Nouvelles économiques et commerciales

Tax credits have been proven to work and cities in the U.S have implemented this during covid, which is a huge driving factor for office openings/return to offices and even relocations. It also gives incentives for offices new to market to relocate downtown rather than the suburbs and is a tool of the market as well.

I’m not arguing whether incentives are efficient or not. I’m arguing on the role of the government to favour cities over suburbs, and to favour downtown offices vs non-downtown offices. Then they’re favourings some realtors over others and/or remote-work companies vs on-site companies.

The Pandemic itself is an event and yes government intervention to maintain an economy in its totality is beneficial. Beyond that however we’re currently figuring out what new reality, if any, will look like.

It’s like the city promoting return-to-office by implementing artwork. Return-to-office will be determined by the supply-demand dynamic between employers and employees and the friction of commute.

Let the market forces play it out.

And how do you think suburbs continue to prevail? They offer more incentives in addition to being cheaper. You want a more balanced market? You offer incentives to go downtown and it gives the companies more options at their disposal, therefore, the chances of them selecting downtown increases since everything is there.

Ah so when you say government you meant municipal? To me government is at least provincial.

Yeah cities can try it and it’s fair game, even if it’s potentially throwing good money after bad.

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Je pense que des loyers plus bas ainsi que des baux plus courts rempliront bien plus vite les espaces vacants du centre-ville qu’un énième congé de taxes ou subvention qui ira directement dans les poches des propriétaires.
Quand on regarde les stats, on voit que la demande pour des espaces moyen à haut de gamme est juste faible presque partout dans la région métropolitaine; encore plus en banlieue. Il n’y a que l’Est du centre-ville qui s’en sort bien.
De plus, le centre-ville est déjà; il me semble; ultra choyé par rapport à d’autres zones de bureaux de l’île et des alentours; sans compter la densité d’activités et de transports déjà à proximité.
A mon avis il va falloir plutôt se concentrer à vivre avec cette réalité et en mitiger les conséquences que plutôt de chercher à stimuler une demande qui est au point mort. De manière générale, je ne suis pas sûr que vider les locaux déjà fortement inoccupés des autres secteurs de l’île pour renflouer Ville-Marie soit une bonne idée.

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Je trouve qu’il s’agit d’un article important de Gérald Fillion en vue des prochaines élections

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Ça fait longtemps qu’on répète la même chose mais le gouvernement joue à l’autruche. Tout est beau.

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Exactly this, so in the U.S you will see either special economic zones/enterprise zones or tax credits for companies to move to a certain area. It never goes to a landlord either, it’s strictly for businesses that are small or large.

Somethings I’ve seen are tax credits for a business opening in certain location, for job creation, training or re-training, tax breaks for restaurants, renovations, etc… Since the city has no direct control on rent prices since that’s a market thing, they tend to offer this. Canadian cities are still constrained and can’t offer stuff like this, yet. In the U.S though, it has helped cities in the past and present during an economic slowdown or crisis.

Six premiers mois de 2022 Rendement négatif de 7,9 % à la CDPQ

PHOTO PATRICK SANFACON, ARCHIVES LA PRESSE

« Les six premiers mois de l’année ont été fort exigeants », a affirmé le président et chef de la direction de l’institution, Charles Émond, mercredi, en conférence de presse.

Les six premiers mois de l’année sont teintés de rouge pour la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), qui a livré un rendement négatif de 7,9 %. Mince consolation : la performance du bas de laine des Québécois est supérieure aux indices de références, où les reculs sont plus marqués.

Publié à 11h00

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Julien Arsenault

Julien Arsenault La Presse

Au cours d’un semestre où il y a eu une « combinaison de facteurs jamais vue depuis plusieurs décennies », le gestionnaire de régimes de retraites et d’assurance publics et parapublics a vu son actif net fondre de 28,2 milliards, à 392 milliards au 30 juin dernier. En excluant des dépôts nets de 5,4 milliards, le recul se serait chiffré à 33,6 milliards.

« Les six premiers mois de l’année ont été fort exigeants, a affirmé le président et chef de la direction de l’institution, Charles Émond, mercredi, en conférence de presse. Une rare correction simultanée des marchés boursiers et obligataires, des craintes de ralentissement économique, de même que la guerre en Ukraine et ses nombreux effets collatéraux. »

L’indice de référence en ce qui a trait à la performance globale de la Caisse pendant le semestre était de -10,5 %. De plus, le résultat de la CDPQ pendant les six premiers mois de l’année ne tient pas compte de la reprise boursière qui s’observe sur les marchés depuis un peu plus d’un mois.

PHOTO PAUL CHIASSON, LA PRESSE CANADIENNE

Charles Émond, président et chef de la direction de a Caisse de dépôt et placement du Québec

On doit travailler dans une série de conditions extrêmes depuis deux ans. Si on prenait la photo aujourd’hui (sur notre performance) le portrait serait différent. Nous aurions 15 milliards de plus dans nos actifs.

Charles Émond, président et chef de la direction de l’institution

Dans le secteur des actions, qui regroupe les marchés boursiers et les placements privés, le rendement s’est établi à -10,6 %, alors que l’indice de référence était de -11,9 %. La dégringolade des marchés a entraîné un recul de 16 % du côté des marchés boursiers, tandis que la baisse a été moins prononcée du côté des placements privés (-2,4 %).

Les resserrements monétaires décrétés par les banques centrales dans l’espoir de ralentir l’inflation se sont reflétés dans le créneau du revenu fixe, où l’on retrouve les obligations. La performance a été négative de 13,1 %, par rapport à un indice de référence de -15,1 %. L’augmentation des taux d’intérêt fait fléchir le cours des obligations.

Les actifs réels – l’immobilier et les infrastructures – ont beaucoup mieux fait, avec une performance semestrielle de 7,9 %, supérieure à l’indice de référence de 2,4 %, un signe qu’ils « jouent bien leur rôle de diversification », selon la CDPQ.

En savoir plus

  • 46
    Nombre de déposants à la CDPQ. On y retrouve notamment le Régime des rentes du Québec et celui des employés du gouvernement (RREGOP).

cdpq

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Une nouvelle usine dédiée à l’électrification des véhicules ouvre à Montréal


Jacques Nadeau Le Devoir
La nouvelle usine située dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, peut desservir entre 2000 à 3000 véhicules électriques par année.

Clémence Pavic
19 août 2022

Une nouvelle usine destinée à l’électrification des transports voit le jour à Montréal. L’entreprise ProEV a inauguré, jeudi, ce qu’elle qualifie du « plus grand site » de production de câbles à haute tension pour la fabrication de véhicules électriques commerciaux et industriels en Amérique du Nord.

« Les câbles qu’on produit servent à conduire l’énergie de la batterie au moteur et aux autres modules électriques », explique d’emblée Jarred Knecht, président de ProEV, au cours d’une visite de l’usine située dans l’arrondissement de Saint-Laurent à Montréal. « On est un maillon stratégique de la chaîne d’approvisionnement d’électrification des transports », estime-t-il.

Explosion de la demande

L’entreprise ProEV — qui a été fondée à Montréal il y a une trentaine d’années par le père de M. Knecht et qui est aujourd’hui une division de la société américaine Electrical Components International (ECI) — possède également une usine située dans Pointe-Claire.

Cette autre usine produit quant à elle des câbles à haute tension pour l’industrie militaire et le domaine médical.

« On en produisait aussi pour les véhicules électriques dans la première usine, mais la demande a tellement explosé qu’on a décidé d’ouvrir une deuxième usine et de rapatrier ça ici », explique M. Knecht.

Parmi les clients de ProEV, on retrouve des entreprises bien connues, comme Lion Electrique, BRP ou encore Harley-Davidson. L’entreprise se limite toutefois aux secteurs des véhicules électriques commerciaux et industriels, qui constituent un marché déjà suffisamment grand.

« Ce n’est pas notre objectif que de produire des câbles pour des constructeurs automobiles. C’est un segment différent », explique M. Knecht.

La nouvelle usine située dans Saint-Laurent peut desservir entre 2000 à 3000 véhicules électriques par année.

« D’ici trois à cinq ans, on aimerait que cette capacité monte à 40 000 véhicules par an. C’est ambitieux, mais on peut y arriver », croit M. Knecht.

Pour y parvenir, ProEV compte mettre les bouchés doubles en créant 250 emplois dans les prochaines années, en ajout aux 200 personnes qui travaillent déjà pour l’entreprise à Montréal.

Promark Electronics, la maison-mère de ProEV, a été rachetée en juillet dernier par Electrical Components International

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Pas une nouvelle, mais je voulais partager ce fleuron québécois que peu de gens savent que ça vient du Québec. L’une des plus grosse, si non la plus grosse, compagnie de fabrication, montage et démontage de scène, Stage Line.

Le Québec a une expertise incroyable et reconnu dans le monde pour l’événementiel.

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C’est comme lancer n’importe quoi sur le mur en espérant que ça colle…

9 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Usine Moderna - ? étages

Commerce de détail Embellie au centre-ville

PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE

Les détaillants québécois interrogés par La Presse confirment avoir accueilli davantage de clients que l’an dernier dans leurs succursales du centre-ville.

Après une longue traversée du désert marquée par une baisse de fréquentation et une diminution des ventes, les commerçants du centre-ville de Montréal renouent peu à peu avec les consommateurs. L’achalandage a augmenté de 40 % chez ces détaillants pour le deuxième trimestre 2022 par rapport à l’an dernier, selon des données publiées par l’agence immobilière Jones Lang LaSalle (JLL) qui qualifie cette reprise de « remarquable ».

Publié à 7h00

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Nathaëlle Morissette

Nathaëlle Morissette La Presse

Cette embellie inciterait par ailleurs des chaînes bien connues qui n’ont présentement pas de magasin rue Sainte-Catherine à venir s’y installer, a révélé en entrevue Manon Larose, vice-présidente principale, commerce de détail, chez JLL, refusant toutefois de donner davantage de détails pour le moment. Elle rappelle par ailleurs au passage l’arrivée prochaine de Nike, qui ouvrira ses portes au Centre Eaton au printemps, et celle de la boutique de plein air Chlorophylle.

« Il y a plusieurs détaillants qui avaient mis leurs projets en veilleuse pour 2020 et 2021, qui ont le capital et qui sont maintenant prêts à procéder », affirme-t-elle.

Le retour des touristes dans la métropole a grandement contribué à cette hausse notable de l’achalandage dans les centres commerciaux et les magasins ayant pignon sur rue au centre-ville, pour le deuxième trimestre 2022 par rapport à la même période l’an dernier. C’est du moins ce que conclut l’article Perspectives du commerce de détail – Automne 2022 de JLL.

Les détaillants québécois interrogés par La Presse confirment avoir accueilli davantage de clients que l’an dernier dans leurs succursales du centre-ville. Si les ventes ont atteint les niveaux de 2019, le trafic, lui, demeure toutefois inférieur à ce qu’il était avant la pandémie. Le retour des élèves pourrait par contre permettre un certain rattrapage, croit François Roberge, propriétaire des magasins La Vie en rose.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

François Roberge, des magasins La Vie en rose

Au centre-ville de Montréal, ç’a été stagnant pendant deux ans et demi. On est en train de rattraper les années perdues rapidement.

François Roberge, propriétaire des magasins La Vie en rose

Par rapport à l’an dernier, le détaillant, spécialisé en sous-vêtements et en maillots de bain, a connu une augmentation de 32 % de l’achalandage à son magasin du Centre Eaton, de 100 % à celui du Complexe Desjardins, de 49 % à la boutique située rue Sainte-Catherine et également de 49 % au centre commercial Alexis-Nihon. Sur un total de quatre magasins, trois ont enregistré des ventes supérieures ou égales à celles de 2019, année prépandémique.

« Le retour des gens dans les bureaux se fait de façon progressive, c’est sûr que ça aura un impact », ajoute pour sa part Manon Larose.

« En 2021, les gens avaient juste envie de sortir de chez eux. Maintenant, non seulement ils ont envie de sortir, mais ils ont envie de magasiner de nouveau. »

Constatant également qu’il y a plus de gens qui déambulent dans les rues, Lili Fortin, présidente de Tristan, reste, pour sa part, prudente. « C’est sûr que quand on se compare à 2021 ou à 2020, ç’a tellement été des années difficiles qu’on a des super beaux chiffres », tient-elle à rappeler.

Les ventes de son magasin situé au coin des rues Sainte-Catherine et Metcalfe ont atteint les niveaux de 2019, mais, dans son cas également, le trafic demeure moins élevé. En juillet, il était de 20 % inférieur aux données enregistrées avant l’arrivée de la COVID-19.

On est exigeant parce qu’on veut revenir à un niveau de trafic d’avant la pandémie. Mais il y a un gros bout de chemin de fait.

Lili Fortin, présidente de Tristan

« J’espère que ça va rester comme ça. On n’est à l’abri de rien, ni des vagues de contamination ni des récessions, et je pense que la pandémie nous l’a appris. »

Partout dans l’île

Par ailleurs, les détaillants situés partout dans l’île de Montréal « ont bénéficié d’une relance de l’activité commerciale », note JLL. Pour les cinq premiers mois de 2022, les catégories comme les soins personnels et de santé (+ 52 %), les vêtements (+ 51 %) et les chaussures (+ 39 %) ont enregistré une hausse des ventes par rapport à la même période l’an dernier, selon Statistique Canada. Les ventes de meubles et de produits de rénovation ont connu une baisse de 20 %. « Ces baisses sont dues aux problèmes actuels d’approvisionnement dans ces catégories », écrit JLL.

Quelques ouvertures de commerces de détail à venir

  • Nike (Centre Eaton) : printemps 2023
  • Supermarché T & T (avenue Sainte-Croix) : décembre 2022
  • Décathlon (Marché Central) : été 2023

Source : Perspectives du commerce de détail – Automne 2022

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Il ne faut pas oublier que la zone du Technoparc St-Laurent fait l’objet de pressions militantes environnementales, les entreprises n’ont peut-être pas envie d’investir et de se faire ensuite accuser en public de nuire à la biodiversité :thinking:

Le prix du terrain n’est certainement pas un facteur déterminant pour ce genre de projet.

Broccolini a deux terrains listés pour le Technoparc, ils sont loins des zones “sensibles” que la ville et des regroupements écologiques veulent conserver. À moins que Broccolini proposait un terrain non-listé plus au sud, je ne pense pas que c’était un enjeu, et si c’était assez fort pour faire reculer une compagnie, on aurait entendu des revendications dans ce sens je crois.

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Good, but there has still been little no activity when it comes to new to market businesses (we’re lagging behind every major city in this regard). The fact that Nike is the most anticipated (and currently only major) commercial store opening for downtown is disappointing.

Here’s hoping that 2023 will be smoother, cause 2022 has been a huge dud so far with this specific topic.

L’état de la Main (Saint-Laurent de Saint-Joseph à Sherbrooke), 2022-08-28

Un beau dimanche! Un temps parfait pour faire des achats dans le centre-ville… En transitant par Saint-Laurent, et en comptant les commerces. Comment se porte la Main en 2022?

J’ai compté un total de 320 locaux et commerces.

  • De ce nombre, 276 étaient occupés (86.3%)
  • 17 locaux étaient à louer (5.3%)
  • 27 locaux étaient inoccupés (8.4%)

J’ai compté les locaux la dernière fois en août 2020. Il y a aujourd’hui un local à louer de plus, et 3 locaux vacants de plus. La rue est donc sensiblement similaire à plus ou moins un pourcent prêt (probablement sous la marge d’erreur d’un tel exercice).

La rue est donc assez stable. Les locaux vacants et à louer sont répartis assez équitablement le long de la rue, à l’exception de deux édifices problématiques depuis toujours: l’édifice juste au nord de l’ancien Excentris, vacant/à louer depuis longtemps (il y a des travaux à l’intérieur actuellement cependant), ainsi que cet édifice à vendre depuis longtemps:

Petit constat qui commence à se former de mes comptages cet été: les rues est-ouest se portent mieux que ceux nord-sud.

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