Le maire de Verdun ne se représentera pas aux prochaines élections
Intéressant.
Toutefois selon des informations que j’ai eu de contacts près de lui…il est resté amer de sa course face à Valérie en 2016. (Défaite par 72 voix).
Amer dans le sens que QS s’est impliqué dans la campagne et lui a collé une étiquette de droite…ce qu’il n’est pas…
Il était effectivement un peu moins à gauche que Mme Plante et Luc Ferrandez mais selon ses propres dire…Qs ont hijacke la campagne et l’ont lancé sous l’autobus.
Je continue de penser que ces fameux 72 votes ont changé le destin de Mtl à certains égards. Il aurait été tout un maire!!
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Qu’est-ce que Projet Montréal vont présenter vous croyez comme programme électoral ? En fait, quand verrons nous les oppositions se former plus sérieusement et chaque partis présenter ses idées ?
Je n’ai jamais vraiment suivis les élections municipales dans le passé donc je suis un peu curieux du Timeline. Beaucoup de buzz sur Coderre mais sinon… la sphère médiatique c’est encore pas mal juste COVID.
Coderre like et retweet les publications de Guillaume Lavoie dernièrement, ce qu’il ne faisait pas auparavant. Peut être que c’est un signe que quelque chose se prepare.
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Je ne le connais pas, ni aucune personne dans son entourage. Je ne fais qu’émettre une hypothèse.
Par contre, j’ai aussi entendu parler de “l’ingérence” de QS dans le parti. Ça vaut ce que ça vaut. Je trouve que Valérie Plante fait un excellent travail, et je ne vois pas la signature de QS dans toutes ses actions. Rappelons nous que le municipal montréalais a toujours été plus à gauche (même sous Coderre ou Tremblay).
Prenons le sujet le plus polarisant du siècle: Les pistes cyclables. C’est sous Denis Coderre que le réseau cyclable s’est mis à se développer rapidement. Valérie Plante a continué sur la même lancée. La seule différence, c’est le REV.
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PM est fortement influencé par QS et par le NPD, mais l’entourage de Valérie Plante provenait principalement du NPD au départ. Mais bon, ce sont des vases communicants à bien des égards ces partis à Montréal.
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Je ne suis vraiment pas d’accord.
C’était sous Gérald Tremblay que le développement du réseau cyclable s’est accéléré et structuré. Sous Coderre, ça a a ralenti. (surtout des bandes cyclables peinturées ici et là dans les racoins)
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Si tu es assez motivé pour militer pour un parti municipal, il y a de fortes chances que tu t’intéresses également à la politique provinciale et fédérale. C’est normal pour tout le monde, mais ça semble être un problème ou un reproche pour les partis de gauche.
Pour en nommer quelques-uns: Coderre vient du Parti Libéral de Jean Chrétien et Paul Martin, Tremblay du Parti Libéral de Robert Bourassa. Louise Harel était au PQ et Marcel Côté a travaillé pour les conservateurs de Mulroney et les libéraux de Bourassa. Félix-Antoine Joli-Cœur a travaillé pour le PQ au cabinet de Marois.
On n’est pas si nombreux à Montréal. Ça me parait normal que le monde du militantisme se côtoient!
RIP Vrai Changement:
Le parti n’a pas pu trouver un candidat à la mairie au final. De l’intérêt, mais rien ne s’est concrétisé.
Selon la dernière Newletter de PM, le programme devrait être présenté aux membres lors du congrès en avril. Je suis encore indécise sur le renouvellement de mon membership…
L’intérêt de Coderre est d’attendre le meilleur moment possible avant d’entrer en campagne, donc plus tard que plus tôt. Tant qu’il reste en coulisse, il contrôle sont propre message et paradoxalement entretient le suspense à son égard. En d’autres mots il ne perd rien à attendre, bien au contraire. Pendant ce temps il demeure intouchable et prive les concurrents potentiels d’angles d’attaque. Une tactique longtemps éprouvée et qui est encore très efficace de nos jours.
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Dans le Devoir
Le maire de Verdun ne sollicitera pas un autre mandat cet automne
Photo: Pedro Ruiz Archives Le Devoir Le maire de Verdun, Jean-François Parenteau
Jeanne Corriveau
15 mars 2021
Après mûre réflexion, le maire de Verdun, Jean-François Parenteau, a annoncé lundi matin qu’il ne solliciterait pas un autre mandat lors des élections de novembre prochain. L’élu a évoqué la fatigue ressentie après deux mandats pour justifier sa décision, mais aussi « les attaques personnelles et les commentaires gratuits » sur les réseaux sociaux.
Jean-François Parenteau était en réflexion depuis quelques mois. Dans un message publié sur sa page Facebook lundi, il explique qu’un certain épuisement a eu raison de son envie de solliciter un troisième mandat. « Après huit années d’implication totale, je porte maintenant une très grande fatigue. S’ensuit une perte d’énergie que je n’arrive pas à récupérer et qui me fragilise sur des aspects personnels. Il est important d’écouter les messages que notre corps nous envoie », a-t-il écrit dans son message.
L’élu signale aussi que la pandémie a entraîné des changements de comportement sur les réseaux sociaux et qu’il a eu de plus en plus de difficulté à composer avec les commentaires désobligeants. « Même si je crois que la majorité des personnes font la part des choses, les attaques personnelles et les commentaires gratuits, de plus en plus présents, ont fini par m’atteindre », dit-il.
En entrevue, il signale que les comportements agressifs dans les médias sociaux ont pris de l’ampleur dans le monde municipal. « On est un peu le paratonnerre des doléances. Ça n’a plus de commune mesure. C’est rendu que les gens n’ont plus de filtre. C’est comme des discussions de ruelles, dit-il. À un moment donné, tu te dis que tu as autre chose à faire et que tu n’es pas obligé de subir ça. »
En janvier, devant l’ampleur du problème, l’Union des municipalités du Québec avait lancé une campagne de sensibilisation pour contrer le phénomène, qui risque d’inciter des candidats potentiels à renoncer à se lancer en politique lors des élections de novembre prochain. Selon M. Parenteau, il faudra assainir l’environnement social. « Je commencerais par interdire les faux comptes et les comptes anonymes », indique-t-il.
Le maire Parenteau entend donc faire une pause au terme de son mandat, ce qui lui permettra de renouer avec sa famille et ses proches, indique-t-il. Pour l’instant, il n’a pas de plan précis pour son après-mandat. « C’est vraiment un saut dans le vide. Je verrai pour la suite. La première chose que je veux faire, c’est me reposer et laisser la poussière redescendre. » Il n’a aucune intention de faire le saut en politique provinciale ou fédérale.
Sur Twitter, la mairesse Valérie Plante a salué son dévouement et son « travail acharné ».
Élu en 2013 à la mairie de l’arrondissement de Verdun avec l’équipe Denis Coderre, Jean-François Parenteau avait été réélu en 2017 alors que Projet Montréal prenait le pouvoir à l’hôtel de ville. Peu après sa victoire, Valérie Plante avait nommé M. Parenteau responsable des services aux citoyens, de l’approvisionnement et de l’environnement au comité exécutif. Le maire de Verdun avait alors quitté son parti pour siéger comme indépendant.
Avant de se faire élire en 2013, Jean-François Parenteau dirigeait la boutique orthopédique L’Autonome, spécialisée dans les services de maintien à domicile. Il œuvrait également dans le domaine immobilier.
Ce n’était pas du tout une critique. C’est normal que des partis aux affinités similaires se rejoignent… En fait dans la plupart des pays occidentaux les partis nationaux ont des ailes municipales. Le militantisme se voit à tous les paliers de gouvernement, encore plus dans une grande ville comme Montréal. On pourrait nommer encore plus de personnes qui se sont promenées entre les paliers. Frantz Benjamin, Elsie Lefebvre, Mélanie Joly… les exemples ne manquent pas.
Pour ce qui est de QS et PM, le “reproche” est plus une tentative de démoniser Projet Montréal en affirmant que c’est l’extrême gauche qui mène le parti. Comme je disais, ça vaut ce que ça vaut… D’abord, si des saillies de trottoir et des pistes cyclables c’est l’extrême gauche, appelez moi Lénine. Ensuite, c’est le genre d’argument qui ignore totalement la diversité des idéologies à l’intérieur même de QS.
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La diversité des partis est un gage de saine démocratie et un véhicule pour pluralité des idées.
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Désolé je t’ai cité pour mettre en contexte mon commentaire, mais je ne m’adressais pas directement à toi. Je ferais attention ce n’est pas la première fois que ça m’arrive! On est pas mal du même avis sur la question.
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N’oublions pas que l’administration Coderre a coupé dans le budget de la STM, qui a dû couper à son tour dans ses opérations. On a vu les stations perdre des changeurs, le nettoyage fait moins souvent, les services de bus et métro ont été réduits. Pour la première fois en plus d’une décennie de croissance d’achalandage, le nombre de passagers a diminué suite à ces coupes… et c’est pas parce que la demande était pas là.
À ce moment là, l’entassement dans le métro a vraiment empiré. Et on en ressentait les séquelles jusqu’au jour du confinement : la STM s’est rattrapée un peu depuis, mais les dégâts se font encore sentir au niveau de la qualité du service parfois.
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Sur le compte Twitter du journaliste Thomas Gerbet
« Denis Coderre dévoile la couverture de son livre à paraître le 31 mars : « Retrouver Montréal ». Le titre et le texte de 4e de couverture laissent peu de place au doute sur ses intentions, à 7 mois des élections municipales »
J’aurais quand même trouvé plus intéressant de séparer son livre de ses visées pour une élection précise. Ça rend l’œuvre moins intemporel et pertinente, en tant que regard sur la ville.
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Je suis d’accord, je trouve le timing un peu bizarre.
Élections municipales Ali Nestor ferme la porte à une candidature
PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE | Mercredi, en entrevue téléphonique, Ali Nestor a exclu toute possibilité de se présenter.
Le boxeur et organisateur communautaire Ali Nestor a fermé la porte à une candidature en politique municipale, mercredi, après avoir été pressenti comme candidat aux côtés de son ami Denis Coderre.
Publié le 17 mars 2021 à 11h16 | PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD | LA PRESSE
La semaine précédente, il laissait planer le suspense sur son avenir, affirmant qu’il pourrait se lancer « si la population de [son] arrondissement [lui] demande d’y aller ». Les informations de La Presse indiquait qu’il figurait dans les plans de l’entourage de M. Coderre pour un siège de conseiller municipal dans Villeray – Saint-Michel – Parc-Extension.
Mais mercredi, en entrevue téléphonique, M. Nestor a exclu toute possibilité de se présenter.
« Le lendemain [de la publication de l’article], les gens ont commencé à penser que je me présentais, que je laissais tomber mon organisme : des parents, des jeunes [le pensaient]. Donc, il fallait que je sois clair », a affirmé M. Nestor. « À ce moment-ci, la porte est complètement fermée. »
M. Nestor avait déjà confirmé ce changement de cap au Journal de Montréal vendredi.
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