L’espace Ax.C installé dans la tour de la Bourse est officiellement ouvert
L’ÉTS a encore fait affaires avec MSDL
Photo publiée par la directrice de l’Espace Ax.C sur LinkedIn
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Les quatre universités avec faculté de médecine ne semblent pas très contente du projet des universités membres de l’UQ.
« Vous êtes les bienvenus. » C’est le message que souhaite envoyer la Ville de Montréal aux chercheurs qui envisagent de quitter les États-Unis pour s’installer dans un endroit « qui offre la liberté académique », mise à mal au sud de la frontière depuis le retour au pouvoir de Donald Trump.
Montréal annoncera aujourd’hui un investissement de 100 000 dollars dont la moitié servira à financer une campagne promotionnelle visant à positionner la métropole québécoise comme une option de choix pour le travail dans le milieu de la recherche et de l’innovation. Une initiative qui survient au moment où, selon un sondage mené en mars par le groupe de presse spécialisé Nature Portfolio, 75 % des scientifiques basés aux États-Unis qui ont répondu au sondage envisagent de quitter le pays en raison des politiques mises en place par le gouvernement Trump, qui minent la recherche dans différents domaines.
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L’acte est bien noble, mais est-ce vraiment à la ville de piger dans son budget pour ce genre d’action ? On a plein de choses à la ville qui on besoin de budget (manque d’entretien, propreté, etc)
Si on nageait dans les surplus et que tout serait dans un bon état, alors oui, mais ce 100 000$ pourrait aller ailleurs
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Étant donné la taille du montant, ça me fait plus penser à un positionnement politique contre l’administration Legault, qui a choisi de faire l’opposé (au détriment de Montréal).
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Je ne sais pas… on est quand une ville universitaire et le geste est tout de même pertinent pour ce qui est du positionnement du municipal. Parlant de surplus, si ont regarde les universités participant à l’initiative Polaris, elles même sont en crise financière (voir le déficit de l’Université de Montréal…. ou plus préoccupant celui de l’Université de Sherbrooke 
), donc je te comprends aussi; la démarche est valide, tant du coté de la ville que les quatre universités, mais en même temps on n’est pas en manque de projets ailleurs à prioriser.
J’étais en transit entre NYC et Montréal hier, et j’ai entendu un étudiant américain qui va à McGill dire à son voisin que le gouvernement du Québec n’aime pas les étudiants anglophones, vu qu’il a augmenté les frais de scolarités pour ceux-ci. Il y a du travail à faire en terme de PR… LOL.
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Pas seulement une question de frais de scolarité. Québec et Ottawa veulent aussi limiter le nombre d’immigrants temporaires, ce qui inclut les personnes qui ont des visas d’étudiants 
En effet, mais les efforts de recrutement hors Québec des universités devraient aussi être en adéquation avec leurs propres efforts de construction ou de financement de logement abordable étudiant. Parc immobilier sous-exploité… stationnements immenses … 
Il n’y a pas que les écoles qui crient famine. Plusieurs cégeps au Québec voient leur budget être limité au point où, malgré des suppressions de postes et des réductions dans certains services, ils anticipent un déficit se comptant en millions de dollars cette année. Et « le pire est à venir », préviennent-ils.
Mercredi, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a dû défendre la décision de son ministère de limiter à 2,2 % la hausse des sommes allouées aux écoles de la province cette année, ce qui amène celles-ci à devoir retrancher plus d’un demi-milliard dans leurs dépenses en prévision de la prochaine rentrée scolaire. « On ralentit le rythme de croissance et, oui, il y a un ajustement à faire », a déclaré le ministre à l’entrée du conseil des ministres, en réaction aux nombreuses critiques que cette décision a soulevées dans le réseau de l’éducation ces derniers jours. « Il faudra être plus efficace avec l’argent qu’on investit », a-t-il ajouté.
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Quand je lis ce genre de nouvelles, je me souviens de trucs drôles comme le fait que Cégep de Matane a un campus à Montréal, pas trop loin du cégep du Vieux Montréal je crois. Et il y a d’autres cas comme ça. C’est une utilisation intéressante des fonds publics, cette prolifération des campus satellites et déstructuration des ressources en enseignement supérieur.
Et ce malgré les attaques à répétition de la CAQ, ça doit être dit.
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Concordia vient de publier leur plan directeur pour les campus SGW et Loyola.
direct au pdf:
C’est long, puis c’est vraiment gros ce qu’ils proposent. J’ai du mal a voir comment ca va être realiser avec un deficit de 30 millions pis un gouvernement Péquiste en vue pour 2026. J’éspère que ca ce realise, anyway. Les campuses Concordia passerait d’en dessous de la moyenne canadien a pas mal en haut du pack.
Quelques faits saillant:
- a terme, l’université fermera le pavilion VA (sur Rene-Levesque), SB (sur Dr. Penfield), ER (2155 Guy), CL (le pavilion jean coutu), et GS (Medical arts building)
- L’université, pour la première fois, propose le piétonisation de Mackay entre Sherbrooke et Maisonneuve.
- Construction de 128,000 m2 d’espace pour l’université (total pour les deux campuses)
- Construction d’un pavilion au nord de la place norman bethune, entre les rues guy et Mackay, allant jusqu’a 80 mètres, un pavilion sur le coté est de Guy en face de Grey Nuns, et completer l’aile ouest de Grey Nuns.
- Réaménagement de Maisonneuve dans le square norman bethune (traitement comme St Catherine)
- Piétonisation de la ruelle entre au sud de la bibliothèque
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plus de VA 
Il faut dire que dans mes dernières années d’études, il n’était plus autant utilisé qu’au début. C’est quand même le fun un building juste avec des gens qui étudient beaux-arts dedans. C’était un petit repaire où tout le monde pouvait s’exprimer comme ils le veulent.
Je crois comprendre qu’on veuille aussi possiblement ajouter un bâtiment (ou plusieurs) au nord du Hall Building:
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J’avais jamais pensé à un réaménagement du Square Norman Bethune mais ça a tellement de sens - on pourrait facilement retrancher le stationnement au nord pour étendre la place!
Au cours des prochaines années, l’INRS déplacera progressivement les équipes du Centre Énergie Matériaux Télécommunications (EMT) dans de nouveaux espaces sur son campus de Laval. Des travaux de rénovation majeurs sont en cours dans le bâtiment 12 du campus Laval. Ils s’échelonneront jusqu’à l’automne 2026. Un nouveau bâtiment, répondant aux normes de radioprotection, sera aussi construit au campus de Laval afin d’accueillir l’ensemble des activités du campus Varenne. Le déménagement des équipes de télécommunication du Centre EMT de la Place Bonaventure est prévu pour décembre 2026, et celles de Varennes pour 2028. L’INRS mettra par la suite en vente son large campus de Varennes. Les nouveaux bâtiments seront implantés dans des zones déjà minéralisées de sorte à avoir une empreinte environnementale minime et à préserver les espaces verts du campus de Laval.
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Locaux de prières, clubs étudiants « favorisant la création de clans », cours « orientés politiquement » : un rapport commandé par Québec identifie plusieurs causes aux tensions dans les cégeps Dawson et Vanier et recommande un tour de vis dans l’ensemble du réseau collégial.
Les conclusions de l’enquête mandatée par la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, après avoir reçu des « centaines de plaintes » d’étudiants, étaient attendues de pied ferme dans le réseau collégial.
De nombreux enseignants considéraient la mesure comme une attaque à la liberté académique, qui ironiquement alimentait le climat de suspicion sur les campus.
Somme toute, les enquêteurs se montrent peu sévères à l’égard des cégeps Dawson et Vanier, qui ont agi selon les encadrements légaux.
Ils recommandent plutôt un tour de vis dans les différentes législations entourant le réseau collégial, à commencer par la Loi sur la laïcité.
Reportage de CBC News
Tensions at colleges linked to lack of secularism, Quebec says. But is that a problem?
A new report from Quebec’s Ministry of Higher Education looking into tensions at Dawson College and Vanier College says some student groups and religious accommodations may be partly to blame.
