Métro - Discussion générale

Pour la ligne verte, entre Honoré Beaugrand et Berri UQAM, le train est souvent moins achalandé dans les voitures de tête… Alors ça peut en vouloir la peine même si la sortie de la station de descente est à l’autre extrémité.

3 « J'aime »

Les Bixis d’hiver s’en viennent!

2 « J'aime »

Bixi d’hiver… Mais vous êtes malade :rofl::rofl::rofl: (c’est pour rire ne vous offenser pas)!!

2 « J'aime »

On rigole, mais bixi rend plus de stations de métros accessibles, donc plus de choix (peut-être une station plus “conviviale” ou moins achalandée que la station prévue) où embarquer ou descendre. C’est peut-être un transfert, mais ça peut être un transfert très avantageux.

4 « J'aime »

Bixi fait définitivement partie du cocktail transports. C’est un outil formidable pour contribuer à diminuer la congestion dans le métro. Par exemple, l’été je prends rarement le métro pour me rendre au travail, contribuant à ne pas congestionner la ligne verte à l’heure de pointe.

5 « J'aime »

STM is now all-in on transitioning to lines being identified by number rather than colour.

8 « J'aime »

Honestly it makes sense.

4 « J'aime »

Truc #1: déménage à Longueuil. La ligne jaune est jamais trop achalandée et rendu à Montréal c’est jamais trop pire

De rien!

Sinon c’est quoi ton trajet exactement?

1 « J'aime »

Good news for colorblind people

1 « J'aime »

Est-ce qu’on va encore dire la couleur en plus du chiffre ? Pas sûr que : ''Attention, interruption sur la Ligne 1, en raison d’une personne sur la voie, d’autres messages suivront ‘’ Pas sûr que grand monde vont savoir de quelle ligne on parle ici

2 « J'aime »

Pour moi, c’est aussi le dernier km quand je viens de rater mon bus et que le suivant est dans 30-50min ou que je ne veux pas prendre le risque d’attendre un bus qui devrait passer dans les 5 prochaines minutes, mais risque fortement d’être 15-20 min en retard.

BIXI compense fortement le manque de fiabilité du réseau de surface.

1 « J'aime »

… Sur la ligne 1-verte…

1 « J'aime »

Manque d’effectifs au SPVM : 30 policiers de moins dans le métro

Il y aura 30 policiers de moins dans le métro de Montréal pour pallier le manque criant d’effectifs au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Or, le nombre d’interventions est en constante augmentation et le sentiment d’insécurité des usagers est bien réel.

Le reportage de Pascal Robidas

Ca se fête ! Moins de gazage, contrôle de billets et sentiment d’insécurité de se faire agresser par cette bande armée qui reluque tout le monde :champagne:

3 « J'aime »

beaucoup de gens peuvent être en désaccord avec ce sentiment. D’autant plus que cela est né d’un manque de personnel et non d’un mandat visant à réduire la présence policière dans le système. Il faut probablement garder à l’esprit que c’est le seul moyen de transport pour de nombreuses personnes, qui préférerait que nous n’utilisions pas le réseau comme zone de test bêta. Je ne cherche pas à ce que le métro soit un case study lorsque je rentre de mon travail à minuit.

Si ca signifie que davantage de personnes s’éloigneront du TEC, ce n’est probablement pas quelque chose à célébrer (même si cela correspond à votre idéologie).

10 « J'aime »

Moins de gazage… Tu as manqué la nouvelle de cette semaine ? Les agents de la STM auront du poivre de cayenne maintenant ! La STM prévoit en embaucher une vingtaine de plus en 2024, ce qui remplacera la 30aine de policiers du SPVM.

1 « J'aime »

Ça semble surtout un changement d’approche que le SPVM pense plus efficace pour cibler des problèmes précis (on y cite Berri-UQAM et la drogue par exemple).

Le nombre de patrouilleurs affectés au métro passe 86 à 100.

1 « J'aime »

L’avenue Wiseman est reouverte devant la station Outremont.

8 « J'aime »

Un changement de carrière si le métro ferme à 23h?


Jacques Nadeau, archives Le Devoir
Des Montréalais redoutent les conséquences d’un service réduit sur leur train de vie.

Sarah Boumedda
10 novembre 2023
Transports / Urbanisme

Le scénario d’une fermeture du métro de Montréal à 23 h, crainte en raison d’un financement provincial jugé insuffisant, commence à semer l’inquiétude chez certains citoyens.

Anne-Marie Paquette est technologue en imagerie médicale au CHU Sainte-Justine. La résidente de Verdun emprunte le métro pour aller au travail et en revenir. Présentement, elle fait des quarts de travail de jour et des quarts de soir, en alternance, et ces derniers se terminent vers minuit.

Avec une fermeture du métro à 23 h, qui pourrait subvenir à cause des déficits des sociétés de transport en commun de la grande région de Montréal, il serait impossible pour elle de rentrer à son domicile par transport collectif. « C’est sûr que c’est une source d’inquiétude. J’espère franchement qu’on ne va pas se rendre là. Je vais devoir me questionner », confie-t-elle au Devoir.

Sans métro, ses options sont limitées. En plus de son titre mensuel de l’Autorité régionale de transport métropolitain, qui lui donne accès au métro de Montréal, elle paie un abonnement à Communauto afin de pallier les interruptions de service qui pourraient rallonger son temps de transit. Elle voit par contre cet abonnement comme une « mesure d’exception » et affirme prendre le métro « 99 % du temps ». « Ça m’est arrivé, parfois, de l’utiliser pour me rendre chez moi, relate-t-elle. Mais je me dis que si le métro ferme [à 23 h], je ne serai probablement pas la seule à me rabattre sur Communauto. Et ça pourrait arriver, plusieurs soirs, qu’il ne reste plus d’autos et que je doive prendre un taxi. »

Une telle course de taxi coûterait trop cher à la longue, ajoute-t-elle. Et même utiliser le service d’autopartage à répétition pourrait s’avérer cher. « Si je prends le Communauto, ça me coûte une dizaine de dollars. Donc, tous les jours où je travaille le soir, je devrais payer 10 $ pour me rendre chez moi, 10 $ de plus que si je pouvais simplement prendre le métro. »

À long terme, si le métro venait à fermer ses portes plus tôt, Mme Paquette se questionnerait aussi sur l’avenir de son milieu : à Montréal, dans le réseau public de la santé, où les horaires sont très souvent atypiques et où sévit une pénurie de main-d’oeuvre importante, une grande partie du personnel utilise le transport collectif pour se rendre au travail. « Je pourrais prendre la décision d’aller travailler en clinique privée pour avoir des horaires plus avantageux », laisse-t-elle tomber au bout du fil, non sans une touche de résignation.

En réponse au refus du gouvernement Legault d’assumer 75 % des coûts demandés par les municipalités pour remédier aux déficits des sociétés de transport, une manifestation en appui au transport collectif doit se tenir le 19 novembre prochain.

« Si on veut moins de voitures dans nos villes, il faut offrir des alternatives. Et quand il n’y en a pas, les gens vont se sentir obligés de prendre leur auto », explique Mathieu Murphy-Perron, cofondateur du collectif Vélorution Montréal, qui milite pour que les voitures prennent moins de place sur les routes montréalaises. « Le transport collectif, c’est nécessaire pour une ville viable […], moins congestionnée, moins polluante. »

Aussi, un article interactif :

Montréal sans métro

Et si le métro de Montréal fermait à 23 h en semaine et n’ouvrait qu’à partir de 9 h le week-end ? En raison d’une promesse de financement du gouvernement Legault jugée insuffisante par rapport à des déficits chroniques en transport en commun partout dans la grande région de Montréal, la Société de transport de Montréal (STM) envisage des ruptures de services. Elles affecteraient notamment la disponibilité du métro tard le soir en semaine, et la matinée les samedis et les dimanches.

Le Devoir a simulé quatre scénarios qui prennent en compte les fermetures appréhendées. Quelles options vous resterait-il parmi les services offerts ? Combien vous coûterait un tel changement ?

https://www.ledevoir.com/interactif/2023-11-09/baisse-services-stm/index.html

5 « J'aime »

Est-ce-que quelqu’un à des informations par rapport au manifestation?

1 « J'aime »