Montréal : Ville de savoir (enseignement supérieur)

« Commercialisation » des études universitaires, ou les universités au services des entreprises.

Le gouvernement semble oublier la recherche fondamentale…

Québec offrira des incitatifs financiers aux universités pour les inscriptions et la diplomation dans les domaines où il y a un manque de main-d’œuvre.

Cette mesure a été annoncée lundi matin dans la nouvelle Politique de financement des universités de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry.

Le gouvernement Legault veut ainsi répondre aux besoins en main-d’œuvre dans les services publics et les secteurs considérés comme prioritaires pour l’économie québécoise, explique-t-on dans un communiqué.

Ces secteurs prioritaires pour le gouvernement sont notamment la santé, l’éducation, les technologies de l’information et le génie.

Ça je ne peut pas le confirmer, mais il a été fermé d’urgence parce qu’il risquait de s’écrouler de ce qui a été partagé.

Mais même si les bâtissent étaient en état, il y a tellement de travail à faire pour les rendre utilisable au long terme avec les changements climatiques. Une majorité de locaux n’ont pas d’aire conditionné et je ne suis même pas certaine que toutes les bâtissent aient même juste un aire climatisé pour les corridors… Et on va me dire qu’on faisait sans avant, mais est-ce qu’avant on essayait de faire rentrer 30+ élèves dans des locaux qui clairement ont été fait pour 20-25 max et qui ont pris en considération les canicules qui arrivent en mai, juin, septembre et peut-être même un jour mars-avril-octobre? Parce que je peux dire que c’est impossible étudier quand il fait 28°c+ dehors dans une bonne partie des locaux.

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Davantage de campus secondaires d’universités ont vu le jour au Québec dans les quatre dernières années qu’au cours des 20 années précédentes, a constaté Le Devoir . Une situation qui témoigne de l’intérêt croissant de ces établissements à réduire la « barrière » de la distance qui persiste dans l’accès à des études supérieures pour nombre de Québécois. Les experts sont toutefois divisés sur la pertinence de la multiplication de ces campus satellites à travers la province.
[…]
Afin d’offrir l’accès à une éducation universitaire dans des régions éloignées de la ville où elles ont initialement vu le jour, des universités ont mis en place, au fil des années, des sites de formation destinés à enseigner quelques programmes, souvent dans des locaux loués à des cégeps. Le nombre de ces petits points de service a toutefois connu une baisse marquée entre 2008 et 2021, passant de 234 en 2010 à 132 à l’automne 2021, montrent des données du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI).

En contrepartie, une dizaine de campus secondaires, qui offrent une plus grande variété de programmes, ont vu le jour ou ont été annoncés depuis 2020 dans plusieurs régions du Québec, a constaté Le Devoir en contactant l’ensemble des universités de la province. Il s’agit d’un nombre important, considérant qu’à peine six campus secondaires avaient vu le jour entre 2008 et 2021 (à voir sur notre outil interactif), comme en témoignent des données du BCI.

La carte est vraiment intéressante
On voit la multiplication des campus au fil des années

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Je ne sais pas comment, mais ils ont oublié le campus Loyola de Concordia, qui existe depuis 1900 et regroupe plus de 10,000 étudiants.

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Il s’agit d’une extension du campus principal, comme le MIL et Pierre-Dansereau. L’article se concentre surtout sur des campus secondaires, mais si Le Devoir incluait du multisites la carte interactive aurait davantage des grosses tâches que de points.


Un plaidoyer pour un MD à l’Université du Québec à Montréal… mais à Gatineau :face_with_raised_eyebrow:

Pour une cinquième faculté de médecine au Québec

MICHEL GAGNER
Chef du département de chirurgie, Centre de chirurgie Carré Westmount


PHOTO ANDREW HARRER, ARCHIVES BLOOMBERG

« Les augmentations du nombre d’étudiants dans les facultés existantes déjà annoncées ne seront pas suffisantes pour combler la perte de médecins qui prendront leur retraite dans la prochaine décennie », évalue l’auteur.

On manque de médecins au Québec, au Canada, aux États-Unis, en Europe, en fait, partout. En effet, selon l’Association of American Medical Colleges, il manquera 124 000 médecins aux États-Unis en 2034, plus que le nombre total de médecins au Canada, ce qui causera une pression énorme sur le pays.

Les Américains viendront chercher les médecins canadiens pour remplacer les leurs, car ils sont déjà très bien formés et prêts à débuter sans nouvelles accréditations, surtout ceux de l’Ontario, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique. Puis, le vide entraînera un effet domino sur le Québec. L’Ontario viendra piger au Québec et y chercher des médecins, comme cela s’est déjà produit.

Et le Québec, où cherchera-t-il ses médecins ? Actuellement, 24 % des médecins pratiquant au Canada (un médecin sur quatre) ont fait leur formation médicale à l’étranger. Pire, en Saskatchewan, c’est 54 %.

Selon les données de l’OCDE, le Canada compterait 2,8 médecins par tranche de 1000 habitants, en deçà de la moyenne de 3,5.

Nous avons pris un retard depuis 20 ans, pourquoi n’en formons-nous pas plus ? Et pour compliquer la situation, 25 % des étudiants en médecine songent à abandonner leurs études, qui sont finalement trop stressantes.

Le Canada compte 17 facultés de médecine, dont 4 au Québec. Bientôt, quatre nouvelles facultés verront le jour, mais aucune au Québec. Bon an, mal an, il y a 3000 places par année au Canada. Les étudiants québécois sont désavantagés, car en dehors des facultés du Québec, ils vont rarement postuler dans les autres provinces, à cause de la demande du baccalauréat universitaire et du match canadien.

Ainsi, quatre provinces ont emboîté le pas, soit l’Ontario, la Colombie-Britannique, la Nouvelle-Écosse et l’Île-du-Prince-Édouard. On verra naître des facultés de médecine à l’Université métropolitaine de Toronto, à l’Université Simon Fraser, à l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard et à l’Université du Cap-Breton. En effet, l’Université métropolitaine de Toronto ouvrira 200 places pour les étudiants en médecine à Brampton, dès septembre 2025. Cette faculté se voudra plus inclusive et tournée vers la médecine communautaire. Pour ce qui est de l’Université Simon Fraser, à Burnaby, elle accueillera jusqu’à 120 étudiants dès septembre 2026, et elle aura aussi une approche communautaire, orientée vers la médecine de famille.

Gatineau, candidat tout désigné

Si on veut garder au Québec un ratio de 25 % des facultés de médecine du Canada, il faudrait aller de l’avant et en fonder une cinquième. Je propose que l’UQAM, dont le recteur Stéphane Pallage est fort d’une expérience comme recteur de l’Université du Luxembourg, crée une faculté de médecine plus inclusive d’au moins 100 nouveaux étudiants en médecine par année, tournée vers la partie ouest de la province, qui en a bien besoin.

La dernière création d’une faculté de médecine remonte à plus de 60 ans. Sherbrooke, une ville d’alors 66 550 habitants, a reçu en 1966 ses 32 premiers étudiants, puis le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS), ses premiers patients en 1969.

Aujourd’hui, on peut bien imaginer qu’une ville comme Gatineau, avec 300 000 habitants et 1,5 million en comptant sa région métropolitaine, pourrait voir naître une faculté de médecine, tournée vers la médecine familiale et communautaire.

L’UQAM a déjà des facultés de sciences ; les premières années d’études en médecine pourraient se dérouler à Montréal, au campus du centre-ville, et les suivantes pourraient se faire à Gatineau, dans un nouvel hôpital universitaire et dans ses autres établissements affiliés.

Les augmentations du nombre d’étudiants dans les facultés existantes déjà annoncées (660 au total) ne seront pas suffisantes pour combler la perte de médecins qui prendront leur retraite dans la prochaine décennie – 25 % des médecins ont plus de 60 ans. Alors, afin d’éviter de recruter davantage de médecins étrangers, ce qui cause une pénurie dans des pays qui en ont bien plus besoin que nous (est-ce éthique de faire cela ?), il faudra une cinquième faculté de médecine au Québec.

Cela fera au total environ 500 étudiants de plus après 5 années au Québec, ce qui sera probablement encore insuffisant, compte tenu du nombre annuel de nouveaux arrivants. Il faudra bientôt 30 000 médecins au Québec pour atteindre un ratio de 3,3 médecins par tranche de 1000 habitants. Il faut commencer dès maintenant, car cela prendra cinq ou six ans avant de voir les résultats. Le gouvernement doit avoir le courage de cette décision, qui serait sans doute bien vue par la population.

Le problème avec bien de ces campus satellites, c’est que trop souvent ils ne sont pas conçus comme projets structurants. C’est surtout une manne pour des institutions-mères, pas suffisamment en phase avec leurs milieu d’accueil.

Il ne suffit pas de quelques programmes populaires dans des édifices à bureau flanqués en bordure d’autoroute pour améliorer le taux de diplomation dans les régions comme Lanaudière et Chaudière-Appalaches. Il y a besoin de concertation entre les communautés pour cadrer les besoins (pas juste en terme formations), de collaboration entre les universités pour assurer une cohérence dans l’offre et empêcher le dédoublement et morcellement des ressources, un plan directeur de développement…

On le voit dans avec presque tous ces campus secondaires; il y a peu ou pas de services aux collectivités, aux entreprises, aux étudiants. Il y a un appauvrissement de la qualité de l’offre et de l’impact de l’université dans sa communauté d’accueil.

On peut avoir deux trois universités dépenser gros dans le même secteur pour finalement n’offrir rien d’autre que les même certificats, baccalauréat, et MBA, alors qu’avec un peu plus de vision, le Ministère de l’Enseignement supérieur aurait pu créer à la place une petite université avec une identité propre, une offre de services complète, du développement immobilier, une vie estudiantine, des laboratoires, une bibliothèque, et même un centre sportif.

Ces campus satellites sont contre-productif à tout l’écosystème universitaire Québécois, mais ça ne semble pas être être une préoccupation ni pour François Legault et la CAQ, ni pour le possible futur gouvernement de Paul St-Pierre Plamondon et le Parti Québecois. Du côté des préfets on n’est pas trop exigeant non plus; on coche un case lorsqu’une université s’établie chez nous, sans plus.

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Plusieurs projets d’aménagements dans cette nouvelle sur le site de l’Université de Montréal

Nouvelles constructions à surveiller :

Future pavillon autour du CHUM, est-ce qu’il pourrait s’agir d’un potentiel nouveau bâtiment sur l’emplacement du pavillon Édouard-Asselin du CHUM ?

Une école de médecine à proximité du CHUM

L’augmentation des cohortes de la Faculté de médecine est importante. Une partie de celles-ci sera donc déplacée dans des locaux loués près du CHUM dès cet automne, et ce, pour une dizaine d’années. Durant cette période, l’UdeM planifiera la construction d’un nouvel immeuble à proximité du CHUM.

Nouveau pavillon au campus MIL
‘‘en ce qui concerne celui des sciences fondamentales, l’UdeM envisage de construire un pavillon destiné à les accueillir lors de la phase 2 du PDE 2023, sur le site du campus MIL.’’

Potentiel nouveau pavillon de la Faculté de l’Aménagement au MIL, on ose espérer un pavillon architecturalement grandiose et bien réléchis.

Construit en 1936 par l’architecte Siméon Brais, l’immeuble du chemin de la Côte-Sainte-Catherine qui abrite la Faculté de l’aménagement de l’UdeM depuis 1976 ne répond plus à ses besoins. La relocalisation de la faculté au campus MIL est envisagée dans un horizon de 10 à 15 ans.

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Le réseau de l’Université du Québec (UQ) espère avoir sa propre Faculté de médecine d’ici quatre ans et lance une offensive pour promouvoir son modèle, axé sur la médecine familiale et la pratique en région.

« L’UQ est clairement dans une démarche déterminée pour livrer un programme de médecine dans les prochaines années », lance en entrevue le président de ce réseau universitaire, Alexandre Cloutier. L’objectif : former 200 médecins de famille par année, et ce, dès 2028.

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« Si l’UQ va là, on va décoller et on va leur léguer les espaces qu’on a là-bas », lance-t-il.

Réponse bienveillante du doyen de l’UdeS, mais les vielles universités sont clairement dérangées par le projet de l’UQ. En coulisse elles vont se braquer plus farouchement. Il y a peut-être juste McGill, sous un gouvernement souverainiste, qui accepterait peut-être lâcher prise légèrement.

L’ÉTS a publié son Plan d’action en développement durable 2023-2026

Les actions des volets « Communautés » et « Opérations » sont les + intéressants en terme d’urbanisme et architecture

ORIENTATION 6 : Aménager et verdir nos espaces en s’inspirant de la nature afin de maximiser le bien-être des occupant(e)s

  • Action 20 // Action phare :
    Être un leader dans le développement de corridors écologiques avec les partenaires des milieux urbains avoisinants
  • Action 21
    Réaliser un nouvel aménagement significatif qui sera perméable et végétalisé sur le campus (jardins de pluie, murs et/ou toits végétalisés, microforêt, etc.)
  • Action 22
    Entretenir nos terrains de manière écologique (ex : pas de pesticides, No Mow May, etc.)
  • Action 23
    Poursuivre les actions visant à restaurer et à rehausser la biodiversité sur le campus en respectant les engagements pris en joignant la Nature Positive Universities Alliance

ORIENTATION 9 : Augmenter l’impact de l’ÉTS dans la collectivité

  • Action 31
    Organiser des activités de bénévolat / de dons de temps pour les membres du personnel et la communauté étudiante (ex : en action climatique, en biodiversité, etc.)
  • Action 32
    Travailler étroitement avec les divers acteurs de la collectivité (organismes communautaires, municipaux, privés, etc.) pour faire progresser les ODD par la mise en oeuvre de projets à valeur ajoutée
  • Action 33
    Recréer des ateliers de réparations avec la communauté (Repair Café)
  • Action 34
    Évaluer la possibilité de créer un centre de réparation étudiant qui offrirait des services de réparation à la communauté de l’ÉTS et aux citoyens du quartier

ORIENTATION 12 : Favoriser la mobilité durable

  • Action 41
    Convertir progressivement la flotte de l’ÉTS vers des véhicules électriques ou hybrides (conformément à la réglementation provinciale)
  • Action 42
    Créer un comité de travail en mobilité durable dont le mandat sera d’optimiser et d’améliorer la démarche, en s’inspirant de l’approche « Éviter - Transférer - Améliorer », afin que l’ÉTS maintienne son leadership dans le secteur
  • Action 43
    Pour les déplacements professionnels, favoriser les moyens de transport peu émetteurs sur les courtes distances, réduire les déplacements aériens et compenser les émissions au moyen du produit Planetair+ÉTS

ORIENTATION 15 : Assurer un environnement bâti durable

  • Action 60
    Favoriser la certification de la construction de nos futurs bâtiments (LEED ou autres)
  • Action 61
    Favoriser la certification de l’opération et de l’entretien de nos bâtiments existants (LEED O+M ou autres)
  • Action 62
    Intégrer systématiquement des critères et des solutions écoresponsables afin que nos futurs bâtiments soient plus résilients aux aléas climatiques

L’Université de Montréal réagit. Surprise, elle semble être contre la médecine dans les UQ :open_mouth: :smirk:

Les médecins formés aujourd’hui au Québec sont déjà préparés à faire face aux défis de la première ligne, du vieillissement de la population, de la diversité et des inégalités sociales. Nos programmes font l’envie des autres sociétés, y compris la formation importante dans les régions et en médecine de famille. Les quatre facultés de médecine québécoises ont toujours fait preuve de responsabilité sociale face aux besoins de la population québécoise. Elles continueront de servir ainsi le bien commun, dans toute sa complexité populationnelle.

Un message a été fusionné à un sujet existant : Infrastructures vertes drainantes

à la suite du démantèlement du campement propalestinien, McGill a fermé son campus au public

Le portail Roddick était fermé*,* mercredi après-midi. De l’autre côté du grillage, des gardiens de sécurité s’assuraient que seuls les étudiants ou les employés de l’Université McGill entrent sur le campus.

Depuis le démantèlement du campement propalestinien le 10 juillet, des barrières bloquent toutes les entrées du campus, qui est ouvert aux personnes autorisées entre 7 h et 19 h seulement, selon un courriel interne obtenu par La Presse.

Lettre d’opinion des deux professeurs de McGill dans le Devoir

S’il n’y a plus de campement à McGill, les choses n’y sont pas pour autant revenues à la normale. Le campus est méconnaissable.

Désormais, chaque entrée est bloquée par des clôtures bancales comme celles qui entouraient le campement. Les affiches révolutionnaires peintes à la main ont été remplacées par des panneaux indiquant « Propriété privée. Entrée interdite ».

Des agents de sécurité patrouillent sur le terrain et en contrôlent l’accès. Pour entrer, il faut une carte d’identité mcgilloise ou un formulaire signé par un membre de la haute administration. Tout a été mis en place pour chasser les prétendus dangereux étrangers de cette université pourtant publique.

On récolte ce que l’on sème

McGill va rouvrir le campus au public

À partir du 5 août, il ne sera plus nécessaire de présenter une carte d’identité de l’Université McGill pour entrer sur le campus, a annoncé l’administration dans un courriel transmis à la communauté universitaire. Les heures d’ouverture du campus seront également prolongées.

McGill a entamé une réouverture progressive de son campus il y a deux semaines, après l’avoir fermé pour quelques jours à la suite du démantèlement du campement propalestinien.

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Je peux comprendre les campus satellites en région, mais pas à Montréal qui comporte déjà plusieurs céceps. Le SRAM qui est l’organisme central qui gère les demandes d’admission des cégeps de la région métropolitaine regroupe 32 cégeps publics.

Le nombre de campus satellites dans le réseau collégial public du Québec a augmenté de 29 % dans la dernière décennie, selon une recension du Devoir. Un étalement qui a permis de faciliter l’accès aux études supérieures dans plusieurs régions, mais dont l’encadrement soulève des préoccupations.

En 1984, on comptait 6 campus satellites au Québec, parmi lesquels Le Devoir a inclus les centres d’études collégiales (CEC) et les campus secondaires, qui permettent à des cégeps d’étendre leur présence sur le territoire québécois. Ce nombre a depuis augmenté de façon constante, avant de s’accélérer dans la dernière décennie. On compte ainsi aujourd’hui 27 campus satellites au sein du réseau collégial public, et 11 parmi les collèges privés subventionnés.

Selon la carte du site Pygma, il y a 26 établissements de niveau collégial sur l’île de Montréal. La carte exclut les satellites

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En ajoutant les régions administratives de Laval et de la Montérégie, il y a 39 établissements!

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Dépenser gros pour s’installer dans des secteurs saturés pour bien souvent n’offrir rien d’autre que les même programmes que les établissements locaux, et ensuite dire que le problème c’est le sous-investissement du gouvernement et aucunement les mauvaises décisions des CA. :saluting_face:

Merci au Devoir qui semble être le seul média majeur à s’intéresser au sujet.

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UQTR: notre campus phare est nul! Personne veux venir étudier ici!

Aussi UQTR: dépense des centaines de millions pour s’établir au centre ville de TR, Drummondville, Longueuil, Montreal, Terrebonne et Quebec, même si personne veux étudier dans un bureau avec du branding UQTR.

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Centre ville de TR et Drummondville ça passe; dans le cas de Drummond c’est un gain clair pour l’accessibilité aux études supérieures, et dans le cas de TR c’est un petit 2-3 km « à domicile », avec une offre spécialisée et complémentaire au site principal, à la limite c’est come une agrandissement du campus principal.

Par contre leurs campus dans le grand Montréal et Québec :person_facepalming: