vue de la planification urbaine, il me semble qu’on encouragait la construction en hauteur près des autoroutes afin que ces édifices servent de «barrières» pour le quartier.
Je sais pas si j’ai tort, ou si ce type de vision existe toujours.

Mais évidement la construction d’unités d’habitation près d’une source de bruit devrait être normalisé au point de vue de l’insonorisation.

Le Mary-Robert a été mis en vente après l’annonce du REM
Le choix de revêtement joue probablement un rôle dans l’écho. Je me demande si ça existe des revêtements extérieurs pour bâtiment qui absorbent le bruit, comme le font les murs anti-bruit?

Aussi, est-ce que le promoteur a offert des fenêtres à triple vitrage? C’est ce que le Lowney sur Ville phase 4 offrait en option, car il est bâti plus près des rails… et aussi collé au New City Gas qui était une source de bruit non négligeable à ses premières années d’opérations

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N’importe quel revêtement de maçonnerie va absorber le son, panneaux de béton ou briques. Tout ce qui est en verre ou en métal va avoir tendance à faire réverbérer le son. De plus, le faible espacement entre tous les bâtiments dans Griffintown joue dans la balance, on aurait bâti moins de tours et plus hautes, l’effet été différent, là un a un mur qui faire réverbérer le son et qui l’amplifie.

La ville devrait aussi considérer l’aspect acoustique pour sont développement, car c’est pas juste les vues que les bâtiments impacts, mais la lumière, le vent et surtout le son.

De plus, tous les résidents de tour qui se plaignent, oublie que le son va dans toutes les directions, suffit de sortir dehors sur la tour du CN et on se rend compte à quel point Toronto peut être bruyante. Dans Griffintown, c’est sûr qu’en hauteur on va entendre plus le REM, mais aussi plus tous les autres bruits s’il n’y a pas de mesures appropriées.

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On peut se demander aussi si c’était judicieux d’offrir des balcons pour les appartements près du chemin de fer. Je ne sais pas à quel point c’est encore vrai que c’est difficile de vendre des appartements sans balcon à Montréal (même en hauteur où les gens ne les utilisent pas vraiment), mais il me semble que la majorité des plaintes de bruit sont à propos de gens qui perdent la jouissance de leur balcon ou de l’ouverture de leurs fenêtres, et non à propos du bruit à l’intérieur. Ce n’est peut-être pas réaliste de s’attendre à un niveau sonore acceptable sur un balcon au 20e étage collé sur un métro…

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My primary school was under a f’ight path, every time a plane came by the teachers and everyone stopped talking for 15 seconds the time the sound of the plane passed.

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Was the chief editor of City News on vacation? Why are there so many errors in such a short article.

J’ai un ami qui habite le 23e étage d’une tour à logement dans le McGill ghetto. À cette hauteur, de son balcon, on entends clairement les sirènes de véhicules d’urgence à des kilomètres à la longue. Le son est effectivement une onde qui se déplace dans toutes les directions en 3D. Rendu à une certaine hauteur, il y a juste moins d’obstacles pour le bloquer, ce qui l’amène à se déplacer beaucoup plus loin.

C’est une logique qui me révolte, et qu’on retrouve partout, on entasse les pauvre dans le bruit et la pollution, pour que les quelques riches avec leurs unifamiliales soient protégés du bruit et de devoir partager leur banlieue avec d’autres.
Évidemment les rares barrières anti bruit sont construites le long d’unifamiliales, les tours en ont pas besoin apparemment.
Chaque fois que je suis sur l’autoroute (ou un boulevard urbain) et je remarque ça et ça me met la rage.
C’est choquant que la construction de barrières anti bruits avec les autoroutes ne soit pas déjà obligatoire, et avec l’impact sur la santé j’aurais l’impression que même sans loi spécifique la justice devrait trancher en faveur des habitants s’ils poursuivaient le MTQ

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À Brossard des unifamiliales sont sur le bord d’autoroute et ces citoyens ont rejeté le projet de mur car ils devaient via une taxes payer un parti du financement.

Et plusieurs édifice en hauteur près d’autoroutes dont des unités assez dispendieuses.

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Justement, le bruit de l’autouroute est la responsabilité de l’autouroute, c’est pas aux locaux de payer pour le privilège de pas avoir leur santé détruite par la route.

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People are asking me if I have a solution to the sound of the REM in PSC…


(I don’t use that twitter account, it’s just to have my name reserved)

Honestly, I think that at a bare minimum, they should have had a low sound barrier wall along the entire length of the bridge that is at least wheel height. Instead, they’ve got a railing. That’s one decision that I feel is a mistake that should be rectified.

Belle photo de J-F Savaria

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Une première édition du programme d’art temporaire du REM

COMMUNAUTÉ
PUBLIÉE LE 31 AOÛT 2023

La première édition du programme d’art temporaire est en cours à Griffintown sur la Place des Aiguilleurs : on vous en dit un peu plus sur ce volet innovant du programme d’art et, surtout, sur les œuvres que vous pourrez découvrir!

L’Université Concordia pilote la première édition du programme d’art temporaire, de concert avec les artistes et professeurs Kelly Jazvac, Juan Ortiz Apuy et Yann Pocreau.

Les œuvres temporaires ont été créées dans le cadre du cours « Public Art and Sustainability », centré sur les pratiques durables en matière d’art public. Les pratiques de développement durable en matière d’art public ont ainsi guidé le choix des concepts artistiques. Le respect du lieu, au cœur de l’histoire de Griffintown, et des communautés et de l’environnement est au centre de la démarche.

Quatre œuvres éphémères sur la Place des Aiguilleurs

Vous pourrez découvrir quatre œuvres temporaires exposées jusqu’à la mi-octobre sur la Place des Aiguilleurs. Chaque œuvre a été créée en étroite relation avec le lieu choisi et propose une réflexion sur notre urbanité!

Sonic

apparition ondulante
comme une pulsation dictée par le temps
tel un mouvement nourri par l’espace
entre vibration et territoire

L’installation temporaire est composée de 28 structures longilignes en pin rouge et en cuivre disposées telle une ondulation se propageant sur le versant adjacent à la tour des Aiguilleurs. À sa cime se trouve une tubulure en cuivre qui permet une fine oscillation activée par les vibrations du terrain, du vent et des mouvements divers du quartier. Le cuivre fait référence à notre connexion à travers la matière tant au sein de nos bâtiments, qui nous relient, ainsi qu’avec le territoire d’où ils proviennent.

Cette installation tend à poser une réflexion sur l’histoire vibratoire du quartier. Quelle est la cartographie vibratoire d’un espace? Ici, nous parlons de vibrations sonores, physiques, poétiques et dynamiques. Une vibration du monde et de la terre, une pulsation du cœur et de l’urbanité.

Par :

  • Clothilde Allen
  • Olivier Beaudoin
  • Julia Martinez Turgeon
  • Julie Robert


L’œuvre Sonic © Vincent Brillant Photographe


L’œuvre Sonic © Vincent Brillant Photographe

dés.orientations (sit if you’d like)

Ce labyrinthe est un parcours simple, créé pour les personnes curieuses. Le traverser offre un répit, surtout lorsqu’on atteint son centre. Autour de lui, la ville, tel un serpent, se développe et change. Tout comme dans la ville, chaque personne a sa propre destination.

Ce labyrinthe est un parcours symbolique. Il nous rappelle que certaines formes de vie peuvent être très résilientes. Il contient des graines, que nous espérons voir pousser, en rappel aux mauvaises herbes qui sillonnent partout les pavés de béton. Ces plantes évoquent ce qu’il y avait avant nous, et représentent ce qu’il restera après.

Ce labyrinthe est un lieu d’arrêt, de repos, de ré.orientations et de connexion avec la nature, où nous pouvons remettre en perspective nos itinéraires respectifs.

Par Les Mauvaises herbes :

  • Isabelle Anguita
  • Sarah Cloutier
  • Laurie Michaud
  • Danica Olders

L'œuvre dés.orientations © Vincent Brillant PhotographeL’œuvre dés.orientations © Vincent Brillant Photographe

L'œuvre dés.orientations © Vincent Brillant PhotographeL’œuvre dés.orientations © Vincent Brillant Photographe

stand:by

On reconnaît la tour d’aiguillage Wellington comme repère historique et symbolique du canal Lachine. Alors qu’elle était vouée à devenir un incubateur culturel pour la communauté artistique, ce plan a depuis été reporté indéfiniment. L’échec de la renaissance de cet espace et son abandon continu nous a inspirés.

L’objectif de l’oeuvre est de rendre le toit de la tour accessible au public par une reproduction réduite à l’échelle 1:4 installée au niveau du sol. Le toit sert de banc pour les passants. Un espace a été créé où un jardin de plantes médicinales est partagé avec la communauté. Une sculpture de métal aux couleurs vives épelant “stand:by” commente le projet d’incubateur culturel resté inactif depuis plusieurs années.

L’oeuvre est réalisée à partir de matériaux en fin de vie récupérés.

Par l’équipe Ferrovipathes :

  • Fiza
  • Josée Brouillard
  • Liliana Kovač
  • Patrizio Patrizio
  • Riesbri


L’œuvre stand:by © Vincent Brillant Photographe


L’œuvre stand:by © Vincent Brillant Photographe


L’œuvre stand:by © Vincent Brillant Photographe

ANTICLOCK

ANTICLOCK, située à la croisée des chemins piétonniers, cyclistes et maritimes, est une boussole à la fois d’intersection et de direction. Sa forme minimaliste en métal récupéré crée une résonance particulièrement forte avec l’histoire de Griffintown.

Ce projet est une horloge solaire qui n’est pas destinée à donner l’heure, mais bien à pointer vers de nouvelles directions. Sa base est recouverte de lignes qui indiquent la position d’événements, de phénomènes et d’éléments marquants. Les visiteurs avides d’en apprendre davantage peuvent se rendre sur un site web (anticlock.ca) qui détaille chacun des éléments à découvrir. Véritable outil de remontée dans le temps, il a pour vocation de révéler les événements passés, présents et futurs qui ont largement contribué et contribueront à façonner le visage de Griffintown, en rendant visible l’invisible.

Par :

  • Lucy Gill
  • Sophie Howard
  • Maxime Partouche
  • Victorian Thibault-Malo
  • Astrid Yates

L'œuvre ANTICLOCK © Vincent Brillant PhotographeL’œuvre ANTICLOCK © Vincent Brillant Photographe

L'œuvre ANTICLOCK © Vincent Brillant PhotographeL’œuvre ANTICLOCK © Vincent Brillant Photographe

Le programme d’art en bref

Baptisé « UniR », le programme d’art public du REM est inspiré par l’union de l’art, des usagers et des quartiers desservis par le REM. Il s’agit d’une collection d’oeuvres permanentes et temporaires implantées à une variété d’endroits sur le réseau.

Un partenariat innovant avec quatre universités montréalaises

Le programme d’art du REM inclut l’intégration d’œuvres temporaires, financées à travers l’enveloppe de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics.

La genèse du programme d’art temporaire est basée sur une vision forte : permettre une collaboration inédite entre quatre universités montréalaises, à l’image du REM qui permet de connecter les gens et une multiplicité de destinations!

Les œuvres temporaires sont ainsi réalisées en partenariat avec l’UQAM, l’Université Concordia, l’Université McGill et l’Université de Montréal, dans le cadre d’un cours interuniversitaire et multidisciplinaire. L’objectif du cours : former la relève en art public, tout en adressant des enjeux actuels en permettant une pluralité de points de vue. Comme les œuvres sont temporaires, les choix peuvent être plus audacieux! Le programme s’échelonne sur quatre ans, avec une édition annuelle de 2023 à 2026 qui est pilotée par une université différente.

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Petite tournée cet après-midi au parc nature du Bois-de-Liesse pour voir l’avancée des travaux à la jonction de l’ouest.

À partir du passage dans le Bois-de-Liesse, on voit que les caténaires sont prêts pour l’installation des câbles:

Depuis la rue Hervé, au coin de Camille, on peut voir la progression de l’installation des câbles:

Les supports pour les murs antibruit sont également visibles depuis cette rue:

Côté ouest de la jonction:

À la jonction:

Les bases des caténaires de l’ancienne ligne D-M y sont toujours visibles, mais on leur a trouvé une nouvelle utilité:

Côté est de la jonction:

J’ai pris cette photo du tronçon près du boulevard Toupin, quelqu’un sait qu’est-ce qu’on voit accroché aux câbles?

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Je crois qu’il s’agit du système qui permet de maintenir la tension dans la caténaire. Il faut aussi un « jumper » pour faire passer le courant d’une section de caténaire à une autre.

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Quelques photos que j’ai prise aujourd’hui au pont vers l’île-Brigras étonnement il y a un sentier du parc à côté qui y mène directement et il n’y a rien pour empêcher les passant d’aller marcher dessus. Ce que j’ai eu envi de faire, mais me suis retenu étant seule. Par contre le pont du REM lui est bien protégé des passant avec les mêmes clôtures que partout ailleurs.

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Superbes clichés, merci!!

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