Métro - Discussion générale

Je viens de voir ça sur un serveur Discord.




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EDIT

Combien de reportage de la presse qui dit qu’on devrait tuer le métro? 0 combien de temps que le metro as été “offline”: 1h:30…

Si c’étais le rem, on aurait eu 10 + reportage sur cette événement.

Porte palière QUAND???

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Une panne de plus d’une heure sur la ligne verte du métro | TVA Nouvelles

Platform screen doors though, amirite

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Bien des articles comme celui-ci, y’en a plein Filyx.

Métro de Montréal | Le champion mondial des pannes causées par les usagers | La Presse, Publié le 22 février

Parmi les métropoles comparables dans le monde, la société de transport est l’une des seules à ne pas disposer d’un système de portes palières, soit des portes automatiques le long des quais, empêchant des accidents ou des suicides. « On est une espèce en voie de disparition », illustre le conseiller corporatif en relations gouvernementales du transporteur, Simon Carreau, en entrevue.

"On sait que tout le monde en voudrait, des portes palières. Mais c’est une question de priorisation. Il faut d’abord assurer la bonne santé des infrastructures existantes. "

Simon Carreau, conseiller corporatif en relations gouvernementales à la STM

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La future oeuvre au métro Outremont

[Art public :art::sparkles:] Dans le cadre des travaux de modernisation et de mise en accessibilité de la station Outremont, un jury a retenu la proposition de l’artiste Josée Pedneault qui créera STRATES, une photogravure sur aluminium évoquant le patrimoine paysager du quartier.

La réalisation de cette œuvre s’inscrit dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics (politique du 1 %).

Source: Compte X de la STM

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j’espères que les prochaines œuvres vont ressembler a ca

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Le titre!
Intervention divine de Jesus !


Source : https://twitter.com/jacouzi/status/1773462580079579624/

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Mouais… Disons que personnellement, je suis baptisé non-pratiquant comme beaucoup d’autres de ma génération.

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One of the best images I’ve seen this year.:joy::joy:

The orange line is down again, this time on the other side. This could be prevented with platform screen doors, but people will instead focus on the REM’s outages

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Mini-dossier (2 articles) sur les constables spéciaux et le SPVM dans le métro publié ce matin dans La Presse

Article sur l’insécurité dans le métro publié dans La Presse ce matin

À ses yeux, la vraie solution n’est pas simple et implique plusieurs ordres de gouvernement, mais elle est pourtant la plus forte : « il faut accélérer le développement de logements sociaux et abordables, point à la ligne. »

C’est la même chose pour l’itinérance de façon générale : si le réseau du métro devient souvent un refuge, c’est parce que dans plusieurs secteurs, ces gens-là n’ont pas d’autre endroit où aller. Si on offrait plus de services, on n’en serait pas là »

Et le gouvernement a refusé de réinvestir dans les logements sociaux dans le dernier budget. La STM doit lutter contre un problème qu’on se refuse d’attaquer. Que le logement ne soit pas une priorité d’infrastructure est absurde.

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Dans l’article on dit: « Il faut trouver la fine ligne entre répression et entraide. »

Malheureusement, si l’argent n’est pas au rendez-vous pour l’entraide, seule la répression demeure comme option.

Lorsqu’il y a violence, ca doit être tolérance ZÉRO.

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Je suis complètement d’accord. Je ne pense pas qu’il existe vraiment une tolérance envers la violence cependant, selon le reportage. Les constables portent des accusations dans ces cas. Il y a vraiment une gradation des mesures, avec des interventions à tous les niveaux.

C’est toujours possible d’avoir des ajustements à faire à ce niveau cependant, il y a une notion de jugement dans les interventions. Personnellement je pense que c’est évident que la limite est bel et bien atteinte quand la sécurité des gens est entachée.

Mais la répression sera toujours une réaction à la violence. Si celle-ci se crée constamment, la police sera toujours en train de courir après les criminels. Ce n’est pas soutenable. J’ai de la misère à dire que c’est une solution. C’est une rustine je dirais. On ne peut tout simplement par arriver à une solution au problème de cet angle, le mieux qu’on peut espérer, c’est limiter les dégâts. Et éventuellement on va manquer de ressource. Quand le bateau prend l’eau, on ne peut pas mettre tout l’équipage à vider la cale avec des seaux, il en faut quelques-uns qui s’occupent des fuites.

#PortesPallieresNow

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Voies de fait, personnes en crise et consommation de drogues de plus en plus nocives : un cocktail dangereux qui fait peur aux usagers de la STM. Alors que l’été arrive, l’insécurité dans le réseau de transport est au cœur des préoccupations du SPVM, ont pu constater la mairesse de Montréal et d’autres élus municipaux, le temps d’une visite dans le métro à laquelle a assisté La Presse.

Résumé

Métro de Montréal La mairesse en virée pour constater l’insécurité

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

La commandante de la Section du métro au SPVM, Joanne Matte, et la mairesse Valérie Plante, mercredi, dans le métro de Montréal

Voies de fait, personnes en crise et consommation de drogues de plus en plus nocives : un cocktail dangereux qui fait peur aux usagers de la STM. Alors que l’été arrive, l’insécurité dans le réseau de transport est au cœur des préoccupations du SPVM, ont pu constater la mairesse de Montréal et d’autres élus municipaux, le temps d’une visite dans le métro à laquelle a assisté La Presse.

Publié à 1h15 Mis à jour à 5h00

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Mayssa Ferah
Mayssa Ferah La Presse

Mercredi matin se tient une discussion animée entre la mairesse de la métropole, des effectifs de la Section du métro du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et une poignée d’élus municipaux au poste de quartier situé près de la station Berri-UQAM.

La mairesse va droit au but. « Qu’est-ce qui explique ce sentiment d’insécurité là en ce moment ? », demande-t-elle à Joanne Matte, commandante de la Section du métro au SPVM.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Intervention de policiers du SPVM à la station Beaudry, mercredi

« Le métro a toujours été un endroit où souvent des personnes vulnérables vont aller quêter, par exemple », poursuit Valérie Plante.

Il y a entre autres eu une hausse de l’itinérance, des dépendances aussi, durant la pandémie, selon la commandante.

Mais il ne s’agit plus seulement de sans-abri. On remarque des gens aux prises avec des troubles de santé mentale. Certains sont devenus au fil du temps des consommateurs. Les édicules sont des lieux de consommation, mais aussi de vente de stupéfiants, rappelle la commandante.

« C’est pourquoi la Section du métro du SPVM a changé d’approche en novembre dernier. On a dégagé les policiers des appels d’urgence, qu’on a redonnés aux postes de quartier. Une nouvelle stratégie qui permet d’enquêter, par exemple, sur le trafic de stupéfiants dans le métro, générateur de bien des fléaux. De se concentrer sur l’analyse de renseignements, qui permet par la suite des opérations ciblées. »

Récemment, la station Saint-Laurent était devenue tout d’un coup un pôle de consommation. « En partageant du renseignement, on a pu cibler ce problème-là. En trois semaines, on s’est coordonné avec des sites d’injection des alentours et on a arrêté des revendeurs », résume Joanne Matte.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Joanne Matte, commandante de la Section du métro au SPVM

On n’est plus dans la simple réponse aux appels. On peut cibler la criminalité plus en profondeur.

Joanne Matte, commandante de la Section du métro au SPVM

Les utilisateurs du métro de Montréal ont aussi leur rôle à jouer en alertant les autorités de toute incivilité, infraction ou mauvaise expérience. « Les gens sont au cœur de ça. Ce qu’on dit à nos clients : signalez-nous. Il faut le dire quand il se passe quelque chose », insiste Éric Alan Caldwell, conseiller de la Ville de Montréal dans Mercier–Hochelaga-Maisonneuve.

Dégagés des appels d’urgence

La station Berri-UQAM est bondée vers midi. Des troupeaux d’écoliers et de travailleurs pressés émergent du wagon au moment où La Presse accompagne les patrouilleurs du SPVM et les deux intervenantes de l’Équipe mobile de médiation et d’intervention sociale (EMMIS) qui sont avec eux. Elles soutiennent les agents dans les moments où aucune infraction n’a été commise. « Parfois, on connaît les personnes interpellées par leur prénom. On peut les diriger vers des services adéquats », explique une intervenante.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

Usagers du métro à la station Berri-UQAM

Elles connaissent le métro de Montréal sur le bout des doigts. « Aujourd’hui, Frontenac, c’est tranquille. Beaudry, par exemple… », indique l’une d’elles à son collègue policier. Elle ne se trompe pas : à la station Beaudry, les portes du train s’ouvrent sur un homme évaché sur un banc. Dans sa main, trois pipes à crack. Il ne se cache pas pour consommer et sourcille à peine à la vue des agents de la paix. Le duo de patrouilleurs discute brièvement avec l’homme avant de lui passer les menottes aux poignets.

Cette interpellation durant la patrouille n’aurait peut-être pas eu lieu si les effectifs étaient submergés d’appels d’urgence. « Depuis qu’on a été dégagés des appels, il y a moins de laisser-aller. Cette visibilité qu’on a maintenant, c’est très important », estime le sergent Kevin de l’Étoile, de la Section du métro.

Habiter l’espace

L’insécurité règne aussi dans les espaces publics adjacents à certaines stations de métro. On peut penser au square Cabot, près de la station Atwater, ou à la place Émilie-Gamelin, aux abords de Berri-UQAM. La mairesse Valérie Plante en est consciente, mais demeure optimiste. Rétablir la quiétude avec une approche humaine et sociale est un travail de longue haleine. Plus les gens profiteront de ces espaces, plus le sentiment de sécurité reviendra.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE

La mairesse de Montréal, Valérie Plante

« Une de nos forces à Montréal, c’est notre mixité et de pouvoir faire en sorte que l’espace public soit occupé », selon la mairesse.

La Ville, rappelle-t-elle, a lancé plusieurs initiatives l’hiver dernier pour rendre le secteur de la place Émilie-Gamelin davantage attrayant pour les familles, par exemple.

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Station Saint-Michel, 4 avril 2024





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