Métro - Discussion générale

Événement publié sur Facebook

Dimanche 19 nov à 11h au Square Victoria

3 « J'aime »

:expressionless:

https://twitter.com/NieDesrochers/status/1724404052539195793

https://twitter.com/NieDesrochers/status/1724409711745703988

C’est sur le site de Radio-Canada

1 « J'aime »

They aren’t helping their cause by doing that kind of vandalism. I generally do my best to separate theses things from the objective truth of what is going on in Gaza, but I’m not immune to bias. We are in Canada, there are plenty of legal ways that they can express themselves without defacing metro stations.

6 « J'aime »

L’article de La Presse mentionne que les autocollants sont difficiles à enlever :expressionless:

Les panneaux sont tellement collants que les employés de la Société de transport de Montréal (STM) peinent d’ailleurs à les enlever. Ils ont été apposés sur les portes d’entrées et les fenêtres des stations de métro. « Ce qu’on essaye de faire en ce moment, c’est de les caviarder ou de les cacher parce qu’on nous a rapporté qu’elles ne se décollent pas facilement du tout », ajoute Mme Gauthier.

1 « J'aime »

J’ai vu un préposé à Pie-IX avec un pressure washer. Ça se décolle facilement avec un peu de pression.

4 « J'aime »

Industrial (portable) steam cleaning works well. It’s what’s used to remove chewing gum from concrete and tile – among many, many other tough cleaning tasks at which it excels.

2 « J'aime »

I find it sad what is happening in that part of the world, but I am not sure why in Montreal, people are throwing molotov cocktails and shooting at Jewish elementary schools and doing vandalism on the metro. I was speaking to my work colleague today and she is pro Palestinian and she was surprised by this (she lives in Spain). These groups are creating fear here and we should not tolerate this here.

10 « J'aime »

Montreal has a disproportionate amount of both jews and arabs compared to most North American cities (other than NYC). I think it was inevitable that people would be mode extreme/passionate here about this conflict.

Can we please stop fucking with our transit infrastructure. At this point im ready for harsher penalties for people who do shit like this specifically targeting our public infrastructure

7 « J'aime »

https://youtu.be/cRc_8vq7sM4?t=59m10s do with it as you wish but we got an update regarding the orange west expansion

1 « J'aime »

They’ve used the same playbook as the ARTM. If everything’s a priority, then nothing’s a priority…

5 « J'aime »

Lol that answer is basically just a word salad since it’s the ARTM and the provincial government that has the real final say in it.
It is frustrating to think that the BF extension could have easily been done at a marginal cost when they did the Cote Vertu garage project, as the ARTM owns land that could have hosted the garage at BF and that the tunnel is already done up to the Maxi, which is ± 1km away.
The stupidest thing is that they had to build a similar lenght of tunnel under Tassé to create the access to the said garage.
It is simply poor planning, and the only reason they went that way is strictly political as they needed the next project to be in the east (blue line) as the west just got the REM.

3 « J'aime »

Au Téléjournal

Itinérance dans le métro : les agents seront plus présents cet hiver

La Société de transport de Montréal (STM) ajoutera des agents dans le métro cet hiver dans le but d’accroître le sentiment de sécurité chez les employés et les usagers.

Le plan est décrié par des organismes de défenses des sans-abri, qui y voient une façon de les exclure.

Le reportage de Sarah Déry

Okay je sais que dans la vidéo la femme qui représente l’organisme communautaire dit qu’elle ne s’attend pas à ce que la stm « installe des lits et serve des repas »…Mais même le simple fait d’ajouter 20 agents est immédiatement décrié ? Pourquoi? Disons qu’ils s’attendent à ce que la STM tolère essentiellement tout. C’est très clair que le but de la stm n’est pas de simplement retirer les sans-abri du système. La nuit, c’est un free for all de comportement. Certains sans-abri ne se sentent pas contraints par les règles de la société (obviously). j’ai vu qqn pisser sur le quai (il y a 2 jours à Berri), fumer du crack dans le train (17h20 à Peel), laisser des seringues dans les escaliers et dormir au milieu du couloir (guy-concordia). Tout cela peut être observé en 1 à 2 jours d’utilisation du système la nuit. Ces organisations qui rechignent même à la plus simple application des règles montrent leur déconnexion totale avec la situation actuelle. Ce n’est pas une cohabitation. C’est en fait le chaos lol

8 « J'aime »

À CityNews

Making Montreal’s metro safer, new approach by police and STM

“We’re trying to manage our people in a really human way,” says Jocelyn Latulippe, STM Director of Fire Safety and Security, of the Montreal police’s new approach to resolving incidents and promoting safety in the metro. Anastasia Dextrene reports.

La vie, la villeComment devient-on opérateur de métro ?


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Le métro de Montréal assure près de 800 000 déplacements chaque jour, grâce à ses 380 opérateurs.

Notre journaliste se balade dans le Grand Montréal pour parler de gens, d’évènements ou de lieux qui font battre le cœur de leur quartier.

Mis à jour hier à 7h00
ÉMILIE CÔTÉ
LA PRESSE

Le métro de Montréal fait souvent jaser pour ses pannes et son manque de financement public. Or, il assure près de 800 000 déplacements chaque jour, grâce aux 380 opérateurs qui ont la chance de mener les passagers d’un bout à l’autre des quatre lignes s’étirant sur 71 kilomètres.

On parle de « chance », car ils sont les seuls au Québec à exercer ce métier qui ne se pratique pas du jour au lendemain à la Société de transport de Montréal (STM). Une fois par année, des postes s’ouvrent et sont attribués par ancienneté à ceux qui sont déjà chauffeur ou chauffeuse d’autobus.

« C’est la plus belle job », lance Mario Bellerose, en formation au Complexe Crémazie. « J’ai été chauffeur d’autobus, mais un train, c’est gratifiant et passionnant. Je retourne presque en enfance. »


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Mario Bellerose est en formation pour devenir opérateur de métro.

« C’est une histoire de famille », ajoute celui qui a hâte de devenir opérateur de métro comme son frère et qui est le fils d’un ancien chef d’opération.

40 jours de formation

Toute la formation de la STM se fait au Complexe Crémazie, où on trouvent aussi des bureaux et une usine de fabrication. Chauffeurs et opérateurs y sont formés, mais aussi les préposés à l’entretien et les agents de station.

Employé de la STM depuis 2008, François Rouleau a conduit des autobus, puis des métros et le voilà agent de formation. « C’est une histoire de famille, souligne-t-il lui aussi. Mon oncle et mon grand-père travaillaient pour la Société de transport de Montréal. »


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
François Rouleau dans un des locaux de formation

Le programme de formation pour opérer un métro dure 40 jours. C’est à la fois théorique et pratique avec du compagnonnage avec des opérateurs d’expérience. Les apprentis passent aussi quelques jours au Centre de formation souterrain en prévention des incendies (CFSPI), près de la station Henri-Bourrassa, qui réplique une portion du métro avec un train. « Cette installation permet de simuler des interventions d’urgence », résume François Rouleau.

Au Complexe Crémazie, un simulateur de conduite de train Azur (que nous avons essayé !) permet aux apprentis opérateurs de vivre certaines situations stressantes sans conséquences réelles : frein de secours actionné, dégagement de fumée, etc.


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Le simulateur de conduite de train Azur

La conduite des trains Azur est automatique, mais le premier trajet du matin doit se faire de façon manuelle. Les anciennes voitures MR-73 toujours en service peuvent aussi s’opérer en mode automatique, sauf sur la ligne jaune pour des raisons de confort.

Les futurs opérateurs de métro doivent également se préparer à être témoins de ce que la STM appelle des « tentatives de mort violente ». Tout un protocole est en place pour sécuriser les lieux et soutenir à la fois le personnel et la clientèle. « Nous ne sommes jamais seuls pendant un incident », indique François Rouleau, qui parle d’expérience.


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Notre journaliste dans le simulateur, appelé Réplique, d’un train Azur

Plusieurs fois par année, quand des évènements créent un fort achalandage dans le métro, d’anciens opérateurs sont appelés à reprendre du service. « J’ai travaillé au dernier festival Osheaga », indique François Rouleau, qui aime retourner sur le terrain.

Ce dernier a la STM tatouée sur le cœur. Il garde de précieux souvenirs de voyages en métro avec sa grand-mère depuis la station Monk, dans Ville-Émard. « Avec la voix de Judith Ouimet avant qu’elle ne soit remplacée par celle de Michèle Deslauriers. »

En formation, François Rouleau incite par ailleurs fortement les futurs opérateurs à s’adresser aux passagers au micro.

Il faut montrer qu’il y a un humain en avant.

François Rouleau, agent de formation à la STM

Ce n’est pas le cas dans le REM, automatique et sans conducteur.

Derrière chaque panne…

Samir Merabti nous attend à la station de métro Crémazie. Son titre : chef d’intervention. Du stress, il est capable d’en prendre, car il gère tous les imprévus qui mènent à des pannes, que ce soit des intrusions dans le tunnel ou l’utilisation de vaporisateurs de gaz poivre.

« Chaque minute de retard est répertoriée avec des rapports d’incident », précise celui qui est en contact direct avec les opérateurs et la tour de contrôle. Le public sous-estime le nombre d’objets qui tombent sur la voie, fait-il valoir. Les gens descendent parfois sur les rails pour récupérer leur téléphone intelligent échappé malencontreusement.

Samir Merabti peut opérer et déplacer des trains au besoin, que ce soit pour des situations graves ou des « urgences toilette ». Autant il gère du stress, autant il se doit aussi d’être rassurant.


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Le chef d’intervention Samir Merabti

C’est un privilège de travailler dans le métro. Beaucoup de gens travaillent dans l’ombre.

Samir Merabti, chef d’intervention à la STM

La sécurité est une priorité : même que l’emplacement de la salle de contrôle est top secret…

« Une autre vue »

« Ce n’est pas la même vue, hein ? », lance Anne Bertin.

Cerise sur le gâteau de notre reportage : un trajet en métro à bord de sa loge de conduite sur la ligne orange.

C’est un privilège de pouvoir opérer un train de métro. Nous sommes peu au Canada à le faire.

Anne Bertin, opératrice de métro à la STM

Anne Bertin a commencé son quart de travail à 5 h 04 et elle terminera à 11 h 40. À chaque bout de ligne, elle peut prendre une petite pause et se dégourdir les jambes.


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Anne Bertin est opératrice de métro depuis un an, après avoir été chauffeuse d’autobus pendant 16 ans et agente de station pendant quatre ans.

Jusqu’ici, la journée a été plutôt calme. On note seulement un arrêt de service de quelques minutes pour un problème au niveau d’une goulotte, soit le conduit permettant de canaliser les eaux hors du réseau.

Après avoir passé sous la rivière des Prairies, nous voilà déjà rendus dans un endroit où le public n’a pas accès, dans l’espace de la station Montmorency où les trains de métro repartent en sens inverse. Anne débarquera de sa loge de conduite et un collègue embarquera dans celle à l’autre extrémité du train.

Nous ne prendrons plus jamais le métro de la même façon !

3 « J'aime »

C’est probablement une opinion impopulaire, mais je préfèrerais avoir 380 (+ extra quand c’est achalandé) agents dans les métros et stations que 380 (+ extra quand c’est achalandé) opérateurs de métros automatisés.

Pas sûr de cela. On verra avec le REM.

5 « J'aime »

C’est certainement beaucoup plus facile de conduire un métro automatisé que de faire du service à la clientèle.

2 « J'aime »

Interruption de service jusqu’à 20h40 sur les lignes verte et orange en raison de fumée

image

image

jaune aussi

image

2 « J'aime »

J’attendais à Rosemont autour de 18h et j’avais justement l’impression qu’il y avait de la brume dans la station. Mais j’ai pu me rendre à destination sans problème. Est-ce qu’on sait ce qui a causé ca?

1 « J'aime »

Détection d’incendie à McGill.