Montréal : Ville de savoir (enseignement supérieur)

Ils vont pouvoir continuer à travailler à temps plein durant les congés

Here are the current rules for international students:

  • Students can work off-campus for 20 hours a week while class is in session.
  • Students can work full-time during scheduled breaks, such as summer break. This will continue even when the new cap is brought in.

C’est encore d’actualité ? Il me semble que ce type de marché d’emploi (temps partiel / étudiant) s’est beaucoup resserré depuis un peu plus d’un an. On est loin du manque de main d’oeuvre de 2021-2022.

J’ai en effet plus de CVs que je reçois de façon opportuniste, mais ce n’est pas assez. J’ai un ratio 50/50 entre locaux et étudiants étrangers. Et ce que je cherche est quand même niché (informatique, robotique, etc. ( kikicode.ca ) et non pas des jobs de commis.

Pendant qu’il manque de place dans les cégeps, le gouvernement coupent dans les investissements… :melting_face:

Compressions dans les cégeps : l’entretien des infrastructures touché

C’est un début d’année scolaire difficile pour de nombreux cégeps. Certains ont appris que Québec coupait leur budget alloué aux infrastructures et aux équipements, alors qu’ils doivent accueillir un nombre record d’étudiants.

Le reportage de Charlotte Dumoulin.

Pour plus de détails, consultez notre article web : Les cégeps mécontents de voir leurs budgets sabrés par la ministre Déry | Radio-Canada

Parlant de design, l’École de design de l’UQÀM fête ses 50 ans.

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Sauf que les compressions ici sont pour les CÉGEPs qui eux manquent tous cruellement d’espace, ont des infrastructures vieillissantes et manques de ressources. Si on veut former une société et qu’elle soit compétitive, on doit avoir les outils pour le faire.

Un bon moyen d’avoir ce financement est les étudiants étrangés qui payent plus, mais si on limite le nombre, on se prive de budget qu’ont a cruellement besoin.

De plus, plusieurs CÉGEPs de régions sont très impliqués dans la vitalité socio-économique de leur villes. (Bibliothèques, espace créatif, plateaux sportifs, espace pour OSBL le soir, etc) alors sous financer les CÉGEP c’est aussi potentiellement nuire à ces communautés. Et ça c’est sans compté que le parc immobilier dans lequel une grande partie des CÉGÉP sont établis, sont de vieux bâtiments qui requièrent plus de maintenance (Rimouski, St-Laurent, Lionel-Groulx, ETC)

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Ce n’est pas de ça dont je parle. Je pensais surtout du côté universitaire, mais il y a aussi des réflexions nécessaires du côté collégial. Pensons à ces CÉGEP qui ouvrent des campus satellites là où il y a déjà des CÉGEP locaux en place, souvent pour ne dupliquer les mêmes programmes. Pas particulièrement la meilleure utilisation de ressource, ouvrir plus de campus là où il y a déjà une offre, quand son campus et vétuste et doit être agrandi.

Dawson College says provincial government spending cuts are forcing it to suspend all new renovation projects, cancel planned purchases of needed equipment and to stop buying goods for its library.

Quebec’s largest English-language CEGEP said it had budgeted more than $13 million for renovations and equipment purchases during the 2024-2025 fiscal year, but that a funding cap imposed by the provincial government is around half that amount.

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Établie au Maroc, l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) a inauguré vendredi sa première antenne nord-américaine à Montréal.

Elle n’offrira pas de formations accréditées ni n’accueillera d’étudiants dans ses locaux. Elle vise plutôt à renforcer les liens de recherche entre les chercheurs marocains et canadiens dans divers secteurs stratégiques, notamment l’agriculture, l’intelligence artificielle et l’exploitation minière.

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UdeM a la Place Dupuis

Je ne sais pas si c’est relié, mais on a améliorer la signalétique de la partie commerciale

C’est très similaire au pavilion Faubourg (FG) de Concordia. Un “pavilion” qui est en réalité un couple de chambres dans un centre d’achat.

Il me semble que Concordia est propriétaire du Faubourg. Dans le cas de l’UdeM, il ne sont que locataires à la Place Dupuis que pour quelques années je crois.

McGill et l’UQAM si je ne me trompe pas ont également des édifices avec une composante commerciale.

Situation inusité au cégep Montmorency, un de ces cégep en cruel manque d’espace…

En plus de se payer des espaces dans des bureaux à quelques mètres du campus pour ses étudiants, le cégep loue également plusieurs de ses propres espaces tous neufs à l’UQÀM… l’UQÀM, elle qui est bien installée dans un cégep avec un problème connu de déficit d’espace, poursuit sa croissance sur ce campus en bonne partie à travers de sa vache à lait, l’ESG. Notons d’ailleurs que l’offre universitaire de premier cycle à Laval — la troisième plus grande ville du Québec — et de la rive nord se limite encore presque exclusivement aux sciences humaines (incluant les sciences de la gestion) et aux services sociaux; l’UdeM n’y offrant coté santé que la formation en soins infirmiers, et l’UQÀM n’ajoutant absolument rien, comme en sciences ou en génie.

Toute cette stratégie est possiblement très cohérente et efficace dans le contexte actuel, mais pour tout le monde qui n’est pas branché sur la réalité de l’administration du cégep et de l’université, comment ces choix ne peuvent paraître au mieux curieux, sinon complètement aberrants, surtout considérant le financement public en jeu?

Est-ce que le cégep Montmorency devrait continuer à loger l’UQÀM alors que le cégep a un déficit d’espace? Que pense le Ministère de l’Enseignement supérieur du fait que l’UQÀM accapare une partie du cégep simplement pour des centaines d’autres BAA et MBA, plutôt qu’une offre universitaire plus structurante pour Laval?

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17 septembre 2024

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Résumé

Lionel Groulx évite la trappe de l’histoire

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Isabelle Hachey
Isabelle Hachey La Presse

En juin 2020, six professeurs du département d’histoire de l’Université de Montréal ont écrit à leur recteur, Daniel Jutras, pour exiger qu’on change le nom du pavillon Lionel-Groulx.

Publié à 1h17 Mis à jour à 5h00

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J’imagine la réaction qu’a dû avoir le recteur en lisant ses courriels, ce matin-là. Oh ! La belle grosse patate chaude que voilà…

Le problème, c’est que personne, au Québec, ne perçoit Lionel Groulx de la même façon. Pour les uns, c’est le père du nationalisme québécois, grand défenseur du peuple canadien-français devant l’éternel. Pour les autres, c’est un petit curé obtus, sexiste, raciste et antisémite.

L’autre problème, c’est que personne, au Québec, n’a tout à fait tort.

Le chanoine Groulx était pétri de contradictions. À la fois progressiste et réactionnaire, tantôt populiste, tantôt élitiste, il faisait l’apologie d’Israël tout en appelant au boycottage des commerces juifs de la province. Bref, il ne se gênait pas pour écrire une chose et son contraire, a constaté en 2003 l’historien et sociologue Gérard Bouchard dans Les deux chanoines : contradiction et ambivalence dans la pensée de Lionel Groulx.

Personne ne s’entend, mais tout le monde a un peu raison : voilà pourquoi je parle d’une patate chaude tombée dans la boîte de courriel du recteur Jutras. L’Université de Montréal devait répondre aux six professeurs d’histoire. Elle devait faire quelque chose. Mais quoi ? Peu importe ce qu’elle déciderait, compte tenu des différentes perceptions qu’ont les Québécois du chanoine Groulx, elle ferait des mécontents.

La solution proposée par l’Université, fruit d’une longue réflexion, est probablement la meilleure dans les circonstances. J’oserais dire qu’elle est fort habile, et même plutôt géniale.

En juin 2020, une pétition circulait déjà pour que la station de métro Lionel-Groulx change de dénomination. La grogne ne visait pas que le chanoine. Ici comme ailleurs, on voulait rebaptiser les rues et déboulonner les statues, comme s’il était tout d’un coup devenu impératif de juger nos ancêtres à l’aune de nos valeurs contemporaines.

Dans certains cas, cet appel au grand nettoyage était justifié. À trop vouloir corriger le passé, toutefois, on risquait d’effacer des pans entiers de notre histoire commune.

Il est d’ailleurs étonnant que la demande de révision toponymique du pavillon Lionel-Groulx soit venue non pas d’étudiants « wokes », mais de professeurs d’histoire, dont le travail consiste justement à remettre les choses dans le contexte de leur époque.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Le pavillon Lionel-Groulx abrite la faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal.

C’est d’autant plus étonnant que Lionel Groulx a largement contribué à la professionnalisation du travail des historiens francophones d’Amérique du Nord. C’est même lui qui a créé le département d’histoire de l’Université de Montréal ! Demander à ce que le pavillon baptisé en son honneur change de nom, c’est renier ce legs intellectuel considérable.

En bons universitaires, les membres du comité de toponymie de l’Université de Montréal ont étudié l’épineuse question sous tous les angles. Ils ont consulté des experts de l’œuvre de Lionel Groulx – certains critiques, d’autres beaucoup moins.

Ils en sont arrivés à un certain nombre de consensus, rapporte le recteur, Daniel Jutras. « Tous étaient d’avis qu’on trouve dans l’œuvre de Groulx des propos antisémites, des propos sexistes et des propos racistes. C’est avéré, on peut en trouver des traces très nettes » dans les écrits du chanoine. Ça, au moins, ça ne fait pas débat.

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Le recteur de l’Université de Montréal, Daniel Jutras

La plupart des membres du comité ont cependant reconnu que Lionel Groulx n’était pas animé par une haine viscérale à l’égard des Juifs ou des Autochtones. « Ce n’était pas un acteur de premier plan dans la théorisation de ces idéologies-là, explique le recteur. C’était dans l’air ambiant et Groulx était un intellectuel de son époque. »

Autrement dit, le chanoine véhiculait des stéréotypes fort répandus au sein du clergé catholique et de la société canadienne-française de la première moitié du XXe siècle.

Est-ce une excuse ? En 2024, donnerait-on encore son nom à l’austère bâtiment de briques brunes qui abrite la faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal ? « Ce n’est pas la question, rétorque Daniel Jutras. La question, c’est plutôt : cette dénomination est-elle suffisamment délétère pour qu’on fasse le geste exceptionnel de la retirer ? »

La réponse est non. Au terme des délibérations, la majorité des membres du comité de toponymie a décidé de conserver la dénomination du pavillon Lionel-Groulx. Une courte majorité, il faut le dire : quatre des sept membres étaient pour, trois étaient contre…

Le chanoine a donc évité l’excommunication, de justesse. L’Université de Montréal n’aurait pas à effacer son héritage, mais devrait néanmoins faire un geste pour le contextualiser.

C’est ainsi qu’est née Parallaxe, une œuvre d’art contemporain qui jouxte le pavillon Lionel-Groulx et qui sera officiellement inaugurée dans les prochaines semaines.

L’œuvre de Ludovic Boney, un sculpteur originaire de Wendake, a remporté un concours d’art public lancé par l’Université de Montréal à l’hiver 2023.

« La parallaxe fait référence au changement de position de l’observateur, explique Daniel Jutras. Quand on se déplace autour de l’œuvre, la perspective se modifie. Il y a des angles sous lesquels l’œuvre ressemble à un mur infranchissable, d’autres où l’on voit des couleurs, d’autres où l’on ne voit que de l’acier. Ça représente toutes les perspectives qu’on peut avoir par rapport à l’œuvre de Lionel Groulx. »

Les étudiants pourront s’asseoir sur les différents modules de l’œuvre, qui se trouve à mi-chemin entre la sculpture et le mobilier urbain. Parallaxe aspire ainsi à devenir un espace de discussion, qui encouragera « l’observation, le questionnement et la redéfinition des points de vue », lit-on sur la plaque explicative qui sera bientôt posée près de l’œuvre.

Il fallait y penser. L’Université de Montréal, justement, a pris le temps de le faire, avec nuance et intelligence. Sans effacer l’histoire ni désavouer un penseur dont l’œuvre a influencé la conscience historique de tout un peuple. Sans nier ses zones d’ombre, non plus.

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La TÉLUQ existe encore? :thinking: Pourtant coté offre de cours, pédagogie, services, et recherche, elle est complètement déclassée par bien d’autres universités québécoises, qui ont fait une remarquable transformation numérique, surtout depuis la pandémie.

Résumé

UQAM Une faculté des sciences de la santé ouvrira ses portes

PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE

La pharmacologie, les soins infirmiers et la nutrition seront dans la liste des programmes offerts dans le projet de faculté des sciences qui sera soumis cet automne. Une proposition de programme de médecine est également sur la table.

L’Université du Québec à Montréal (UQAM) aura finalement sa faculté des sciences de la santé. Pharmacologie, soins infirmiers et nutrition : l’établissement a dressé la liste des programmes qui pourraient être offerts aux étudiants dans un avenir pas trop éloigné.

Publié à 1h08 Mis à jour à 5h00

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Léa Carrier
Léa Carrier La Presse

Ce qu’il faut savoir

  • L’UQAM soumettra cet automne un projet de faculté des sciences de la santé à son conseil d’administration.
  • Le recteur de l’UQAM, Stéphane Pallage, rêve encore d’un programme de médecine, mais Québec ferme la porte.
  • L’université veut relancer le Quartier latin, qui a beaucoup souffert pendant la pandémie.

« Le but est de déposer le projet au conseil d’administration au courant de l’automne », déclare son recteur, Stéphane Pallage, sur la nouvelle faculté.

L’UQAM n’a même pas attendu qu’elle ouvre officiellement ses portes pour lancer deux premiers microprogrammes (formations courtes de cycles supérieurs) d’ostéopathie cet automne.

Totalisant 50 places, les deux programmes affichent complet, se réjouit Stéphane Pallage en entrevue.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Stéphane Pallage, recteur de l’UQAM

On s’est posé collectivement la question : quelle pourrait être notre plus grande contribution dans les prochaines années ? On a regardé les grands besoins du Québec, et l’un des plus grands, actuellement, c’est la santé.

Stéphane Pallage, recteur de l’UQAM

Pour mettre en place cet ambitieux projet, l’UQAM est allée chercher l’ancien président-directeur général du CHUM et du CHU Sainte-Justine, Fabrice Brunet. « Une très, très belle recrue », souligne M. Pallage.

Chaque session, de nouveaux programmes s’ajouteront à l’offre, affirme-t-il. « Il y a un certain nombre de choses qui sont en chantier, d’autres qui vont demander un peu plus de temps. »

Parmi les disciplines envisagées, l’UQAM songe d’abord à créer des programmes en pharmacologie, en nutrition, ainsi qu’en soins infirmiers.

« Les besoins sont très criants dans le domaine des sciences infirmières », observe le recteur.

Québec ferme la porte pour un programme de médecine

Depuis son entrée en poste l’an dernier, Stéphane Pallage ne cache pas son ambition de doter l’UQAM d’un programme de médecine.

Après avoir fait campagne seul, il s’est rallié au réseau de l’Université du Québec, qui espère lui aussi avoir sa propre faculté.

L’objectif : former des médecins dans l’ensemble du territoire québécois, en particulier des médecins de famille.

« Quand je suis arrivé, j’avais un projet pour l’UQAM. Mais très vite, j’ai vu le potentiel de le faire à l’échelle du Québec », explique-t-il.

Un défi d’envergure qu’il a déjà relevé par le passé : il a mis sur pied une faculté de médecine à l’Université du Luxembourg durant son mandat de recteur, de 2018 à 2022.

Des rencontres ont eu lieu à ce sujet avec le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de la Santé. « Il y a une très bonne écoute. Les discussions sont excellentes », estime-t-il.

Son discours tranche toutefois avec celui du cabinet de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry.

Actuellement, nous nous concentrons sur l’augmentation des cohortes dans les quatre facultés de médecine existantes.

Le cabinet de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry

« Concernant le déploiement d’un programme de médecine, nous leur avons plutôt recommandé de miser sur leurs champs d’expertise actuels dans les domaines de la santé et des services sociaux », ajoute-t-on.

Relancer le Quartier latin

L’université montréalaise souhaite également participer à la revitalisation du Quartier latin, au cœur de différentes crises sociales depuis la pandémie.

« L’UQAM ne veut pas être spectatrice du déclin de son quartier. Elle veut être proactive », signale Stéphane Pallage.

L’université a d’ailleurs nommé une première vice-rectrice associée à la relance du Quartier latin, Priscilla Ananian, pour collaborer avec les différents acteurs du quartier, comme BAnQ.

Travail social, urbanisme, design : l’université possède les expertises pour répondre aux différents problèmes avec lesquels doit composer le quartier, croit le recteur.

Un exemple concret ? L’hiver dernier, elle a ouvert une halte chaude pour accueillir la population itinérante, nombreuse dans ce secteur de Montréal.

Un plafond de 31 millions

Comme tous les établissements d’enseignement supérieur, l’UQAM a reçu cet été une directive de Québec lui imposant un plafond dans ses dépenses destinées à la rénovation et à l’agrandissement de ses bâtiments.

Son budget a été limité à 35 millions, alors que l’établissement avait prévu d’affecter « 40 à 50 millions » à des travaux variés cette année. « On avait signé des contrats », déplore Stéphane Pallage.

Début septembre, la ministre Pascale Déry avait promis que les ententes conclues avant l’envoi de la directive seraient honorées, mais M. Pallage affirme que la question n’est toujours pas réglée.

« Pour le moment, la limite est toujours de 31 millions », note M. Pallage.

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Création d’une Faculté des sciences de la santé, construction de logements étudiants et entretien de ses bâtiments vieillissants avant qu’ils ne deviennent « vétustes » : les besoins de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) sont nombreux. Or, le « sous-financement » de l’Université demeure chronique et complexifie sa capacité à concrétiser ses ambitions, confie son recteur, Stéphane Pallage.

« Les projets, ils sont là », a lancé M. Pallage jeudi, de passage dans les bureaux du Devoir . Le recteur, en poste depuis l’an dernier, garde notamment le cap sur son projet de doter l’UQAM, dès cette année, d’une Faculté des sciences de la santé.

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Sur un autre sujet

Les compressions budgétaires imposées aux cégeps par le ministère de l’Enseignement supérieur ont provoqué l’annulation de plusieurs programmes de formation continue, dont celui en communication et études sourdes, qui était offert par un seul cégep. La journaliste Rose St-Pierre a rencontré plusieurs personnes qui ont vu leur programme annulé à quelques jours du début des cours.

Des compressions budgétaires imposées au réseau collégial par le ministère de l’Enseignement supérieur du Québec ont entraîné, au cours des dernières semaines, l’annulation de plusieurs programmes de formation continue qui mènent à des attestations d’études collégiales (AEC).

Québec a ainsi mis de côté les AEC qui ne s’inscrivent pas dans les priorités nationales de son Opération main-d’œuvre, dont l’objectif consiste à répondre à des pénuries dans des secteurs spécifiques comme la santé et l’éducation.

Des formations en communication et études sourdes, en métiers d’art du patrimoine bâti, en gestion immobilière, en assurances, en médiation culturelle et en transformation des aliments comptent parmi les AEC annulées. Ces programmes étaient généralement offerts par un seul cégep.

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Juste à côté, l’UQAM offre plusieurs grades dans la discipline et il me semble que l’AEC n’est pas un pré requis obligatoire pour ces programmes. Je ne suis pas certain de comprendre la pertinence que le cégep offre l’AEC. C’est malheureux que la cohorte a été informée de l’annulation du programme si tardivement, mais en même temps jusqu’à quel point peut-on dupliquer certains programmes, à si grande proximité l’un de l’autre.

CORRECTION:

La majeure demande une connaissance de la LSQ équivalente au niveau du cours Intégration de la LSQ du programme Communication et études sourdes du cégep du Vieux-Montréal, du cours LSQ 5 de l’Institut Raymond-Dewar ou l’équivalent. L’UQAM offre des cours LSQ aux étudiants libres, et ouvre un certificat pour 2025.

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