Montréal - Politique municipale

Je ne suis pas d’accord avec vous, on ne devrait pas obliger quelqu’un à rester dans un poste gouvernemental s’il n’a ni la volonté ni le désir de servir. C’est une pratique courante à tous les niveaux de gouvernement que lorsqu’un individu perd, il se retire pour que quelqu’un d’autre prenne le règne.

La gouvernance des partis politiques devrait être laissée à leurs membres, après tout, ce sont des entités privées. S’ils veulent une règle qui oblige un candidat à servir un mandat minimum après les élections, il devrait leur appartenir de voter sur la règle dans leur parti.

On n’a pas besoin d’un individu en particulier pour assurer une forte opposition. Il y a déjà des gens prêts à prendre le relève si Coderre ou Plante quittent leurs partis respectifs. Pensez-vous que Lionel Perez a fait un mauvais travail?

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Tu as raison sur le fond. Le problème ici, c’est que ça ressemble trop à ce qu’on reproche, avec raison, à Coderre en général. ‘‘C’est un one-man show’’, ‘‘il est là pour sa personne d’abord et juste pour le pouvoir’’, etc. Tout ça joue contre lui, surtout quand il quitte le navire en train de couler (politiquement et financièrement), pour revenir juste avant les élections. D’ailleurs, chez Ensemble Mtl, l’appréciation de son retour est loin d’avoir fait l’unanimité parmi les élus en place, à ce qu’on m’a dit.

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Mais ça, ça découle plus du fait que les partis municipaux au Québec et au Canada sont bien souvent l’affaire d’une personne. Dans beaucoup de pays, les partis municipaux sont les mêmes qu’aux autres paliers de gouvernement, ce qui leur confère une plus grande stabilité.

L’attitude de one-man show de Denis Coderre est déplorable, mais je ne considère pas que ça a causé tant de tort que ça dans les 4 dernières années.

Du tort à la population en générale, à son parti ou à lui? Pas de tord pour Montréal, c’est certain puisqu’il était absent de la sphère médiatique. Mais pour son parti, c’est tout autre.

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Oui :wink:

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Du tord à l’efficacité de l’opposition dans son travail. Je trouve que pas tant que ça, bien que je sois en total désaccord avec Lionel Perez, ce n’était pas si pire que ça. Ensemble Montréal aurait aussi pu se relever et trouver un chef de l’opposition vocal et fort qui se préparait pour l’élection de 2021.

Après tout, c’est ce que Stephen Harper et Jean Chrétien ont tous deux fait et ça a fonctionné.

Je me demandais bien quand un média allait en parler, c’était évident par ses médias sociaux… Gilbert Thibodeau flirte avec les thèses conspirationnistes:

Texte intégral

Mairie de Montréal Un candidat flirte avec des thèses conspirationnistes

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Gilbert Thibodeau, candidat à la mairie de Montréal et chef du parti Action Montréal

Candidat à la mairie de Montréal, Gilbert Thibodeau, chef du parti Action Montréal, a publié sur Twitter plusieurs messages laissant entrevoir une opposition aux mesures sanitaires et une sympathie pour des thèses conspirationnistes, mais il se défend d’adhérer à cette mouvance.

Publié le 30 mai 2021 à 5h00

Isabelle DucasISABELLE DUCAS
LA PRESSE

« CONTRÔLE DE LA POPULATION – Avec le temps – Le problème des “conspirationnistes’’ n’est pas qu’ils ont souvent tort, c’est plutôt qu’ils ont souvent raison, mais… un peu trop tôt ! », a écrit M. Thibodeau sur son compte Twitter le 8 avril.

« Je suis pro-choix – Concernant le vaccin ou le masque, les gens vulnérables savent ce qu’ils ont à faire, ils ne sont pas idiots. Pour les autres, le système immunitaire fait son travail. Que le gouvernement s’occupe du bordel qu’il a créé dans le système de santé et tout ira bien », a-t-il publié le 24 février.

Dès l’année dernière, le candidat à la mairie diffusait des messages similaires. « La COVID-19 est virulente, attaque sévèrement le système respiratoire humain, mais les gens se lassent un peu de la manipulation de masse. Solution : parlons d’une 2e vague à venir, une nouvelle souche encore plus virulente… de plus en plus ridicule », a-t-il écrit le 6 mai 2020.

D’autres messages de la même teneur ont été publiés au fil des mois.

« Contredire le consensus des scientifiques »

Gilbert Thibodeau enregistre aussi chaque semaine des vidéos, intitulées Le candidat et diffusées sur YouTube, dans lesquelles il aborde divers sujets politiques, dans un style qui rappelle celui de Jean-Luc Mongrain.

Les vidéos sont enregistrées dans les studios de Lux Média. Sous la fenêtre de diffusion de chaque épisode, on retrouve un avertissement : « Certains propos lors de cette émission pourraient contredire le consensus des scientifiques entourant la COVID-19. »

Suivent des liens pour soutenir financièrement Lux Média ainsi que la chaîne stu-dio.tv, en faisant un virement à André Pitre.

André Pitre, alias « Stu Pitt », est à la tête de Lux Média et du site stu-dio.tv, chaîne d’information alternative aujourd’hui bannie de YouTube, qui a largement propagé les thèses de QAnon. Ancien conférencier du groupe identitaire La Meute, André Pitre nie dans ses vidéos l’existence de la pandémie et assure que les dirigeants de la planète profitent de la COVID-19 pour contrôler la population. Il parle de « fascisme sanitaire » et qualifie François Legault de « premier psychopathe ».

Pas au courant

Questionné au sujet des messages apparaissant sous ses vidéos, Gilbert Thibodeau a répondu qu’il n’était pas au courant et qu’il ne connaissait pas les autres animateurs de la chaîne.

Quant à ses messages publiés sur Twitter, il assure qu’il ne faut pas y voir une contestation des mesures gouvernementales contre la COVID-19.

Ma position est claire : je respecte les mesures. J’ai mon masque, je suis pour la distanciation physique, je vais me faire vacciner, je fais ce que le gouvernement demande.

Gilbert Thibodeau

Le message dans lequel il affirme que les conspirationnistes ont raison faisait référence aux vaccins : ceux que l’on qualifie de conspirationnistes ont posé des questions sur la sécurité des vaccins, avant que l’on découvre qu’ils pouvaient effectivement poser certains dangers, soutient-il

« De toute façon, le mot conspirationniste est utilisé à toutes les sauces », déplore-t-il, en entrevue avec La Presse.

Contenu « complotiste »

Pour Marie-Ève Carignan, professeure à l’Université de Sherbrooke et directrice du pôle médias de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents, qui s’intéresse aux théories conspirationnistes, il ne fait aucun doute que les messages publiés sur Twitter par Gilbert Thibodeau s’opposent aux mesures sanitaires et au gouvernement, et mettent de l’avant de la pseudoscience.

Il partage du contenu qui, selon nos études à la chaire de recherche, peut être qualifié de complotiste.

Marie-Ève Carignan

« C’est inquiétant, parce que la position de candidat à la mairie peut lui donner une certaine crédibilité, une certaine autorité, qui peut influencer des gens à croire ses propos, qui sont de l’ordre de l’opinion et ne s’appuient sur aucune donnée scientifique, poursuit la spécialiste, qui s’est penchée sur le compte Twitter du candidat à notre demande. Par exemple, quand il affirme que le système immunitaire nous protège de la COVID-19 ou qu’il n’y a pas eu de deuxième vague, mais que ç’a été inventé pour nous convaincre du maintien des mesures sanitaires. »

Gilbert Thibodeau, homme d’affaires, a été candidat dans l’équipe de Denis Coderre à la mairie du Plateau-Mont-Royal en 2013, puis candidat indépendant à la mairie de Montréal en 2017 ; il a alors obtenu 1669 votes (0,35 %).

En vue des élections de 2021, il a fondé son propre parti, Action Montréal, pour se lancer dans la course à la mairie.

Il promet notamment de réduire le nombre d’élus municipaux, le nombre de fonctionnaires municipaux et le nombre de comités du conseil municipal.

Il propose aussi de rembourser la taxe de mutation immobilière (« taxe de bienvenue ») aux acheteurs d’une première propriété, et de leur remettre un chèque de 5000 $, pour endiguer l’exode des jeunes familles vers les banlieues.

M. Thibodeau déplore le fait que les médias présentent la course à la mairie de Montréal comme une lutte entre deux candidats, Valérie Plante et Denis Coderre, alors que cinq autres personnes ont fait connaître leur intention de briguer le poste de maire.

Dans un autre registre, le Journal de Montréal nous montre Denis Coderre qui regarde son cellulaire au volant et Valérie Plante qui est dans un trop gros groupe sur une terrasse. Les vrais enjeux.

https://www.journaldemontreal.com/2021/05/30/denis-coderre-surprit-avec-son-cell-au-volant

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Les mensonges de Denis Coderre

Je ne crois pas Denis Coderre quand il dit qu’il ne textait pas, sur cette photo floue prise à son insu, derrière son volant. Ma conviction a moins à voir avec ce qu’on aperçoit sur l’image qu’avec l’expérience du passé, quand le politicien s’est retrouvé dans le pétrin.

Publié le 2 juin 2021 à 6h00

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Patrick Lagacé Patrick Lagacé
La Presse

Mais avant de parler de la relation historiquement difficile de Denis Coderre avec la vérité, je vais vous dire ce que je pense de la scène captée par un citoyen, sur Robert-Bourassa, il y a quelques jours…

Texter au volant quand le véhicule est en marche, c’est hyper dangereux. C’est pourquoi la loi est si dure : tu touches à ton téléphone, t’es en infraction, point final. Même règle que le véhicule soit en marche ou qu’il soit immobilisé, à un feu rouge ou dans un bouchon de circulation.

PHOTO TIRÉE DU SITE DU JOURNAL DE MONTRÉAL

Denis Coderre tenant son cellulaire au volant

Beaucoup de Québécois se font prendre : ils vérifient furtivement leurs messages, à la faveur de cet arrêt. Boum, ticket. Ça m’est arrivé il y a quelques années.

Bref, Denis Coderre a fait ce que beaucoup de Québécois ont fait, convaincus qu’étant à l’arrêt, c’est « moins dangereux » de toucher à leur téléphone. Mais Denis Coderre s’entête et nous sort des explications aussi détaillées qu’invraisemblables sur le manque de fiabilité d’un socle de téléphone intelligent dans un habitacle automobile…

S’il avait admis l’erreur rapidement, on n’en aurait pas parlé hier. Je n’en parlerais pas ce matin.

Non, ce qui vaut à Denis Coderre d’être encore dans les manchettes pour cette histoire, c’est son entêtement à ne pas reconnaître l’évidence, c’est sa combativité ridicule quand il a dû s’expliquer, par exemple chez Paul Larocque de LCN, lundi : le vieux Denis cassant des dernières années de mairie ressemblait à s’y méprendre au Denis 2.0 supposément tricoté avec des arcs-en-ciel…

Notez ici que je m’en fous que Denis Coderre soit sanguin, qu’il se fâche avec les journalistes (à micro ouvert ou fermé) ou avec « son » chef de police, comme il l’a fait jadis. Je trouve juste exaspérante cette campagne de marketing qui essaie de nous faire croire que l’ex-maire est un homme radicalement nouveau.

Revenons aux mensonges, donc.

Pour comprendre le rapport complexe de l’ex-maire avec la vérité, il faut remonter très loin dans le temps, en 1997. Denis Coderre est député fédéral. Il traverse une passe difficile dans sa vie personnelle. Un ami, Claude Boulay, lui offre de l’héberger à son condo de L’Île-des-Sœurs. Denis Coderre accepte le gîte.

Mais Claude Boulay n’est pas n’importe quel « ami » de Denis Coderre. C’est aussi un important publicitaire québécois, qui a des contrats avec le gouvernement fédéral… dont Denis Coderre est député.

Trois ans plus tard, Denis Coderre se fait demander par le journaliste Daniel Leblanc, du Globe and Mail (1), s’il a déjà résidé au condo de Claude Boulay, à L’Île-des-Sœurs. Boulay est alors dans la ligne de mire d’enquêtes journalistiques qui vont former ce qui n’était alors pas encore le scandale des commandites.

Réponse de Denis Coderre : non, non, non !

C’était un mensonge.

Le député a fini par corriger sa version, en 2002, en mettant beaucoup, beaucoup l’accent sur sa vie privée et sur le moment difficile qu’il traversait à ce moment-là.

Avancez le curseur à l’année 2012. Denis Coderre est encore député de Bourassa. Mais il s’est fait une nouvelle image dans les dernières années – grâce à Facebook, peu utilisé par les politiciens à l’époque ; grâce à des présences médiatiques sympathiques –, l’image d’un politicien moins cassant, très affable, salut, mon chum…

Cette transformation lui avait valu d’être regardé de façon neuve par le public et par les médias. J’étais du lot. Moi qui l’avais 100 fois critiqué depuis 2003, voilà que je tombais sous son considérable charme…

Et son image refaite, le voilà qui reluquait la mairie de Montréal…

En juin 2012, j’ai écrit que Denis Coderre (2) avait payé lui-même les frais de son jadis célèbre bras de fer judiciaire avec le hockeyeur professionnel Shane Doan. Les deux hommes s’étaient autopoursuivis sur fond de commentaires francophobes de Doan.

Denis Coderre m’avait dit aux Francs-tireurs en 2010 qu’il avait payé « de sa poche » les frais liés à cette poursuite (3). Il me l’avait reconfirmé en 2012. Je l’avais écrit dans La Presse.

C’était faux. Denis Coderre m’avait menti.

On l’a su plus tard, en avril 2017, quand Le Journal de Montréal a révélé qu’un ami de Denis Coderre, l’homme d’affaires Jean Rizzuto, lui avait fait un chèque de 25 000 $ pour payer ses avocats dans l’affaire Doan, en 2012…

Or, quand Le Journal (4) l’a contacté pour s’enquérir de l’existence du chèque, Denis Coderre a nié avoir jamais reçu un chèque de son ami Jean Rizzuto…

Petit hic : Le Journal avait une copie du chèque en question ! Là, la version de Denis Coderre a changé…

Mais tout de suite, il a recadré le débat : tout ça est plus large que sa personne – et son mensonge –, s’est-il empressé de spinner : son bras de fer avec Doan était un combat pour la langue française, « alors M. Rizzuto m’a aidé, parce qu’il croyait à cette cause »… Ce qui n’avait rien à voir.

Même mécanique de diversion dans l’affaire du cellulaire au feu rouge : Denis Coderre s’empêtre dans des explications invraisemblables et, pouf, s’empresse de recadrer le débat : va-t-on commencer à photographier les politiciens comme ça ? s’émeut-il, le tribunal populaire va empêcher du bon monde de se porter candidat !

Bref, je regarde M. Coderre se dépatouiller dans son histoire de cellulaire manipulé à un feu rouge et c’est l’évidence : le nouveau Denis est pareil comme l’ancien Denis, toujours aussi tenté par les mensonges, pour se sortir du pétrin ou faire briller sa statue… Il étire ainsi son supplice.

Je l’écrivais en novembre 2017 (5) : je ne sais jamais si je peux croire Denis Coderre, car il a si souvent lancé des explications qui, dans le passé, ont fini par s’avérer mensongères…

C’est pour ça que je ne crois pas aux explications de Denis Coderre sur son cellulaire.

(1) Lisez « Minister changes story on condo stay » (2) Lisez « L’insubmersible Denis Coderre » (3) Lisez « Denis Coderre disait payer de sa poche… » (4) Lisez « Un don de 25 000 $ intéresse les policiers » (5) Lisez « Vroum-vroum, pas de vos affaires »

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Valérie Plante s’est fait prendre à 4 sur une terrasse. Elle a reconnu son erreur, elle s’est excusée, et on n’en parlera plus jamais. Elle a commis une faute, et c’est sans incidence.

Coderre aurait facilement pu s’expliquer et s’excuser. Il réorientait son trajet sur Google Maps. Il venait de recevoir 35 notifications et voulait s’avoir s’il n’y avait pas une urgence. Ça reste une erreur, mais franchement, tout le monde en fait de temps en temps. À la place, une erreur assez banale occupe tout l’espace médiatique, et ressort des articles comme celui de Lagacé, qui lui remet des mensonges en pleine face.

C’était tellement facile à éviter, ça aurait pu même jouer en sa faveur du « j’ai changé » et montré de l’humilité et une reconnaissance de ses erreurs.

Je ne comprends pas pourquoi tomber dans un piège si grossier.

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Pas de nouveau mandat pour Cathy Wong


PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE
Cathy Wong a été élue en 2017 sous la bannière d’Équipe Denis Coderre, mais a rapidement traversé la ligne de front pour rejoindre l’administration de Valérie Plante.

La responsable de la Diversité et du Français de l’administration Plante, la conseillère municipale Cathy Wong, ne sollicitera pas de nouveau mandat, a appris La Presse.

Publié le 2 juin 2021 à 9h25
PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
LA PRESSE

Mme Wong a été élue en 2017 sous la bannière d’Équipe Denis Coderre, mais a rapidement traversé la ligne de front pour rejoindre l’administration.

Elle a présidé le conseil municipal jusqu’à l’an dernier, avant d’intégrer le comité exécutif de la mairesse Plante.

« C’est avec beaucoup d’émotions et suite à une longue réflexion que je vous annonce ma décision de ne pas solliciter un nouveau mandat politique », a-t-elle écrit dans un message envoyé dans les dernières heures à ses alliés. « Aujourd’hui, je passe le flambeau à Daniel Tran, un résidant et citoyen engagé de Peter-McGill, qui briguera l’investiture de Projet Montréal dans notre district. »

L’annonce sera officiellement effectuée cet après-midi.

Mme Wong s’est fréquemment retrouvée aux premières lignes du débat public ces derniers mois, alors que la situation du français à Montréal et l’enjeu du racisme systémique faisaient les manchettes.

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Je le disais il n’y a pas longtemps. Il est un peu con et est entouré de cons qui devraient tous perdre leur job. C’est pas croyable de faire une erreur aussi bête.

« Ma femme ne se sentait pas bien quand je quittais la maison (ou whatever) et comme je recevais énormément de notifications je me suis inquiété et j’ai profité du feu rouge pour vérifier. Je m’excuse »

Il aurait pu rajouter :

« Par contre l’empressement de celui qui m’a filmé à commettre la même infraction que celle qui m’est aujourd’hui reprochée montre à quel point être politicien peut être difficile. Plante a reconnu son erreur ce qui est tout à son honneur et je reconnais la mienne »

FIN.

Bref où est ce que je peux déposer mon CV ?

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Sans compter que si c’était vraiment un téléphone tombé, la personne qui a pris la photo n’aurait même pas eu le temps de sortir son cellulaire pour prendre la photo. Clairement le (mauvais)-vieux Coderre est toujours présent. Come on, on voit les deux pouces sur l’écran.

Son empressement a se victimiser, alors qu’il n’a pas critiqué la personne qui a pris Valérie Plante en photo, est plutôt hypocrite.

Aussi, (sorry du mini-rant), une règle sanitaire qui prenait effet le jour-même, vs une loi datant de plusieurs années…

Il semble s’enfoncer, et honnêtement je ne m’en plains pas; j’étais prêt a lui donner une chance il y a quelque mois, mais plus maintenant. Juste dommage que les double-standards sont une fois de plus mis de l’avant…

/rant

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Parenthèse de même: je me considère quand même relativement bien informé, mais j’étais certain pendant quelques jours que la nouvelle règle était « deux personnes de deux ménages différents », donc un total de 4. Pas que ça n’excuse personne de ne pas suivre les règles, mais bon.

Pour ce que ça vaut, le Cult MTL a sorti ses listes de « Besf of MTL » selon le vote des lecteurs.

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D’après cette étude de très grande qualité, l’élection est pratiquement décidée d’avance!

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GSP at 5th for “Best Sports Personality”? Hasn’t he been retired for years?

I love that the “Best Neighbourhood” section only has 3 listed, it’s like the people in the Plateau who voted couldn’t think of anything else than the Mile End (obviously) and NDG.

You would think that a list that states that the Plateau as the “Best Neighbourhood” that Coderre wouldn’t even make the top 5 of “Best Politician”, so I guess this is good news for him :stuck_out_tongue_closed_eyes:

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Sadly a surprising amount of people don’t know more than 5 politicians, so he might be last in those people’s minds haha!

If you open the PDF, this list continues on the next page. There are 10 neighbourhoods listed

Best Neighbourhood
1 Plateau
2 Mile End
3 Notre-Dame-de-Grâce (NDG)
4 Verdun
5 Rosemont / Petite-Patrie
5 St-Henri
7 Little Italy
8 Hochelaga
9 Villeray
10 Pointe St-Charles

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Plateau avant Mile-End? Complètement faux. Tout le monde sait que le Mile-end est un condensé de toutes les bonnes choses du Plateau.

:stuck_out_tongue: