Nouvelles économiques et commerciales

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Investissements étrangers à Montréal Les signes de ralentissement se font ressentir

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Ce bilan a été présenté en conférence de presse en présence de représentants des trois ordres de gouvernement : le ministre fédéral du Patrimoine canadien et lieutenant québécois du gouvernement Trudeau Pablo Rodriguez et le ministre de l’Économie et de l’Énergie Pierre Fitzgibbon.

Les signaux de ralentissement économique ont eu un effet sur la valeur des investissements directs et étrangers dans le Grand Montréal l’an dernier : elle s’est contractée de 5,8 %, à 3,58 milliards, selon le bilan présenté lundi par Montréal International (MI). L’organisme dit avoir accompagné 102 projets en 2022 – un record.

Publié à 11h00

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Julien Arsenault
Julien Arsenault La Presse

Ce bilan a été présenté en conférence de presse en présence de représentants des trois ordres de gouvernement : le ministre fédéral du Patrimoine canadien et lieutenant québécois du gouvernement Trudeau Pablo Rodriguez et le ministre de l’Économie et de l’Énergie Pierre Fitzgibbon.

La mairesse de Montréal et présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) Valérie Plante, la mairesse de Longueuil Catherine Fournier et le maire de Laval Stéphane Boyer étaient également présents.

MI calcule qu’environ 8300 emplois au salaire moyen annuel de plus de 88 000 $ ont été créés. Le secteur des sciences de la vie a récolté 12 projets d’une valeur de 685 millions. L’implantation de l’usine de vaccins de la multinationale Moderna à Laval constitue le fait saillant dans cette catégorie.

Par ailleurs, 21 projets, d’une valeur de 755 millions, ont élu domicile à l’extérieur de l’île de Montréal. Selon MI, plus de 50 % des investissements directs et étrangers ont émané des Amériques l’an dernier. Le reste provient essentiellement de la France, la Suisse, le reste de l’Europe ainsi que le Moyen-Orient.

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Hum… est-ce que le verre est à moitié plein… ou à moitié vide… ? :thinking:

Il faut croire que les nouvelles se suivent…, mais ne se ressemblent pas ! :upside_down_face:

Montréal toujours aussi attrayante pour les investisseurs étrangers


L’économie et l’emploi se portent bien dans la région métropolitaine. | PHOTO : GETTY IMAGES / JOSIE DESMARAIS

Radio-Canada | 20 février 2023 | Publié à 13 h 02 | Stéphane Bordeleau

En dépit des turbulences économiques mondiales, l’agence Montréal International affirme avoir accompagné l’an dernier 102 projets d’investissements étrangers dans la région de Montréal pour une valeur de 3,58 milliards de dollars.

Des investissements qui ont entraîné la création de 8287 emplois au salaire annuel moyen de 88 000 $, selon les données de l’agence de promotion économique de Montréal qui dévoilait lundi ses résultats pour l’année 2022.

« En faisant un calcul rapide, nous accompagnons en moyenne une nouvelle entreprise et 18 travailleurs qualifiés par semaine, ce qui n’est pas peu dire… », se félicite Stéphane Paquet, président-directeur général de Montréal International.

« On a des investissements directs étrangers qui dépassent le niveau prépandémique. Ça, ça fait du bien! »

— Une citation de Valérie Plante, Mairesse de Montréal et présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal

« Ça démontre que malgré une période difficile, la métropole est capable de se relever », a souligné la mairesse Plante.

La métropole et sa région affichent par ailleurs une stabilité notable dans les investissements étrangers malgré l’onde de choc de la pandémie et l’inflation toujours préoccupante au pays. À titre de comparaison, en 2021, Montréal International rapportait avoir accompagné 100 projets pour une valeur de 3,77 milliards de dollars.

Près de la moitié des investissements étrangers faits au Québec en 2022 provenaient des États-Unis (47 %) tandis que 42 % provenaient respectivement de la France, de la Suisse, du reste de l’Europe et du Moyen-Orient.

« Si le Grand Montréal est en croissance, si le Grand Montréal attire des investissements directs étrangers, c’est une bonne nouvelle pour la santé économique de tout le Québec. »

— Une citation de Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

Les sciences de la vie et la santé

Ce sont l’industrie des sciences de la vie et l’industrie des technologies de la santé qui ont généré le plus d’investissements étrangers dans le Grand Montréal l’an dernier, soit près de 685 millions de dollars pour 12 projets dont la construction d’une usine de vaccins à ARN messager de Moderna à Laval.

« Il s’agit d’une hausse de 143,76 % par rapport à 2021, se félicite Montréal International. Outre Moderna, le Grand Montréal a su capter l’intérêt des sociétés étrangères qui souhaitaient miser sur un écosystème de pointe en intelligence artificielle pour développer de nouvelles solutions en santé ».

Montréal demeure également attrayante pour les organisations internationales avec l’implantation en 2022 du bureau du Programme de recherche mondial pour le climat hébergé par Ouranos et le projet d’expansion d’Airports Council International dans la métropole.

« À ceux-ci s’ajoutent le renouvellement des ententes avec l’International Air Transport Association et l’Institut de statistique de l’UNESCO, pour assurer leur présence à Montréal », précise Montréal International.

Les régions situées hors de l’île de Montréal (Laval, Longueuil et les deux couronnes) ont aussi tiré leur épingle du jeu en 2022 en récoltant un nombre record de 21 projets pour une valeur de 755 millions de dollars d’investissements.

« Ce sont d’excellents résultats pour l’agglomération de Longueuil […] 159 millions de dollars en investissements », s’est réjouie la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, en conférence de presse.

Main-d’œuvre et recrutement international


En 2022, 183 employeurs de la région métropolitaine ont fait appel à Montréal International pour dénicher de la main-d’œuvre. | PHOTO : GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO / YOZAYO

Montréal a beau attirer les investissements, la métropole doit aussi attirer des travailleurs pour permettre à ces milliards de dollars de projets de se concrétiser.

En 2022, 183 employeurs de la région métropolitaine ont fait appel à Montréal International pour dénicher de la main-d’œuvre. L’agence déploie neuf initiatives pour recruter des travailleurs à l’étranger dont à Paris.

Le site www.talentmontreal.com, lancé pendant la pandémie, compte quant à lui 145 000 travailleurs qualifiés inscrits et prêts à venir travailler dans le Grand Montréal, dont 85 000 nouvelles inscriptions en 2022 seulement.

« Ces efforts ont mené au recrutement de 629 travailleurs qualifiés dans des secteurs hautement stratégiques tels que les technologies de l’information ainsi que les services de santé et l’éducation », écrit l’agence, qui a également recommandé « 7200 étudiants internationaux intéressés par des études au sein du Grand Montréal ».

Créée en 1996 pour faire la promotion de Montréal et de sa région hors du Québec, Montréal International est un organisme à but non lucratif financé conjointement par l’entreprise privée, les gouvernements fédéral et provincial ainsi que la Communauté métropolitaine de Montréal et la Ville de Montréal.

Depuis sa création, l’organisme se targue d’avoir attiré 18 milliards de dollars d’investissements étrangers directs et contribué à la création ou au maintien de 71 000 emplois.

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335 millions $ pour moderniser et verdir le port de Montréal


Le nombre de conteneurs transitant par le port de Montréal est en hausse
PHOTO : (CHARLES CONTANT/RADIO-CANADA )

Hugo Prévost
Publié hier à 13 h 31

Les installations du port de Montréal, dans l’est de la métropole, bénéficieront d’une injection de 335 millions de dollars sur une période de cinq ans. L’Administration portuaire entend ainsi moderniser ses installations et développer davantage ses activités pour faire face à l’augmentation de la demande pour le transport maritime, mais aussi verdir ses activités et réduire ses émissions polluantes.

Dans une annonce effectuée lundi dans le cadre du Forum Transport et logistique organisé par la Chambre de commerce de l’Est de Montréal, le PDG de l’Administration portuaire de Montréal, Martin Imbleau, a dit souhaiter que ces investissements s’articulent autour de quatre grands axes.

Tout d’abord, le Port souhaite développer et pérenniser ses infrastructures pour s’adapter à l’accroissement des échanges commerciaux; vient ensuite le renforcement, l’optimisation et la fluidification de la chaîne logistique pour la région métropolitaine.

L’Administration portuaire souhaite aussi consacrer une partie des sommes à la décarbonation des activités portuaires et à la transition énergétique, y compris en installant davantage de systèmes d’alimentation électrique, en plus de se tourner vers les carburants verts pour alimenter les nombreux véhicules qui circulent sur le territoire du port, mais aussi les navires qui font escale à Montréal.

Enfin, le plan sur 5 ans comprend aussi 10 millions de dollars consacrés à l’amélioration de la cohabitation des activités logistiques avec l’environnement urbain. Dans ce dossier de ce qui est appelé amélioration de l’interface ville-port, on évoque également des projets récents, comme l’aménagement d’un talus paysager sur la rue Notre-Dame (particulièrement achalandée et bruyante, notamment en raison du grand nombre de camions qui y circulent) et la plantation de 2000 arbres.

On souhaite aussi, toujours dans le cadre du plan d’investissement, ajouter six kilomètres de voies ferrées pour accroître le transport par rail.

Nous souhaitons investir pour l’avenir de la chaîne logistique à partir de l’est de Montréal, pour sa pérennité, son efficacité et son intégration harmonieuse dans le tissu urbain, a déclaré M. Imbleau par voie de communiqué.

Baisse des activités et expansion

Au début du mois, le Port de Montréal reconnaissait subir les impacts d’un ralentissement économique, après la hausse marquée imputable à la pandémie, puis à la relance.

Toute l’année 2022, le port de Montréal a connu une hausse de ses volumes. Mais depuis la fin de l’année, le recul se situe plutôt entre 2 % et 5 %, et annonçait un début d’année 2023 placé sous le signe du ralentissement économique.

Chaque année, environ 100 milliards de dollars de valeur de biens transitent par le port, le deuxième le plus achalandé au Canada, après le port Metro Vancouver.

Le Port de Montréal a aussi déjà donné le feu vert à la construction de nouvelles installations situées à Contrecœur, en amont de la métropole, afin d’absorber la hausse du volume de conteneurs maritimes qui transitent sur le fleuve Saint-Laurent.

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:razor: :hole:

C’est la fin pour le Centre du rasoir


Une boutique du Centre du rasoir située à Saint-Hyacinthe. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

Radio-Canada | Olivier Bourque | 22 février 2022 | Publié à 15 h 22

C’est la fin pour le Centre du rasoir. Sous protection de la loi sur la faillite depuis décembre, l’enseigne va finalement disparaître et la majorité des magasins vont fermer, a appris Radio-Canada.

Deux employés ont confirmé avoir été informés de la faillite du groupe et qu’ils devaient quitter rapidement les lieux avant l’arrivée des huissiers.

On est arrivés à midi, ça fermait. On nous a dit que les magasins étaient en faillite. Il fallait sortir du magasin le plus rapidement possible, assure l’un d’entre eux.

Radio-Canada a pu consulter un avis envoyé par le Bureau du surintendant des faillites dans la journée à plusieurs magasins.

Le plan de redressement n’a pas été accepté, selon nos informations.

L’entreprise gérée par le Groupe CDREM n’avait pas rappelé Radio-Canada au moment de la publication de cet article.

La bannière compte 34 magasins et 150 employés. Dix d’entre eux sont gérés par des franchisés.

Le Centre du rasoir a été fondé il y a environ 60 ans. Au tournant des années 2010, le groupe avait fusionné avec Boutik Electrik.

Il y a cinq ans, le groupe avait fait des changements importants et était devenu propriétaire d’une partie des magasins.

Au cours des dernières années, la pandémie, le commerce en ligne, la pénurie de main-d’œuvre et l’inflation ont fragilisé davantage le groupe.

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Ouch, dure façon de perdre son emploi

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Triste nouvelle pour tous ces gens qui vont se retrouver au chômage. Honnêtement je croyais que le Centre du Rasoir n’existait plus depuis plusieurs années. J’ai encore mon vieux rasoir électrique Braun que j’ai acheté dans le milieu des années 80, et il fonctionne encore à merveille.

La Caisse affiche un rendement de -5,6 %

PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

Le premier semestre « a été marqué par la pire correction simultanée des marchés boursiers et obligataires en 50 ans, qui ont affiché des rendements négatifs de l’ordre de -10 % à -30 %. Face à ce contexte hors norme, toutes nos catégories d’actif ont réussi à surpasser leurs indices », a expliqué Charles Emond (au centre), patron de la CDPQ.

Au terme d’une année compliquée pour tous les investisseurs, le gestionnaire d’actif des régimes publics de retraite et d’assurance des Québécois a surpassé son indice de référence, ainsi que les principaux indices boursiers et obligataires.

Publié à 11h00

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André Dubuc
André Dubuc La Presse

La Caisse termine l’année avec un rendement négatif de 5,6 %, mieux que son portefeuille de référence à -8,3 %.

En comparaison, les régimes de retraite canadiens ont obtenu un rendement annuel médian de -10,3 %, selon le sondage de RBC Services aux investisseurs et de trésorerie paru à la fin janvier.

La Caisse a néanmoins perdu 24,6 milliards lors de son exercice financier. L’actif net est remonté à 402 milliards.

Il s’agit d’un premier résultat annuel négatif à la Caisse depuis 2008.

La valeur ajoutée de sa performance par rapport au marché provient en grande partie de la bonne tenue de ses investissements dans les placements privés, dans l’immobilier et dans les infrastructures.

Les huit grands déposants de l’institution, parmi lesquels figurent le régime des rentes du Québec et le Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics, obtiennent des résultats allant de -3,9 % à -8 % sur un an.

« Le premier semestre a d’ailleurs été marqué par la pire correction simultanée des marchés boursiers et obligataires en 50 ans, qui ont affiché des rendements négatifs de l’ordre de -10 % à -30 %. Face à ce contexte hors norme, toutes nos catégories d’actif ont réussi à surpasser leurs indices, alors qu’il y avait peu d’endroits où se réfugier pour les investisseurs », a expliqué Charles Emond, président et chef de la direction de la CDPQ, dans un communiqué.

Dans la catégorie des titres de revenu fixe, la Caisse comptabilise un rendement négatif de 14,9 %, comparativement à -16,4 % pour son indice de référence. La Caisse détient des obligations de longue échéance pour un meilleur appariement avec le passif des déposants. Les titres de longue durée baissent plus fortement en réponse à une remontée des taux obligataires.

Surperformance également du côté des actions, la Caisse a obtenu -5,7 % tandis que l’indice de référence est de -6,9 %. Les gestionnaires de l’institution ont égalé l’indice (-11 %) dans le cas des titres cotés à la Bourse. C’est la performance des placements privés qui s’est démarquée avec un rendement positif de 2,8 %, pendant que l’indice comparable est à 0 %.

Les actifs réels en immobilier et en infrastructures, dans lesquels la Caisse a des participations, ont connu une performance hors du commun avec un rendement positif de 12 %. L’indice avec lequel la caisse se compare obtient un rendement de 5,2 %.

Ses avoirs investis au Québec se chiffre à 78,4 milliards. L’institution répète la cible de 100 milliards d’actif d’ici 2026. Le Réseau express métropolitain (REM) est toujours cessé mettre en service son antenne de la Rive-Sud au printemps 2023.

Du côté immobilier, le redressement d’Ivanhoé Cambridge se poursuit. Le rendement atteint 12,4 %, bien meilleur que l’indice de référence 9,2 %. La société se présente maintenant comme un investisseur et non plus comme un propriétaire-gestionnaire.

Depuis quelques années, Ivanhoé se déleste de ses centres commerciaux et réinvestit dans l’immobilier industriel et dans des plateformes logistiques. Elle investit dans le secteur résidentiel, en mettant le pied dans des nouveaux créneaux pour elle comme les résidences étudiantes et les logements partagés.

Le secteur des bureaux ne va pas bien, mais la présidente et cheffe de la direction d’Ivanhoé Cambridge, Nathalie Palladitcheff, insiste sur les écarts existants dans le taux de retour au bureau des travailleurs entre l’Europe et l’Amérique du Nord.

Mme Palladitcheff s’attend néanmoins à une année difficile en immobilier en 2023.

Un marché sans employés ouvrira ses portes à Laval

courrierlaval.com | Par Nicholas Pereira | 26 février 2023


L’intérieur d’un Marché Aisle 24. (Photo gracieuseté)

Un nouveau Marché Aisle 24 devrait ouvrir ses portes à la Place Montmorency au printemps 2023.

Ce nouveau concept de boutique, qui sera situé au 777, boulevard Le Corbusier, est ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, puisqu’aucun employé ne travaille sur place.


La façade d’un Marché Aisle 24. (Photo gracieuseté)

Les citoyens n’ont qu’à installer l’application mobile sur leur téléphone intelligent, puis se créer un compte à l’aide d’une carte de crédit et d’une autre pièce d’identité. Cette même application permet de déverrouiller les portes du local, puis les consommateurs peuvent compléter leurs achats à l’une des caisses libre-service.

De nombreux produits seront disponibles pour la clientèle, dont une variété de pains et muffins, du lait, du yogourt, du beurre, des fromages, de la crème glacée, des sandwichs préparées, des salades préparées, du bacon, des fruits et légumes, ainsi que des friandises.

Les marchés de la chaîne Aisle 24 offre aussi quelques produits ménagers, tels que des savons, mouchoirs, papiers hygiéniques, nettoyants, savons, shampoings, produits de santé personnelle et médicaments.

Projet retardé

L’ouverture du Marché Aisle 24 de la Place Montmorency aurait pu déjà avoir lieu.

«Malheureusement, le projet de condos du contracteur Montoni, où le marché sera situé, a pris beaucoup de retard dans leur construction, ce qui nous impacte directement, précise Jessika Venne, franchisée québécoise de la chaîne. Nous ne pouvons nous avancer sur une date, mais nous espérons pour le printemps 2023, le mois de mai si tout va bien!»

À titre de précision, la succursale sera d’une dimension de 1500 pieds carrés et se trouvera au rez-de-chaussée du complexe. De nombreuses caméras de sécurité seront installées pour assurer la sécurité des lieux et éviter les risques de vol.

Par ailleurs, le réapprovisionnement et le nettoyage des Marchés Aisles 24 est habituellement fait un minimum de trois fois par semaine.

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ah bon, mes grands-parents ne seraient pas autorisés à magasiner ici alors lol ¯\(ツ)

D’après l’expérience ailleurs, ces types d’entreprises ont-ils réussi en general? Au Japon, il y en a, mais aucune avec des portes verrouillées… Si je suis allé à un dépanneur et c’etait fermé à moins que je télécharge une application, oublie ca lol. Il y a un Couche-Tard à Montmorency …Ca doit cibler une clientèle hyper locale. Essentiellement les résidents de l’Espace Montmorency?

Je questionne ici l’aspect sécuritaire avec des portes verrouillées le temps de compléter les achats. Est-il prévu une sortie de secours en cas de situation d’urgence? Je pense notamment à une panne d’électricité ou tout autre événement inattendu.

Oui, n’importe quelle porte qui est verrouillée dois se déverrouiller en cas d’urgence.

Auto parts provider LKQ Corp
said on Monday it would buy Uni-Select Inc in an all-cash deal with an enterprise value of about $2.8-billion, as it looks to expand and drive growth.

Uni-Select’s shareholders will get $48 per share in cash. The Boucherville, Québec-based company distributes automotive refinish and industrial coatings and related products in North America.

LKQ intends to fund the transaction through a combination of cash on hand and new debt.

Same big sale’ news, in French… :flushed:

De la façon que j’ai compris, à moins que je me trompe, personne n’est jamais embarré à l’intérieur, c’est juste que pour rentrer, il faut utiliser l’app et avoir créé un compte.

Donc d’avoir les informations de qui est rentré quand en plus des caméras de sécurité c’est suffisant pour eux en termes de sécurité

“not to be that guy” mais Aisle 24 aurait pu facilement être traduit par Allée 24…

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Il y a un Aisle 24 sur Wellington dans la Cité du multimédia au RDC du projet Domo et un autre dans le Will&Rich à Griffintown. Deux endroits un peu éloignés des supermarchés du secteur, un peu moins celui du Domo depuis l’arrivée du IGA.

Je ne sais pas si ça marche bien. J’imagine que c’est pratique quand les supermarchés sont fermés ou pour les personnes qui habitent dans ces immeubles.

Il y a un dépanneur au RDC de notre immeuble qui est accessible de l’intérieur. Super pratique quand tu ne veux pas sortir :wink:

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Une autre entreprise des USA qui ferme ses magasins au Canada…

Je crois que ces entreprises ne saisissent pas le marché canadien… Nous ne sommes pas comme les voisins au sud de la frontière…

Nordstrom closing down in Canada, shuttering all 13 stores

Roughly 2,330 people to lose their jobs

Pete Evans
CBC News
Mar 02, 2023 4:44 PM EST | Last Updated: 1 hour ago

the Nordstrom store in the Toronto Eaton Centre is shown
Nordstrom is closing down in Canada. All 13 of the U.S. chain’s locations in Canada, including this one in Toronto’s Eaton Centre, will soon close. (David Donnelly/CBC)

Nordstrom Inc. says it is winding down its Canadian operations and closing all 13 of its stores in the country.

The company, which launched in Canada in 2014, has six Nordstrom stores and seven Nordstrom Rack locations.

All stores will close and all the company’s staff in Canada — roughly 2,330 people — will lose their jobs, the company said Thursday.

In court filings, the company says Nordstrom’s Canadian business has lost money every single year it has been in operation.

“We entered Canada in 2014 with a plan to build and sustain a long-term business there. Despite our best efforts, we do not see a realistic path to profitability for the Canadian business,” the company said in a statement.

Pending approval of the court monitor overseeing the wind-down under the Companies Creditors’ Arrangement Act, liquidation sales at all existing locations will start around March 20.

Gift cards will be honoured until the end of liquidation for in-store purchases. No new gift cards can be purchased after Thursday.

The company’s Nordstrom.ca site has stopped sales effective immediately. Any orders placed online before Thursday will be filled, but no new orders will be processed online. After March 17, all sales are final and returns and exchanges will no longer be permitted.

Retail consultant Doug Stephens says the move suggests that Nordstrom is just the latest department store chain to find its business model being squeezed on all sides — by discount brands from below and luxury brands from above, along with the rise of e-commerce.

“It’s no secret that the department store channel has been in, let’s call it, a pretty fragile state,” he told CBC News.

It’s the second major U.S. chain to pull the plug on its Canadian operations in a matter of weeks, after Bed Bath & Beyond announced in February it would close all of its 65 stores in Canada.

After years of suffering a drag on profits, Stephens says Nordstrom’s U.S. parent is looking at the prospect of a recession in its home market and taking the opportunity to cut out anything that isn’t adding cash to its bottom line.

“Clearly it’s a move on Nordstrom’s part to reconsolidate — tighten things down — and prepare for what could be a very difficult year ahead,” he said.