Métro - Discussion générale

Show-up-and-not-go transit. I wonder how well that has worked out for DC and WMATA.

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Don’t miss the midnight yellow train…

Je propose que l’on revienne à l’exploitation originale… Là on va faire de méchantes économies

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Pourquoi pas allez plus loin berri seulement la les économies vont grimper à l’infini

J’arrive pas à le croire quand même. Les métros sont pleins à craquer et la STM ne pourra pas donner un service adéquat l’an prochain. Est-ce que ce sont les tunnels qui se mettent à craquer? Les autobus qui sont nombreux à être réparés?

Montréal est bâti sur un sol glaiseux. Les tunnels, en tout cas j’imagine la situation, se déforment avec le temps et les routes où les autobus roulent sont cassées.

Montréal…

Pour ne pas défigurer le centre-ville. :wink:

:dotted_line_face: :no_mouth:

10 messages ont été fusionnés à un sujet existant : STM - Discussion générale sur le service et le réseau d’autobus

À part la vallée du St-Laurent et quelques autres endroits, on peut retrouver de la roche à quelques pieds de profond sur la vaste majorité de la province de Québec. C’est le résultat direct d’un glacier qui couvrait la majorité du continent il y a à peine 10,000 ans de cela. Montréal n’y échappe pas et on retrouve de la roche à proximité de la surface sur une part importante de l’Île. Les immenses trous que sont les carrières St-Michel et Fancon le démontre bien. C’est principalement à proximité des berges qu’on retrouve plus de sédiments, particulièrement là où on a fait du remplissage.

La structure géologique de l’Île de Montréal est complexe. Les deux coté du fleuve St-Laurent se caractérisent par des types de roches différent. La couche rocheuse au nord du fleuve plonge en dessous de la couche rocheuse au sud dans un angle faible. Entre les deux, à certains endroit, il y a une autre couche rocheuse qui a presque complètement disparu, mais qu’on retrouve à plusieurs endroits sur l’Île de Montréal. Au centre de l’île, il y a le Mont Royal est une intrusion de magma qui n’a pas réussi à se rendre jusqu’à la surface. Il y a également plusieurs failles latérale qui brisent ces couches rocheuses.

Bref, quand on parle des conditions géologique sur l’Île de Montréal, c’est beaucoup plus complexe que ça ne le semble à première vu.

Les dépots meubles sur l’ile proviennent principalement de la mer de Champlain et du lac Lampsilis, qui sont le résultat de l’enfoncement de la croûte terrestre par le poid du glacier. Le till glaciaire reste présent, cependant.

Il y a des secteurs sur l’ile où l’épaisseur des dépots meubles peut être assez grande. Par exemple, tout le secteur de La Salle / Verdun / Côte-Saint-Paul est une butte sur des sédiments, une espèce de barre de dépots meubles qui se prolonge également à Kahnawake en ligne droite. C’est ce qui explique que certaines stations de la ligne verte dans l’ouest soient superposés.

Près de Vendôme il y a du 70 pieds d’épais, pareil dans des secteurs du centre-ville, dans les ancienne plaines alluviales des ruisseaux. Comme tu as dit, la géomorphologie de l’ile peut être très complexe.

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Nous avons agrandit notre maison à Rosemont il y a quelques années, près du métro Beaubien. La pierre grise est sous 9 pieds de glaise et la compagnie d’excavation m’a dit que c’était pas mal la norme dans Rosemont, Villeray, Outremont, etc.
Donc clairement à ces endroits le tunnel de la ligne orange est dans la pierre.
Ceci dit cette pierre apporte une certaine solidité mais certainement pas de l’étanchéité car elle est pleine de failles / craques, saturées d’eau.

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Super intéressant! Est-ce quil existe une carte des sédiments/géologie de l’île de Montréal?
Je me demande si ma maison à Ahuntsic est située sur du roc, de l’argile, etc.

Elles ne sont pas très à jour, mais ça donne une idée. Il en existe certainement d’autres plus à jour, mais il faudrait chercher un peu.

https://ostrnrcan-dostrncan.canada.ca/entities/publication/ac0c6b1a-1340-42ab-a35e-2cc26a90f88a

Pour d’autres informations sur la géologie / morphologie, il y a aussi la carte SIGÉOM qui est une mine (pun intended) d’informations. Faut faire attention, ça devient vite un trou de lapin

Vu sur twitter. Pensez-vous que ca pourrait être une bonne solution pour Montréal vu qu’on a encore deux type de metro( azur et MR73)

https://x.com/Ian_Gay_briel/status/1768701897400008955?t=cQpoLog5MjVDZsJ-wdxMUQ&s=09

Non, les gens sont pas assez intelligent pour laisser les gens sortir avant de rentrer dans un wagon… donc j’ose même pas imaginer ce genre de système ici…

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Et ne règle pas la problématique des suicides/objets sur les voies

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Petite enquête maison sur l’emplacement du Centre de formation souterrain en prévention des incendies

Vous avez peut-être déjà vu le reportage de Radio-Canada (2017) sur le Centre de formation souterrain en prévention des incendies, la fausse station de métro pour entraîner les employés de la STM et du SIM en cas d’incendie. On mentionne que l’emplacement est gardé secret, mais j’étais déterminé à savoir où cette fameuse station se situe.

Voici la seule information qui se trouve dans l’article qui donne une idée sur la position du bâtiment.

Pour y pénétrer, on doit se rendre en plein milieu d’un parc, devant un bâtiment à peine plus grand qu’un cabanon.


En faisant une recherche sur Google, on peut trouver deux documents qui donnent un peu plus de détails.

Rappelons que la première équipe de prévention des incendies de la STM a vu le jour en 1975, et que la première école a été aménagée dans une portion souterraine de l’arrière-gare de la station Henri-Bourassa qui est maintenant dévolue à l’exploitation du métro vers Laval.


Si on assume que le nouveau Centre de formation se trouve dans les mêmes environs, on peut regarder Apple Maps et voir qu’il y a deux parcs dans le secteur, le parc Ahuntsic et le parc Jeanne-Sauvé.

Et lorsqu’on va sur le terrain, on peut trouver un petit bâtiment mystérieux dans le parc Jeanne-Sauvé ainsi qu’une grille de ventilation.



Non seulement, il y a camion Prévention des incendies de la STM juste à côté, mais on peut clairement reconnaître la grille (photo 3) qu’on voit en arrière-plan dans la photo publiée sur Facebook. Voilà! Emplacement trouvé!

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La cohabitation est de plus en plus tendue dans le réseau du métro. Le nombre des plaintes à la Société de transport de Montréal (STM) a triplé l’an dernier, surtout à cause de l’itinérance et de la consommation de drogue et d’alcool, révèlent les données obtenues par La Presse.

Résumé

Métro de Montréal Les plaintes des usagers ont triplé depuis 10 ans

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Les comportements dérangeants des usagers du métro ont suscité près de 1300 plaintes à la STM l’an dernier, montrent les chiffres fournis à la suite d’une demande d’accès à l’information.

La cohabitation est de plus en plus tendue dans le réseau du métro. Le nombre des plaintes à la Société de transport de Montréal (STM) a triplé l’an dernier, surtout à cause de l’itinérance et de la consommation de drogue et d’alcool, révèlent les données obtenues par La Presse.

Publié à 2h41 Mis à jour à 5h00

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Ariane Krol
Ariane Krol La Presse

Les comportements dérangeants des usagers du métro ont suscité près de 1300 plaintes à la STM l’an dernier, montrent les chiffres fournis à la suite d’une demande d’accès à l’information. C’est trois fois plus qu’au cours de la décennie précédente, durant laquelle la STM a reçu 377 plaintes par an en moyenne.

Plus de la moitié des plaintes de 2023 étaient liées à l’itinérance et à la consommation de drogue ou d’alcool.

Les signalements en lien avec l’itinérance ont quadruplé. Par rapport à la décennie 2013-2022, alors que la STM recevait 128 plaintes par an en moyenne au sujet de la « flânerie » et des « mendiants », elle en a enregistré plus de 500 l’an dernier.

La STM consigne d’ailleurs ces plaintes de façon plus précise depuis deux ans. Longtemps amalgamées dans la grande catégorie « flânerie – mendiants », elles sont désormais réparties entre « Itinérance-présence/flânerie » (lorsqu’elles ne présentent aucun enjeu de sécurité) et « Itinérance – sécurité ». Plus de 60 % des plaintes relatives à l’itinérance reflétaient des préoccupations de sécurité l’an dernier.

« Il faut préciser que cette catégorisation se base sur la description faite par le plaignant », a souligné une porte-parole de la STM, Laurence Houde-Roy, par courriel.

Quant aux plaintes liées à la drogue et à l’alcool (y compris la présence de seringues abandonnées), elles se sont multipliées par 6, soit au total 175 l’an dernier.

Sortie de pandémie

Les autres motifs les plus fréquents sont l’attitude de la clientèle (136 plaintes en 2023) et la présence d’un comportement menaçant ou d’intimidation (130 plaintes). Jusqu’en 2020, la seconde catégorie était incluse dans la première. Une catégorie distincte « comportement menaçant/intimidation » a été créée en 2021 pour étiqueter plus précisément les plaintes où l’attitude d’usagers était plus menaçante, précise la STM.

Les plaintes liées à la Loi concernant la lutte contre le tabagisme, qui a pourtant été adoptée en 2015, sont également en hausse. La STM en a reçu 126 l’an dernier, presque cinq fois plus que la moyenne des dix années précédentes.

La sortie de pandémie ne semble donc pas avoir calmé le jeu dans le métro. Entre 2022 et 2023, le nombre total de plaintes, tous motifs confondus, a bondi de 50 %, passant de 832 à 1256.

« Une hausse de l’achalandage peut entraîner une hausse des plaintes », fait valoir Mme Houde-Roy. En 2022, la STM avait seulement retrouvé 63 % de son achalandage d’avant la pandémie, contre 77 % en 2023. L’achalandage s’est encore un peu accru depuis, à 80 % du niveau prépandémique.

Pour l’année 2024, la STM avait déjà reçu plus de 399 plaintes, montrent les données couvrant les deux premiers mois de l’année.

Gaz poivre et autres agents irritants

Des décharges de gaz poivre (« poivre de Cayenne ») et d’autres agents irritants ont encore empoisonné l’air du métro l’an dernier, avec 20 épisodes du genre, presque autant que l’année précédente (23).

L’usage de ces répulsifs dans l’espace clos du métro peut avoir un effet paralysant sur le service, forçant l’évacuation de plusieurs stations. Or, le nombre de ces pulvérisations indésirables avait bondi en 2022, les 23 cas de cette année-là contrastant violemment avec les 4 cas par an en moyenne recensés au cours de la décennie précédente.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Constables spéciaux de la STM

Tous ces évènements sont considérés comme des « méfaits volontaires », car aucun d’eux n’a été provoqué par des constables spéciaux de la STM. En effet, c’est seulement depuis le début du mois que ces employés sont équipés de gaz poivre en gel, et ils ne l’ont pas encore utilisé, a indiqué la société de transport mardi.

Au moins six méfaits impliquant des gaz irritants ont toutefois été enregistrés dans le métro depuis le début de l’année, montrent les données de la STM pour les mois de janvier et février 2024.

Avec la collaboration de Lila Dussault et de Pierre-André Normandin, La Presse

Lisez « Du poivre de Cayenne en gel d’ici décembre pour les constables » Lisez « Métro de Montréal : l’usage de gaz irritant monte en flèche »

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Anyone knows what’s going on around Berri-UQÀM?

What seems to have started as a track equipment problem on the Green line seems to have escalated to a smoke issue to the Green, Orange and Yellow lines.


La STM met en place un service de navette sur la ligne 1.


https://x.com/stm_Verte/status/1772027989380747684?s=20