idk cuz brossard seems to have REM guards in the REM station and RTL guards in the bus terminal, so fairview will prob be the same but instead of RTL it’ll be STM
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Ce n’est pas à L’ARTM, ou à la STM de régler ce problème là. Comme cette discutions sur ce thread, c’est un problème qui s’est retrouvé dans le métro parce que c’est un problème sociétaire qu’on a trop longtemps ignoré, repoussé dans un coin sombre, ou refusé de prendre les mesures necessaire. C’est un sujet pour un autre thread, et d’autres instances gouvernementales. L’ARTM et la STM n’ont pas l’expertise pour régler ce problème, et au mieux, vont probablement se retrouver à déplacer le problème ailleurs en ville. Bref, la manière dont on traite les itinérants ressemble drôlement à un jeu de chaise musicale. Dans un ans, ça va être un autre coin de la ville qui va se plaindre du même problème si on ne s’attaque pas sérieusement au problème.
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Yeah, again I’m not saying it won’t be so, but a visit to the Fairview and Kirkland sites shows how much closer the bus loops and terminals are to the large overhead stations than the bus terminals are to the ground-level stations along the 10.
Je ne comprends pas l’argument. Êtes-vous en train de dire que ce n’est pas la responsabilité de la STM ou de l’ARTM de résoudre ce problème et donc ils devraient interdire le flanage dans le système (pour se concentrer sur ce dont ils sont responsables : le transport). Ou bien votre argument est-il que ce n’est pas la responsabilité de la STM et de l’ARTM de résoudre ce problème et qu’ils ne devraient donc pas interdire le flanage - parce que ce n’est pas leur job de l’interdire?
En fin de compte, c’est là l’argument. Ce n’est pas la STM qui résoudra l’itinérance, oui. Mais dans le fond ils pourraient soit traiter le système comme un refuge (conformément à l’idée selon laquelle toutes les agences gouvernementales devraient présenter la même vision quant a l’itinérance). Ou devraient-ils traiter le système comme du TEC : si vous n’êtes pas en transit, vous ne devriez pas y être dans les installations. On ne peut nier que plusieurs problèmes de sécurité dans le métro proviennent de la première méthode.
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Je n’adresse pas vraiment la question du flanage dans mon post précédent. Ce post signale surtout le fait que c’est un problème qui trouve ses origines ailleurs et qui a fini par déborder dans le métro. Pour répondre à ta question, interdire la flanage dans le métro me semble légitime et probablement désirable.
En ce qui concerne le reste de ton argument, est-ce que Hydro-Québec offrirait le même traitement aux itinérant si l’un d’entre eux, ou un groupe décidait de trouver refuge dans une salle mécanique, ou encore, de monter une tente à proximité d’un poste électrique? La réponse me semble assez claire. Pour des raisons de sécurité, la présence d’étinérants ne peut pas être permises à proximité d’instalations électriques, et particulièrement à proximité de poste haute tension.
C’est donc dire qu’il existe déjà une situation où différentes agences gouvernementales traitent l’itinérance de manière différente. Chaque agence a ses objectifs, et parfois, certains de ces objectifs vont à l’encontre de ceux d’une autre agence gouvernementale. C’est particulièrement le cas des agences qui s’occupent du dossier de l’environnement lorsqu’un nouveau projet majeur est proposé.
Comme j’ai dis dans l’autre post, “L’ARTM et la STM n’ont pas l’expertise pour régler ce problème, et au mieux, vont probablement se retrouver à déplacer le problème ailleurs en ville.” C’est donc dire que pour régler le problème, il va falloir s’addresser aux organismes qui ont l’expertise nécessaire pour gérer ce genre de situation. On ne peut pas tout simplement continuer à jouer le jeu de la chaise musicale. Il faut que les agences concerné trouvent une solution long terme, et qu’ils reçoivent le financement necessaires pour régler le problème une bonne fois pour toute.
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Petite correction, la STM offrira le même traitement si une personne non-autorisée (vulnérable ou non) se retrouve dans n’importe quelle de leurs équipements sécurisés (poste de contrôle, centre de contrôle, tunnels, garages, salles des employés, etc). C’est dans ses espaces publics qu’il devient plus délicat de retirer les personnes vulnérables. La même problématique se présente d’ailleurs dans les bibliothèques publiques.
Ta comparison HQ et STM est très boiteuse, car le public n’a pas accès sux salles mécaniques et postes électriques de HQ. À la base ce sont des lieux sécurisés à accès restreint.
Le metro , les autobus, le rem etc… sont des moyens de transport point. Ce ne sont pas des refuges.
Un jeune a été poignardé a mort par un itinérant dans le métro de Toronto . Ca suffit la tolérance. On a droit a etre en sécurité dans les transport public.
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okay, oui, mais on definit quoi comme espace publique? Un hôpital est techniquement public, dans le sens où n’importe qui peut y entrer. Il appartient également au gouvernement, donc au secteur public. Mais flâner dans un hôpital vous ferait rapidement expulser. Une fois que vous avez été agaçant bien sûr. La STM est une zone contrôlée, avec un ensemble de règles, ainsi qu’un but précis. Peut-on vraiment appeler cela le « domaine public » au même sens que le trottoir ? Déjà, si vous ne payez pas, vous n’êtes pas censé être là. En réalité, la seule chose publique dans le métro est le proprietaire.
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Le poste de ventilation sur Saint-Grégoire achève tranquillement. 3 sympathiques bancs sont installés en face.
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Je souhaite vous partager deux expériences désagréables dont j’ai été témoin dans le transport collectif récemment pour démontrer à quel point il est essentiel d’implanter une ligne texto rapidement. Oui, le transport collectif est encore sécuritaire à Montréal. Oui, je continuerai à prendre le transport collectif. Oui, ce n’est pas aux agences seules de s’occuper de tout ça. Mais le sentiment de sécurité diminue dans le réseau et ça, c’est un problème, surtout dans le contexte de reprise de l’achalandage.
Incidents
Train
Il y a deux semaines environ, j’attend le train exo à la gare Parc vers 20h. Le quai est mal éclairé et il y a un autre passager à l’autre bout complètement du quai. Soudainement, un homme, normal en toute apparence, vient me voir.
[Inconnu] - Where are you from?
[Moi] - From here, from Montreal. Are you looking for something?
[Inconnu] - You are very beautiful.
[Moi] - Uhhh thanks…?
Par chance, le train arrive à l’instant. J’embarque le plus rapidement possible. L’homme, lui, ne semble pas avoir embarqué. Je souhaite tout de même signaler l’incident immédiatement à exo pour que de la sécurité puisse venir faire un tour de la gare Parc pour s’assurer que d’autres usagers ne se fasse pas incommoder par cet inconnu. Dans des situations de « comportement déplacé », le site d’exo recommande de contacter le service à la clientèle, qui est fermé à cette heure là. Oups!
Le lendemain matin, j’appelle donc le service à la clientèle pour leur demander quoi faire dans une situation similaire dans le futur. On me répond qu’il faut que j’appelle le 911 et que c’est la seule option. Aucune empathie ou excuse pour la situation que j’ai subite. Je sais que ce n’est pas la responsabilité du service à la clientèle, mais un simple « nous sommes désolés d’apprendre que vous avez été victime de cela sur notre réseau » aurait été apprécié.
Métro
Aujourd’hui, aux alentours de 20h30 à la station Place-des-Arts, je vois un employé de la STM qui tente de venir en aide à un itinérant apparemment intoxiqué, pour ensuite se faire crier dessus et se faire lancer une botte dessus par l’itinérant. Devant la scène, ayant peur pour l’employé et les autres usagers, je décide de tenter de signaler la situation à la STM. Je vais sur le site de la STM, je trouve le formulaire caché dans un menu, je remplis tous les champs obligatoires qui comprennent nom, prénom, numéro de téléphone, courriel, heure, etc. 2-3 minutes plus tard, j’envoie le signalement. Pendant ce temps là, l’employé quitte les lieux pour, j’imagine, se mettre en sécurité, et l’itinérant en question et d’autres itinérants se mettent à crier dans la station. Je quitte rapidement la station via la sortie la plus proche.
Constats
Dans le transport collectif de la région de Montréal, il n’existe aucun moyen discret et rapide de signaler une situation inquiétante. Les manières actuelles sont soient trop longues et compliquées (formulaire STM) ou inadéquate (911 pour rapporter un comportement douteux et inapproprié, mais qui ne nécessite pas les pompiers dans la prochaine minute). À mon avis, il n’existe pas seulement un problème grandissant de sécurité, mais il existe aussi un problème de perception de la sécurité dans le réseau. On a bien beau ajouter des ressources (qui sont nécessaires), mais il faut que l’usager soit capable de communiquer avec les secours. Qui n’a pas déjà été dans un wagon de métro où un usager avait un comportement inquiétant, mais qui ne voulait pas utiliser l’intercom par peur de se faire juger? C’est là, à mon avis, où une ligne texto prend tout son sens. Et dans un monde idéal, une seule ligne texto pour tous les opérateurs sous la gouverne de l’ARTM serait encore plus géniale.
Ailleurs
À Vancouver, cela fait des années qu’un tel système est en place. Il y a même des barres silencieuses dans les trains pour demander de l’aide anonymement. À Toronto, ça fait environ 1 an qu’il y a une ligne texto. Calgary et Edmonton en ont aussi. Une ligne texto ne règle pas tous les problèmes, mais c’est un outil dans la boite à outils.
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Ça me rappelle l’individu qui prêche “la bonne parole” au métro Atwater mais avec une pancarte haineuse contre l’avortement et la communauté LBGT. Appeler la STM prend une éternité et appeler le 911 c’est de l’overkill. Il faut une solution rapide pour des “petits” problèmes.
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Comme aujourd’hui, où il y avait 5 sans-abri devant l’entrée rue Saint-Laurent du métro Place D’Armes, avec un homme qui marchait ici et la bloquant pratiquement les portes. Pendant tout ce temps, il criait des insultes en tenant une pipe. ok, J’ai pu le contourner, mais il m’a suivi à travers la station, a sauté la barriere et est allé sur le quai. Je suppose que cette personne n’est pas passée du cri au calme une fois dans le train. Ou encore les gens qui fument des cigarettes sans arrêt sur les bancs de Guy-Concordia. Ce n’est évidemment pas une infraction au 911. Mais c’est aussi quelque chose qui susciterait un « et pis?» de la part de l’employé de la STM à la billetterie. Vous vous sentez complètement idiot de prendre la peine de vous plaindre lorsque les gens enfreignent les règles et fait un environnement désagréable alors qu’il n’y a aucune conséquence. Pas même un suivi de la part de la STM.
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Bullshit absolu, je viens de suisse et l’idée du “flanage” comme un délit est totalement étrangère.
Et au contraire d’ici les gares sont intégralement pensées comme des espaces publics, y compris les quais.
Faut arrêter le fantasme avec l’étranger qui serait tout propre et parfait.
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Bullshit a ouin. J’ai manquer mon tgv direction amsterdam a la gare du nord a Paris.Et j’était assis sur un banc dans la gare. Un gars de la sécurité est venu me voir pour me dire de sortir que je ne pouvait rester la.
Juste le fait d’utiliser des toilettes dans un bar ou un restaurant a madrid sans avoir consommé est tres mal vue . Toute ma famille paternel habite la-bas.
Dans le jardin des tuleries a paris pres du louvre une dame faisait la manche et demanďait de l’argent ca n’a pas pris de temps qu’un agent de police lui a dit de circuler.
La suisse d’ou tu vient peut etre pas une ville de la meme dimension que Montreal. lQuoique qu’a Zurich en si je ne me trompe on avait eu dans le passé une mauvaiss experience en permettant la consommation de drogue dans le parc Platzspitz.
La formulaire en ligne pour la STM que tu as rempli c’est pour des enjeux de sécurité non urgents, par exemple des luminaires que ne fonctionne pas et la station est sombre.
Dans ces situations là, c’est mieux d’utiliser la téléphone d’urgence dans la niche Assistance. Ils peuvent envoyer alors les constables rapidement puisque ce téléphone est relié au centre de contrôle. Par fois, ce téléphone ce trouve également près du loge, comme à Beaudry.
Ce que les gens ne comprennent pas c’est que la niche assistance, même sur le quai, c’est pas juste pour les incidents sur le quai, mais les incidents en station, comme tu as vécu.
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J’étais à Berri UQAM vers 12h30 quand on nous a demandé d’évacuer la station. Le service a été suspendu sur les 3 lignes… Il y a quelque chose qui m’a pris à la gorge j’imagine que c’est la raison pour laquelle on a dû évacuer mais avez vous plus d’info?
the stm is conducting a survey regarding the incident that affected 3 lines. idk why they would do it now but if it can be of any use, why not.
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Bravo “champions”!